COLLECTION DOMINANT DOMINE. Faire de ma femme une chienne en chaleur (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2398 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 001 041 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 8 986 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION DOMINANT DOMINE. Faire de ma femme une chienne en chaleur (1/4)
- Thierry, comment se passe ton mariage ?
Lorsque j’ai été ton témoin, devant un verre tu espérais une petite femme aimante.
- Laury, l’est, mais j’ai découvert une jeune fille presque prude, je suis un peu déçu.
Surtout que je suis un peu timide et que j’ai du mal à prendre des initiatives.
- Je te comprends, moi-même j’ai été dans ce cas et j’en m’en suis sorti grâce à un ami.
Mais j’ai peur que cette solution soit trop extrême pour toi.
- Tu m’en as trop dit Fred, j’aimerais trop que ma femme soit plus ardente au lit.
- Pour être ardente, Françoise l’est après le parcours qu’elle a suivi, tu serais sur du résultat.
Par compte, c’est un peu onéreux.
- Je t’en conjure dit moi Fred !
Dépenser un peu d’argent pour toute ma vie avoir la femme de mes rêves, je suis prêt à investir.
- 20 000 € pour trois jours, tu vois c’est loin d’être anodin.
- Si je te dis que j’ai déjà 5 000, il me sera possible de faire un prêt sur quatre ans pour le reste, je leur dirais que nous avons décidé de changer de voiture.
Pour les 5 000, nous avons fait la jarretière à notre mariage, tu te souviens, c’est toi qui as monté les enchères.
Tu as été tellement bon surtout en relançant fréquemment que lorsque tu as été la chercher avec tes dents, le chapeau était plein de beaux billets Je suis prêt à te les donner si tu m’expliques ce que je dois faire.
- Si je m’en souviens à part sa cuisse que j’ai sucé sans qu’elle se rebiffe, ça m’a coûte presque 1 000 de ces euros.
- Tu participeras donc à sa transformation.
- Voilà, il s’agit de faire passer trois jours à Laury dans le château de maître Édouard de Montchanin.
- C’est un noble ?
- Oui, en ligne directe des Bourbons, il pourrait prétendre à la couronne de France.
- Contact le.
Attends, je vais chercher l’argent.
Ça se passe comment ?
- Je te donne le numéro de téléphone du maître, tu contacteras ses services.
Sa secrétaire te proposera un vendredi, samedi et dimanche.
Le vendredi à 8 heures, une fourgonnette sera devant votre porte et vous conduira au château où réside le maître.
Pour préserver son anonymat, les vitres seront noires et il vous sera dans l’impossibilité de savoir le parcours que vous ferez.
À partir de là, tu laisses faire les choses.
Trois semaines plus tard, j’ai donné l’argent et la fourgonnette est là.
- Où allons-nous mon amour.
- Nous allons participer à un week-end plein de surprise dans un château, c’est pour cela que les vitres sont obstruées.
- Ça doit coûter chère, tu crois que c’est raisonnable, nous avons peu de moyens !
- Ce week-end, je l’ai gagné en répondant à des questions sur Internet, profite.
Elle me tient la main sans la serrer, elle est sereine, elle a confiance en moi.
D’un coup la voiture ralentie, le bruit du moteur se fait plus sourd.
Nous devons être dans une sorte de garage, du moins un lieu couvert.
La porte s’ouvre et nous descendons.
Devant moi se trouvent deux portes avec des armoiries sur le dessus.
Devant l’une, une femme avec cagoule avec une tenue en lanière de cuir.
Devant l’autre, deux hommes, tenue identique, un black et un blanc au crâne rasé, deux fois plus costaud que moi.
Une voix nous tombe sur la tête venue d’outre-tombe.
- Madame, suivez ces deux hommes.
- Va ma chérie, on se retrouve dans peu de temps.
C’est mot la rassure et je la vois suivre les hommes et franchir la porte.
- Cher client, suivez ma collaboratrice, elle sera à votre service pendant ces trois jours, profitez bien de ce que vous allez voir.
Comme ma secrétaire vous l’a spécifié, maintenant que la porte s’est refermée sur votre femme, il est impossible de faire marche arrière.
Si la femme de Fred a suivi ce parcours et en est ressortie transformée, pourquoi faire marche arrière, je suis la croupe tressautante de cette jolie blonde.
Nous franchissons la porte et suivant un couloir, elle me fait entrer dans une pièce où se trouve un immense écran de télé, un fauteuil avec à côté une table basse avec un seau à champagne et une bouteille.
- Installez-vous et regardez, vous allez assister à la transformation de votre femme.
Mais avant déshabillez-vous, ici la température est constante, si vous avez froid, dites-le-moi, je la règlerais.
- Comment vous appelez-vous ?
Aucune réponse, je sens qu’à part des ordres, inutiles d’en apprendre plus sur cette femme.
Je m’exécute, rangeant mes affaires sur une chaise.
L’écran s’éclaire, une grande salle, quelques marches dans le coin.
Il y a une porte avec les mêmes armoiries que sur celles de notre arrivée.
Elle s’ouvre, Laury apparaît aussi nu que je le suis, mais à quatre pattes tenue en laisse par le black.
L’autre a une cravache.
- Attendez, je mets le son.
Première initiation de madame, la soumission, regardez le réalisateur fait un gros plan sur son fessier, la cravache à déjà du s’abattre pour qu’elle accepte sa soumission à notre maître à tous.
Elle prend la télécommande à mon côté.
- Avance salope, on va t’apprendre à être une vraie femelle.
Ils ont enlevé les bas de leur costume et chacun montre une verge digne des plus belles qu’il m’a été de voir malgré mon inexpérience de ce côté.
Des coups pleuvent sur Laury pleurant.
En haut des marches, le bruit d’un système pivotant et, ce qui doit être le maître apparaît.
Sans âge, mais certainement très vieux avec ses longs cheveux tombant sur ses épaules et sa barbichette blanche.
Il est assis dans ce qui peut s’apparenter à un trône et est habillé comme les nobles l’étaient au temps des rois.
Il tient à la main une grande canne avec pommeau où un gros plan me montre ses armoiries.
- Lâchez cette petite chienne et qu’elle vienne me lécher les pieds.
Il libère la laisse, mais Laury reste statique.
- Stimulez là, faite lui voir qui est le maître dans mon château.
La cravache s’abat et ma petite que je suis à deux doigts d’aller sauver, avance toujours à quatre pattes.
Elle est aux pieds du maître, hésite, mais finit par lui embrasser la chaussure.
- Nettoie les avec ta langue, elles ont ramassé de la poussière dans mon vieux château.
Est-ce la peur, est-ce les coups, est-ce les deux à la fois, celui qui tient les manettes des caméras montre Laury léchant consciencieusement, l’un et l’autre des escarpins vernis du maître.
- C’est bien monsieur, elle est à vous tout le temps ou vous aurez envie de la baiser.
Faite en une chienne qui saura honorer son homme comme une femme aimante doit savoir le faire.
Le bruit du système faisant disparaître le maître redémarre.
Laury se retrouve seul avec les deux malabars.
Il s’avance, le black sans ménagement empoigne le collier autour du cou de ma femme et la plaque sur sa verge.
- Suce salope, on m’a dit que tu refusais ce plaisir à ton mari.
À partir de ce jour, chaque fois qu’il le voudra, tu te soumettras.
Dans mon fauteuil, les yeux me sortant certainement de la tête, j’assiste à la première fellation faite par ma femme à un homme.
Je bande.
Mon hôtesse le remarque, s’agenouille et me prend par la main et dans sa bouche.
Moi qui voulais que Laury me suce, pour la première fois c’est cette jolie femme qui le fait.
A-t-elle été formée par le maître, je l’ignore, d’un côté mon regard sur Laury, de l’autre sur ma verge aspirée jusqu’aux couilles.
Dans l’autre pièce, l’autre homme a rejoint le premier et ce sont deux verges qu’elle suce alternativement.
- Mets-toi à quatre pattes.
Quand j’ai accepté le contrat avec la secrétaire et surtout Fred, ma femme recevant des bites dans sa bouche et dans sa chatte, ma chatte épousée il y a peu m’avait échappé.
Au moment où un gros plan me montre cette grosse verge noire entrée d’une seule poussée dans le vagin de celle que j’ai dépucelée le soir de nos noces.
Je ferme les yeux.
De mon côté, la femme sans nom m’enjambe et vient s’empaler sur ma verge incroyablement tendue vue comme je bande.
D’un côté, j’ai honte d’avoir vendu ma femme à ces hommes et de l’autre le plaisir que me donne cette chatte descendant sur ma verge
- On change, je vais l’enculer, fais-toi pomper.
Nouveau gros plan sur le visage de ma petite chérie.
Je devrais avoir honte de regarder Laury se faire défoncer, mais quand j’éclate dans la chatte de la servante du maître, je prends conscience du temps que je vais gagner dans sa formation pour qu’elle devienne ma chienne en chaleur…
Lorsque j’ai été ton témoin, devant un verre tu espérais une petite femme aimante.
- Laury, l’est, mais j’ai découvert une jeune fille presque prude, je suis un peu déçu.
Surtout que je suis un peu timide et que j’ai du mal à prendre des initiatives.
- Je te comprends, moi-même j’ai été dans ce cas et j’en m’en suis sorti grâce à un ami.
Mais j’ai peur que cette solution soit trop extrême pour toi.
- Tu m’en as trop dit Fred, j’aimerais trop que ma femme soit plus ardente au lit.
- Pour être ardente, Françoise l’est après le parcours qu’elle a suivi, tu serais sur du résultat.
Par compte, c’est un peu onéreux.
- Je t’en conjure dit moi Fred !
Dépenser un peu d’argent pour toute ma vie avoir la femme de mes rêves, je suis prêt à investir.
- 20 000 € pour trois jours, tu vois c’est loin d’être anodin.
- Si je te dis que j’ai déjà 5 000, il me sera possible de faire un prêt sur quatre ans pour le reste, je leur dirais que nous avons décidé de changer de voiture.
Pour les 5 000, nous avons fait la jarretière à notre mariage, tu te souviens, c’est toi qui as monté les enchères.
Tu as été tellement bon surtout en relançant fréquemment que lorsque tu as été la chercher avec tes dents, le chapeau était plein de beaux billets Je suis prêt à te les donner si tu m’expliques ce que je dois faire.
- Si je m’en souviens à part sa cuisse que j’ai sucé sans qu’elle se rebiffe, ça m’a coûte presque 1 000 de ces euros.
- Tu participeras donc à sa transformation.
- Voilà, il s’agit de faire passer trois jours à Laury dans le château de maître Édouard de Montchanin.
- C’est un noble ?
- Oui, en ligne directe des Bourbons, il pourrait prétendre à la couronne de France.
- Contact le.
Attends, je vais chercher l’argent.
Ça se passe comment ?
- Je te donne le numéro de téléphone du maître, tu contacteras ses services.
Sa secrétaire te proposera un vendredi, samedi et dimanche.
Le vendredi à 8 heures, une fourgonnette sera devant votre porte et vous conduira au château où réside le maître.
Pour préserver son anonymat, les vitres seront noires et il vous sera dans l’impossibilité de savoir le parcours que vous ferez.
À partir de là, tu laisses faire les choses.
Trois semaines plus tard, j’ai donné l’argent et la fourgonnette est là.
- Où allons-nous mon amour.
- Nous allons participer à un week-end plein de surprise dans un château, c’est pour cela que les vitres sont obstruées.
- Ça doit coûter chère, tu crois que c’est raisonnable, nous avons peu de moyens !
- Ce week-end, je l’ai gagné en répondant à des questions sur Internet, profite.
Elle me tient la main sans la serrer, elle est sereine, elle a confiance en moi.
D’un coup la voiture ralentie, le bruit du moteur se fait plus sourd.
Nous devons être dans une sorte de garage, du moins un lieu couvert.
La porte s’ouvre et nous descendons.
Devant moi se trouvent deux portes avec des armoiries sur le dessus.
Devant l’une, une femme avec cagoule avec une tenue en lanière de cuir.
Devant l’autre, deux hommes, tenue identique, un black et un blanc au crâne rasé, deux fois plus costaud que moi.
Une voix nous tombe sur la tête venue d’outre-tombe.
- Madame, suivez ces deux hommes.
- Va ma chérie, on se retrouve dans peu de temps.
C’est mot la rassure et je la vois suivre les hommes et franchir la porte.
- Cher client, suivez ma collaboratrice, elle sera à votre service pendant ces trois jours, profitez bien de ce que vous allez voir.
Comme ma secrétaire vous l’a spécifié, maintenant que la porte s’est refermée sur votre femme, il est impossible de faire marche arrière.
Si la femme de Fred a suivi ce parcours et en est ressortie transformée, pourquoi faire marche arrière, je suis la croupe tressautante de cette jolie blonde.
Nous franchissons la porte et suivant un couloir, elle me fait entrer dans une pièce où se trouve un immense écran de télé, un fauteuil avec à côté une table basse avec un seau à champagne et une bouteille.
- Installez-vous et regardez, vous allez assister à la transformation de votre femme.
Mais avant déshabillez-vous, ici la température est constante, si vous avez froid, dites-le-moi, je la règlerais.
- Comment vous appelez-vous ?
Aucune réponse, je sens qu’à part des ordres, inutiles d’en apprendre plus sur cette femme.
Je m’exécute, rangeant mes affaires sur une chaise.
L’écran s’éclaire, une grande salle, quelques marches dans le coin.
Il y a une porte avec les mêmes armoiries que sur celles de notre arrivée.
Elle s’ouvre, Laury apparaît aussi nu que je le suis, mais à quatre pattes tenue en laisse par le black.
L’autre a une cravache.
- Attendez, je mets le son.
Première initiation de madame, la soumission, regardez le réalisateur fait un gros plan sur son fessier, la cravache à déjà du s’abattre pour qu’elle accepte sa soumission à notre maître à tous.
Elle prend la télécommande à mon côté.
- Avance salope, on va t’apprendre à être une vraie femelle.
Ils ont enlevé les bas de leur costume et chacun montre une verge digne des plus belles qu’il m’a été de voir malgré mon inexpérience de ce côté.
Des coups pleuvent sur Laury pleurant.
En haut des marches, le bruit d’un système pivotant et, ce qui doit être le maître apparaît.
Sans âge, mais certainement très vieux avec ses longs cheveux tombant sur ses épaules et sa barbichette blanche.
Il est assis dans ce qui peut s’apparenter à un trône et est habillé comme les nobles l’étaient au temps des rois.
Il tient à la main une grande canne avec pommeau où un gros plan me montre ses armoiries.
- Lâchez cette petite chienne et qu’elle vienne me lécher les pieds.
Il libère la laisse, mais Laury reste statique.
- Stimulez là, faite lui voir qui est le maître dans mon château.
La cravache s’abat et ma petite que je suis à deux doigts d’aller sauver, avance toujours à quatre pattes.
Elle est aux pieds du maître, hésite, mais finit par lui embrasser la chaussure.
- Nettoie les avec ta langue, elles ont ramassé de la poussière dans mon vieux château.
Est-ce la peur, est-ce les coups, est-ce les deux à la fois, celui qui tient les manettes des caméras montre Laury léchant consciencieusement, l’un et l’autre des escarpins vernis du maître.
- C’est bien monsieur, elle est à vous tout le temps ou vous aurez envie de la baiser.
Faite en une chienne qui saura honorer son homme comme une femme aimante doit savoir le faire.
Le bruit du système faisant disparaître le maître redémarre.
Laury se retrouve seul avec les deux malabars.
Il s’avance, le black sans ménagement empoigne le collier autour du cou de ma femme et la plaque sur sa verge.
- Suce salope, on m’a dit que tu refusais ce plaisir à ton mari.
À partir de ce jour, chaque fois qu’il le voudra, tu te soumettras.
Dans mon fauteuil, les yeux me sortant certainement de la tête, j’assiste à la première fellation faite par ma femme à un homme.
Je bande.
Mon hôtesse le remarque, s’agenouille et me prend par la main et dans sa bouche.
Moi qui voulais que Laury me suce, pour la première fois c’est cette jolie femme qui le fait.
A-t-elle été formée par le maître, je l’ignore, d’un côté mon regard sur Laury, de l’autre sur ma verge aspirée jusqu’aux couilles.
Dans l’autre pièce, l’autre homme a rejoint le premier et ce sont deux verges qu’elle suce alternativement.
- Mets-toi à quatre pattes.
Quand j’ai accepté le contrat avec la secrétaire et surtout Fred, ma femme recevant des bites dans sa bouche et dans sa chatte, ma chatte épousée il y a peu m’avait échappé.
Au moment où un gros plan me montre cette grosse verge noire entrée d’une seule poussée dans le vagin de celle que j’ai dépucelée le soir de nos noces.
Je ferme les yeux.
De mon côté, la femme sans nom m’enjambe et vient s’empaler sur ma verge incroyablement tendue vue comme je bande.
D’un côté, j’ai honte d’avoir vendu ma femme à ces hommes et de l’autre le plaisir que me donne cette chatte descendant sur ma verge
- On change, je vais l’enculer, fais-toi pomper.
Nouveau gros plan sur le visage de ma petite chérie.
Je devrais avoir honte de regarder Laury se faire défoncer, mais quand j’éclate dans la chatte de la servante du maître, je prends conscience du temps que je vais gagner dans sa formation pour qu’elle devienne ma chienne en chaleur…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...