COLLECTION DOMINANT DOMINE. J’ai trouvé un sens à ma vie (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. J’ai trouvé un sens à ma vie (2/2)
J’ai commencé mon histoire en me présentant.
Anne, professeur des écoles et femme de Gilbert, nous sommes proche de la quarantaine.
Dans ma vie, je suis frustrée suite à la paresse de celui qui se dit mon homme, mais que Sylvestre traite de lopette.
Qui est sylvestre ?
Un braqueur de banques venu se réfugier dans le restaurant où nous fêtions notre anniversaire de mariage avec mon mari.
À nos côtés un jeune homme bien sous tous rapports, c’est ce Sylvestre qui au dessert nous fait amener un beau gâteau avec du champagne se mêlant à notre moment d’intimité.
C’était une tactique pour me séduire, ce qu’il fait sans trop de peine.
Dans les policiers le recherchant, lesquels pourraient penser que ces deux hommes sortant de ce restaurant avec une jolie femme, le braqueur de banques s’y cachait !
Domination, c’est la première fois que je me sens dominée, mais pour mon plus grand plaisir.
Je me laisse guider jusqu’à notre chambre, qui eut pu penser qu’en la quittant tout à l’heure, j’y retournerais avec un autre homme que le mien !
Mystère de la femme et de ses sentiments, il y a bien longtemps que j’aurais pu tromper Gilbert, mais mon éducation m’en a empêché.
Alors pourquoi ce jeune homme ?
Peut-être mon goût pour ce qu’il représente de dépassement des tabous, mais au moment où nous nous retrouvons dehors, je viens seulement de constater qu’il était armé.
C’est Gilbert qui l’invite pour boire un dernier verre et c’est dans notre auto qu’il dévoile sa vraie personnalité.
Hélas, j’aime ça et s’est tout naturellement que je me laisse embrasser et mener jusqu’à mon lit ou la nuit dernière j’ai dormi avec celui que Sylvestre appelle « la lopette. »
Un homme, un vrai, lui serait rentré dedans même avec la menace du flingue, mais c’est devant le risque que l’on reconnaît l’homme et je dois reconnaitre que « lopette », c’est bien choisi.
Dans la chambre, il me fait valser sur notre lit, sans ménagement.
Je tombe sur le dos la chatte offerte à ses lèvres qui viennent immédiatement les sucer, les aspirer, brouter mon clitoris étant pour la première fois à la fête.
Ses doigts font partie de ce moment que je découvre.
Rapidement je hurle de plaisir avant que venant me couvrir, je sois toute à lui !
Mes hurlements de plaisir son vrai et il est impossible que celui que je viens de cocufier ait pu faire autrement que de les entendre sans pour autant intervenir.
Comment le monde est assez con, pour m’avoir choisi un tel pleutre alors que d’enté de jeu, j’aurais pu avoir un homme me dominant comme le fait Sylvestre ?
Ce jour était la célébration de notre première fois lors de notre nuit de noce, ce soir, c’est la première fois avec Sylvestre et quelle fois.
C’est moi, qui grâce à la lumière de notre radio réveille, trouve sa queue pour une deuxième partie de plaisir.
Lorsqu’il me fait mettre à quatre pattes, m’apprenant qu’il va me prendre en levrette, je trouve cette position extraordinaire, le poids de l’homme m’étant épargné comme celui habituel de mon mari.
Malgré les vacances de février, quinze jours ou mes amies Agnès et Olga sont partis au ski, Gilbert ayant horreur de ça et ou une vague de froid nous frappe, je suis en eau.
Je me lève pour aller prendre une douche, le peu de luminosité est suffisante pour que je voie le pistolet au côté de mon amant.
Je m’en saisi, et je le place sur la tempe de ce jeune homme qui m’a si bien fait jouir.
• Debout, suis-moi, sinon je te fais brûler la cervelle.
J’ai vu ça dans un film, mais le faire réellement avec une vraie arme, ça me donne une impression de puissance.
• Anne fait gaffe, il est armé.
• J’espère bien, lève-toi !
Je l’emmène dans la salle de bain et là je le fais entrer sous la douche.
• Ouvre l’eau et met là à bonne température.
Lorsque je sais que cette douche va être revigorante, je pose le pétard sur le lavabo et je rejoins mon amant lui prenant la queue en main prête pour un nouveau round.
Nos bouches se trouvent, nos corps se frottent, il me retourne et me cloue le long de la paroi.
• As-tu eu peur ?
• Pas la moindre seconde, il m’a suffi de voir tes yeux pour y voir tout l’amour que tu me portes, tient, tient et tient.
Jouir, mon corps est devenu jouissance depuis que je me suis donnée à lui, tous les flingues du monde se retrouverait dans l’impossibilité de me faire peur chaque fois que j’en aurais un devant mes yeux.
Comment suis-je revenue à notre lit, je l’ignore lorsque l’on frappe à notre porte.
• Je viens vous apporter votre petit déjeuner, je suis descendu vous acheter des croissants.
Il fait jour, je vois Sylvestre se tourner pour regarder le réveil.
• C’est très bien petite bite, tu aurais été aux flics, comme il est plus de six heures, ils seraient déjà là.
Des croissants, tu es une vraie petite boniche pour nous lopette.
Au moment où Gilbert entre me réveillant, j’ai un mouvement de jeunes pucelles me recouvrant du drap devant mon mari, c’est vraiment le monde à l’envers.
Ça fait trois jours que nous sommes rentrés de cette soirée mémorable.
Combien de fois Sylvestre m’a-t-il fait hurler de plaisir, une vraie bête de sexe, nous sommes nues dans l’appartement lorsque nous nous levons.
Gilbert lui garde sa pudeur de jeunes pucelles, même lorsqu’il se rend dans la salle de bains, il ferme la porte à clef.
C’est une vraie mère poule, il m’avait caché ses talents de cuisinier, nous sommes à table, lui debout derrière moi comme Sylvestre l’en a obligé attendant mes ordres quand on sonne à la porte.
• Va voir qui sonne et fait gaffe, si tu dis quoi que ce soit, je te crève.
Notre lopette se dirige vers la porte et Sylvestre vient se placer de façon à entendre, son arme à la main.
• Salut Gilbert, c’est les vacances et depuis plusieurs jours, je te vois passer sans Anne, ce sont les vacances, elle va bien !
• Sa copine Olga a eu le virus du covid et elle est cas contact, elle a été prévenue par la sécu et doit rester confiné pendant huit jours.
• Et toi, pourtant tu sors, je t’ai vu passer.
• Je lui prépare à manger et je laisse un plateau devant sa porte, je couche sur le canapé.
• Mon pauvre vieux, quelle merde ce virus, je te laisse, tiens voilà votre courrier.
• Victor...
• Oui, Gilbert, veux-tu me dire quelque chose ?
Un froid me glace, j’ai rejoint Sylvestre, ma cuisse collée à ses fesses, je sens que quelque chose va se passer très mauvais pour les deux hommes.
• Non, rien, salut, merci pour le courrier.
La tension est montée si haute que d’une main Sylvestre me repousse vers la table, étrangement il bande, la proximité de tuer, l’a-t-il mis dans tous ces états.
Il me pénètre sans ménagement comme il l’aurait fait avec une poupée gonflable.
Entre lit, repas et télé, principalement les infos où l’on parle de lui encore quelquefois. Il m’a baisé de si nombreuses fois, que sur cette table, devant Gilbert que je vois revenir, j’ai un orgasme dévastateur à la limite de me faire tourner de l’œil.
• Bon, il faut bouger, mon braquage semble s’être tassé, Gilbert, viens ici !
Mon cocu vient vers celui qui le domine.
• Est-ce toi sur cette photo ?
• Oui, j’étais jeune et lorsque j’ai épousé Anne, elle a voulu que je la vende, faire de la moto elle trouvait ça trop dangereux.
• Voilà les clefs d’une autre moto, elle est garée à deux rues de mon braquage, elle est rouge, va la chercher et ramène là dans votre garage.
Mon cocu s’exécute et je passe une dernière nuit à baiser avec mon amant.
• J’ai une proposition à te faire.
• Accepté d’avance.
• Dans ce sac, il y a 90 000 €, c’est loin d’être suffisant pour des vacances sous les cocotiers.
Si les choses s’étaient bien passées lors de ce braquage, j’avais prévu de me faire la banque près de là.
Pour ce gros morceau, qui nous permettra de changer de vie, il me faut un adjoint qui tienne les employés en joue pendant que je vide le coffre.
Veux-tu m’aider ?
C’est ainsi que je me retrouve assis derrière mon amant roulant vers un braquage de banques.
L’adrénaline est à son maxi lorsque nous nous arrêtons et que nous rentrons en force dans la banque en poussant une femme enceinte.
J’ai une arme en main, Sylvestre en avait avec les billets dans son sac de sport.
Je porte son casque rangé dans la valise de sa moto.
• Haut les mains, c’est un braquage, couchez-vous tous au sol, vous aussi madame avec votre gros ventre.
Sylvestre et moi nous donnons nos ordres de façon cassante.
La jeune femme certainement de mon âge a du mal à s’allonger.
Je m’énerve, je sais que nous avons peu de temps avant l’arrivée de la police.
Lui a pris un de mes bas qu’il a mis sur son visage.
Ma chatte dégouline de peur, mais surtout d’adrénaline.
Je fais un mouvement avec le révolver pour qu’elle se dépêche, un coup part l’atteignant en pleine tête.
• Quelle conne vient, tirons-nous !
Qui est la conne, la jeune femme ayant un troisième œil au milieu de son front ou moi qui ai tiré ?
Nous sortons en courant, Sylvestre mon sur la moto, je l’enfourche montant derrière lui.
On démarre, mais on me tire dessus.
Je me retourne et j’arrose, jusqu’à ce que mes réserves se terminent.
J’ai eu le temps de voir un policier tirant dans notre direction.
Un coup à la nuque...
Je m’appelle Gilbert, oui, la lopette !
Je suis le mari d’Anne, qui est morte ce matin d’une balle à la base de son cou brulant sa carotide en venant frappé la tête de son fumier d’amant.
Mort sur coup direct en même temps d’une même balle.
La télé allumée m’annonce la mort de ma femme et de son amant.
La presse le lendemain titre.
« Une jeune femme inconnue des services de police a participé au braquage sans que l’on sache qui elle est et comment elle a rencontré Sylvestre, le truand recherché après un premier braquage il y a quelques jours... »
Hier après la mort de ma femme sachant que la police finirait par découvrir la salope que j’ai épousée.
Je me rends à la police signaler sa disparition depuis plusieurs jours avec dans le coffre de notre voiture le sac avec l’argent.
Une fois cette disparition signalée, je prends la route de la proche banlieue parisienne, chez ma mère où je le cache.
La presse titre.
« La police a retrouvé qui était la jeune femme ayant participé et tué une jeune femme dans l’attaque d’une banque.
Comment cette jeune institutrice, dont la disparition avait été signalée par son époux à la police... »
Voilà, je suis une lopette, mais une tantouse vivante avec devant lui 90 000 € et deux flingues restés dans le sac, je vais pouvoir venir et glander comme j’aime le faire.
Anne, professeur des écoles et femme de Gilbert, nous sommes proche de la quarantaine.
Dans ma vie, je suis frustrée suite à la paresse de celui qui se dit mon homme, mais que Sylvestre traite de lopette.
Qui est sylvestre ?
Un braqueur de banques venu se réfugier dans le restaurant où nous fêtions notre anniversaire de mariage avec mon mari.
À nos côtés un jeune homme bien sous tous rapports, c’est ce Sylvestre qui au dessert nous fait amener un beau gâteau avec du champagne se mêlant à notre moment d’intimité.
C’était une tactique pour me séduire, ce qu’il fait sans trop de peine.
Dans les policiers le recherchant, lesquels pourraient penser que ces deux hommes sortant de ce restaurant avec une jolie femme, le braqueur de banques s’y cachait !
Domination, c’est la première fois que je me sens dominée, mais pour mon plus grand plaisir.
Je me laisse guider jusqu’à notre chambre, qui eut pu penser qu’en la quittant tout à l’heure, j’y retournerais avec un autre homme que le mien !
Mystère de la femme et de ses sentiments, il y a bien longtemps que j’aurais pu tromper Gilbert, mais mon éducation m’en a empêché.
Alors pourquoi ce jeune homme ?
Peut-être mon goût pour ce qu’il représente de dépassement des tabous, mais au moment où nous nous retrouvons dehors, je viens seulement de constater qu’il était armé.
C’est Gilbert qui l’invite pour boire un dernier verre et c’est dans notre auto qu’il dévoile sa vraie personnalité.
Hélas, j’aime ça et s’est tout naturellement que je me laisse embrasser et mener jusqu’à mon lit ou la nuit dernière j’ai dormi avec celui que Sylvestre appelle « la lopette. »
Un homme, un vrai, lui serait rentré dedans même avec la menace du flingue, mais c’est devant le risque que l’on reconnaît l’homme et je dois reconnaitre que « lopette », c’est bien choisi.
Dans la chambre, il me fait valser sur notre lit, sans ménagement.
Je tombe sur le dos la chatte offerte à ses lèvres qui viennent immédiatement les sucer, les aspirer, brouter mon clitoris étant pour la première fois à la fête.
Ses doigts font partie de ce moment que je découvre.
Rapidement je hurle de plaisir avant que venant me couvrir, je sois toute à lui !
Mes hurlements de plaisir son vrai et il est impossible que celui que je viens de cocufier ait pu faire autrement que de les entendre sans pour autant intervenir.
Comment le monde est assez con, pour m’avoir choisi un tel pleutre alors que d’enté de jeu, j’aurais pu avoir un homme me dominant comme le fait Sylvestre ?
Ce jour était la célébration de notre première fois lors de notre nuit de noce, ce soir, c’est la première fois avec Sylvestre et quelle fois.
C’est moi, qui grâce à la lumière de notre radio réveille, trouve sa queue pour une deuxième partie de plaisir.
Lorsqu’il me fait mettre à quatre pattes, m’apprenant qu’il va me prendre en levrette, je trouve cette position extraordinaire, le poids de l’homme m’étant épargné comme celui habituel de mon mari.
Malgré les vacances de février, quinze jours ou mes amies Agnès et Olga sont partis au ski, Gilbert ayant horreur de ça et ou une vague de froid nous frappe, je suis en eau.
Je me lève pour aller prendre une douche, le peu de luminosité est suffisante pour que je voie le pistolet au côté de mon amant.
Je m’en saisi, et je le place sur la tempe de ce jeune homme qui m’a si bien fait jouir.
• Debout, suis-moi, sinon je te fais brûler la cervelle.
J’ai vu ça dans un film, mais le faire réellement avec une vraie arme, ça me donne une impression de puissance.
• Anne fait gaffe, il est armé.
• J’espère bien, lève-toi !
Je l’emmène dans la salle de bain et là je le fais entrer sous la douche.
• Ouvre l’eau et met là à bonne température.
Lorsque je sais que cette douche va être revigorante, je pose le pétard sur le lavabo et je rejoins mon amant lui prenant la queue en main prête pour un nouveau round.
Nos bouches se trouvent, nos corps se frottent, il me retourne et me cloue le long de la paroi.
• As-tu eu peur ?
• Pas la moindre seconde, il m’a suffi de voir tes yeux pour y voir tout l’amour que tu me portes, tient, tient et tient.
Jouir, mon corps est devenu jouissance depuis que je me suis donnée à lui, tous les flingues du monde se retrouverait dans l’impossibilité de me faire peur chaque fois que j’en aurais un devant mes yeux.
Comment suis-je revenue à notre lit, je l’ignore lorsque l’on frappe à notre porte.
• Je viens vous apporter votre petit déjeuner, je suis descendu vous acheter des croissants.
Il fait jour, je vois Sylvestre se tourner pour regarder le réveil.
• C’est très bien petite bite, tu aurais été aux flics, comme il est plus de six heures, ils seraient déjà là.
Des croissants, tu es une vraie petite boniche pour nous lopette.
Au moment où Gilbert entre me réveillant, j’ai un mouvement de jeunes pucelles me recouvrant du drap devant mon mari, c’est vraiment le monde à l’envers.
Ça fait trois jours que nous sommes rentrés de cette soirée mémorable.
Combien de fois Sylvestre m’a-t-il fait hurler de plaisir, une vraie bête de sexe, nous sommes nues dans l’appartement lorsque nous nous levons.
Gilbert lui garde sa pudeur de jeunes pucelles, même lorsqu’il se rend dans la salle de bains, il ferme la porte à clef.
C’est une vraie mère poule, il m’avait caché ses talents de cuisinier, nous sommes à table, lui debout derrière moi comme Sylvestre l’en a obligé attendant mes ordres quand on sonne à la porte.
• Va voir qui sonne et fait gaffe, si tu dis quoi que ce soit, je te crève.
Notre lopette se dirige vers la porte et Sylvestre vient se placer de façon à entendre, son arme à la main.
• Salut Gilbert, c’est les vacances et depuis plusieurs jours, je te vois passer sans Anne, ce sont les vacances, elle va bien !
• Sa copine Olga a eu le virus du covid et elle est cas contact, elle a été prévenue par la sécu et doit rester confiné pendant huit jours.
• Et toi, pourtant tu sors, je t’ai vu passer.
• Je lui prépare à manger et je laisse un plateau devant sa porte, je couche sur le canapé.
• Mon pauvre vieux, quelle merde ce virus, je te laisse, tiens voilà votre courrier.
• Victor...
• Oui, Gilbert, veux-tu me dire quelque chose ?
Un froid me glace, j’ai rejoint Sylvestre, ma cuisse collée à ses fesses, je sens que quelque chose va se passer très mauvais pour les deux hommes.
• Non, rien, salut, merci pour le courrier.
La tension est montée si haute que d’une main Sylvestre me repousse vers la table, étrangement il bande, la proximité de tuer, l’a-t-il mis dans tous ces états.
Il me pénètre sans ménagement comme il l’aurait fait avec une poupée gonflable.
Entre lit, repas et télé, principalement les infos où l’on parle de lui encore quelquefois. Il m’a baisé de si nombreuses fois, que sur cette table, devant Gilbert que je vois revenir, j’ai un orgasme dévastateur à la limite de me faire tourner de l’œil.
• Bon, il faut bouger, mon braquage semble s’être tassé, Gilbert, viens ici !
Mon cocu vient vers celui qui le domine.
• Est-ce toi sur cette photo ?
• Oui, j’étais jeune et lorsque j’ai épousé Anne, elle a voulu que je la vende, faire de la moto elle trouvait ça trop dangereux.
• Voilà les clefs d’une autre moto, elle est garée à deux rues de mon braquage, elle est rouge, va la chercher et ramène là dans votre garage.
Mon cocu s’exécute et je passe une dernière nuit à baiser avec mon amant.
• J’ai une proposition à te faire.
• Accepté d’avance.
• Dans ce sac, il y a 90 000 €, c’est loin d’être suffisant pour des vacances sous les cocotiers.
Si les choses s’étaient bien passées lors de ce braquage, j’avais prévu de me faire la banque près de là.
Pour ce gros morceau, qui nous permettra de changer de vie, il me faut un adjoint qui tienne les employés en joue pendant que je vide le coffre.
Veux-tu m’aider ?
C’est ainsi que je me retrouve assis derrière mon amant roulant vers un braquage de banques.
L’adrénaline est à son maxi lorsque nous nous arrêtons et que nous rentrons en force dans la banque en poussant une femme enceinte.
J’ai une arme en main, Sylvestre en avait avec les billets dans son sac de sport.
Je porte son casque rangé dans la valise de sa moto.
• Haut les mains, c’est un braquage, couchez-vous tous au sol, vous aussi madame avec votre gros ventre.
Sylvestre et moi nous donnons nos ordres de façon cassante.
La jeune femme certainement de mon âge a du mal à s’allonger.
Je m’énerve, je sais que nous avons peu de temps avant l’arrivée de la police.
Lui a pris un de mes bas qu’il a mis sur son visage.
Ma chatte dégouline de peur, mais surtout d’adrénaline.
Je fais un mouvement avec le révolver pour qu’elle se dépêche, un coup part l’atteignant en pleine tête.
• Quelle conne vient, tirons-nous !
Qui est la conne, la jeune femme ayant un troisième œil au milieu de son front ou moi qui ai tiré ?
Nous sortons en courant, Sylvestre mon sur la moto, je l’enfourche montant derrière lui.
On démarre, mais on me tire dessus.
Je me retourne et j’arrose, jusqu’à ce que mes réserves se terminent.
J’ai eu le temps de voir un policier tirant dans notre direction.
Un coup à la nuque...
Je m’appelle Gilbert, oui, la lopette !
Je suis le mari d’Anne, qui est morte ce matin d’une balle à la base de son cou brulant sa carotide en venant frappé la tête de son fumier d’amant.
Mort sur coup direct en même temps d’une même balle.
La télé allumée m’annonce la mort de ma femme et de son amant.
La presse le lendemain titre.
« Une jeune femme inconnue des services de police a participé au braquage sans que l’on sache qui elle est et comment elle a rencontré Sylvestre, le truand recherché après un premier braquage il y a quelques jours... »
Hier après la mort de ma femme sachant que la police finirait par découvrir la salope que j’ai épousée.
Je me rends à la police signaler sa disparition depuis plusieurs jours avec dans le coffre de notre voiture le sac avec l’argent.
Une fois cette disparition signalée, je prends la route de la proche banlieue parisienne, chez ma mère où je le cache.
La presse titre.
« La police a retrouvé qui était la jeune femme ayant participé et tué une jeune femme dans l’attaque d’une banque.
Comment cette jeune institutrice, dont la disparition avait été signalée par son époux à la police... »
Voilà, je suis une lopette, mais une tantouse vivante avec devant lui 90 000 € et deux flingues restés dans le sac, je vais pouvoir venir et glander comme j’aime le faire.
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