COLLECTION COCU. Sophie. Saison I (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Sophie. Saison I (4/5)
« De nouveau, Sophie est à deux doigts de céder à Antoine.
Elle accepte même de manger avec lui. »
- Excuse-moi Aurélie tes amours féminins te disqualifie à mes yeux et Sophie est pour moi la grâce personnalisée.
Buvons à sa beauté.
- Antoine tu as raison, même si Marion m’a abandonné tu as beau être un apollon tu restes pour moi le sexe que je suis loin d’être prête à rejoindre.
Je te suis en ce qui concerne Sophie trinquons à sa beauté.
Elle lève son verre l’avance vers celui d’Antoine m’obligeant à en faire de même.
Il en profite pour poser sa main sur ma cuisse la passant sous la table.
Je veux résister à cet homme qui joue au chat et à la souris avec moi et c’est celle à qui j’ai donné ma chatte qui en profite pour me rappeler que c’est moi qui suis bi.
Comment vais-je finir ce repas qui devient de plus en plus chaud ? Pour moi tiraillée comme je suis entre mes amours féminins déjà testés et mes amours masculins que je tente désespérément de refouler.
Une nouvelle fois mon ange gardien noir vient perturber mon raisonnement et cette main vient relancer mon envie de baiser.
Pourquoi continué à lutter ?
Pourquoi cette main je semble l’accepter ?
Tu devrais la prendre, te lever, le guider jusqu’au canapé qui vous tend les bras et après l’avoir déshabillé montrer à Antoine que tu es capable de prise de décision.
Arrête de tergiverser.
Certes en ce moment tu préfères la chatte d’Aurélie à sa verge même si le diamètre aperçu dans la salle de sport a tendance à te faire envie.
Résiste, résiste.
Merci Ange blanc de me rappeler les paroles de France Gall.
Je passe ma main sur la sienne et je le laboure de mes ongles acérés.
« Antoine attaque Sophie qui réussit à se défendre une nouvelle fois. »
Je pensais mon calvaire terminé en étant restée à ma place et en lui labourant le dessus de la main.
Il l’a enlevé rapidement comme je l’espérais et pendant quelques minutes il a pris sa serviette pour cacher le sang qui doit se voir sous sa peau.
Mais le repas continu et je dois reconnaître que je m’en sors assez bien.
À un certain moment, je sens son pied venir se poser sur ma jambe cherchant à s’insinuer entre mes cuisses.
Il est diabolique et semble toujours avoir un coup d’avance pour faire céder ma résistance.
Facile Sophie, prends-lui son pied et balance le vers le sol, tu verras qu’il évitera de revenir à la charge, l’attaque est la meilleure des défenses comme tu l’as fait pour sa main.
Encore ces voix antinomiques au fond de moi, deux voix qui ont raison toutes les deux.
Quand je prends son pied dans ma main et que je le balance fortement je suis mon gentil ange blanc et il manque de tomber de sa chaise.
- Tu as des problèmes Antoine tu as glissé, j’ai cru que tu allais faire un soleil.
Aurélie qui a senti ma main passée sous la table à bien vue que je l’ai rejeté.
Non content d’avoir été rejeté une première fois il remet son pied au même endroit s’insinuant plus dans mon entrejambe.
Laisse-le faire, il te fera du bien !
Pense que si tu refuses cette avance au lieu de sa verge gigantesque ce sera la simple langue d’Aurélie qu’il te restera pour te satisfaire.
J’écarte mes cuisses, mon hémisphère noir vient de l’emporterBlanc ou noir quand-il frotte ma féminité avec de plus en plus de force, c’est un plaisir depuis longtemps oublié qui commence à monter en moi.
C’est incroyable qu’assise sur cette chaise, je puisse avoir un orgasme.
Je suis pied et point lier son esclave sexuelle qui dans les heures prochaines se donnera comme une chienne que l’envie m’a fait devenir.
Ma main une nouvelle fois vient me sauver.
Après sa main c’est son dessus de pied qui se trouve lacéré.
Il venait de porter sa fourchette en bouche, j’ai peur qu’il ne perde une dent.
« Comme la pucelle qu’elle est restée, Sophie fuit ses envies. »
- Trois heures, j’ai rendez-vous avec Damien merci pour ce repas.
Aurélie je te retrouve à l’hôpital passer un bon après-midi.
- Tu veux un café ?
- Pas le temps.
Blanc ou noir quand-il frotte ma féminité avec de plus en plus de force, c’est un plaisir depuis longtemps oublié qui commence à monter en moi.
Cour, si tu le veux mais c’est trop tard il t’aura quand il voudra et où il le voudra.
Bien sûr c’est le noir qui cherche à me mettre le doute une nouvelle fois.
J’ai peur de tomber, j’ai peur de trahir le serment d’être fidèle à Damien.
J’ai peur de le trahir avec Antoine grand baiseur devant l’éternel.
Chez Aurélie hier j’étais à deux doigts de franchir le pas.
Mon salut et mon honneur grâce à mon ange blanc ont réussi à résister dans la fuite.
Il faut que je reconnaisse que mon suborneur a été à deux doigts de gagner quand il m’a caressé avec son pied me faisant mouiller comme jamais.
Ce moins que rien de mari que j’ai à la maison refusant de voir qu’une femme jeune comme je le suis encore à besoin d’une verge venant me perforer régulièrement.
S’il continue, je pense qu’Antoine l’étalon, le chien, l’amant qui pourra faire de moi une chienne lubrique va gagnerJe commence à comprendre au fond de moi que si je lâche le chien je me mettrais devant lui à frétiller de la croupe.
Oui, je le dis frétiller de la croupe comme la femelle que je serais devenue.
Je frétillerais de la croupe pour qu’il m’envoie vers les sommets que Damien me refuse.
Après une nuit à essayer de dormir, une nouvelle fois sans qu’il ne me baise, je m’endors au petit matin rêvant de deux, trois glands dépassant d’un short comme celui d’Antoine dans la salle de sport.
Ouf, ce matin à l’hôpital je lui ai échappé, car il était absent de la salle de repos au café et à la cafétaria pour le déjeuner.
C’est avec Aurélie comme tous les midis où nous travaillons que je suis.
« Sophie pour échapper à Antoine en arrive à se rabattre sur les chiottes de l’hôpital. »
- Sophie, tu as bien fait de partir.
Antoine après ton départ est allé dans la piscine pendant que je débarrassais.
Quand je l’ai rejoint il se pavanais dans le bain et comme j’avais passé mon maillot, je suis rentrée à ses côtés.
Il s’est approché de moi la tête à moitié sous l’eau seuls ses yeux et son front sortant comme le ferait un crocodile nageant dans son marigot.
Comme peut le faire cet animal, il s’est retourné sur le dos me montrant qu’il était nu et que sa queue lui servait de périscope.
Arrivé à ma hauteur il m’a pris la main l’amenant vers sa protubérance.
Je l’ai saisi et j’ai tiré vers le bas, ce qui la fait couler buvant une tasse qui l’a fait tousser et cracher.
Quand il a repris son souffle, j’ai eu droit à une volée d’injures.
« Pauvre gougnotte, lesbienne, suceuse de chatte, arracheuse de clitos, mal baiser, pas baiser, imbaisable. »- Il est sorti de l’eau et a repris ses affaires deux secondes plus tard, j’ai entendu la porte claquer.
Ce matin j’ai appris qu’il aurait pris froid et qu’il est au lit avec de la fièvre.
J’ai vu sa main, c’est toi qui l’as griffé ?
- Oui, son pied aussi.
- Fais attention à toi ma belle Sophie, je l’ai vu te regarder d’une manière concupiscente.
J’ai peur qu’il ne se soit rabattu sur moi frustré que tu sois partie et que tu lui aies échappé.
Pauvre imbécile, quand ton crocodile est venu te montrer son pieu, tu aurais dû le prendre en bouche, le sucer, le malaxer comme je l’aurais fait.
Mais pourquoi ai-je fui renonçant à prendre du plaisir.
On comprend qui m’envoie ces ondes négatives pour mon couple à ce moment précis.
À trop avoir fui le sexe de cet homme et insatisfaite par Damien te voilà obligée d’aller aux toilettes pour plonger trois de tes doigts dans ta chatte.
Pour ce faire, tu as abaissé ta petite culotte jusqu’aux mollets.
Une fois de plus malgré la petite jouissance qui t’a fait pousser un cri, tu es insatisfaite même frustrée.
Insatisfaction et frustration doublée de la honte quand tu sors du regard de reproche que te lance Mauricette infirmière en chef qui était dans les toilettes à côté des tiennes.
Elle est bien connue dans le service comme mal baiser, voire non baissée du tout…
Elle accepte même de manger avec lui. »
- Excuse-moi Aurélie tes amours féminins te disqualifie à mes yeux et Sophie est pour moi la grâce personnalisée.
Buvons à sa beauté.
- Antoine tu as raison, même si Marion m’a abandonné tu as beau être un apollon tu restes pour moi le sexe que je suis loin d’être prête à rejoindre.
Je te suis en ce qui concerne Sophie trinquons à sa beauté.
Elle lève son verre l’avance vers celui d’Antoine m’obligeant à en faire de même.
Il en profite pour poser sa main sur ma cuisse la passant sous la table.
Je veux résister à cet homme qui joue au chat et à la souris avec moi et c’est celle à qui j’ai donné ma chatte qui en profite pour me rappeler que c’est moi qui suis bi.
Comment vais-je finir ce repas qui devient de plus en plus chaud ? Pour moi tiraillée comme je suis entre mes amours féminins déjà testés et mes amours masculins que je tente désespérément de refouler.
Une nouvelle fois mon ange gardien noir vient perturber mon raisonnement et cette main vient relancer mon envie de baiser.
Pourquoi continué à lutter ?
Pourquoi cette main je semble l’accepter ?
Tu devrais la prendre, te lever, le guider jusqu’au canapé qui vous tend les bras et après l’avoir déshabillé montrer à Antoine que tu es capable de prise de décision.
Arrête de tergiverser.
Certes en ce moment tu préfères la chatte d’Aurélie à sa verge même si le diamètre aperçu dans la salle de sport a tendance à te faire envie.
Résiste, résiste.
Merci Ange blanc de me rappeler les paroles de France Gall.
Je passe ma main sur la sienne et je le laboure de mes ongles acérés.
« Antoine attaque Sophie qui réussit à se défendre une nouvelle fois. »
Je pensais mon calvaire terminé en étant restée à ma place et en lui labourant le dessus de la main.
Il l’a enlevé rapidement comme je l’espérais et pendant quelques minutes il a pris sa serviette pour cacher le sang qui doit se voir sous sa peau.
Mais le repas continu et je dois reconnaître que je m’en sors assez bien.
À un certain moment, je sens son pied venir se poser sur ma jambe cherchant à s’insinuer entre mes cuisses.
Il est diabolique et semble toujours avoir un coup d’avance pour faire céder ma résistance.
Facile Sophie, prends-lui son pied et balance le vers le sol, tu verras qu’il évitera de revenir à la charge, l’attaque est la meilleure des défenses comme tu l’as fait pour sa main.
Encore ces voix antinomiques au fond de moi, deux voix qui ont raison toutes les deux.
Quand je prends son pied dans ma main et que je le balance fortement je suis mon gentil ange blanc et il manque de tomber de sa chaise.
- Tu as des problèmes Antoine tu as glissé, j’ai cru que tu allais faire un soleil.
Aurélie qui a senti ma main passée sous la table à bien vue que je l’ai rejeté.
Non content d’avoir été rejeté une première fois il remet son pied au même endroit s’insinuant plus dans mon entrejambe.
Laisse-le faire, il te fera du bien !
Pense que si tu refuses cette avance au lieu de sa verge gigantesque ce sera la simple langue d’Aurélie qu’il te restera pour te satisfaire.
J’écarte mes cuisses, mon hémisphère noir vient de l’emporterBlanc ou noir quand-il frotte ma féminité avec de plus en plus de force, c’est un plaisir depuis longtemps oublié qui commence à monter en moi.
C’est incroyable qu’assise sur cette chaise, je puisse avoir un orgasme.
Je suis pied et point lier son esclave sexuelle qui dans les heures prochaines se donnera comme une chienne que l’envie m’a fait devenir.
Ma main une nouvelle fois vient me sauver.
Après sa main c’est son dessus de pied qui se trouve lacéré.
Il venait de porter sa fourchette en bouche, j’ai peur qu’il ne perde une dent.
« Comme la pucelle qu’elle est restée, Sophie fuit ses envies. »
- Trois heures, j’ai rendez-vous avec Damien merci pour ce repas.
Aurélie je te retrouve à l’hôpital passer un bon après-midi.
- Tu veux un café ?
- Pas le temps.
Blanc ou noir quand-il frotte ma féminité avec de plus en plus de force, c’est un plaisir depuis longtemps oublié qui commence à monter en moi.
Cour, si tu le veux mais c’est trop tard il t’aura quand il voudra et où il le voudra.
Bien sûr c’est le noir qui cherche à me mettre le doute une nouvelle fois.
J’ai peur de tomber, j’ai peur de trahir le serment d’être fidèle à Damien.
J’ai peur de le trahir avec Antoine grand baiseur devant l’éternel.
Chez Aurélie hier j’étais à deux doigts de franchir le pas.
Mon salut et mon honneur grâce à mon ange blanc ont réussi à résister dans la fuite.
Il faut que je reconnaisse que mon suborneur a été à deux doigts de gagner quand il m’a caressé avec son pied me faisant mouiller comme jamais.
Ce moins que rien de mari que j’ai à la maison refusant de voir qu’une femme jeune comme je le suis encore à besoin d’une verge venant me perforer régulièrement.
S’il continue, je pense qu’Antoine l’étalon, le chien, l’amant qui pourra faire de moi une chienne lubrique va gagnerJe commence à comprendre au fond de moi que si je lâche le chien je me mettrais devant lui à frétiller de la croupe.
Oui, je le dis frétiller de la croupe comme la femelle que je serais devenue.
Je frétillerais de la croupe pour qu’il m’envoie vers les sommets que Damien me refuse.
Après une nuit à essayer de dormir, une nouvelle fois sans qu’il ne me baise, je m’endors au petit matin rêvant de deux, trois glands dépassant d’un short comme celui d’Antoine dans la salle de sport.
Ouf, ce matin à l’hôpital je lui ai échappé, car il était absent de la salle de repos au café et à la cafétaria pour le déjeuner.
C’est avec Aurélie comme tous les midis où nous travaillons que je suis.
« Sophie pour échapper à Antoine en arrive à se rabattre sur les chiottes de l’hôpital. »
- Sophie, tu as bien fait de partir.
Antoine après ton départ est allé dans la piscine pendant que je débarrassais.
Quand je l’ai rejoint il se pavanais dans le bain et comme j’avais passé mon maillot, je suis rentrée à ses côtés.
Il s’est approché de moi la tête à moitié sous l’eau seuls ses yeux et son front sortant comme le ferait un crocodile nageant dans son marigot.
Comme peut le faire cet animal, il s’est retourné sur le dos me montrant qu’il était nu et que sa queue lui servait de périscope.
Arrivé à ma hauteur il m’a pris la main l’amenant vers sa protubérance.
Je l’ai saisi et j’ai tiré vers le bas, ce qui la fait couler buvant une tasse qui l’a fait tousser et cracher.
Quand il a repris son souffle, j’ai eu droit à une volée d’injures.
« Pauvre gougnotte, lesbienne, suceuse de chatte, arracheuse de clitos, mal baiser, pas baiser, imbaisable. »- Il est sorti de l’eau et a repris ses affaires deux secondes plus tard, j’ai entendu la porte claquer.
Ce matin j’ai appris qu’il aurait pris froid et qu’il est au lit avec de la fièvre.
J’ai vu sa main, c’est toi qui l’as griffé ?
- Oui, son pied aussi.
- Fais attention à toi ma belle Sophie, je l’ai vu te regarder d’une manière concupiscente.
J’ai peur qu’il ne se soit rabattu sur moi frustré que tu sois partie et que tu lui aies échappé.
Pauvre imbécile, quand ton crocodile est venu te montrer son pieu, tu aurais dû le prendre en bouche, le sucer, le malaxer comme je l’aurais fait.
Mais pourquoi ai-je fui renonçant à prendre du plaisir.
On comprend qui m’envoie ces ondes négatives pour mon couple à ce moment précis.
À trop avoir fui le sexe de cet homme et insatisfaite par Damien te voilà obligée d’aller aux toilettes pour plonger trois de tes doigts dans ta chatte.
Pour ce faire, tu as abaissé ta petite culotte jusqu’aux mollets.
Une fois de plus malgré la petite jouissance qui t’a fait pousser un cri, tu es insatisfaite même frustrée.
Insatisfaction et frustration doublée de la honte quand tu sors du regard de reproche que te lance Mauricette infirmière en chef qui était dans les toilettes à côté des tiennes.
Elle est bien connue dans le service comme mal baiser, voire non baissée du tout…
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