COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (4/5)
Maman, que fais-tu, es-tu tombée amoureuse de l’uniforme et de la casquette du commandant de bord du navire ?
La façon dont il te serre après les slows qui ont suivi les valses me montre que quelque chose se passe entre vous.
De mon côté Emmanuelle va pour se coller à moi dès le début des danses où l’on se colle quand un homme plus près de son âge avance vers nous.
• Excusez-moi jeune homme pourrais-je danser avec votre maman.
Qu’ont-ils tous à me demander mon avis concernant ma mère mais la perspective de me retrouver au lit avec Emmanuelle dès ce soir commençait à m’interpeller aussi je me recule ?
Prenant cela comme une invitation il l’entraîne sur la piste avant qu’elle ne réagisse.
Quand je m’éclipse maman danse joue contre joue avec Gavin, je lui laisse vivre sa vie.
• Ich heiße Ingrid und meine Schwester Inge, komme mit uns.
Je suis en train de sortir de la salle de restaurant et de bal quand les jumelles me prennent chacune par une main et m’entraîne avec elles.
Il me semble avoir compris leur prénom Ingrid et Inge mais le reste attendra que je prenne des cours d’allemand ou elles des cours d’anglais ou de Français.
Elle parcourt le chemin menant à nos cabines mais dans un autre secteur que le mien avant d’ouvrir la porte d’une cabine qui est occupée par des filles au vu des petites culottes ou autre débardeur qui traînent de ci de là.
Celle qui semble la meneuse ouvre un ordinateur et tape avant de me faire voir.
• Je suis sur un traducteur, chaque fois que nous aurons quelque chose à nous dire nous écrirons dans notre langue et il nous traduira.
Je prends le clavier.
• Ça marche, j’ai compris que tu t’appelles Ingrid et ta sœur assise sur le lit Inge, c’est formidable comme vous vous ressemblez.
• C’est normal nous sommes jumelles.
Demande-nous ce que tu veux nous le ferons.
• Non vous, c’est vous qui m’avez attiré ici.
Ingrid parle à Inge qui lui répond sans que j’aie dans un premier temps la traduction.
• Inge est d’accord elle veut que tu te déshabilles.
Surprenant, va-t-on jouer au docteur ?
• Tu as dit que tu étais d’accord déshabille-toi.
Je m’éloigne de l’ordinateur et je commence un strip-tease de la meilleure facture, j’espère avoir compris à quoi elles veulent en venir du moins je l’espère.
Ingrid reprend le clavier.
• Nous apprécions tes efforts, vois comme il faut faire.
Elle parle à Inge sans taper la traduction, sa soeur se lève, malgré l’exiguïté de la cabine elle effectue un effeuillage digne de ceux que j’ai vus dans un bar de nuit à Marseille où j’avais pu entrer grâce à un copain qui connaissait le videur.
La jolie blonde quand elle est nue me montre qu’elle est intégralement épilée.
Ingrid retape, je m’approche.
• Baise là !
À un moment les sauter m’est apparu impossible car comment leur faire comprendre d’enlever leur culotte mais présentement les Allemande me font voir qu’elles ont plus d’imagination que moi.
Je reprends le clavier.
• Attends, toi aussi fait nous un strip.
Il est aussi bandant que celui de sa sœur et une fois nue je remarque qu’elle a laissé un timbre-poste bien taillé.
Çà peut servir à tout moment je saurais qui je baise.
Ingrid est la plus proche et pour créer un moment de tension entre les deux sœurs c’est elle que je prends dans mes bras et que j’embrasse mes doigts atteignant sa vulve qui est bien humidifiée et mon autre qui lui caresse les seins.
Elle me parle mais il est impossible de comprendre aussi je continue mon doigtage ce qui l’amène à des gémissements.
Je constate immédiatement que les râles de plaisir allemand ou français sont les mêmes mais quand sa langue quitte la mienne les mots certainement crut qu’elle profère reste intraduit.
Je sens une bouche chercher ma verge et comme ma partenaire est à ma hauteur c’est obligatoirement l’autre salope qui vient chercher sa part de sexe.
Quand nous nous sommes assez embrassés, caressés Ingrid veut me tirer sur le lit.
• Stop.
Les filles semblent interloquées pensant certainement que je refuse d’aller plus loin.
J’ai laissé mon portefeuille dans ma cabine ne mettant dans ma poche que quelques centaines d’euros.
Je vais au clavier et tape.
• Je vais chercher une capote.
• Ja kondom.
Alors que je m’attends à remettre mon pantalon pour aller dans ma cabine contre toute attente Ingrid ouvre son sac à main et elle en sort une capote.
• Kondom !
Quand je sortirais de leur cabine je saurais un mot d’allemand capote que je place sur ma verge.
Inge reprend sa sucette et je redoigte Ingrid quelques secondes.
Les deux sœurs doivent^être de fieffer salope pour prévoir les préservatifs dans leur sac.
Ce coup-ci je pousse Ingrid sur le lit et pour éviter de lui faire mal je bois à sa source qui s’ouvre mais ma langue à du mal à entrer.
• Komm, komm !
Je crois comprendre qu’elle veut que je vienne en elle aussi je m’avance et je sens une main me saisir et me placer pour pouvoir m’enfoncer, je pousse il y a une résistance et mon sexe avance dans la chatte de la petite allemande.
• Ja.
C’est le seul mot qui sort de la bouche d’Ingrid, je sens que je rentre et que je sors plus facilement de la jeune fille, sa sœur vient m’embrasser et rapidement celle que j’ai au bout de ma queue se met à chanter et je finis par être fière de moi car j’arrive à la faire jouir.
Elle se tord sous moi et je reçois son orgasme dans ma bouche l’ayant repris à un moment où Inge reprend son souffle.
La fille a joui je peux prendre mon pied au fond de ce vagin bien protégé par mon capuchon.
Je crie quand je décharge.
Je me recule pour enlever ma capote quand j’ai la surprise de voir qu’elle est couverte du sang de la jeune fille que j’ai prise pour une salope alors qu’elle était vierge.
Je dois avoir affaire à deux jeunes vierges qui avaient préparé leur voyage en emmenant des protections et décidé comme moi je pensais le faire avec Julie de perdre mon pucelage.
Inge va au clavier et m’amène l’ordi portable, ce qu’elle a traduit est bien réel mais impensable.
• Ma sœur était vierge alors que moi j’ai déjà fait l’amour avec un homme marié, cela c’est passer dans notre ville en Allemagne.
Elle reprend sa frappe après avoir effacé.
• Nous étions à une surprise-partie comme vous en faîte certainement en France, nous avions bu et elle plus que moi, un homme est entré dans la pièce, j’ai su après que c’était le père du jeune homme qui nous recevait.
Une nouvelle fois elle écrit en allemand.
• J’étais la seule qui était réveillée et nous sommes allés dans la cuisine prendre un café, il était beau bien bronzé et c’est naturellement que je me suis venu dans ses bras, nous nous sommes embrassés.
Je connais déjà la suite.
• Il m’a littéralement pris dans ses bras comme-ci nous étions des jeunes mariés et ma conduite sur son lit ou après m’avoir enlevé mon jean m’a sucé la chatte.
Nouvelle frappe.
• J’étais si mouillée que j’étais prête à la pénétration ce qu’il a fait la minute suivante après avoir sorti une capote de sa table de nuit et j’ai perdu mon pucelage.
Encore un temps d’arrêt.
• Merci pour Ingrid qui dort rêvant certainement après ce que vous venez de faire et grâce à la jouissance que tu lui as procurée pour sa première fois alors que moi j’ai eu mal pendant deux jours.
Je reprends le clavier.
• Et depuis as-tu joui ?
Changement de mains.
• Non, c’était il y a quinze jours et j’avais promis à ma sœur que dans cette croisière nous repérerions le plus beau jeune homme pour qu’il la déflore, nous t’avons choisi et j’ai chargé Ingrid de t’aguicher, elle a eu un peu peur tout à l’heure quand elle a essayé que tu me fasses l’amour au lieu d’elle.
Cette fois-ci ce sont mes doigts qui courent sur le clavier.
• Dit moi tu as perdu ton pucelage sans jouir, veux-tu que j’essaye de te faire connaître le plaisir comme ta jumelle !
Clavier, quelle perte de temps mais il faut bien en passer par là.
• J’allais te le demander…
La façon dont il te serre après les slows qui ont suivi les valses me montre que quelque chose se passe entre vous.
De mon côté Emmanuelle va pour se coller à moi dès le début des danses où l’on se colle quand un homme plus près de son âge avance vers nous.
• Excusez-moi jeune homme pourrais-je danser avec votre maman.
Qu’ont-ils tous à me demander mon avis concernant ma mère mais la perspective de me retrouver au lit avec Emmanuelle dès ce soir commençait à m’interpeller aussi je me recule ?
Prenant cela comme une invitation il l’entraîne sur la piste avant qu’elle ne réagisse.
Quand je m’éclipse maman danse joue contre joue avec Gavin, je lui laisse vivre sa vie.
• Ich heiße Ingrid und meine Schwester Inge, komme mit uns.
Je suis en train de sortir de la salle de restaurant et de bal quand les jumelles me prennent chacune par une main et m’entraîne avec elles.
Il me semble avoir compris leur prénom Ingrid et Inge mais le reste attendra que je prenne des cours d’allemand ou elles des cours d’anglais ou de Français.
Elle parcourt le chemin menant à nos cabines mais dans un autre secteur que le mien avant d’ouvrir la porte d’une cabine qui est occupée par des filles au vu des petites culottes ou autre débardeur qui traînent de ci de là.
Celle qui semble la meneuse ouvre un ordinateur et tape avant de me faire voir.
• Je suis sur un traducteur, chaque fois que nous aurons quelque chose à nous dire nous écrirons dans notre langue et il nous traduira.
Je prends le clavier.
• Ça marche, j’ai compris que tu t’appelles Ingrid et ta sœur assise sur le lit Inge, c’est formidable comme vous vous ressemblez.
• C’est normal nous sommes jumelles.
Demande-nous ce que tu veux nous le ferons.
• Non vous, c’est vous qui m’avez attiré ici.
Ingrid parle à Inge qui lui répond sans que j’aie dans un premier temps la traduction.
• Inge est d’accord elle veut que tu te déshabilles.
Surprenant, va-t-on jouer au docteur ?
• Tu as dit que tu étais d’accord déshabille-toi.
Je m’éloigne de l’ordinateur et je commence un strip-tease de la meilleure facture, j’espère avoir compris à quoi elles veulent en venir du moins je l’espère.
Ingrid reprend le clavier.
• Nous apprécions tes efforts, vois comme il faut faire.
Elle parle à Inge sans taper la traduction, sa soeur se lève, malgré l’exiguïté de la cabine elle effectue un effeuillage digne de ceux que j’ai vus dans un bar de nuit à Marseille où j’avais pu entrer grâce à un copain qui connaissait le videur.
La jolie blonde quand elle est nue me montre qu’elle est intégralement épilée.
Ingrid retape, je m’approche.
• Baise là !
À un moment les sauter m’est apparu impossible car comment leur faire comprendre d’enlever leur culotte mais présentement les Allemande me font voir qu’elles ont plus d’imagination que moi.
Je reprends le clavier.
• Attends, toi aussi fait nous un strip.
Il est aussi bandant que celui de sa sœur et une fois nue je remarque qu’elle a laissé un timbre-poste bien taillé.
Çà peut servir à tout moment je saurais qui je baise.
Ingrid est la plus proche et pour créer un moment de tension entre les deux sœurs c’est elle que je prends dans mes bras et que j’embrasse mes doigts atteignant sa vulve qui est bien humidifiée et mon autre qui lui caresse les seins.
Elle me parle mais il est impossible de comprendre aussi je continue mon doigtage ce qui l’amène à des gémissements.
Je constate immédiatement que les râles de plaisir allemand ou français sont les mêmes mais quand sa langue quitte la mienne les mots certainement crut qu’elle profère reste intraduit.
Je sens une bouche chercher ma verge et comme ma partenaire est à ma hauteur c’est obligatoirement l’autre salope qui vient chercher sa part de sexe.
Quand nous nous sommes assez embrassés, caressés Ingrid veut me tirer sur le lit.
• Stop.
Les filles semblent interloquées pensant certainement que je refuse d’aller plus loin.
J’ai laissé mon portefeuille dans ma cabine ne mettant dans ma poche que quelques centaines d’euros.
Je vais au clavier et tape.
• Je vais chercher une capote.
• Ja kondom.
Alors que je m’attends à remettre mon pantalon pour aller dans ma cabine contre toute attente Ingrid ouvre son sac à main et elle en sort une capote.
• Kondom !
Quand je sortirais de leur cabine je saurais un mot d’allemand capote que je place sur ma verge.
Inge reprend sa sucette et je redoigte Ingrid quelques secondes.
Les deux sœurs doivent^être de fieffer salope pour prévoir les préservatifs dans leur sac.
Ce coup-ci je pousse Ingrid sur le lit et pour éviter de lui faire mal je bois à sa source qui s’ouvre mais ma langue à du mal à entrer.
• Komm, komm !
Je crois comprendre qu’elle veut que je vienne en elle aussi je m’avance et je sens une main me saisir et me placer pour pouvoir m’enfoncer, je pousse il y a une résistance et mon sexe avance dans la chatte de la petite allemande.
• Ja.
C’est le seul mot qui sort de la bouche d’Ingrid, je sens que je rentre et que je sors plus facilement de la jeune fille, sa sœur vient m’embrasser et rapidement celle que j’ai au bout de ma queue se met à chanter et je finis par être fière de moi car j’arrive à la faire jouir.
Elle se tord sous moi et je reçois son orgasme dans ma bouche l’ayant repris à un moment où Inge reprend son souffle.
La fille a joui je peux prendre mon pied au fond de ce vagin bien protégé par mon capuchon.
Je crie quand je décharge.
Je me recule pour enlever ma capote quand j’ai la surprise de voir qu’elle est couverte du sang de la jeune fille que j’ai prise pour une salope alors qu’elle était vierge.
Je dois avoir affaire à deux jeunes vierges qui avaient préparé leur voyage en emmenant des protections et décidé comme moi je pensais le faire avec Julie de perdre mon pucelage.
Inge va au clavier et m’amène l’ordi portable, ce qu’elle a traduit est bien réel mais impensable.
• Ma sœur était vierge alors que moi j’ai déjà fait l’amour avec un homme marié, cela c’est passer dans notre ville en Allemagne.
Elle reprend sa frappe après avoir effacé.
• Nous étions à une surprise-partie comme vous en faîte certainement en France, nous avions bu et elle plus que moi, un homme est entré dans la pièce, j’ai su après que c’était le père du jeune homme qui nous recevait.
Une nouvelle fois elle écrit en allemand.
• J’étais la seule qui était réveillée et nous sommes allés dans la cuisine prendre un café, il était beau bien bronzé et c’est naturellement que je me suis venu dans ses bras, nous nous sommes embrassés.
Je connais déjà la suite.
• Il m’a littéralement pris dans ses bras comme-ci nous étions des jeunes mariés et ma conduite sur son lit ou après m’avoir enlevé mon jean m’a sucé la chatte.
Nouvelle frappe.
• J’étais si mouillée que j’étais prête à la pénétration ce qu’il a fait la minute suivante après avoir sorti une capote de sa table de nuit et j’ai perdu mon pucelage.
Encore un temps d’arrêt.
• Merci pour Ingrid qui dort rêvant certainement après ce que vous venez de faire et grâce à la jouissance que tu lui as procurée pour sa première fois alors que moi j’ai eu mal pendant deux jours.
Je reprends le clavier.
• Et depuis as-tu joui ?
Changement de mains.
• Non, c’était il y a quinze jours et j’avais promis à ma sœur que dans cette croisière nous repérerions le plus beau jeune homme pour qu’il la déflore, nous t’avons choisi et j’ai chargé Ingrid de t’aguicher, elle a eu un peu peur tout à l’heure quand elle a essayé que tu me fasses l’amour au lieu d’elle.
Cette fois-ci ce sont mes doigts qui courent sur le clavier.
• Dit moi tu as perdu ton pucelage sans jouir, veux-tu que j’essaye de te faire connaître le plaisir comme ta jumelle !
Clavier, quelle perte de temps mais il faut bien en passer par là.
• J’allais te le demander…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci pour les quatre cœur, ça rattrape la note de HDS que je trouve dure.
Pour moi c'est fiction j'aime inventer des situations au gré de mes envies.
L'histoire des deux allemendes me me suprend guère si elle est réelle...
J'ai vécu très longtemps el Allemagne et je peux affirmer que les allemandes (jeunes et moins jeunes) ne se privent pas lorsqu'elle ont envie de baiser...
Va lire l'histoire qui a été publiée 11.1.2016 sous le titre Carnaval rhénan par Le Matou Libertin... Ceci est une histoire vraie...
J'ai vécu très longtemps el Allemagne et je peux affirmer que les allemandes (jeunes et moins jeunes) ne se privent pas lorsqu'elle ont envie de baiser...
Va lire l'histoire qui a été publiée 11.1.2016 sous le titre Carnaval rhénan par Le Matou Libertin... Ceci est une histoire vraie...