COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (1/5)
• Sophie, je vais te laisser, Brutus est dans la bétaillère, j’ai tout prévu pendant mon absence me rendant au salon de l’agriculture.
Je te laisse Gustave, notre commis, il sait s’y faire avec les vaches, tu peux entièrement lui faire confiance.
À part la jeune Rosette qui doit mettre bas dans plus de huit jours, aucune de celles qui sont pleines risque de vous poser des problèmes.
Je te laisse le numéro de téléphone du vétérinaire, il m’a promis de venir si tu avais le moindre souci.
C’est ainsi que j’ai fait un signe de la main à Antoine mon mari, qui me quitte pour un long moment avec notre taureau.
C’est le mâle qui a sailli Rosette en ma présence, il y a presque neuf mois.
Voir cette bête de race charolaise pesant 1 500 kilos pour Brutus et la moitié pour la vache lui monter sur le dos en sortant son immense pénis, j’ai eus mal pour elle.
Je me mets à rire à ce souvenir, je me suis remémoré ma première fois avec Antoine.
J’avais à peine vingt ans, j’étais vierge, je pesais 40 kilos, toute mouillée et lui déjà plus de 100 kilos.
Au village, dans mon dos, on nous appelait la belle et la bête.
Mon choix, un peu avec le temps, mais surtout après la réunion de nos parents, voyant d’un bon œil notre union et surtout celle de nos deux fermes.
Moi j’apportais principalement de la bonne terre et lui le corps de ferme.
Le soir de nos noces, j’ai vite compris que baiser dans la position du missionnaire si lui prenait son plaisir, moi je risquais de mourir écrasée.
J’avais beau être vierge, je connaissais le sexe par l’intermédiaire de copines de jeunesse au temps ou je leur disais, « moi, un agriculteur jamais, » qu’il était possible de se faire baiser dans d’autres positions.
Brutus montait ses pattes sur le dos de Rosette, Antoine a vite pris l’habitude de me saillir, pardon déformation du nombre de fois où j’ai vu nos taureaux saillir nos vaches.
Antoine a vite pris l’habitude de me faire l’amour, moi en levrette, lui sur ses genoux derrière moi.
Résultat deux filles, dix-neuf et dix-huit ans toutes deux en fac à Lyon.
Sandrine veut être biologue et Lucette qui vient d’avoir son bac, veut devenir vétérinaire.
Je sais qu’elles vont réussir, elles sont douées pour les études, au grand dam de mon mari qui se demande qui va prendre notre succession.
De mon côté, j’ai moins de souci, je me souviens des propos que je tenais sur le fait d’épouser un agriculteur.
Tous les jours vers 17 ou 18 heures, je me rends dans la stabulation des vaches, aider Antoine et Gustave à faire les litières avant de leur donner à manger.
À 20 heures, retour dans la maison, que nous avons fait construire dès notre mariage quittant le vieux corps de ferme où mes beaux-parents ont vécu dans le dénument le plus complet.
De plus en plus souvent, mon mari oubli que je suis une femme, comme moi je l’oublie crevé lorsque nous rentrons, les journées commençant à 6 heures et se finissant devant « plus belles la vie » tout en mangeant,
La soupe que j’ai préparée dans la journée ingurgitée et le feuilleton terminé, il part se doucher avant de s’écrouler dans notre lit.
À 23 heures, lorsque je le rejoins, je me douche à mon tour après avoir lavé la salle et la cuisine et après avoir préparé le petit déjeuner.
Je fais aussi un peu de compta, une ferme ça se gère.
Il dort en ronflant, inutile d’essayer de le réveiller pour jouer la bête à deux dos, je me glisse dans notre lit, dans le peu de place qu’il me laisse aimant prendre ses aises.
Certains soirs, j’essaye de rester femme, sous la douche grâce aux jets d’eau que je présente à mon clito ou dans notre lit si je me réveille ma chatte, s’étant échauffé d’un rêve érotique.
Discrètement je me caresse jusqu’à ce que je me morde la lèvre lorsque la petite flamme jaillie dans mon corps me permettant de m’endormir, moi aussi d’un sommeil court mais profond.
Il est 10 heures lorsque la bétaillère démarre, mon planning si bien rodée est un peu chamboulée, je vais à l’étable pour voir si Gustave a bien pris en compte les directives de mon mari.
Sans être un attardé, ce garçon de l’âge de mes filles ayant arrêté ses études à seize ans étant dans l’impossibilité d’aller plus loin étant incapable d’apprendre plus.
Il est venu voir Antoine pour chercher du travail, il le connaissait du rugby et comme les ventes vont bien, il l’a embauché.
C’est dans le hangar aux tracteurs que je le trouve, il a bien mon numéro de portable ou il peut m’appeler à tout moment s’il a un problème.
• Je répare la moissonneuse pour le moment ou avec votre mari, nous allons commencer à récolter les orges, je prends de l’avance.
Perché sur la machine, pour la première fois, je me rends compte que son regard semble plus insistant.
Mais comme nous avons presque vingt ans d’écart, je trouve cela impossible, presque indécent.
Mais comme il est placé, il a une vue plongeante sur mes seins sortant de ma blouse de travail.
Attention, j’ai une belle poitrine elle aussi trop délaissée, mais je me rends compte que le dernier bouton est ouvert, ce qui dégage une partie de mes deux lobes.
Lorsque je retourne jusqu’à ma maison, son regard sur le bas de mon dos me donne une impression bizarre, un peu comme ceux que je ressens lorsque mon bas-ventre s’échauffe dans mon lit.
À midi, il me rejoint en autant ses bottes, dans son contrat, nous lui devons un repas alors qu’il habite avec sa vieille mère déjà passablement gâteuse.
Antoine m’a dit qu’elle avait une maladie avec un nom bizarre, Aliza mer je crois.
• Vous avez des nouvelles de votre mari !
• Non, il m’a dit qu’il serait vers Auxerre à midi et qu’il sortirait de l’autoroute pour déjeuner dans un routier qu’un de ses amis lui a indiqué.
Tu le connais, aller acheter un hectare de prairie supplémentaire, il met le prix qu’il faut aux enchères, mais pour la nourriture malgré qu’il mange comme deux, c’est toujours trop cher.
C’est à peu près tout ce que nous nous disons avant qu’il retourne vers son travail.
Je suis contente, tout semble être rentré dans l’ordre entre lui et moi.
Ce soir si je suis encore en manque, je pourrais me donner tout le plaisir que je désire, pouvant pour la première fois écarter largement les cuisses pour prendre tout le temps de me masturber.
À 17 heures, mon mari me laisse un message, « Brutus bien arrivé ».
Brutus installé dans son box, il a tout ce qu’il faut pour dormir dans la bétaillère, se faisant même à manger.
Ça fait plusieurs jours qu’Antoine est à Paris et que Brutus va être présenté au jury.
Les nuits, je me masturbe comme prévu, j’ai même acheté des bananes, parfaits godemichets.
Ce soir, comme tous les soirs, à 18 heures, je rejoins Gustave.
Hors de question d’avoir des pensées salaces, nous savons ce que nous avons à faire pour y passer le moins de temps possible, surtout que je veux voir comme il se doit, « plus belle la vie ».
Je vois notre commis se diriger vers l’enclos où Rosette a été isolée.
• Madame Sophie, je vais rester là cette nuit, j’ai bien peur que votre vache mette bas cette nuit.
• Veux-tu que j’appelle le vétérinaire pour qu’il nous dise ce qu’il en pense ?
• Non, inutile de le faire se déplacer pour rien, votre mari m’a toujours appris à éviter de paniquer dans ces moments-là.
Au lieu de rentrer chez moi, je vais dormir sur ce tas de foin et rester près d’elle, je vous appellerais en cas de besoin.
• Et ta mère, elle va s’inquiéter !
• Ma mère, l’infirmière va venir la coucher, en temps normal, lorsque je vais la voir, elle me parle du temps où je faisais pipi au lit, sans voir que j’ai grandi, elle est atteinte par la maladie d’Alzheimer.
C’est ça, la maladie dont Antoine m’a parlé, elle se souvient du passé oubliant le temps présent.
Bref, j’en ai fait plus que les autres soirs et je tombe comme une masse après avoir regaré le feuilleton et pris ma douche laissant mon intimité se reposer, elle aussi.
Quelle heure est-il lorsque mon portable sonne, je le prends en main sur ma table de nuit, « Gustave. »
• Patronne, vous pouvez venir, Rosette met bas, ça se présente mal.
• J’appelle le vétérinaire !
• Je viens de le faire, sa femme m’a dit qu’il était parti dans une autre ferme et qu’il en aurait pour presque toute la nuit, je dois la rappeler s’il faut qu’il passe après son intervention.
• J’arrive, dans deux minutes, nous allons voir ce que l’on peut faire !
Je remets ma blouse de travail, je sais ça fait mémère.
Mais lorsque vous passerez derrière une vache qui donnerait l’impression de vous attendre pour relever sa queue et vous lâcher un jet d’urine sur les pieds, ce tablier, vous en verrez l’utilité.
J’arrive, un pied sort de Rosette et le bout du museau du veau.
• Je dormais quand le travail a commencé, l’alarme a sonné, je me suis précipité pour voir le désastre.
Le veau, par chance, avec sa taille, il y en a qu’un, mais il a une patte repliée dans le ventre de sa mère et si nous tirons le seul pied sorti, ça va éclater littéralement la vache.
J’ai déjà vu ça une fois avec votre mari, le vétérinaire a mis un grand gant et a plongé son bras dans le corps de la vache, réussissant à faire retourner le pied.
Acceptez-vous que je tente de le faire perdu pour perdu, sinon on perd les deux ?
• Tu peux essayer, je saurais expliquer à mon mari les risques que nous avons pris.
Avoir des veaux mort-nés, ça arrive de temps en temps.
• Tenez bien Rosette par son collier, je passe derrière.
• Évite ses ruades, une fois j’ai failli me retrouver à l’hôpital, c’est Antoine qui, voyant le coup partir, m’a fait valdinguer sur le tas de foin ou tu dormais.
Tenir une vache dans ces circonstances, c’est déjà difficile pour mon mari avec ses gros bras, mais quand Gustave passe sa main et son bras dans le ventre de la vache à côté du pied du veau, je sue à grosses gouttes.
• Tenez là fortement, je sens le pied, ça y est je l’ai attrapé.
Ouais, j’arrive à le tirer sur l’avant, on va y arriver.
Sans penser à la façon dont il me regardait du haut de son tracteur, les boutons de ma blouse lâchant un par un aux efforts que je dois faire m’indiffèrent, le principal, c’est de réussir à sauver ces pauvres bêtes.
D’un coup son bras ressort alors que je suis pendu à l’encolure de Rosette, j’ai l’impression de me fondre en elle.
Un grand bruit, caractéristique d’un veau tombant au sol, par chance, cette vache est petite, le veau dans sa poche se réceptionne et par instinct essaye de se mettre debout.
Je lâche Rosette, je suis à deux pas du tas de foin servant de couche, épuisée, je m’affale les bras écartés sans me rendre compte que mes seins sont en dehors de la protection du haut de ma blouse...
Je te laisse Gustave, notre commis, il sait s’y faire avec les vaches, tu peux entièrement lui faire confiance.
À part la jeune Rosette qui doit mettre bas dans plus de huit jours, aucune de celles qui sont pleines risque de vous poser des problèmes.
Je te laisse le numéro de téléphone du vétérinaire, il m’a promis de venir si tu avais le moindre souci.
C’est ainsi que j’ai fait un signe de la main à Antoine mon mari, qui me quitte pour un long moment avec notre taureau.
C’est le mâle qui a sailli Rosette en ma présence, il y a presque neuf mois.
Voir cette bête de race charolaise pesant 1 500 kilos pour Brutus et la moitié pour la vache lui monter sur le dos en sortant son immense pénis, j’ai eus mal pour elle.
Je me mets à rire à ce souvenir, je me suis remémoré ma première fois avec Antoine.
J’avais à peine vingt ans, j’étais vierge, je pesais 40 kilos, toute mouillée et lui déjà plus de 100 kilos.
Au village, dans mon dos, on nous appelait la belle et la bête.
Mon choix, un peu avec le temps, mais surtout après la réunion de nos parents, voyant d’un bon œil notre union et surtout celle de nos deux fermes.
Moi j’apportais principalement de la bonne terre et lui le corps de ferme.
Le soir de nos noces, j’ai vite compris que baiser dans la position du missionnaire si lui prenait son plaisir, moi je risquais de mourir écrasée.
J’avais beau être vierge, je connaissais le sexe par l’intermédiaire de copines de jeunesse au temps ou je leur disais, « moi, un agriculteur jamais, » qu’il était possible de se faire baiser dans d’autres positions.
Brutus montait ses pattes sur le dos de Rosette, Antoine a vite pris l’habitude de me saillir, pardon déformation du nombre de fois où j’ai vu nos taureaux saillir nos vaches.
Antoine a vite pris l’habitude de me faire l’amour, moi en levrette, lui sur ses genoux derrière moi.
Résultat deux filles, dix-neuf et dix-huit ans toutes deux en fac à Lyon.
Sandrine veut être biologue et Lucette qui vient d’avoir son bac, veut devenir vétérinaire.
Je sais qu’elles vont réussir, elles sont douées pour les études, au grand dam de mon mari qui se demande qui va prendre notre succession.
De mon côté, j’ai moins de souci, je me souviens des propos que je tenais sur le fait d’épouser un agriculteur.
Tous les jours vers 17 ou 18 heures, je me rends dans la stabulation des vaches, aider Antoine et Gustave à faire les litières avant de leur donner à manger.
À 20 heures, retour dans la maison, que nous avons fait construire dès notre mariage quittant le vieux corps de ferme où mes beaux-parents ont vécu dans le dénument le plus complet.
De plus en plus souvent, mon mari oubli que je suis une femme, comme moi je l’oublie crevé lorsque nous rentrons, les journées commençant à 6 heures et se finissant devant « plus belles la vie » tout en mangeant,
La soupe que j’ai préparée dans la journée ingurgitée et le feuilleton terminé, il part se doucher avant de s’écrouler dans notre lit.
À 23 heures, lorsque je le rejoins, je me douche à mon tour après avoir lavé la salle et la cuisine et après avoir préparé le petit déjeuner.
Je fais aussi un peu de compta, une ferme ça se gère.
Il dort en ronflant, inutile d’essayer de le réveiller pour jouer la bête à deux dos, je me glisse dans notre lit, dans le peu de place qu’il me laisse aimant prendre ses aises.
Certains soirs, j’essaye de rester femme, sous la douche grâce aux jets d’eau que je présente à mon clito ou dans notre lit si je me réveille ma chatte, s’étant échauffé d’un rêve érotique.
Discrètement je me caresse jusqu’à ce que je me morde la lèvre lorsque la petite flamme jaillie dans mon corps me permettant de m’endormir, moi aussi d’un sommeil court mais profond.
Il est 10 heures lorsque la bétaillère démarre, mon planning si bien rodée est un peu chamboulée, je vais à l’étable pour voir si Gustave a bien pris en compte les directives de mon mari.
Sans être un attardé, ce garçon de l’âge de mes filles ayant arrêté ses études à seize ans étant dans l’impossibilité d’aller plus loin étant incapable d’apprendre plus.
Il est venu voir Antoine pour chercher du travail, il le connaissait du rugby et comme les ventes vont bien, il l’a embauché.
C’est dans le hangar aux tracteurs que je le trouve, il a bien mon numéro de portable ou il peut m’appeler à tout moment s’il a un problème.
• Je répare la moissonneuse pour le moment ou avec votre mari, nous allons commencer à récolter les orges, je prends de l’avance.
Perché sur la machine, pour la première fois, je me rends compte que son regard semble plus insistant.
Mais comme nous avons presque vingt ans d’écart, je trouve cela impossible, presque indécent.
Mais comme il est placé, il a une vue plongeante sur mes seins sortant de ma blouse de travail.
Attention, j’ai une belle poitrine elle aussi trop délaissée, mais je me rends compte que le dernier bouton est ouvert, ce qui dégage une partie de mes deux lobes.
Lorsque je retourne jusqu’à ma maison, son regard sur le bas de mon dos me donne une impression bizarre, un peu comme ceux que je ressens lorsque mon bas-ventre s’échauffe dans mon lit.
À midi, il me rejoint en autant ses bottes, dans son contrat, nous lui devons un repas alors qu’il habite avec sa vieille mère déjà passablement gâteuse.
Antoine m’a dit qu’elle avait une maladie avec un nom bizarre, Aliza mer je crois.
• Vous avez des nouvelles de votre mari !
• Non, il m’a dit qu’il serait vers Auxerre à midi et qu’il sortirait de l’autoroute pour déjeuner dans un routier qu’un de ses amis lui a indiqué.
Tu le connais, aller acheter un hectare de prairie supplémentaire, il met le prix qu’il faut aux enchères, mais pour la nourriture malgré qu’il mange comme deux, c’est toujours trop cher.
C’est à peu près tout ce que nous nous disons avant qu’il retourne vers son travail.
Je suis contente, tout semble être rentré dans l’ordre entre lui et moi.
Ce soir si je suis encore en manque, je pourrais me donner tout le plaisir que je désire, pouvant pour la première fois écarter largement les cuisses pour prendre tout le temps de me masturber.
À 17 heures, mon mari me laisse un message, « Brutus bien arrivé ».
Brutus installé dans son box, il a tout ce qu’il faut pour dormir dans la bétaillère, se faisant même à manger.
Ça fait plusieurs jours qu’Antoine est à Paris et que Brutus va être présenté au jury.
Les nuits, je me masturbe comme prévu, j’ai même acheté des bananes, parfaits godemichets.
Ce soir, comme tous les soirs, à 18 heures, je rejoins Gustave.
Hors de question d’avoir des pensées salaces, nous savons ce que nous avons à faire pour y passer le moins de temps possible, surtout que je veux voir comme il se doit, « plus belle la vie ».
Je vois notre commis se diriger vers l’enclos où Rosette a été isolée.
• Madame Sophie, je vais rester là cette nuit, j’ai bien peur que votre vache mette bas cette nuit.
• Veux-tu que j’appelle le vétérinaire pour qu’il nous dise ce qu’il en pense ?
• Non, inutile de le faire se déplacer pour rien, votre mari m’a toujours appris à éviter de paniquer dans ces moments-là.
Au lieu de rentrer chez moi, je vais dormir sur ce tas de foin et rester près d’elle, je vous appellerais en cas de besoin.
• Et ta mère, elle va s’inquiéter !
• Ma mère, l’infirmière va venir la coucher, en temps normal, lorsque je vais la voir, elle me parle du temps où je faisais pipi au lit, sans voir que j’ai grandi, elle est atteinte par la maladie d’Alzheimer.
C’est ça, la maladie dont Antoine m’a parlé, elle se souvient du passé oubliant le temps présent.
Bref, j’en ai fait plus que les autres soirs et je tombe comme une masse après avoir regaré le feuilleton et pris ma douche laissant mon intimité se reposer, elle aussi.
Quelle heure est-il lorsque mon portable sonne, je le prends en main sur ma table de nuit, « Gustave. »
• Patronne, vous pouvez venir, Rosette met bas, ça se présente mal.
• J’appelle le vétérinaire !
• Je viens de le faire, sa femme m’a dit qu’il était parti dans une autre ferme et qu’il en aurait pour presque toute la nuit, je dois la rappeler s’il faut qu’il passe après son intervention.
• J’arrive, dans deux minutes, nous allons voir ce que l’on peut faire !
Je remets ma blouse de travail, je sais ça fait mémère.
Mais lorsque vous passerez derrière une vache qui donnerait l’impression de vous attendre pour relever sa queue et vous lâcher un jet d’urine sur les pieds, ce tablier, vous en verrez l’utilité.
J’arrive, un pied sort de Rosette et le bout du museau du veau.
• Je dormais quand le travail a commencé, l’alarme a sonné, je me suis précipité pour voir le désastre.
Le veau, par chance, avec sa taille, il y en a qu’un, mais il a une patte repliée dans le ventre de sa mère et si nous tirons le seul pied sorti, ça va éclater littéralement la vache.
J’ai déjà vu ça une fois avec votre mari, le vétérinaire a mis un grand gant et a plongé son bras dans le corps de la vache, réussissant à faire retourner le pied.
Acceptez-vous que je tente de le faire perdu pour perdu, sinon on perd les deux ?
• Tu peux essayer, je saurais expliquer à mon mari les risques que nous avons pris.
Avoir des veaux mort-nés, ça arrive de temps en temps.
• Tenez bien Rosette par son collier, je passe derrière.
• Évite ses ruades, une fois j’ai failli me retrouver à l’hôpital, c’est Antoine qui, voyant le coup partir, m’a fait valdinguer sur le tas de foin ou tu dormais.
Tenir une vache dans ces circonstances, c’est déjà difficile pour mon mari avec ses gros bras, mais quand Gustave passe sa main et son bras dans le ventre de la vache à côté du pied du veau, je sue à grosses gouttes.
• Tenez là fortement, je sens le pied, ça y est je l’ai attrapé.
Ouais, j’arrive à le tirer sur l’avant, on va y arriver.
Sans penser à la façon dont il me regardait du haut de son tracteur, les boutons de ma blouse lâchant un par un aux efforts que je dois faire m’indiffèrent, le principal, c’est de réussir à sauver ces pauvres bêtes.
D’un coup son bras ressort alors que je suis pendu à l’encolure de Rosette, j’ai l’impression de me fondre en elle.
Un grand bruit, caractéristique d’un veau tombant au sol, par chance, cette vache est petite, le veau dans sa poche se réceptionne et par instinct essaye de se mettre debout.
Je lâche Rosette, je suis à deux pas du tas de foin servant de couche, épuisée, je m’affale les bras écartés sans me rendre compte que mes seins sont en dehors de la protection du haut de ma blouse...
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