COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison II (6/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison II (6/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

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COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison II (6/10)
À la fin de la saison I, je suis assise entre deux chaises.
Tromper ou ne pas tromper Damien mon mari.
Pour ma décharge, il semble oublier que je suis sa femme.
Sexuellement bien sûr.
Pour le reste, il se met à table attendant que je le fasse comme les trois quarts voir plus des maris, le service pour son repas.

C’est Antoine qui travaille avec moi qui cherche à me faire chuter de ces chaises.
J’ai vu son sexe dans la piscine de notre ville, il est bien monté et en joue.
Il me harcèle de plus en plus, même dans l’intimité d’un sexe-shop il est là à me prodiguer ses conseils finissants même par me proposer d’aller baiser dans la cabine des vêtements sado-maso.
Pour lui faire voir que mon sexe peut se passer de lui, je regarde des boules de Geisha et un gode à pile avec un stimulateur de clito et d’anus.
Une fois payé je sors, il m’attend sur le trottoir d’en face, je tourne à gauche et je réussis à le semer.

« Sophie va à la piscine après la salle de sport. »
- Sophie, tu viens courir et après nous irons à la piscine olympique.
J’ai besoin de faire de grandes et nombreuses longueurs de bassin, ce qui est impossible à la maison.
- Tu sais, j’évite les lieux publics, je subis Antoine tous les jours j’en ai ras la patate.
- Hier Mauricette m’a dit qu’ils avaient des doutes qu’il est fait un arrêt de maladie bidon en ayant récupéré des documents dans un des services.
Ils vont le contrôler ce matin, il risque d’être virés.
- C’est bien fait pour lui peut-être qu’ils le muteront loin de nous et que je serais tranquille.

Tranquille avec les boules qui garnissent ma chatte et que je sens bouger chaque fois que je fais un pas.
Quant au gode qui est dans mon sac dès que je le peux je me l’introduis pour calmer l’excitation permanente de mon sexe.
Je suis devenue sans m’en rendre compte une chaude du cul permanente.
Je suis un baisodrome ambulant qui refuse de s’assumer.
Si à la place des boules je m’introduis, une ou deux carottes je suis sûr qu’à midi elles seront cuites.

« De nouveau Sophie se fait piéger. »
Le tapis défile, encore et encore, je suis au maximum de ce que je peux faire en vitesse.
Aurélie à mes côtés est loin derrière et quand elle jette l’éponge, je m’arrête aussi.
5,4 kilomètres de plus qu’elle.
J’ai bien sûr enlevé mes boules de Geisha dans les vestiaires épatant Aurélie de posséder des instruments de torture sexuelle de ce type.
Elle veut que je lui prête.
Après cette course épuisante et avoir pris notre douche, elle s’assied sur le banc les fesses le plus en avant possible et je les lui introduisis.

- Je les sens, mais sans plus.
Il y en a trois, j’ai vu sur Internet qu’il y en avait à quatre boules, tu devrais essayer.
- Marche un peu avec trois, tu verras ta chatte couler comme jamais tu as mouillé avec Marion ou moi.
- Alors, je vais me régaler.
Elles sont en Inox.
- Pourquoi ?
- Je vais les garder à la piscine, il faut éviter quelles rouilles.

La chatte en avant me fait envie.
Malgré l’endroit mais grâce au calme à cette heure, j’avance ma bouche et je sens les boules bouger quand ma langue vient s’introduire au plus profond.
La jolie baiseuse coule déjà, alors qu’elle vient de se faire introduire ces trois coquines.

- Quand je vous ai vu quitter la salle je savais que je vous retrouverais ici entrains de vous satisfaire.
Je repère facilement les salopes comme vous.
Ayez confiance, je suis comme vous j’adore les petits culs comme les vôtres.
Je peux prendre ta place !
Au faîte je me présente, j’ai un nom à chier, mes parents m’ont appelé Adrienne.

C’est comme cela qu’Aurélie remplace Marion par Adrienne prénom que je trouve très à la mode ces derniers temps.
Pendant que je me douche, Aurélie jouit deux petites fois sous la langue et les doigts de celle qui la conquière en quelques secondes jusqu’au moment où elle lui apporte un orgasme qui subjugue mon amie.
La grande brune aux pectoraux sur-développés vient de s’attacher mon amie.
Je sens que je viens d’assister au départ d’un nouvel amour entre ces deux femmes.
La petite fille blonde et frêle en couple avec la grande brune ressemblant plus à un forgeron qu’une danseuse étoile.
En les voyant, elle me fait penser à une fable dont j’ai oublié le titre, le crapaud et j’ai oublié l’autre personnage.
Elles sont un peu mal assorties, mais elles aiment ce qu’elle se fond.
Alors que de mon côté, j’hésite entre une bite et un vagin à cause de l’autre qui oublie qu’il m’a dit m’aimer et m’a épousé.
Il y a bien une solution au problème.
Je vais couper la bite et les couilles de Damien et avec une perceuse lui faire un trou que je pourrais lécher lui donnant moi-même le plaisir qu’il me refuse.

- Sophie, où es-tu, tu sembles loin de nous.
Tu as vu, comment j’ai joui, tu m’excuseras pour la piscine.
Il faut battre la chatte pendant qu’elle est chaude et je veux le confort de mon lit pour honorer Adrienne.
On se voit demain à l’hôpital, je te raconterais.

Je reviens les pieds sur terre abandonnée par ma copine prenant le chemin de la piscine bien que ce soit elle qui m’avait proposé d’aller faire des longueurs.
J’en fais trois, non quatre.
Je m’accroche au bord quand je sens que l’on me plaque sur les carreaux froids mes seins étant comprimés.

- Excuse-moi, j’ai eu du mal à m’arrêter.
Tu as eu le temps de sentir mon sexe en érection malgré la flotte.
Sophie fait quelque chose je suis atteint de priapisme à cause de toi.
Je bande 24 heures sur 24 et cela finit par se voir.
- La veuve poignée tu connais, il paraît que c’est efficace pour ton mal.
- Oui, certes, mais une bonne verge dans ta chatte serait meilleure que ma main.
Allé laisse-toi aller, je sens que tu es toute chaude.

Je suis à deux doigts de céder, car c’est la première fois qu’il me sert de si prêt et que la chaleur de son corps embrasse le mien.

- Monsieur le maître-nageur ce monsieur m’importune.
Il bande dans mon dos, faite qu’il me laisse où je crie.
- Salopes-tu t’échappes encore, je pars, mais je t’aurais.
- Monsieur, je viens d’entendre ce que vous avez dit à la dame.
C’est ignoble sortez et partez autrement j’appelle la police.
- Je t’attends devant, il faut que je te parle.

En sortant il m’est impossible de m’échapper sans faire un scandale, je suis d’une nature discrète et mon travail à l’hôpital souffrirait d’un scandale fait sur la voie publique.
Bien sûr un homme est plus vite en situation qu’une femme.
Comme il me l’a dit, il est là à m’attendre.

- On va boire un verre, l’eau de la piscine m’a donné soif.

Un café terrain neutre, aucun risque que je me retrouve sur une table devant tout le monde avec la bite d’Antoine en moi.
Vas-y, tu en meurs d'envie.
Tu penses bien, si tu entres dans ce café tu seras en sécurité.
Ça fait longtemps que je ne l’avais entendu celle-là, bien sûr la noire voulant que je cède.
De toute façon je serais là pour veiller à ce que tu gardes les pieds sur terre.

Une fois attablé derrière la vitre voyant les gens passer sur le trottoir, c’est un homme un peu déboussolé qui s’adresse à moi.

- Antoine que t’arrive-t-il, tu sembles triste.
- Je suis une merde.
- Pourquoi dis-tu cela, tu es un gars sympa ?
- Un gars sympa qui a des ennemis qui sont allés à la direction de mon travail pour dire que j’étais en arrêt illicite.
- C’était vrai ?
- Oui, mais je m’en suis sortie.
- Tu peux m’expliquer, Aurélie m’a dit que tu avais volé un arrêt de maladie.
- C’est un peu vrai.
Celui qui est allé leur dire avait un manque d’information que je veux éviter de te dire.
- Alors pourquoi viens-tu pleurer sur mon épaule !
- C’est vrai, mais toi je t’aime alors qu’avec Églantine seule le sexe l'intéresse.
- Églantine le.
- Oui, docteur marié avec le docteur qui travaille dans le service cardio et que j’ai rencontré un soir dans un bar de nuit du centre-ville.
J’ai eu une belle aventure car son mari la trompait avec une des infirmières de son service.
- Je la connais !
- Moi-même son nom m’est inconnu.
Quand la responsable du personnel l’a appelé, elle a dit que c’était elle qui avait signé mon arrêt.
- Tout est bien qui finit bien.
- Non, cela se terminera quand je te prendrais dans mes bras que je te susurrerais des mots tendres.
Je te baiserais comme une bête que je vais devenir à force de patiences pour que nous nous aimions quand se sera fait.
Tu divorceras, je t’épouserais, tu es la femme de ma vie et je t’aime comme un fou…

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Texte coquin : COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison II (6/10)
Histoire sexe : Une rose rouge
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