COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. La noyée du lac (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. La noyée du lac (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. La noyée du lac (1/1)
• Monsieur le commissaire, c’est une femme de race blanche, environ la trentaine.

Presque exact, trente-deux très exactement.

• Le promeneur l’ayant trouvé flottant dans les nénuphars à appeler pour dire que le corps d’une femme nue se trouvait sur le ventre.

Exact, lorsque celui qui m’a tué m’a jeté à l’eau en plein milieu du lac, j’étais sur le dos la chatte pointant vers le ciel et mes nichons servant de flotteur.
Ça fait combien de temps que je suis là, oui, deux jours et si on m’a retrouvé sur le ventre c’est à cause de ce putain de hors-bord qui m’a frôlé et à cause de qui je me suis retournée.
J’ai eu un coup de chance, l’hélice est passée à quelques centimètres de moi évitant mon ventre, ce qui aurait dispersé tous mes boyaux aux quatre coins.
J’ai été attaqué par des mini-poissons, mais par chance vu la situation sans rien ressentir.
Éventré, certains carnassiers s’en seraient donné à cœur joie et j’aurais été dispersé aux quatre coins du lac de la ville où j’habite, pardon, où j’habitais.

• Aux premières constatations, cette femme blonde à subit de nombreuses brûlures de cigarettes sur le dos, mais aussi ses fesses.
Attends Jacques, regarde ce morceau rouge coller sur sa nuque, c’est de la cire.
Ajouté à cela la ceinture étant autour de son cou, je dirais qu’il s’agit de jeux de dominations ayant mal tourner.

Perspicace le légiste, mais ça c’est la base de mon histoire.

• Peut-on la retourner ?
• Bien sûr, messieurs, profitez-en pour la poser sur ce brancard.
Tu vois j’avais raison, brûlure dans l’intérieur des cuisses, mais aussi ces lèvres vaginales et sur les seins, ou on lui a posé des anneaux.
Elle se faisait suspendre et ou on lui mettait des poids.
À l’étirement des grandes lèvres, je te dirais combien elle pouvait supporter.

Ouf, la lumière, sans l’eau qui me rentrait dans la bouche, bien sûr que mon maître me mettait des poids sur les anneaux avec des chaines.
400 grammes sur chaque grande lèvre, quel plaisir, lorsqu’il me faisait cela, la douleur était intense, mais mes envolés était encore plus grande et quel plaisir de me voir dans une glace.
À oui, les seins, mon maître en pendait 100 grammes à chacun d’eux.
S’ils s’approchent, ils s’apercevraient qu’il me mettait des pinces croco directement sur la fraise, on voit les marques des dents qui rentraient dans ma chaire et me donnait les plaisirs que je convoitais.
Grâce à la boule qu’il me mettait dans la bouche les voisins pouvaient dormir tranquille, sinon ça me faisait hurler, qu’est-ce que j’aimais ça.

• Emmenons là à l’institut, je vais l’autopsier, je t’en dirais plus après.

Eh, la tête, vous est-ce que ça va, lorsque j’ai commencé, mon maître a oublié de me dire que je risquais de donner à manger aux poissons du lac !
Et surtout de me retrouver dispersé sur une table froide d’autopsie.

• De mon côté, j’ai donné des instructions pour chercher si une personne de sexe féminin a été porté disparu depuis deux ou trois jours.
Ça nous fera gagner du temps dans notre enquête.
Je pars en vacances à la fin de cette semaine et je veux que le mystère de la femme nue du lac soit solutionné.

En vacances, je pars en vacances, moi, oui bien sûr en vacances éternelles.

• Attends Jean, le commissariat me rappelle.
Oui, Odile Duval, trente-deux ans, mariés à Jean Duval sans enfant.
Merci, allez chercher ce Jean et amenez-le au poste et commencé à l’interroger.
Il se peut qu’ils jouent à des jeux ayant mal tourné, avec la ceinture et paniqué il l’a jeté dans le lac avant de signaler sa disparition !

Vous voyez, j’avais raison pour l’âge, ce dois bien être moi qu’ils ont retrouvé flottant sur le lac.
Par compte, mon mari, ce pauvre chéri, mon maître, ils rigolent !
J’ai essayé de l’entraîner dans mes jeux sadomasos après avoir découvert que j’étais masochiste, mais la vue, d’un escargot mort le faisais fondre en larmes alors j’ai dû me débrouiller.
Voilà comment j’ai découvert et comment j’ai réussi à satisfaire mes besoins de sexe hard.
Certes, mon maître a transformé mon corps par ces piercings et surtout ces brûlures, mais lorsque je revenais de chez lui à moitié morte par ce qu’il m’avait fait subir, Jean me soignait sans me poser de question.
Il me sentait heureuse et ça lui suffisait.
Alors qui m’a tué, mais a-t-on vraiment essayé de me faire passer de vie à trépas ?

• Regarde ses seins, brûlures et petits trous, on devait lui percer les seins avec des aiguilles.
J’ai déjà vu ça une fois, regarde la couronne que ces trous font, celui qui lui a infligé ça, lui plaçait des aiguilles de seringues côte à côte.
La femme que j’ai autopsiée les avait encore, des aiguilles d’un centimètre.

Petite joueuse, moi je supporte des aiguilles de trois centimètres.
Trente dans chaque sein, j’aurais voulu que mon maître me fasse cela plus souvent, mais vu les risques d’infection, j’y avais droit une fois par mois.

• Regarde encore des traces de cire rouge de ce côté-là de son corps, c’est con, elle était bandante.

La cire, bien sûr, mon maître s’en servait avec un appareil qu’il avait mis au point.
J’étais saucissonné par des liens me prenant les seins, lorsque je baissais les yeux, ils étaient rougeâtres par le manque de circulation du sang.
La corde me prenait les jambes et il me suspendait avec au-dessus de moi des bougies allumées qui se déversaient là où les cordes me faisaient tourner.
J’adorais lorsque la cire me coulait sur la chatte, ça me brûlait, mais j’en redemandais, surtout que lorsque j’étais suspendu dans l’impossibilité de me défendre, je cachais des choses à mon mari au retour.
Je recevais de la cire, mais j’étais à bonne hauteur pour qu’il me mette son sexe dans le vagin.
Avec ses cordes et ses poulies, il me plaçait au-dessous des bougies laissant couler leur cire et c’est même lui le premier qui m’a enculé.
Le premier et le dernier à la vue de ma situation.
Lorsque je rentrais, mon mari me lavait doucement pensant que c’était des godes que l’on m’enfilait.
À aucun moment j’aurais voulu lui faire de mal et tant qu’il acceptait mes turpitudes sans qu’il ouvre sa bouche, pourquoi lui faire comprendre qu’il était cocu.

• Pour la ceinture semblant l’avoir étranglé, ça me fait penser au jeu du foulard dans les cours des institutions scolaires.
J’ai été prévenu par la directrice de l’école que ma fille jouait à ce jeu dans la cour derrière les chiotes, ce qui les cachait de la surveillance.
Je suis obligé de l’emmener chez une psy pour qu’elle lui fasse comprendre que ce jeu est très dangereux.
• Hélas, il faut bien que leur jeunesse se passe.
• Oui, mais en attendant on a failli la perdre et j’aurais perdu ma femme, elle aurait été inconsolable sans sa fille.

Voilà, on est sur la bonne piste, Jean était dans l’impossibilité de satisfaire ce que je pensais allait passer avec l’âge.
J’ai cherché quelqu’un pour satisfaire mes désirs sexuels de soumission et de rudesse.
Sur Internet, j’ai trouvé un maître à quelques kilomètres de chez nous.
Je l’ai appelé, sa dernière soumise venait de se marier, comme moi je le suis et elle est partie aux Antilles.
Elle voulait goûter aux Vaudous, il a accepté de me prendre sous sa coupe.
Je dois dire comment tout cela est venu, afin d’être honnête.
J’étais adolescente et les copines se vantaient de s’épiler la chatte sous couvert d’hygiène.
Au début, j’avais si peu de poils que je les enlevais un à un avec une simple pince à épiler.
Plus tard, je suis passée au rasoir de mon père, mais depuis que j’ai été en âge de me payer des soins, c’est mon esthéticienne qui me faisait le tablier.
La cire, surprenant au début, mais qui me fait jouir lorsqu’elle me l’arrache avec ses bandes de papier.
Alors la cire directement coulante sur les anneaux et les cordes me soutenant lorsque j’y pense dans l’eau de ce lac, je mouille.
J’ai un doute tout de même sur mon maître m’ayant strangulé jusqu’à me faire mourir.
Certes, comme la fille du commissaire j’ai joué au jeu du foulard dans ma jeunesse, mais mon maître maitrisait tellement son sujet, qu’il est impossible que ce soit lui qui m’ait fait passer de vie à trépas.

• Regarde, ces seins et sa chatte, les traces brunes, j’aurais dû te faire voir celle sur l’autre côté de son corps.
Le fouet, les lanières elle devait aimer se faire fouetter.
Un point pour ton enquête, il est impossible que le mari ignore que sa femme aime la douleur, à moins que ce couple, vive sans jamais ce dénuder.
À moins que ce soit chez les masos qu’il soit son maître.

J’ai dit que Jean était incapable de marcher sur une fourmi, alors me fouetter, certes, je l’étais à chaque séance du mercredi.
De nombreuses femmes vont au parc avec leurs enfants ce jour-là, moi j’allais me faire fouetter, percée, bruler à la cire, me faire enfiler et enculer seulement pour mon plaisir.

• Messieurs, attendez, avant de l’emmener, on me rappelle.
Vous avez été chercher le mari et il a avoué, c’est lui qui a voulu satisfaire sa femme en ayant mare de la voir le faire cocu !
Comment il l’a su ?
Il dit que lorsqu’elle revenait lorsqu’il lui donnait son bain, ses doigts nageaient dans le foutre sortant des orifices de sa femme.
Il y a deux jours lorsqu’elle est rentrée, il l’attendait voulant encore essayer que ce soit lui qui la fasse jouir en la sodomisant et en lui attachant sa ceinture autour du cou.
Il dit qu’il relâchait le nœud autour de sa gorge pour mieux l’enculer et recommencer à serrer.
Il était tellement concentré et le plaisir qu’il y prenait était tellement intense que lorsqu’il a joui dans son anus comme jamais, ça été la fin.
C’était la première fois qu’il la sodomisait et l’arrêt des cris de sa femme s’étant arrêté, il en a été inconscient jusqu’à ce qu’il relâche la pression sur la sangle.
Il a vu qu’il avait été trop loin lorsqu’elle s’est écroulée sur le tapis de bain de leur salle d’eau.
Il a tout fait pour la ranimer sans y parvenir.

Mais oui, ça me revient, Jean m’enculait plus fort que mon maître en tirant sur la ceinture qu’il m’avait passée autour du cou.
Que ce soit mon Jean qui est franchi ce pas, j’étais plus qu’heureuse, mais quand l’air a commencé à me manquer, j’ai hurlé, mais c’est en moi que ces cris sont restés.
Il a joui, j’ai joui comme jamais c’est ainsi que je suis morte.
Être dominateur c’est tout un art que mon maître métrisait et où Jean aura encore du chemin à faire.

• Bon j’arrive au commissariat, je vais boucler cette enquête, avec la signature des aveux de l’assassin, dès mon retour et le présenter à un juge.
Je vais pouvoir partir en vacances tranquillement.
Jules emmène le corps pour l’autopsier plus profondément, je joindrais ton rapport au mien, bonne journée.

La table d’autopsie, il va m’ouvrir le crâne, m’ouvrir le ventre et autres choses qui se font lors d’une autopsie.
Vais-je prendre mon pied lors de toutes ces opérations ?
Eh ! que dire de la crémation, après que Jean ait rejoint sa cellule pour de nombreuses années !
Vais-je ressentir le grand frisson lorsque les flammes vont commencer à lécher ma chatte, mes seins et tout le reste de mon corps.
Après deux jours de bains forcés dans le lac à donner à manger aux poissons.
Jean ayant dû se servir de notre petit hors-bord pour m’immerger, les flammes de l’enfer seront une douce fin pour moi qui aimait tant me faire martyriser.

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