COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (3/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (3/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (3/4)
Je tombe, je tombe, je jouis, je tombe, je jouis, je jouis.
Une dernière gorgée de champagne, je tombe dans un puits sans fond.

Aie ma tête.
J’essaye d’ouvrir un œil, le soleil sur mon lit m’agresse.
Je plonge ma tête sous mon oreiller de plume.
J’ai l’impression que je me suis mis une tonne de plomb dessus.
Petit à petit mes idées me reviennent.
Alex, l’homme témoin de mon délit de fuite après avoir renversé une mémé et embouti sa voiture avant d’accélérer sans trop savoir pourquoi est venu me faire du chantage.
Une à une mes idées me reviennent.
J’avais rendez-vous Augustin avec un avocat rencontré plusieurs fois au tribunal lorsqu’il venait défendre divers prévenus.
Je savais qu’il était célibataire.
Oh ! pas parce que j’ai diligenté une enquête de police étant juge d’instruction, mais simplement par Olga, ma secrétaire, vieille fille à chignon et grosses lunettes noires lui donnant la silhouette d’une institutrice de province.
Olga à quelques mois de la retraite pleurant déjà quand nous sommes seules à l’ennui qu’elle craint, elle qui a tout donné à son travail.
Je soupçonne Olga d’être vierge.
Outre cette différence entre nous, ce sont nos vêtements qui se remarquent quand je suis avec des prévenus.
Elle col Claudette, moi en chemisier blanc avec deux boutons ôtés dévoilant le haut de mes seins.
Sans avoir l’impression d’être une jeune femme vicieuse, ces hommes souvent privés de femmes ont un regard qui en dit long sur l’envie qu’ils ont de me sauter dessus.
C’est pour mieux les déstabiliser quand je clos leur dossier les envoyant pour des années au cachot lors de leur procès.
Pourquoi, alors que ma tête va exploser, le pont des Soupires de Venise me revient en mémoire ?
Certainement comme ces prisonniers vénitiens voyant le jour souvent pour la dernière fois, mes seins se sont sur eux qu’ils soupiraient.

Ah oui, ça me revient bribe par bribes !
J’étais pressée d’aller me faire sauter et le retard pris à cause d’une erreur de la pénitentiaire m’a fait commettre l’impardonnable.
Je sors un œil avec l’envie de retrouver mon trou noir.
En faite, un instant de lucidité me revenant, j’ai échangé une bite peut-être m’apportant une déception par des myriades de bites et de chattes dans la partouze où Alex m’a conduit.
Sexes et stimulant donné personnellement par Hubert, le président du tribunal, lorsqu’il m’a fait sucer sa queue de vieux.
Boire, boire, boire, comme j’ai joui, joui, joui toute au long de la nuit.
Boire malgré les litres de champagne but directement au goulot des bouteilles ou sur la queue du président et les chattes de plusieurs femmes, comme elles en ont bu des litres dans la mienne.
Je passe ma main sur ma chatte, elle semble propre.
Sans mon horrible mal de crâne, je pourrais penser que cette soirée, je viens de la rêver.
Un coup d’œil sur mon réveil.
Tiens, il a oublié de sonner.
Que je suis bête, c’est dimanche et je vais pouvoir remettre mes idées en place.
C’est sûr tous le début de soirée, je sais qu’elle a été réelle, mais après trou noir au cours de la nuit dont je viens de sortir.
14 heures 50, presque 15 heures, j’arrive à me lever titubante légèrement et entièrement nue, je me rapproche de ma cuisine.
À côté de ma machine à café, un verre plein d’eau, une carafe elle aussi remplie d’eau, deux croissants et un cachet d’efferalgan.
Un, deux, trois verres d’eau coup sur coup.
Le tout agrémenté du cachet, je finis par remettre les pieds complètement sur terre.
Un doute me prend, mes rares bijoux, surtout ceux que maman m’a légués.
Tout est là.
Quel voleur vous ferait prendre un bain ma salle d’eau en atteste.
Vous coucherait sans vous violer, ma chatte peut en attester malgré les légères douleurs, certainement dues aux excès de sexe de cette nuit.
Je vais me faire un expresso bien serré en mangeant les croissants.
Là encore, pourquoi si celui qui m’a ramené, a fait tout cela, aurait-il été me chercher des croissants s’il avait de mauvaises idées à mon encontre.
Ma tête remise en place, toujours nue, je m’approche de ma fenêtre, Merde, dans la rue, ma voiture brille par son absence.
Ouf, je sais qui la prise, le coupé sport d’Alex, est là.
Je vois une voiture rouge arriver et se garer.
Alex en descend superbe dans son costume impeccablement coupé.
Je vais dans ma salle de bains récupérer mon déshabillé que j’ai spécialement acheté si nous avions fini la nuit d’avant-hier chez moi avec Augustin.
Vaporeux à souhait, quand j’entends la porte s’ouvrir, il est trop tard pour aller dans ma chambre chercher celui du même style qu’Olga doit avoir et que j’enfile tous les soirs quand je m’endors de fatigue devant ma télé.

• Tu es là, Double V, je vois que tu as récupéré !
• Oui, je crois que tu m’as fait faire quelques excès.
• J’ignore ce que tu as fait.
Ce que je sais, c’est que je t’ai conduit à la soirée ou je suis parti quand je t’ai vu, t’agenouiller devant le président du tribunal et qu’il t’a fait avaler un cachet d’ ecstasy.
Il était 5 heures quand il m’a rappelé, à voir ta tête, tu vois dans l’état où je t’ai récupéré.
Tu dois t’étonner que je sois rentré chez moi après la soirée où je t’ai conduit à la demande de ton président.
Je suis marié et j’ai deux enfants.
J’aime ma femme et sexuellement elle me comble, pourquoi irais-je chercher ailleurs ce que j’ai chez moi.
Tu dois comprendre que dans l’affaire qui m’a conduit devant toi, je me tais, car cela implique beaucoup de beau linge du genre de ceux qui ont passé la soirée avec toi.
Si dans ton bureau, je t’avais donné la réalité de l’affaire, c’est une grande partie des responsables de la ville qui sautait.
Dans ce que j’ai fait, je suis ce que l’on appelle un bouc émissaire, mais volontaire quand on sait la réalité de ce que cela me rapporte.
Je suis donc une tombe et comme ce que je viens de te dire est dit hors de ton bureau, il te sera impossible de l’exploiter.
Pourquoi as-tu emmené ma voiture laissant la tienne.
Nous avons un ami garagiste qui a accepté de travailler un dimanche pour remettre ta voiture en état.
Les trace de ta collision et de ton délit de fuite a été effacé.
Madame Adèle, son fil au chômage depuis des mois va recevoir une lettre d’embauche à la mairie comme cantonnier.
Ça va le soulager lui qui a cinq enfants.
Il va sans le dire, qu’elle retire sa plainte contre ton éventuel délit de fuite.
Tu peux dormir tranquille, tout est nickel.

D’instinct, je me lève et lui saute dans les bras.
Mon déshabillé s’ouvre, mes seins venant se plaquer sur le gilet d’Alex.
Ma bouche pose un gros baiser sur sa joue, enfin au coin de ses lèvres.
D’une main ferme, il me repousse.

• Tu es bandant surtout quand tu es femme, pas ma caricature que tu montres dans ton bureau au tribunal.
Mais recule et ferme se pousse au viol, je t’ai dit que j’étais fidèle à ma chère et tendre.

Mes clefs récupérées, Alex me laisse, me montrant une grandeur d’âme qu’au premier abord j’étais loin d’avoir remarqué dans mon bureau.
Je me recouche et sans aucun problème, un café et deux croissants dans le ventre, je dors jusqu’à ce que mon réveil me prévienne que c’est lundi et que mes dossiers s’empilent sur mon bureau.
Je prends un peu de temps à choisir ma tenue.
Tailleur comme habituellement, mais rouge au lieu du noir.
Table de maquillage, deux rouges à lèvres, le rose l’habituelle et le rouge carmin acheté par erreur il y a quelques semaines.
C’est lui que je choisis soulignant mieux ma bouche.
Je suis à deux doigts de refaire mon chignon, mais les mots de celui qui m’a conduit dans une partouze, mais qui a été un parfait gentleman avec mes fesses.
Sans compter ma voiture que je vais retrouver en parfait état enlevant tout soupçon d’un délie de fuite.
Je les brosse les laissant tomber sur mes épaules.
Un dernier point, les chaussures, je mets mes noires à talon plat.
Devant ma glace dans l’entrée, l’incongruité de mon tailleur rouge me saute aux yeux, je retourne à mon dressing d’où j’en sors celle prévu avec ce tailleur.
Talon haut dix centimètres, je les ai portés une seule fois au mariage d’une amie.
Devant la glace, ma silhouette est parfaite.
Une dernière retouche habituelle celle-là, j’ouvre deux boutons de mon chemisier blanc.

• Pardon, madame la juge, vous êtes resplendissante ce matin, votre nouveau look vous va à ravir.
• Madame, votre look est parfait, voulez-vous m’épouser.

Ça c’est Albert, le gardien du Palais, quand je le croise dans la salle des pas perdus.
Il est en couple pour garder le palais et sa femme Claudette.
Une grosse à forte poitrine et gros cul.
Il essaye de sauter tout ce qui bouge à ce jour, je devais le rebuter, car ces propos matchiche ils les faisaient aux autres pas à moi.

• Madame, c’est vous, vous avez osé ce que j’ai toujours osé faire repoussant toujours à plus tard le moment de le faire.
Vous êtes belle...elle madame.

Ça c’est Olga lorsque je rentre dans mon bureau.
Quand elle me voit, elle tombe en pleurs.
Je la prends dans mes bras, alors qu’elle est assise sur sa chaise de travail.
Je sens son souffle non loin de ma chatte qui s’échauffe.
Depuis ce samedi où j’ai goutté au plaisir les biens, la manière dont elle me plotte les fesses me montrent que ce doit être une gouille refoulée l’ayant cachée toute sa vie.
Le peu que je sais d’elle, femme plus que discrète, c’est que sa famille est catho à la limite de l’intégrisme et une lesbienne dans leurs rangs serait une malédiction de Dieu.
J’arrive à m’en dépêtrer, certes, l’autre nuit, j’ai sucé des chattes aussi vieille que la sienne, mais je vois mal faire ça ici dans le Palais de Justice.

• Olga convoquez-moi monsieur Alex avec son avocat.
Pendant mon week-end, j’ai travaillé sur leur dossier, une pièce importante du dossier m’avait échappé.

Deux jours plus tard, Alex entre dans mon bureau, je l’attendais avec maître Gilles, c’est maître Augustin qui l’accompagne...

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