COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (5/5)
Après la mort d’Antoine, mon époux, j’ai failli me faire violer dans ma salle à manger par Victor, le gendarme venu me déclarer sa flamme.
Il avait sa main sur son pistolet, ce qui a déclenché le courroux de Gustave, mon amant.
Il a eu peur qu’il sorte son arme pour me contraindre.
C’est vrai que j’ai trompé Antoine de son vivant et c’est ce fait qui m’empêche de faire mon deuil.
Si j’avais su !
Est-ce la peur d’avoir été seul avec lui, si par chance Gustave présent dans ma cuisine alors que Victor l’ignore, qui déclenche mon envie de me retrouver dans ses bras.
De toute façon, c’est trop tard pour cacher à tous que je suis l’amante de jeune garçon, après ce qu’il a dévoilé au gendarme sur sa propre situation.
Il a appris que Victor était doublement cocu et que sa fille avait des envies de prostitution en montant à la capitale.
Il y a des chances que Victor se venge en faisant fuiter à la population que je suis une salope bien que le plaisir que j’y prends, réduit ma culpabilité.

Antoine, le soir du sacre de notre taureau Brutus au salon de l’agriculture de Paris a eu ses filles au téléphone.
Il leur a dit, qu’il m’aimait mais qu’il était trop bourru pour me l’avouer.
Ça a aggravé mon impression de tromperie de ma part envers celui à qui j’avais juré fidélité, même si on m’y avait un peu contraint pour étoffer nos fermes.

Gustave, lui me l’a dit et me le fait comprendre en ayant envie de moi à tout moment.
Lorsqu’il me prend dans ses bras, je dois reconnaitre qu’il a eu un comportement exemplaire après le décès de sa maman et de mon mari.
Il l’a laissé seule au crématorium pour me conduire à l’hôpital d’Auxerre où j’ai appris dès mon arrivée mon veuvage.
Une chose est certaine, l’annonce de sa mort par le médecin nous ayant reçu m’enlève un énorme poids, car à ce qu’il nous a expliqué, après sa désincarcération, il aurait irrémédiablement fini dans un fauteuil roulant.
Voir ses bêtes sans pouvoir s’en occupé aurait été un calvaire pour lui et connaissant mon homme, cette situation aurait été intolérable.

Alors lorsque Victor nous quitte pour aller planter sa misère ailleurs et que Gustave me prend dans ses bras, le déclique ce fait et j’accepte qu’il m’embrasse, retrouvant sa bouche avec une immense envie.
Lorsque je me retrouve les seins sur notre table de salle et que soulevant ma jupe, je retrouve le plaisir de sa verge en moi, je sais que malgré notre différence d’âge, avec Gustave, c’est du sérieux.
Prise par-derrière, mais de façon conventionnelle, il sort de moi me frustrant légèrement.
Ouf, il m’enserre de ses bras jeunes mais puissants pour m’aider à m’assoir avant que je repose mon dos saisissant les rebords de cette table massive.
Mon sexe dégoulinant est à sa disposition et il commence par y mettre sa bouche aspirant ma cyprine coulant abondamment.
De retour au fond de ma grotte, je m’agrippe à cette table le plus fermement possible laissant monter mon plaisir un temps oublié.
Cette table, c’est mon père qui l’a fabriqué dans le plus épais d’un chêne centenaire.
Comme il se plaisait à le dire lorsque pour les fêtes nous nous assayons en son pourtour, « un chêne comme celui-là, c’est une grande chance de pouvoir en couper un, une fois dans sa vie ».
Pendant combien de jour, je l’ai vu la poncer afin que toutes la moindre rugosité disparaisse avant de la vernir, en faisant un objet d’art dont il était loin d’en avoir conscience, je l’ignore.
Mais elle est là et c’est sur sa surface parfaite qu’une nouvelle fois, un orgasme me traverse.

Je disais que c’était du sérieux, j’en ai confirmation le soir suivant, nous sommes en train de finir de soigner les bêtes, lorsqu’il m’entraine sur le tas de foin où notre aventure a commencé.
Comme la première fois, ma blouse ouverte puis enlevée, le foin me piquant les fesses.
Ça amplifie le plaisir de sucer puis de me faire pénétrer par celui qui à cause de Rosette, la jeune vache, ayant eu du mal à mettre bas, j’ai accepté qu’il soit mon amant.
Lorsque Victor est venu me prévenir de l’accident d’Antoine, Black notre chien dans son enclos nous a prévenus de sa visite.
Nous pouvons nous donner l’un à l’autre sans soucis, si un intrus vient, il saura nous avertir.

Brutus junior, s’il a eu un début dans la vie loin de tout repos, pousse de plus en plus.
Il boit encore du lait, presque comme Gustave si je lui appuyais sur le nez, mais lorsque nous lâchons les mères avec leurs petits, il aime brouter l’herbe tendre du champ entourant notre maison.

Un point a posé problème, vite résolu par celui qui est plein d’initiative quand un souci est là, notre chambre à coucher.
J’ai dit que le matin après lui avoir cédé, je l’avais retrouvé à la place de mon défunt mari, le soir où je lui cède après la visite intempestive de Victor, nous dormons dans le salon et le canapé.
Dès le lendemain, nous choisissons la chambre de Sandrine et c’est ensemble que nous allons choisir la peinture et le papier peint afin que je refasse cette pièce, notre pièce.
Victor, je le revois quelques jours plus tard, je suis seule lorsqu’il arrive, Gustave est parti avec le tracteur labourer et semer un champ où bientôt du blé poussera.
Je suis dans la cuisine lorsque je le vois monter les marches menant à notre porte d’entrée.
Je prends le grand couteau de boucher sur le plan de travail lorsqu’il sonne.

• Non, j’ai compris la leçon, inutile de me recevoir armée, je viens simplement te dire que nous avons eu une plainte de Suzanne, ta voisine.
Tes vaches passent leurs têtes entre les barres de sa clôture et viennent manger ses massifs de fleurs.
Je voulais aussi te dire adieu, j’ai obtenu ma mutation pour la Guadeloupe, je pars dans trois jours.
• Avec ta femme et ta fille ?
• Non, Gustave avait raison, ma fille est partie pour Paris y faire ce qu’elle veut et ma femme va emménager avec sa copine.
Là-bas, j’espère y refaire ma vie loin de toi et de cette salope que j’avais épousés par dépit après ton mariage.

Ce devait être la dernière fois que je le vois.
La salope de voisine est surtout jalouse de mon bonheur et du fait qu’elle est mariée avec un homme ayant deux fois son âge à l’inverse de moi.
Gustave trouve la solution au problème des vaches passant la tête, il pose une clôture comme vous en voyez dans les champs à cinquante centimètres, c’est laid, mais c’est efficace.

Dans les jours qui ont suivi l’installation de mon amant auprès de moi, j’ai été obligé de subir deux autres épreuves.
La première le regard de toutes ces femmes jalouses que j’ai osé prendre un jeunot comme amant et mes filles ayant du mal à digérer que leur mère vive avec un garçon de leur âge.
Mais un nouvel évènement va m’aider à les faire changer d’avis.
C’est Lucette ma fille qui va m’y aider.
Elle revient pour faire un stage chez Charles, notre vétérinaire.

Un jour, je les vois arriver se tenant la main lorsqu’ils sortent du pick-up Range Rover leur servant à se rendre dans les champs auprès des bêtes ayant des problèmes.
Je comprends tout de suite que quelque chose s’est passé entre eux.

• Maman, je t’en ai voulu de remplacer papa par Gustave, votre jeune commis, mais j’ai rencontré l’amour moi aussi avec Charles, tu vas être grand-mère, nous allons nous marier.

Voilà comment les choses, ce sont tasser, surtout que dans les jours qui ont suivi, ayant du retard, j’apprends que moi aussi je suis enceinte.

Ça fait trois ans que Jules est né, Gustave à proposé que nous l’appelions Antoine, mais c’est moi qui ai voulu qu’il s’appelle Jules.
Aujourd’hui c’est la fête des Mères et toute la famille est réunie comme aux plus beaux jours.
Nous profitons des premiers soleils chauds, Jules fait des roulades avec Poupette, la fille de Charles et Lucette.
De son côté Sandrine est là avec son fiancé.
Thibaud, fils des laboratoires Merlin de Lyon, fils de la plus grande fabrique de médicament lyonnais l’accompagne.
Elle s’est en boîte de nuit qu’elle l’a rencontrée.
Ils font encore des études, lui devant succéder à son père avec celle qui va devenir sa femme.
Si nous ce sont les vaches qui portent tout notre intérêt, Thibaud, ce sont les chevaux.
Lorsque je regarde sa voiture rouge avec un cheval cabré et le manège qu’il fréquente avec ma fille chaque fois qu’ils le peuvent, ça prouve ce que je dis.
C’est le haras de son père où lui-même, possède déjà trois chevaux de course dont deux jeunes futurs cracks.
Nous comme crack, nous avons Brutus junior, il a été primé comme son père au dernier salon de l’agriculture dans la même catégorie.
Gustave voulait aller le présenter, mais échaudé par une première mauvaise expérience, c’est Luc, le fils de la ferme avec laquelle nous travaillons qui fait le trajet.

• Ma chérie, pour fêter le pacse qui nous lie, je t’offre avec toute la famille ce voyage sur la Côte d’Azur.
Je sais que ce sera la première fois que tu quitteras ta région, c’est bien de gagner de l’argent, mais il faut savoir en profiter.
• Jules viendra avec nous !
• Non, maman, c’est moi qui vais le garder, tu vois, comment il s’entend bien avec Poupette, tu pourras partir tranquille.

Ça fait cinquante kilomètres que Gustave conduit notre voiture, nous avons quitté notre ferme et nos vaches et Brutus junior ou Vénéra va s’occuper de la ferme et de Black.
Elle vient de l’école d’agriculture près de chez nous.
Gustave devenant chef d’exploitation un nouveau commis est nécessaire.
Soyons sans crainte, je surveille mon mec, mais sans plus, il est toujours très actif sexuellement.
Je parlais des cinquante kilomètres parcourus depuis que nous sommes sur l’A6, je regarde de moins en moins les camions venant du sud et montant sur le nord.
Comme un grand ruban sans fin, ils sont si nombreux que si l’un d’eux veut franchir le tremplin entre nous, rien pour l’empêcher.
Je pose ma main sur la cuisse de mon homme, je sens que, rapidement il va falloir que nous nous arrêtions pour éviter tout accident.
Nos vacances s’engagent bien, que la France est belle.

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