COLLECTION COCU. Sophie. Fin de la saison I (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Sophie. Fin de la saison I (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Sophie. Fin de la saison I (5/5)
Voilà la fin de la saison I.
Je fractionne mes textes pour ne pas vous lasser mais la saison II sera prête dans peu de temps et sera diffusée.

Perturbée par mes deux consciences blanches et noires et frustrée par Damien oubliant de me baiser, c’est dans les toilettes de l’hôpital que je viens me satisfaire.
Hélas, c’est l’infirmière en chef véritable pot de vache qui m’a entendu.

- Sophie, j’ignorais que tu faisais partie des salopes qui se caressent pendant les heures de boulot.
Tu me déçois, dommage j’allais aller au service du personnel pour t’avoir une augmentationTu peux l’attendre longtemps.

En moi, j’entends une petite voix qui rigole.
Putain de conscience noire.

« Une nouvelle fois au supermarché Sophie refuse d’assumer ses envies. »
Je suis un peu dépitée quand je quitte l’hôpital pour aller faire ces putains de course au supermarché à deux pas de la maison.
Il y a encore quelques mois, j’étais la plus heureuse du monde.
Rien ne va, j’ai beau faire le dos rond depuis que mon mari a fait un nœud avec sa bite.
J’ai toutes les peines du monde à sortir la tête de l’eau, je m’enfonce de plus en plus.
Ange blanc, si tu peux parler à Damien dans sa tête propose lui de reprendre nos rapports pour que tout se calme en moi.
C’est décidé si je me retrouve de nouveau en tête à tête avec Antoine, il y passe.
Je suis sûr que ma vulve sera à la fête comme depuis longtemps elle attend de l’être.
Eh oui, le noir sait toujours me manœuvrer.

« Une nouvelle fois Sophie est tout en gueule et recule devant Antoine. »
Dans le supermarché je vais vers le rayon lait.
Mon sexe sur pied, en avale des litres.
C’est peut-être la cause de son apathie sexuelle ?
Le lait ayant complètement ramollit la queue.
Si Antoine m’apparaissait, moi Sophie, je laisserais, mon caddy sur place afin de l’emmener aux toilettes du magasin n’en déplaise à Mauricette me faire défoncer la moule.

À cause de mon côté noir, j’ai cette pensée que je maîtrisais il y a peu.
C’est à ce moment au coin suivant qu’Antoine apparaît devant moi poussant lui aussi un caddy.

- Bonjour Antoine, je croyais que tu étais malade ?
- Oui, je suis en arrêt, mais c’est stratégique.
Je veux éviter d’être fatigué quand tu vas tomber comme un fruit mûr dans mon piège à gonzesse.
Tu me résistes, car je les ai toutes baisées sauf bien sûr cette gougnotte d’Aurélie.
Je sais que c’est ta copine, même ton amante, mais dis-toi bien que je pourrais l’avoir nue devant moi ma queue resterait au repos.
C’est un vrai boudin.

Et dans la piscine hier mon salopard, ta queue elle était au repos devant elle ?
Je pense à cette phrase, mais pourquoi je la garde pour moi ?
Et à quel moment tu vas laisser ton caddy pour l’emmener aux chiottes te baiser ?
Quand il est hors de ta vue comme la chienne lubrique que tu penses être, tu es tout en gueule.
Par compte, devant le faîte accompli, tu baisses les yeux comme une pucelle apercevant une bite pour la première fois.
Pourtant la sienne tu l’as déjà vu et elle t’a impressionné.
Eh oui, c’est mon Ange noir.

- Et si on allait aux chiottes pour que je te tire, rapproche-toi que je puisse passer ma main je suis sûr que tu mouilles.

Ne l’écoute pas.
Eh oui, Ange Blanc.

« Où Sophie est à deux doigts d’être grossière. »
Comment me connaît-il si bien ?
Est-ce marqué sur ma figure ?
Chaque personne que je croise se dit-elle tient voila la salope de Sophie ?
Celle qui refuse ses envies et surtout ses besoins.

- Les chiottes, c’est fait pour pisser par pour baiser.
Tu es un pauvre malade, si tu étais moins insistant, tu aurais pu avoir tes chances Tu es lourdingue, je suis une femme qui sait se tenir, les toilettes sont un lieu pour évacuer les surplus non pas pour se faire enfiler.
- Je vois ce que tu veux dire, mais avec moi l’anus des femmes est principalement fait pour être sodomisé.
Je suis sûr que la vicieuse qui sommeille en toi à aussi envie que je l’encule.
Tu verras quand tu me donneras ta rosette, ma belle queue dont tu as vu le gland à la salle de sport l’autre jour te fera jouir, jouir et jouir encore.

Je me bouche les oreilles.

« Sophie une fois de plus trouve son salut dans la fuite. »
C’est en poussant mon caddy d’une main et en me bouchant une oreille de l’autre que je fuis mon suborneur.
Que je suis bête chaque fois qu’il me dit des choses grossières, il me suffit de lui envoyer une bonne paire de baffes devant tout le monde et il arrêtera de me harceler.
Mieux même je vais aller au service du personnel pour me plaindre de son harcèlement et il sera viré.
Imbécile que je suis, personne dans l’hôpital n’a été témoin du moindre geste ou propos déplacé fait ou prononcer par Antoine.
Aurélie peut être avec deux risques.
Qu’elle refuse de témoigner en ma faveur cassant notre amitié ou acceptant mais étant discréditée car tous savent notre amitié.

La piéger, c’est moi, car s’il y a enquête Mauricette, en profitera pour signaler que je me masturbais dans les toilettes.
Elle aura beau jeu de mettre en avant le risque de me tromper dans les médicaments pour les malades vus mon état de perturbation.

« Sophie pense avoir trouvé une solution à son problème. »
Je réussis après avoir filé à éviter Antoine jusqu’au surlendemain.
À la maison, rien n’avance, pire même hier au soir Damien est parti vers nos toilettes et comme il mettait plus de temps qu’à l’accoutumée je me suis approchée.

- Salope, sale pute quand vas-tu céder !
J’ai beau me branler, mon sperme refuse de sortir.

Même si j’entends, ces mots d’une manière feutrée j’ai bien entendu.
S’il oublie de me baiser, lui aussi harcèle une autre pauvre femme comme le fait Antoine pour moi.
Je comprends Aurélie de refuser leurs bites, ce sont tous des salopards, même le mien.

Le lendemain repos, je vais vers la salle de gym où Aurélie m’attend quand je passe devant un sex-shop lieu de perdition.
Comme toute femme honnête je refuse de les voir en temps normal.
Aujourd’hui, j’entre et parcours les rayons m’arrêtant devant les godes qui peuvent être un palliatif en attendant que Damien ait baisé sa pétasse.
Je sais qu’il me reviendra comme il l’a fait, une fois au début de notre liaison où il était retourné tirer un petit coup avec son ex.
Je lui avais pardonné, car il m’avait juré que j’étais la seule qui comptait pour lui et à 40 ans je dois reconnaître que c’est une poutre que j’ai dans l’œil.

- Bonjour madame je peux vous renseigner ?

Bien sûr, pauvre con, tu vois bien qu’elle est au fond du trou même à deux doigts du suicide.
Elle mouille et refuse de se faire baiser par le très beau sexe qu’Antoine lui promet.
C’est reparti, je dois être de nouveau au paroxysme de mes besoins pour que mon ange noir revienne à la charge me harceler.

- Je vois que vous hésitez, il faut assumer vos envies.
Voilà, vous avez à votre disposition les godes à piles ou les godes plus discrets même de voyage.
Il se cache facilement au fond de votre sac à main et vous pouvez sortir en cas de besoin urgent.
L’électrique moins discret car le bruit qu’ils émettent peut-être gênant quand on veut s’en servir dans un lieu public type W.C.

C’est un vrai pro, il a compris que je me masturbe aux waters de l’hôpital au risque d’être surprise par Mauricette, mais mon problème se trouve au moment où je jouis et que ma bouche émet des sons.

- Si vous cherchez de quoi être stimulée à tout moment pour être bien chaude au moment où vous rejoignez votre mari.
Je vois que vous avez une alliance.
Ce qui est parfait, ce sont des boules de Geisha qui vous tiendront en perpétuel besoin sexuel faisant de vous une belle petite chienne venant à l’appel de son maître.

Mais tu es un amateur pauvre con, je fuis mes envies.
Je refuse simplement de les amplifier et risquer de céder à Antoine.

- Tiens Sophie tu es là toi aussi ?
Regarde, le gode rouge avec stimulateur clitoridien combine la grosse pénétration et la stimulation de ton clito.
Mais j’ai mieux à te proposer, passons dans une cabine d’essayage des tenues sado-maso et je te mets mon sexe là où cela te fera du bien…
Merci à Alexandra d’avoir relue cette saison.
Anne et elle sont des amies très précieuses.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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