COLLECTION COCU. Sophie. Saison II (7/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Sophie. Saison II (7/10)
Heureusement que nous sommes dans un bar, car dans un lieu tranquille j’écarterais les cuisses pour qu’il me prenne.
Qu’il m’aime plus que Damien qui me rejette et que nous soyons heureux avec beaucoup d’enfants.
Quelle conne je fais, je suis sûr que c’est un nouveau truc pour me sexer et me mettre sur son tableau de chasse.
Surtout à mon âge avoir de nombreux enfants dépasse l’entendement.
Sophie il veut te baiser un point c’est tout.
Lève-toi, prend une nouvelle fois tes jambes à ton cou malgré la fatigue de ta journée de sport et rejoint Damien qui j’en suis sûr, ce soir te pourfendra par tous les orifices que tu pourras lui présenter.
Merci mon ange blanc.
Mais non, c’est un con, laisse-toi faire.
Une fellation Damien j’en rêve, rêve avec moi, une fellation mais attention avec une gorge profonde.
Une fellation qui me donnera les litres de spermes que tu me refuses depuis si longtemps.
Une fellation où à la fin, je pourrais me lécher les babines pour rattraper ce qui aura coulé sur mon menton ?
- Sophie, tu m’écoutes et pourquoi tu te lèches les lèvres passant même ta langue jusque sur ton menton ?
Tu peux m’écouter quelques minutes, je te dis que je suis un homme malheureux et la seule chose que tu sais faire, c’est te lécher le menton.
- Excuse-moi, je pensais à une chose perdue depuis quelque temps.
- Tu peux tout me dire.
Que dire, que puis-je trouver pour éviter de retomber dans le piège qu’il me tend ?
J’ai failli mettre en avant mon inexpérience dans l’adultère.
Pour une fois mes anges restent calmes.
Mais j’avance un autre motif.
- Nicolas, as-tu vu l’heure ?
Damien va rentrer, il aime manger à l’heure et j’ai un fricot qui doit cuire deux heures.
J’ai juste le temps, bises à la prochaine.
Pour la première fois, je lui fais une bise sur sa joue appréciant tout de même la sensibilité qu’il vient de me montrer même si je sais que c’est un arracheur de dents.
Me retrouvant dans la rue, je vois à quoi une nouvelle fois j’ai échappé.
Il a failli m’attendrir avec ses histoires ce coureur de jupons débouchant sur de l’amour pour moi.
J’aurais été autre part que dans un lieu public cela serait arrivé.
Il m’aurait déshabillé attention lentement.
Alors pourquoi retarder mon fantasme, je dois être conne ?
Non, si tu cèdes tu te feras plaisir.
Nénie, tu deviendras une salope je te le dis.
Et si je vivais ce moment comme un moment présent.
Je verrai à la fin si cela vaut le coup de mettre notre vie commune avec Damien à la poubelle pour un simple coup de bite.
Bravo tu es dans le vrai Sophie, la vie est courte.
« De retour chez elle, Sophie prend un bain très chaud. »
Ouf la maison, je vais directement dans ma salle de bains pour enlever l’odeur de clore qui monte de mon corps malgré la douche réglementaire que j’ai prise.
Les sels de bain ont un parfum d’été et surtout me montent au nez me donnant l’envie de batifoler.
Je me mets nue et dès que la baignoire est pleine, je mets un pied dans l’eau qui est juste comme j’avais envie qu’elle soit.
J’ai décidé de me détendre après le harcèlement permanent de mon séducteur.
Non Sophie de ton subordinateur.
En se frottant à moi dans la piscine Antoine même si je m’en défends à déclencher une envie de faire l’amour.
Vivement que Damien soit de retour et vienne me rejoindre dans mon bain comme nous le faisions il y a encore quelques semaines.
L’évocation de nos moments intimes m’incite à mettre ma main entre mes cuisses et me caresser la fente me permettant de me donner un début de plaisir.
De retour dans ma chambre je passe une tenue affriolante, ça peut aid…
« Dring, dring, dring. »
On sonne, il est à l’heure je passe devant ma psyché et je m’admire dans ma robe du soir rouge sang.
Je fais un effet de jambes, ce qui me permet de voir le haut de la fente qui monte presque jusqu’à mon pubis.
Mon bas tenue par une jarretière blanche tranche étrangement sur le rouge de ma robe le tout posé sur des talons hauts qui paraissent sans fin.
Damien m’a offert cette robe en vue de cette soirée.
Quand je passe dans la chambre, il est bien là attaché sur sa chaise le regard rivé sur mon corps de déesse.
La balle qu’il a voulu que je lui mette dans la bouche a la même couleur que ma robe.
Il a apporté un soin tout particulier à la réalisation de son fantasme et les draps me donnent l’impression qu’ils sont taillés dans le même tissu que ma robe.
Ce que j’adore c’est la cage que j’ai posée sur son pénis avant de l’attacher les mains dans le dos.
Cette cage s’ouvre en enlevant la clef du cadenas que j’ai glissé dans mon collier de diamants.
Celui qu’il m’a offert si j’acceptais de réaliser son envie qui devenait obsessionnelle au risque de détruire notre couple.
Ma chevelure est au sommet de l’art de mon coiffeur où je suis allée avant de venir me préparer pour la soirée d’apothéose que je suis prête à vivre.
Me trouvant resplendissante mieux bandante, je m’avance en mettant mes gants de tissu rouge montant plus haut que mes coudes vers la porte que j’ouvre.
Au passage pour lui faire voir qu’il est ma chose, je lui prends le menton que je relève et le regard que je lui jette oblige cette lopette à baisser les yeux.
Il a joué avec moi espérant me dominer, c’est moi qui viens de gagner, je vais m’éclater.
- Antoine, enfin.
Depuis le temps que Damien et moi nous t’invitons à dîner, entre.
Je m’efface pour le laisser passer.
Mais avant je prends dans mes bras la gerbe de roses blanche qu’il a eu la délicatesse de m’apporter et qui elles aussi tranches avec ma robe.
- Assieds-toi là et trinquons.
Les coupes de champagne servies nous montrent les bulles qui pétillent dans la lumière des bougies allumées.
Quand je m’assieds face à l’homme qui va m’amener à l’acte que je me suis refusé de commettre depuis le début de mon mariage, je suis déjà à lui.
Le bouquet de roses est placé dans un vase miraculeusement posé sur un guéridon près de notre table.
- À tes amours Sophie.
- Tu dois dire à nos amours, ce serait plus juste depuis le temps que Damien m’a promise à toi et que j’attendais son feu vert pour t’inviter.
Mais avant, prenons des forces, j’ai couru et nagé et j’ai une faim d’ogresse.
Grrr.
- C'est bien Sophie, montre-moi tes dents de carnassière qui vont déchirer mon corps.
Tu pourras faire de moi ce que tu veux dès que tu le décideras.
Tes dents pourront faire de moi ce qu’elles veulent même me couper la bite.
- Grrr, je vais être ta chienne qui va te massacrer au grée de mes envies.
- Allez assez manger.
La viande rouge que nous venons de déchirer est peu de chose en rapport de ce que je vais manger en toi et toi en moi.
Viens dans la chambre il nous attend.
Nous rejoignions la chambre où je vais enfin retrouver la plénitude de mon corps et de mes plaisirs.
Tu fais une erreur.
Attention ange blanc je vais te noyer.
- À genoux tu te souviens que tu as accepté de faire mon bonheur car ma lopette de mari oublie de bander pour moi.
Enlève ma chaussure, non avant suce là, je veux qu’elle brille encore plus que maintenant.
Agenouillé devant moi Antoine prend délicatement ma jambe et approche ses lèvres de ma chaussure qu’il nettoie consciencieusement.
- Assez joli toutou enlève là et monte tes mains doucement du mollet vers la fente de ma robe.
Moins vite, veux-tu tout gâcher ?
- Non, Sophie, mais tu m’as fait attendre si longtemps.
- Et c’est pour cela que tu te crois obligé d’être un soudard qui veut me saillir comme tu l’aurais fait si je t’avais cédé le premier jour.
- Non, tu te trompes, je vais te le prouver regardent, mes mains redescendent, les sens-tu ?
Pour les sentir, je les sens, mon sang bout dans mes veines.
Par deux fois il manœuvre me faisant parcourir des frissons tous le long de ma colonne vertébrale.
- Prend ma jarretière et enlève là avec tes dents, toi qui voulais mordre, tu vas être servi.
Bien, le haut de ton crâne à toucher ma chatte, je l’ai senti réagir.
Arrête fait la remonter comme tu as remonté tes mains pour me caresser tout à l’heure.
Tu es un bon nounours dommage que Damien soit parti travailler.
Lui qui voulait que j’aie des rapports avec d’autres hommes devant lui, apprécierait ce que tu me fais.
Tu sais Antoine, les dépravations et les fantasmes de mon mari sont loin d’être les miens et tu es là pour me les faire réaliser contrairement à ce qu’il pense.
- Je suis d’accord avec toi Sophie qu’elles sont tes fantasmes…
Qu’il m’aime plus que Damien qui me rejette et que nous soyons heureux avec beaucoup d’enfants.
Quelle conne je fais, je suis sûr que c’est un nouveau truc pour me sexer et me mettre sur son tableau de chasse.
Surtout à mon âge avoir de nombreux enfants dépasse l’entendement.
Sophie il veut te baiser un point c’est tout.
Lève-toi, prend une nouvelle fois tes jambes à ton cou malgré la fatigue de ta journée de sport et rejoint Damien qui j’en suis sûr, ce soir te pourfendra par tous les orifices que tu pourras lui présenter.
Merci mon ange blanc.
Mais non, c’est un con, laisse-toi faire.
Une fellation Damien j’en rêve, rêve avec moi, une fellation mais attention avec une gorge profonde.
Une fellation qui me donnera les litres de spermes que tu me refuses depuis si longtemps.
Une fellation où à la fin, je pourrais me lécher les babines pour rattraper ce qui aura coulé sur mon menton ?
- Sophie, tu m’écoutes et pourquoi tu te lèches les lèvres passant même ta langue jusque sur ton menton ?
Tu peux m’écouter quelques minutes, je te dis que je suis un homme malheureux et la seule chose que tu sais faire, c’est te lécher le menton.
- Excuse-moi, je pensais à une chose perdue depuis quelque temps.
- Tu peux tout me dire.
Que dire, que puis-je trouver pour éviter de retomber dans le piège qu’il me tend ?
J’ai failli mettre en avant mon inexpérience dans l’adultère.
Pour une fois mes anges restent calmes.
Mais j’avance un autre motif.
- Nicolas, as-tu vu l’heure ?
Damien va rentrer, il aime manger à l’heure et j’ai un fricot qui doit cuire deux heures.
J’ai juste le temps, bises à la prochaine.
Pour la première fois, je lui fais une bise sur sa joue appréciant tout de même la sensibilité qu’il vient de me montrer même si je sais que c’est un arracheur de dents.
Me retrouvant dans la rue, je vois à quoi une nouvelle fois j’ai échappé.
Il a failli m’attendrir avec ses histoires ce coureur de jupons débouchant sur de l’amour pour moi.
J’aurais été autre part que dans un lieu public cela serait arrivé.
Il m’aurait déshabillé attention lentement.
Alors pourquoi retarder mon fantasme, je dois être conne ?
Non, si tu cèdes tu te feras plaisir.
Nénie, tu deviendras une salope je te le dis.
Et si je vivais ce moment comme un moment présent.
Je verrai à la fin si cela vaut le coup de mettre notre vie commune avec Damien à la poubelle pour un simple coup de bite.
Bravo tu es dans le vrai Sophie, la vie est courte.
« De retour chez elle, Sophie prend un bain très chaud. »
Ouf la maison, je vais directement dans ma salle de bains pour enlever l’odeur de clore qui monte de mon corps malgré la douche réglementaire que j’ai prise.
Les sels de bain ont un parfum d’été et surtout me montent au nez me donnant l’envie de batifoler.
Je me mets nue et dès que la baignoire est pleine, je mets un pied dans l’eau qui est juste comme j’avais envie qu’elle soit.
J’ai décidé de me détendre après le harcèlement permanent de mon séducteur.
Non Sophie de ton subordinateur.
En se frottant à moi dans la piscine Antoine même si je m’en défends à déclencher une envie de faire l’amour.
Vivement que Damien soit de retour et vienne me rejoindre dans mon bain comme nous le faisions il y a encore quelques semaines.
L’évocation de nos moments intimes m’incite à mettre ma main entre mes cuisses et me caresser la fente me permettant de me donner un début de plaisir.
De retour dans ma chambre je passe une tenue affriolante, ça peut aid…
« Dring, dring, dring. »
On sonne, il est à l’heure je passe devant ma psyché et je m’admire dans ma robe du soir rouge sang.
Je fais un effet de jambes, ce qui me permet de voir le haut de la fente qui monte presque jusqu’à mon pubis.
Mon bas tenue par une jarretière blanche tranche étrangement sur le rouge de ma robe le tout posé sur des talons hauts qui paraissent sans fin.
Damien m’a offert cette robe en vue de cette soirée.
Quand je passe dans la chambre, il est bien là attaché sur sa chaise le regard rivé sur mon corps de déesse.
La balle qu’il a voulu que je lui mette dans la bouche a la même couleur que ma robe.
Il a apporté un soin tout particulier à la réalisation de son fantasme et les draps me donnent l’impression qu’ils sont taillés dans le même tissu que ma robe.
Ce que j’adore c’est la cage que j’ai posée sur son pénis avant de l’attacher les mains dans le dos.
Cette cage s’ouvre en enlevant la clef du cadenas que j’ai glissé dans mon collier de diamants.
Celui qu’il m’a offert si j’acceptais de réaliser son envie qui devenait obsessionnelle au risque de détruire notre couple.
Ma chevelure est au sommet de l’art de mon coiffeur où je suis allée avant de venir me préparer pour la soirée d’apothéose que je suis prête à vivre.
Me trouvant resplendissante mieux bandante, je m’avance en mettant mes gants de tissu rouge montant plus haut que mes coudes vers la porte que j’ouvre.
Au passage pour lui faire voir qu’il est ma chose, je lui prends le menton que je relève et le regard que je lui jette oblige cette lopette à baisser les yeux.
Il a joué avec moi espérant me dominer, c’est moi qui viens de gagner, je vais m’éclater.
- Antoine, enfin.
Depuis le temps que Damien et moi nous t’invitons à dîner, entre.
Je m’efface pour le laisser passer.
Mais avant je prends dans mes bras la gerbe de roses blanche qu’il a eu la délicatesse de m’apporter et qui elles aussi tranches avec ma robe.
- Assieds-toi là et trinquons.
Les coupes de champagne servies nous montrent les bulles qui pétillent dans la lumière des bougies allumées.
Quand je m’assieds face à l’homme qui va m’amener à l’acte que je me suis refusé de commettre depuis le début de mon mariage, je suis déjà à lui.
Le bouquet de roses est placé dans un vase miraculeusement posé sur un guéridon près de notre table.
- À tes amours Sophie.
- Tu dois dire à nos amours, ce serait plus juste depuis le temps que Damien m’a promise à toi et que j’attendais son feu vert pour t’inviter.
Mais avant, prenons des forces, j’ai couru et nagé et j’ai une faim d’ogresse.
Grrr.
- C'est bien Sophie, montre-moi tes dents de carnassière qui vont déchirer mon corps.
Tu pourras faire de moi ce que tu veux dès que tu le décideras.
Tes dents pourront faire de moi ce qu’elles veulent même me couper la bite.
- Grrr, je vais être ta chienne qui va te massacrer au grée de mes envies.
- Allez assez manger.
La viande rouge que nous venons de déchirer est peu de chose en rapport de ce que je vais manger en toi et toi en moi.
Viens dans la chambre il nous attend.
Nous rejoignions la chambre où je vais enfin retrouver la plénitude de mon corps et de mes plaisirs.
Tu fais une erreur.
Attention ange blanc je vais te noyer.
- À genoux tu te souviens que tu as accepté de faire mon bonheur car ma lopette de mari oublie de bander pour moi.
Enlève ma chaussure, non avant suce là, je veux qu’elle brille encore plus que maintenant.
Agenouillé devant moi Antoine prend délicatement ma jambe et approche ses lèvres de ma chaussure qu’il nettoie consciencieusement.
- Assez joli toutou enlève là et monte tes mains doucement du mollet vers la fente de ma robe.
Moins vite, veux-tu tout gâcher ?
- Non, Sophie, mais tu m’as fait attendre si longtemps.
- Et c’est pour cela que tu te crois obligé d’être un soudard qui veut me saillir comme tu l’aurais fait si je t’avais cédé le premier jour.
- Non, tu te trompes, je vais te le prouver regardent, mes mains redescendent, les sens-tu ?
Pour les sentir, je les sens, mon sang bout dans mes veines.
Par deux fois il manœuvre me faisant parcourir des frissons tous le long de ma colonne vertébrale.
- Prend ma jarretière et enlève là avec tes dents, toi qui voulais mordre, tu vas être servi.
Bien, le haut de ton crâne à toucher ma chatte, je l’ai senti réagir.
Arrête fait la remonter comme tu as remonté tes mains pour me caresser tout à l’heure.
Tu es un bon nounours dommage que Damien soit parti travailler.
Lui qui voulait que j’aie des rapports avec d’autres hommes devant lui, apprécierait ce que tu me fais.
Tu sais Antoine, les dépravations et les fantasmes de mon mari sont loin d’être les miens et tu es là pour me les faire réaliser contrairement à ce qu’il pense.
- Je suis d’accord avec toi Sophie qu’elles sont tes fantasmes…
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