COLLECTION DOMINANT - DOMINÉ. Devant mon mari (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT - DOMINÉ. Devant mon mari (1/3)
- Chérie, tu es prête, tu sais que j’ai une sainte horreur d’être en retard à un rendez-vous, surtout chez des copains.
Pour une fois que j’ai pu m’échapper le temps d’une soirée de cette putain d’entreprise qui me bouffe le foie.
- Je sais Christian, je suis prête, depuis le temps que je te rappelle que tu travail trop.
Mon pauvre chéri fait attention, travailler jusqu’au samedi tard dans la nuit, il ne nous reste que le dimanche et tu dors toute la journée pour récupérer.
- Je sais Jennifer, j’ai conscience que je te délaisse, mais je pense que dans quelques jours tout va changer.
Pas un week-end où nous serons ensemble.
Ça dépend simplement de toi, tu verras.
- Tu m’intrigues Christian.
Arrête de m’embrasser dans le cou, après ce sera toi qui me diras que je t’ai mis en retard.
Pas mes lèvres, j’ai déjà mis mon rouge.
Mais arrête, enlève cette main entre mes jambes, je vais tacher ma robe.
- Tu mouilles mon amour, j’aime.
Tu as raison comme toujours, si ta cyprine imbibe le tissu blanc de ta robe, la tache fera désordre chez Évelyne et Gaëtan.
- J’ai mis mon string rose, celui que tu adores, c’est mieux aucune marque sur ma jolie silhouette de jeune vierge immaculée.
- Jennifer, même si je te délaisse quelque peu ces derniers temps à cause de la boîte, la vierge immaculée, tu repasseras.
- Christian, ta verge me délaisse au point que je me demande si mon hymen n’a pas repoussé.
- Tu veux que je te fasse voir.
- Non, on est en retard.
Nous nous rendons au garage, je viens d’échapper au sexe de mon mari à mon grand regret.
Nous venons de changer de voiture, il a voulu une Française, je voulais une Allemande, je trouve qu’elles sont mieux finies.
Notre entreprise fabrique des pièces pour la fusée Ariane et il est devenu made en France jusqu’au bout des ongles.
Je m’assieds, je sens le siège épouser mes formes.
C’est l’une des nouveautés que j’apprécie surtout que les coussins sont plus moelleux que dans l’Allemande que j’avais essayée sans succès pour moi.
Quand je regarde Christian dans sa quarantaine flamboyante, dans son costume sur mesure fabriqué par une petite boîte de Vendée allant directement à l’usine les chercher, je me dis que j’ai de la chance d’avoir un tel mari.
Toujours aux petits soins pour moi, même si comme je l’ai dit, par moments je me sens délaisser.
Le luxe ça coûte et il faut savoir faire des sacrifices moi qui ai été élevé dans le 9,3 certes au Raincy, l’une des villes les plus riches du département.
Au fait, dix ans demain que nous sommes mariées, c’est vrai que l'autre jour il m’a promis que dimanche il me ferait une grosse surprise.
Il sait que j’adore les plus grands restaurants Parisiens et les grands chefs, je suis sûr de ne pas me tromper.
Voiture sortie, garage clos, nous roulons vers l’autre bout de Courbevoie où nous avons notre hôtel particulier.
- Il est fou avec sa camionnette, pourquoi s’arrête-t-il devant nous.
Christian aide-moi, il me met une cagoule sur la tête.
Avant que je comprenne, je sens que l’on me précipite sur le sol métallique de cette camionnette blanche.
Je sens un corps jeté sur le mien, mes mains ont été menottées derrière mon dos
- Démarre, on les a.
Crissement de pneus, j’entends sans ne rien voir.
- Christian, tu es là, que nous arrive-t-il, j’ai peur, j’ai mouillé ma robe.
- Oui, je suis là, ne leur résiste pas, il doit s’agir d’un malentendu, ils ont dû nous prendre pour d’autres.
- Chérie, je sens une main sur mon sein, c’est la tienne.
- Non, chérie, j’ai les mains attachées dans le dos par des menottes.
- Comme moi, j’ai peur.
La voix de Christian me parvient sourdement, lui aussi doit avoir une cagoule sur la tête.
Cette main a tendance à m’émoustiller.
- Reste zen bébé, je vais leur proposer de l’argent et ils vont nous libérer.
- Tu as travaillé si dur pour engraisser des truands.
Chérie je préfère mourir.
- Ne dis pas de bêtise, d’ailleurs la voiture ralentie on doit être arrivé.
Elle s’arrête, j’entends la portière s’ouvrir et le corps de mon mari me libérer avant qu’à mon tour je sois tirée sans ménagement à l’extérieur.
- Aie, Christian j’ai de plus en plus peur, ou es-tu ?
- Accroche-toi mon cœur, je sens que tout cela est un malentendu.
Ils m’attachent par les bras, mes pieds touchant à peine le sol.
- Comme moi, je sens que je suis pendu.
- Je te le rappelle, ne fais rien qui puisse les énerver et mettre ta vie en danger.
- Ils viennent de m’enlever ma cagoule, je les vois, ils sont plusieurs.
Mon Dieu, ils ont eux aussi des cagoules en cuir noir, une femme se tient devant moi avec un fouet.
Aie, elle vient de me fouetter.
- Laisse-toi faire, ils veulent t’intimider.
- Je te vois à mon côté, on dirait que tu es pendu comme un vulgaire sac de linge sale.
- Madame, pourquoi tant de haine, ne faites pas de mal à ma femme, si c’est à moi que vous en avez, fouetté là, mais épargné là.
Maintenant que ma vue s'est équilibrée, je vois des engins dignes du Moyen Âge.
Une femme nue recouverte d’une cagoule a le corps retenu dans un pilori digne des films sur le Moyen Âge.
Un homme noir, véritable athlète est derrière elle et lui met son sexe dans le vagin, du moins je le pense.
J’entends ses râles qui semblent être de plaisir.
- Dis-moi ce que tu vois, pourquoi une femme semble geindre.
- Si tu pouvais voir la bite de ce black, tu comprendrais.
- Te fait-elle envie ?
- Tu es fou, je te dis simplement ce que je vois.
Chéri, la femme avec le fouet vient vers toi, c’est incroyable elle vient de t’ouvrir ta braguette.
- Je la sens, tu vois, je reste stoïque, fait comme moi, ils vont bien se lasser de nous torturer.
- Chéri, elle te suce et en même temps, je suis si près de toi qu’elle a passé sa main dans la fente de ma robe.
Chéri, elle a arraché mon string, ses doigts cherchent à entrer en moi.
- Ah ! ah !
- Christian, tu jouis dans la bouche de cette salope, mais, mais, mais, moi aussi.
La main sur mon sein tout à l’heure et les doigts dans ma chatte, sans oublier la femme qui suce mon mari, je jouis par ces doigts en moi.
- Je reconnais ton râle de jouissance chérie.
- C’est bien malgré moi, comme toi mon amour, nous sommes tombés chez des fous.
- Je crois que ce sont des êtres dominants, ne leur résiste surtout pas.
- Christian, deux mecs sont sortis de l’arrière d’un rideau, ils viennent vers moi.
- Si je crois ce que tu me dis et ce que nous avons déjà subi mon amour, s’ils s’en prennent à toi, je te le rappelle, pas de rébellion, les dominants peuvent devenir violents comme cette femme que tu vois avec une cravache.
Aie.
Tu vois, elle vient de me fouetter, mais je reste calme.
Allez-y madame, fouetté-moi, j’adore ça, ce n’est pas une salope comme vous qui allez m’impressionner.
- Christian, c’est toi qui m’as dit de ne pas me rebeller.
Ils viennent de me détacher, je suis à genoux devant eux.
Ils enlèvent le morceau de cuir qui recouvrait leur verge, chéri, qu’est-ce que je fais, l’un d’eux veut que j’ouvre ma bouche.
- Ouvre là, je te dis de ne pas prendre de risque.
La première verge entre dans ma bouche, je suce souvent mon homme, il m’a toujours dit que j’étais une experte.
L’autre en veut aussi, deux verges contraintes mais de plus en plus contentes de ce qui nous arrive.
À part la cravache, je finis par apprécier, mais il m’est impossible de le dire à Christian.
- Jennifer que se passe-t-il, je n’entends plus rien.
- Chéri, je pompe, tu m’as demandé de ne pas me rebeller, c’est pour ça que je m’occupe de ces deux verges.
- Tu as raison, mais je m’angoisse quand je n’entends pas ce qu’ils te font.
- Il bande, l’un d’eux se couche au sol, il me fait signe de venir m’empaler sur sa verge.
- C’est si difficile que ça, n’as-tu pas aimé les sucer.
- Tu deviens fou Christian, mais je dois reconnaître que ce n’était pas désagréable- Alors vas-y, je sens qu’après qu’il t’est baisé, nous serons de nouveau libres.
- Et après toute notre vie, tu me reprocheras qu’un autre que toi soit entré en moi.
- Je te jure que lorsque nous serons libres, je te prendrais dans mes bras et que je te cajolerais comme tu le mérites.
Une femme qui se donne pour sauver son mari montre une telle abnégation qu’elle mérite le respect.
Cette queue tendue me fait envie, ce doit être normal, Christian trop pris par son travail oublie de m’offrir la sienne.
- Chéri, il entre en moi comme dans du beurre, il m’a suffi de soulever ma robe, ma chatte était déjà à leur portée.
C’est incroyable, je sens l’autre homme derrière moi, chéri qu’est-ce que je fais il veut m’enculer.
- J’ai une vague idée, on ne l’a jamais fait, tu vas être obligé de te faire prendre en double pénétration.
Je l’ai fait avec des copains et des copines avant de te connaître, elles m’ont toutes dit qu’elles avaient vécu une expérience inoubliable.
Pourquoi pas toi ?
Comment une telle dépravation est-elle possible ?
J’ai dans la tête ce que me ressasse Christian depuis le début de notre enlèvement, inutile d’énerver ces hommes ou ces femmes.
Ayant déjà l’une des bites dans ma chatte, la deuxième pousse et entre de quelques millimètres par l’autre porte…
Pour une fois que j’ai pu m’échapper le temps d’une soirée de cette putain d’entreprise qui me bouffe le foie.
- Je sais Christian, je suis prête, depuis le temps que je te rappelle que tu travail trop.
Mon pauvre chéri fait attention, travailler jusqu’au samedi tard dans la nuit, il ne nous reste que le dimanche et tu dors toute la journée pour récupérer.
- Je sais Jennifer, j’ai conscience que je te délaisse, mais je pense que dans quelques jours tout va changer.
Pas un week-end où nous serons ensemble.
Ça dépend simplement de toi, tu verras.
- Tu m’intrigues Christian.
Arrête de m’embrasser dans le cou, après ce sera toi qui me diras que je t’ai mis en retard.
Pas mes lèvres, j’ai déjà mis mon rouge.
Mais arrête, enlève cette main entre mes jambes, je vais tacher ma robe.
- Tu mouilles mon amour, j’aime.
Tu as raison comme toujours, si ta cyprine imbibe le tissu blanc de ta robe, la tache fera désordre chez Évelyne et Gaëtan.
- J’ai mis mon string rose, celui que tu adores, c’est mieux aucune marque sur ma jolie silhouette de jeune vierge immaculée.
- Jennifer, même si je te délaisse quelque peu ces derniers temps à cause de la boîte, la vierge immaculée, tu repasseras.
- Christian, ta verge me délaisse au point que je me demande si mon hymen n’a pas repoussé.
- Tu veux que je te fasse voir.
- Non, on est en retard.
Nous nous rendons au garage, je viens d’échapper au sexe de mon mari à mon grand regret.
Nous venons de changer de voiture, il a voulu une Française, je voulais une Allemande, je trouve qu’elles sont mieux finies.
Notre entreprise fabrique des pièces pour la fusée Ariane et il est devenu made en France jusqu’au bout des ongles.
Je m’assieds, je sens le siège épouser mes formes.
C’est l’une des nouveautés que j’apprécie surtout que les coussins sont plus moelleux que dans l’Allemande que j’avais essayée sans succès pour moi.
Quand je regarde Christian dans sa quarantaine flamboyante, dans son costume sur mesure fabriqué par une petite boîte de Vendée allant directement à l’usine les chercher, je me dis que j’ai de la chance d’avoir un tel mari.
Toujours aux petits soins pour moi, même si comme je l’ai dit, par moments je me sens délaisser.
Le luxe ça coûte et il faut savoir faire des sacrifices moi qui ai été élevé dans le 9,3 certes au Raincy, l’une des villes les plus riches du département.
Au fait, dix ans demain que nous sommes mariées, c’est vrai que l'autre jour il m’a promis que dimanche il me ferait une grosse surprise.
Il sait que j’adore les plus grands restaurants Parisiens et les grands chefs, je suis sûr de ne pas me tromper.
Voiture sortie, garage clos, nous roulons vers l’autre bout de Courbevoie où nous avons notre hôtel particulier.
- Il est fou avec sa camionnette, pourquoi s’arrête-t-il devant nous.
Christian aide-moi, il me met une cagoule sur la tête.
Avant que je comprenne, je sens que l’on me précipite sur le sol métallique de cette camionnette blanche.
Je sens un corps jeté sur le mien, mes mains ont été menottées derrière mon dos
- Démarre, on les a.
Crissement de pneus, j’entends sans ne rien voir.
- Christian, tu es là, que nous arrive-t-il, j’ai peur, j’ai mouillé ma robe.
- Oui, je suis là, ne leur résiste pas, il doit s’agir d’un malentendu, ils ont dû nous prendre pour d’autres.
- Chérie, je sens une main sur mon sein, c’est la tienne.
- Non, chérie, j’ai les mains attachées dans le dos par des menottes.
- Comme moi, j’ai peur.
La voix de Christian me parvient sourdement, lui aussi doit avoir une cagoule sur la tête.
Cette main a tendance à m’émoustiller.
- Reste zen bébé, je vais leur proposer de l’argent et ils vont nous libérer.
- Tu as travaillé si dur pour engraisser des truands.
Chérie je préfère mourir.
- Ne dis pas de bêtise, d’ailleurs la voiture ralentie on doit être arrivé.
Elle s’arrête, j’entends la portière s’ouvrir et le corps de mon mari me libérer avant qu’à mon tour je sois tirée sans ménagement à l’extérieur.
- Aie, Christian j’ai de plus en plus peur, ou es-tu ?
- Accroche-toi mon cœur, je sens que tout cela est un malentendu.
Ils m’attachent par les bras, mes pieds touchant à peine le sol.
- Comme moi, je sens que je suis pendu.
- Je te le rappelle, ne fais rien qui puisse les énerver et mettre ta vie en danger.
- Ils viennent de m’enlever ma cagoule, je les vois, ils sont plusieurs.
Mon Dieu, ils ont eux aussi des cagoules en cuir noir, une femme se tient devant moi avec un fouet.
Aie, elle vient de me fouetter.
- Laisse-toi faire, ils veulent t’intimider.
- Je te vois à mon côté, on dirait que tu es pendu comme un vulgaire sac de linge sale.
- Madame, pourquoi tant de haine, ne faites pas de mal à ma femme, si c’est à moi que vous en avez, fouetté là, mais épargné là.
Maintenant que ma vue s'est équilibrée, je vois des engins dignes du Moyen Âge.
Une femme nue recouverte d’une cagoule a le corps retenu dans un pilori digne des films sur le Moyen Âge.
Un homme noir, véritable athlète est derrière elle et lui met son sexe dans le vagin, du moins je le pense.
J’entends ses râles qui semblent être de plaisir.
- Dis-moi ce que tu vois, pourquoi une femme semble geindre.
- Si tu pouvais voir la bite de ce black, tu comprendrais.
- Te fait-elle envie ?
- Tu es fou, je te dis simplement ce que je vois.
Chéri, la femme avec le fouet vient vers toi, c’est incroyable elle vient de t’ouvrir ta braguette.
- Je la sens, tu vois, je reste stoïque, fait comme moi, ils vont bien se lasser de nous torturer.
- Chéri, elle te suce et en même temps, je suis si près de toi qu’elle a passé sa main dans la fente de ma robe.
Chéri, elle a arraché mon string, ses doigts cherchent à entrer en moi.
- Ah ! ah !
- Christian, tu jouis dans la bouche de cette salope, mais, mais, mais, moi aussi.
La main sur mon sein tout à l’heure et les doigts dans ma chatte, sans oublier la femme qui suce mon mari, je jouis par ces doigts en moi.
- Je reconnais ton râle de jouissance chérie.
- C’est bien malgré moi, comme toi mon amour, nous sommes tombés chez des fous.
- Je crois que ce sont des êtres dominants, ne leur résiste surtout pas.
- Christian, deux mecs sont sortis de l’arrière d’un rideau, ils viennent vers moi.
- Si je crois ce que tu me dis et ce que nous avons déjà subi mon amour, s’ils s’en prennent à toi, je te le rappelle, pas de rébellion, les dominants peuvent devenir violents comme cette femme que tu vois avec une cravache.
Aie.
Tu vois, elle vient de me fouetter, mais je reste calme.
Allez-y madame, fouetté-moi, j’adore ça, ce n’est pas une salope comme vous qui allez m’impressionner.
- Christian, c’est toi qui m’as dit de ne pas me rebeller.
Ils viennent de me détacher, je suis à genoux devant eux.
Ils enlèvent le morceau de cuir qui recouvrait leur verge, chéri, qu’est-ce que je fais, l’un d’eux veut que j’ouvre ma bouche.
- Ouvre là, je te dis de ne pas prendre de risque.
La première verge entre dans ma bouche, je suce souvent mon homme, il m’a toujours dit que j’étais une experte.
L’autre en veut aussi, deux verges contraintes mais de plus en plus contentes de ce qui nous arrive.
À part la cravache, je finis par apprécier, mais il m’est impossible de le dire à Christian.
- Jennifer que se passe-t-il, je n’entends plus rien.
- Chéri, je pompe, tu m’as demandé de ne pas me rebeller, c’est pour ça que je m’occupe de ces deux verges.
- Tu as raison, mais je m’angoisse quand je n’entends pas ce qu’ils te font.
- Il bande, l’un d’eux se couche au sol, il me fait signe de venir m’empaler sur sa verge.
- C’est si difficile que ça, n’as-tu pas aimé les sucer.
- Tu deviens fou Christian, mais je dois reconnaître que ce n’était pas désagréable- Alors vas-y, je sens qu’après qu’il t’est baisé, nous serons de nouveau libres.
- Et après toute notre vie, tu me reprocheras qu’un autre que toi soit entré en moi.
- Je te jure que lorsque nous serons libres, je te prendrais dans mes bras et que je te cajolerais comme tu le mérites.
Une femme qui se donne pour sauver son mari montre une telle abnégation qu’elle mérite le respect.
Cette queue tendue me fait envie, ce doit être normal, Christian trop pris par son travail oublie de m’offrir la sienne.
- Chéri, il entre en moi comme dans du beurre, il m’a suffi de soulever ma robe, ma chatte était déjà à leur portée.
C’est incroyable, je sens l’autre homme derrière moi, chéri qu’est-ce que je fais il veut m’enculer.
- J’ai une vague idée, on ne l’a jamais fait, tu vas être obligé de te faire prendre en double pénétration.
Je l’ai fait avec des copains et des copines avant de te connaître, elles m’ont toutes dit qu’elles avaient vécu une expérience inoubliable.
Pourquoi pas toi ?
Comment une telle dépravation est-elle possible ?
J’ai dans la tête ce que me ressasse Christian depuis le début de notre enlèvement, inutile d’énerver ces hommes ou ces femmes.
Ayant déjà l’une des bites dans ma chatte, la deuxième pousse et entre de quelques millimètres par l’autre porte…
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