COLLECTION DOMINANT DOMINE. La larme du diable (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. La larme du diable (1/2)
- Excusez, voulez-vous que je vous aide à traverser ?
Vous semblez hésiter !
- Merci, je suis nouveau dans le quartier, je manque de repères, mais ça va venir.
Il passe sa main sous mon bras sa canne blanche de l’autre.
Vert, nous traversons.
- Merci, je vais à droite.
- Moi aussi, continuons.
- Vous avez des seins magnifiques !
- Vous êtes voyant, vous vous amusez à jouer les aveugles ?
- Non, aucune méprise, mais ma main a caressé l’amorce de votre sein.
Vous, les protégés par un tee-shirt à manches courtes, ce simple contact m’a apporté tous ces éléments.
Vous les laissez libres et j’entends le léger tressautement quand vous avancez.
Mes yeux sont morts, mais mon cerveau et mes autres sens sont exacerbés.
- Je suis arrivé.
- C’est drôle, moi aussi, j’habite avec mon mari au cinquième.
- Et moi, un étage plus bas.
Le code AEB012.
Il tape avec dextérité le code et pousse la porte.
- J’ai oublié de me présenter, Simon, 32 ans, célibataire, écrivain.
- Suzy, 30 ans, mariés sans enfant, secrétaire par télétravail.
- Écrivain ?
- Oui, grâce aux techniques modernes, j’écris en attente de publication.
Nous prenons l’ascenseur.
Il est petit et nous sommes très rapprochés.
Une sorte d’onde passe en moi, mais Simon me regarde de ses yeux sans expressions.
Chacun chez soi, j’oublie ce qui s’est passé.
Dans la nuit, je me suis couchée un peu frustré, la passion étant émoussée avec Claude mon mari, je finis par m’endormir.
« Susy, caressez-vous, votre main va compenser ce que ce con à vos côtés semble avoir oublié.
Vous verrez une bonne masturbation, ça vous apportera une partie de ce qui vous manque.
Vos doigts vont être mes doigts. »
Ma main dans mon sommeil répond à l’injonction et c’est naturellement que je me donne du plaisir ayant l’impression que mes doigts sont détachés de moi.
- Oui, oui, oui, NON…
Je me réveille en sueur assise dans notre lit.
- Chérie, que t’arrive-t-il, pourquoi viens-tu de crier « non » avec une force ?
Tu as fait un cauchemar !
Un cauchemar se finissant par un orgasme que j’ai dû avoir du mal à admettre ayant crié ces trois lettres, non.
Nous nous rendormons, j’ignore pendant combien de temps.
« Susy faite un effort regardez votre mari couché sur le dos.
Sa verge repose sur sa cuisse toute môle, prenez là dans votre main et posez votre bouche dessus.
Je sais, vous avez toujours refusé de le sucer, il y a un début à tout, ça relancera sa libido pour vous ! »
Je dois dormir, comme un peu plus tôt quand je me suis masturbée.
Dans la lueur du radio-réveil, je vois ma main se porter sur la verge de mon époux.
J’hésite une seconde et ma bouche s’avance très doucement.
Comment cette voix en moi peut savoir que je refuse de faire des fellations à Claude ?
Je l’ignore, mais c’est une force irrésistible qui me pousse en avant.
Je la fais entrer lentement dans ma bouche.
- Chérie, que fais-tu, j’adore.
Attention, je vais partir.
Ah ! Ah ! Ah !
C’est la première fois que ma bouche est remplie par le sperme de Claude.
C’est drôle, pourquoi avoir attendu si longtemps.
- Ma chérie, je suis un homme comblé, je pars au bureau le cœur serein.
J’ai hâte d’être à ce soir, tu vas voir ce que tu vas voir.
Claude tout guilleret est parti vers son bureau au ministère des armées.
- Entrez Susy, je vois que vous êtes à l’heure et que notre connexion fonctionne à merveille.
- Oui, Maître, je suis entièrement à vous.
Comment avez-vous réussi à prendre possession de mon corps ?
- Quand je vous ai touché le sein et dans l’ascenseur, vous êtes entièrement à moi maintenant.
Encore deux ou trois étapes et vous connaîtrez la larme du diable.
J’ai hâte, Maître.
- Pourquoi enlevez-vous votre peignoir ?
Je viens de l’entendre tomber au sol.
Je m’appuie les mains sur la table de la salle, dégageant mon cul.
- Je veux que vous me fouettiez, Maître.
Je sais que ça fait partie de mon initiation.
Je suis prête et entièrement à vous.
- Très bien, continuez comme ça et vous serez rapidement marqué par la larme du diable.
Il se déplace mieux qu’au feu rouge.
Il ouvre une armoire, un grand fouet claque.
Je devrais être anxieuse, mais j’ai une entière confiance en celui qui a pris possession de moi.
Malgré son handicap, la lanière vient très précisément entourez mes pommes d’amour.
À chaque coup, je devrais hurler, mais je sais que si je veux arriver aux larmes, il faut que je sois à la hauteur.
Mes fesses sont entièrement zébrées.
Je sais qu’avec mon Maître, c’est lui qui va diriger nos jeux sans que lui me touche autrement que par nos cerveaux.
- Vous pouvez aller, soyez prête pour la suite.
Ce sont mes fesses douloureuses que je retourne chez moi, mon Maître retournant vers ce qui doit être son bureau.
Je prends un bain atténuant les brûlures de mon cul jusqu’au retour de Claude.
Nous sommes dans la cuisine.
Je m’agenouille, j’ouvre sa braguette et je recommence à le sucer.
Pas d’injonction de la voix de mon Maître, seulement par envie.
- Tu veux sur la table, ou allons-nous dans la chambre ?
- Soyons fou, le cul sur la table.
Je me fais prendre sur la table pour éviter de montrer les traces sur mes fesses.
Mais c’est loin de lui suffire, il me retourne et me claque les fesses.
Simon est vraiment le diable, car en me prenant et me claquant les fesses, il déclenche un orgasme en moi sans sembler voir les moindres traces de fouet.
Nous nous couchons satisfaits d’avoir fait l’amour autrement que dans notre lit.
« Susy, alors on trompe son Maître, pour vous punir suivez mes instructions. »
Je sais ce que je dois faire, s’est insensé.
Je me lève, je vais dans l’entrée et prenant mon imper gardant mes mules, je prends l’ascenseur.
Quelques mètres et j’entre dans le parc jouxtant notre immeuble.
- Tu es exact à notre rendez-vous, je vais te prendre comme tu me l’as demandé par Internet.
Il ouvre mon imper, je me place de moi-même sur un banc m’appuyant sur son dossier.
- Je vais t’enculer comme tu me le demandais.
C’est sur ce banc alors que j’étais loin du fantasme de sodomie qu’il m’a pris l’anus.
Première fois et coup de maître, car j’ai joui par ma rosette jusqu’à ce que je sente son sperme en moi.
Quand je remonte, Claude est encore endormi, c’est normal, il est trois heures.
Par chance à part mon enculeur, aucune rencontre intempestive.
C’est très serein que je me recouche.
Il est 9 heures, je sonne, un étage plus bas, je suis à l’heure…
Vous semblez hésiter !
- Merci, je suis nouveau dans le quartier, je manque de repères, mais ça va venir.
Il passe sa main sous mon bras sa canne blanche de l’autre.
Vert, nous traversons.
- Merci, je vais à droite.
- Moi aussi, continuons.
- Vous avez des seins magnifiques !
- Vous êtes voyant, vous vous amusez à jouer les aveugles ?
- Non, aucune méprise, mais ma main a caressé l’amorce de votre sein.
Vous, les protégés par un tee-shirt à manches courtes, ce simple contact m’a apporté tous ces éléments.
Vous les laissez libres et j’entends le léger tressautement quand vous avancez.
Mes yeux sont morts, mais mon cerveau et mes autres sens sont exacerbés.
- Je suis arrivé.
- C’est drôle, moi aussi, j’habite avec mon mari au cinquième.
- Et moi, un étage plus bas.
Le code AEB012.
Il tape avec dextérité le code et pousse la porte.
- J’ai oublié de me présenter, Simon, 32 ans, célibataire, écrivain.
- Suzy, 30 ans, mariés sans enfant, secrétaire par télétravail.
- Écrivain ?
- Oui, grâce aux techniques modernes, j’écris en attente de publication.
Nous prenons l’ascenseur.
Il est petit et nous sommes très rapprochés.
Une sorte d’onde passe en moi, mais Simon me regarde de ses yeux sans expressions.
Chacun chez soi, j’oublie ce qui s’est passé.
Dans la nuit, je me suis couchée un peu frustré, la passion étant émoussée avec Claude mon mari, je finis par m’endormir.
« Susy, caressez-vous, votre main va compenser ce que ce con à vos côtés semble avoir oublié.
Vous verrez une bonne masturbation, ça vous apportera une partie de ce qui vous manque.
Vos doigts vont être mes doigts. »
Ma main dans mon sommeil répond à l’injonction et c’est naturellement que je me donne du plaisir ayant l’impression que mes doigts sont détachés de moi.
- Oui, oui, oui, NON…
Je me réveille en sueur assise dans notre lit.
- Chérie, que t’arrive-t-il, pourquoi viens-tu de crier « non » avec une force ?
Tu as fait un cauchemar !
Un cauchemar se finissant par un orgasme que j’ai dû avoir du mal à admettre ayant crié ces trois lettres, non.
Nous nous rendormons, j’ignore pendant combien de temps.
« Susy faite un effort regardez votre mari couché sur le dos.
Sa verge repose sur sa cuisse toute môle, prenez là dans votre main et posez votre bouche dessus.
Je sais, vous avez toujours refusé de le sucer, il y a un début à tout, ça relancera sa libido pour vous ! »
Je dois dormir, comme un peu plus tôt quand je me suis masturbée.
Dans la lueur du radio-réveil, je vois ma main se porter sur la verge de mon époux.
J’hésite une seconde et ma bouche s’avance très doucement.
Comment cette voix en moi peut savoir que je refuse de faire des fellations à Claude ?
Je l’ignore, mais c’est une force irrésistible qui me pousse en avant.
Je la fais entrer lentement dans ma bouche.
- Chérie, que fais-tu, j’adore.
Attention, je vais partir.
Ah ! Ah ! Ah !
C’est la première fois que ma bouche est remplie par le sperme de Claude.
C’est drôle, pourquoi avoir attendu si longtemps.
- Ma chérie, je suis un homme comblé, je pars au bureau le cœur serein.
J’ai hâte d’être à ce soir, tu vas voir ce que tu vas voir.
Claude tout guilleret est parti vers son bureau au ministère des armées.
- Entrez Susy, je vois que vous êtes à l’heure et que notre connexion fonctionne à merveille.
- Oui, Maître, je suis entièrement à vous.
Comment avez-vous réussi à prendre possession de mon corps ?
- Quand je vous ai touché le sein et dans l’ascenseur, vous êtes entièrement à moi maintenant.
Encore deux ou trois étapes et vous connaîtrez la larme du diable.
J’ai hâte, Maître.
- Pourquoi enlevez-vous votre peignoir ?
Je viens de l’entendre tomber au sol.
Je m’appuie les mains sur la table de la salle, dégageant mon cul.
- Je veux que vous me fouettiez, Maître.
Je sais que ça fait partie de mon initiation.
Je suis prête et entièrement à vous.
- Très bien, continuez comme ça et vous serez rapidement marqué par la larme du diable.
Il se déplace mieux qu’au feu rouge.
Il ouvre une armoire, un grand fouet claque.
Je devrais être anxieuse, mais j’ai une entière confiance en celui qui a pris possession de moi.
Malgré son handicap, la lanière vient très précisément entourez mes pommes d’amour.
À chaque coup, je devrais hurler, mais je sais que si je veux arriver aux larmes, il faut que je sois à la hauteur.
Mes fesses sont entièrement zébrées.
Je sais qu’avec mon Maître, c’est lui qui va diriger nos jeux sans que lui me touche autrement que par nos cerveaux.
- Vous pouvez aller, soyez prête pour la suite.
Ce sont mes fesses douloureuses que je retourne chez moi, mon Maître retournant vers ce qui doit être son bureau.
Je prends un bain atténuant les brûlures de mon cul jusqu’au retour de Claude.
Nous sommes dans la cuisine.
Je m’agenouille, j’ouvre sa braguette et je recommence à le sucer.
Pas d’injonction de la voix de mon Maître, seulement par envie.
- Tu veux sur la table, ou allons-nous dans la chambre ?
- Soyons fou, le cul sur la table.
Je me fais prendre sur la table pour éviter de montrer les traces sur mes fesses.
Mais c’est loin de lui suffire, il me retourne et me claque les fesses.
Simon est vraiment le diable, car en me prenant et me claquant les fesses, il déclenche un orgasme en moi sans sembler voir les moindres traces de fouet.
Nous nous couchons satisfaits d’avoir fait l’amour autrement que dans notre lit.
« Susy, alors on trompe son Maître, pour vous punir suivez mes instructions. »
Je sais ce que je dois faire, s’est insensé.
Je me lève, je vais dans l’entrée et prenant mon imper gardant mes mules, je prends l’ascenseur.
Quelques mètres et j’entre dans le parc jouxtant notre immeuble.
- Tu es exact à notre rendez-vous, je vais te prendre comme tu me l’as demandé par Internet.
Il ouvre mon imper, je me place de moi-même sur un banc m’appuyant sur son dossier.
- Je vais t’enculer comme tu me le demandais.
C’est sur ce banc alors que j’étais loin du fantasme de sodomie qu’il m’a pris l’anus.
Première fois et coup de maître, car j’ai joui par ma rosette jusqu’à ce que je sente son sperme en moi.
Quand je remonte, Claude est encore endormi, c’est normal, il est trois heures.
Par chance à part mon enculeur, aucune rencontre intempestive.
C’est très serein que je me recouche.
Il est 9 heures, je sonne, un étage plus bas, je suis à l’heure…
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