COLLECTION DOMINANT DOMINE. La soumise. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. La soumise. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. La soumise. (1/1)
• Chérie, qu’as-tu sur ton sein, c'est une coupure ?
• Ce n’est rien Lionel, je me suis fait mal avec une porte contre laquelle je suis tombée.
• Une porte ?
• Une porte t’a coupé ?
• Oui, ce matin en sortant de la douche, j’ai glissé sur le sol mouillé et mon sein a tapé la porte sous le lavabo qui était ouverte.

Cette situation et ces remarques auraient dû faire voir à Lionel que j’ai un problème ! Mais il ne s'est douté de rien.
Même pour moi ce fut une surprise, j’ai découvert que pour prendre du plaisir il fallait que je me fasse mal !
Tout est parti du matin où, en me levant, j’ai voulu prendre un café en pleine canicule.
Par ces chaleurs, je dors nue et j’aime marcher sur le carrelage froid, sans mes mules.
J’ignorais si Lionel savait que notre nouvelle cafetière avait un défaut d’isolement et que si l’on touchait une des parties métalliques, on prenait la bourre.
Je me suis donc servi un café, tenant ma tasse de la même main, j’ai voulu appuyer sur le bouton arrêt, quand j’ai pris une châtaigne.
La tasse a volé et le café bouillant a été projeté sur l’un de mes seins.
Ma poitrine, je l'aime bien quand je me regarde dans ma glace, elle est encore ferme et gonflée.
Sur le coup, j’ai crié, mais rapidement, malgré la rougeur qui est apparue, j’ai ressenti un début de plaisir.
Je suis allée prendre une douche, et j'ai continué à ressentir du plaisir.
Incroyable pour moi, femme de quarante ans !
Étant étonnée de la réaction de mon corps, je suis allée voir sur Internet ce qu’il fallait que je fasse, car j’ai constaté en me lavant que ma chatte ruisselait comme jamais.
J’ai découvert par des lectures sur le net le milieu des Maîtres et des soumises, voire l’inverse ou des femmes avec des femmes, idem pour les hommes.
Un gros problème s'est posé à moi, l’amour de mon mari.
Un mari aimant, ayant mon âge.
Il gère un élevage de chiens dont il s'occupe.
Avec moi, il est très attentif, je peux dire que j’ai un mari doux et caressant.
Pourtant, je découvrais un monde dont je sentais qu’il lui serait impossible de me rejoindre, même simplement de le comprendre.
Un monde fait de brusqueries, de souffrances.
J’ai vu des vidéos où des femmes souffraient pour leur plaisir et surtout j’aimais que ce soit de plus en plus trash.
J’ai cherché à satisfaire moi-même mon corps, mais j’ai rapidement compris que seule, je resterais aux portes d’un monde que je sentais fait pour moi.
J’ai commencé par me poser une pince à linge sur mon mamelon et c’est là que je me suis coupée.
J’en ai mis aussi sur mes grandes lèvres comme le disait le site « La soumission pour les Nuls ».
J’ai apprécié quelques jours, mais hélas rapidement, j’ai senti que mon corps en voulait plus.
Les pinces sur mes tétons, sur mes lèvres vaginales, oui, mais cela ne me suffisait plus.
Sur un site, une adresse Mail m’a permis de joindre une femme cherchant à en dominer d’autres, elle était joignable par sa boîte de correspondance.
Démoniaque habitait près de mon lieu géographique, je l’ai contactée sur son mail, lui donnant mon numéro de portable, c’était une femme de 50 ans ayant eu plusieurs soumises et qui a accepté de me prendre en main.

« Je veux bien, mais à une condition, tu quittes ton mari.
J’ai de quoi te loger.
De toute façon, les queues des hommes c’est moi qui te les fournirai.
Je verrais ainsi si tu acceptes la soumission, sinon on perd notre temps.
Tu as 48 heures pour te décider. »
J’ai tenu 24 heures avant de prendre ma décision et de parler à mon mari.
C'était ce matin, au petit déjeuner.
J'étais en peignoir.

• Lionel, je vais te quitter.
• J’espère que tu rigoles, je t’aime tendrement, s’il y a un problème on va le résoudre, j’ai toujours règlé tous nos problèmes.
• C’est pour cela que je te quitte, j’ai besoin de plus, tu sais la coupure sur mon sein, c’était avec une pince à linge que j’ai mise sur mon mamelon que je me la suis faite.
J’ai mis des pinces un peu partout sur mon corps, mais c’est insuffisant.
Toi, tu es trop doux quand nous faisons l’amour alors je te quitte, j’ai trouvé une dominatrice.
• Je pourrais essayer de te donner plus de plaisir, dis-moi ce qu’il faut que je te fasse.
Veux-tu que je te pince le mamelon, je devrais serrer plus fort qu’une simple pince ?

Il écarte les pans de mon peignoir.
Il me prend la fraise de mon seins droit, il me pince, allonge le téton, et serre.
Sur le coup j’aime, mais insuffisamment pour régler mon problème.

• C’est gentil d’essayer, je t’aime moi aussi, mais il me faut un mâle un vrai ou Maitresse Démoniaque que je vais rappeler pour lui dire que je suis toute à elle, elle m’a promis de me fournir de vrais mâles.

La claque que je ramasse me fait voler sur les fesses, j’ai l’impression d’avoir reçu un coup de bourre de notre cafetière, dix fois plus fort.
Je me frotte la joue quand il me prend par les cheveux et me tire sans ménagement hors de notre maison.
Il m’attrape par une main et me traîne jusqu’à son lieu de travail, l'élevage canin et les chenils.
J’essaye de le suivre mais j’ai du mal, je tombe fréquemment, m’écorchant les genoux, je suis pieds nus, vêtue de mon peignoir ouvert.
Mes seins ballottant librementQuand nous entrons dans le chenil, les mâles et les femelles qui attendent d’être vendus me font la fête.
Auraient-ils compris que j’étais une nouvelle femelle rejoignant sa cage ?
Quand il ouvre la dernière cage, il prend le collier au bout d’une chaîne qu’il met aux chiens récalcitrants pour leur faire voir qui est le maître de notre élevage.
Sans le savoir, je découvre pourquoi il gagne beaucoup d’argent avec ses labradors mâles et femelles.
Ils sont beaux, mais il sait les dresser et en faire des chiens qui obéiront à leurs propriétaires au doigt et à l’œil.
Il m’arrache littéralement le peignoir, je me retrouve nue.
Je ne l’ai jamais vu dans une telle colère, ses yeux sont injectés de sang.
Heureusement c'est encore l'été.
Il prend une corde qui se trouve sur le grillage et m’attache les mains dans le dos avant de quitter la cage.
Pendant deux jours, j’ignore ce qu’il fait.
Il me laisse seule, ne vient pas me voir.
J'entends la bétonnière tourner à fond, Que construit-il !
J’ai faim, depuis ma baffe et mes mains attachées dans mon dos, je ne l’ai pas revu pendant tout ce temps.
Je suis obligée de constater qu’il a fait mouche, m'obligeant d’aller dans un coin de ma cage pour faire mes besoins.
La seconde nuit tombe, je m'endors.
Je suis endormie à même le sol quand je suis arrosée avec de l’eau froide.
Lionel mon homme est là, il a pris le jet d’eau rangé le long des cages et m’arrose copieusement.
Il vise tout mon corps, même ma figure ce qui finit par me faire suffoquer.
J'ai des frissons sur toute ma peau laiteuse.
Mes mamelles sont gonflées par ce froid et la puissance de l’eau les déformant.
Il ouvre la cage et défait la chaîne attachée à mon collier de chien.
Il la remplace par une laisse courte qui lui permet de maîtriser ses mâles les plus agressifs.
Elle serre mon cou.
Sans le moindre mot, il me conduit, m'obligeant à me déplacer à quatre pattes, jusque dans son laboratoire.
Il m’attache, toute nue, comme il le fait avec ses chiens quand il doit les soigner et enfin j’entends le son de sa voix.

• Ça te plaît ma jolie chienne, je vais te mettre un nouveau collier avant de te mettre dans ta nouvelle cage, mais avant ça fait deux jours que je suis sans femelle, tu vas le sentir passer.

Il me prend par le collier, il me tire la tête en arrière, à la limite de me casser le cou. Je le regarde il est en chemise et pantalon de travail.
Sa chemise ouverte montre sa poitrine velue.
Un vrai éleveur !
Je sens qu’il va dans son pantalon, sort son sexe et se plaçant derrière moi, sans ménagement, il se présente devant mon anus inviolé jusqu’à ce jour.
Il pousse, je dois me cambrer pour ne pas tomber et il entre en moi.
Quand il m’a dépucelé il y a de cela quelques années, j’ai eu mal, mais mon vagin s’est rapidement adapté à son calibre, là il se plante sans ménagement dans mon anus qui lui aussi accueille son long sexe.
Mon dieu qu’il est gros, je hurle entraînant les hurlements de tous les chiens et chiennes du chenil.
Il me pilonne l’anus jusqu’à ce qu’il éjacule, je sens son sperme remonter dans mes intestins vides de toute matière, n’ayant pas mangé depuis plus de deux jours.

• Ça te va comme ça ?
Suis-je capable d’être ton Maître comme cette Maîtresse Démoniaque que tu me vantais ?
Tends ton cou, je vais te river un nouveau collier qu’il te sera impossible d’enlever.
Après je te conduirais dans la cage que j’ai construite et où tu resteras jusqu’à la fin de ta vie.

La fin de ma vie !
Il est fou, je veux juste être une soumise.
La façon dont il s’est comporté ces derniers jours me satisfait pleinement.
Je suis contente qu’il m’ait enculée, même si mon anus me brûle.
Le plaisir que j'ai eu était nouveau pour moi, il faudra que je m'y habitue.
S’il me laisse retrouver notre chambre, il pourra me prendre régulièrement dans le rectum, je le sucerai aussi.
S’il le souhaite, je veux bien aussi venir très souvent dans la cage qu’il a construite pour moi, mais seulement pour quelques heures, quelques jours, pas pour toujours.
Je n’avais jamais vu la force de mon mari, lui qui me semblait si chétif.
Il a bien changé et cela me convient.
C’est avec une pince à river qu’il me fixe un collier plus large que celui qui était dans ma première cage.
Il semble allonger mon cou.
L’anneau est plus gros mais surtout il a des clous et une plaque.
J’ai le temps de voir que c’est mon nom « Agnès » en dessous « propriétaire Lionel » et en dessous notre nom de famille.
De femme, je deviens chienne, sa chienne, une chienne qui est soumise à son Maître comme j’en ai vu des dizaines sur le parcours derrière les cages où il les entraîne à écouter.
Son travail terminé, je sors de son laboratoire, la courte laisse fixée à mon anneau.
Je me sens de plus en plus à l'aise dans ma nudité.
Les chiens eux aussi sont nus !

• Avance, je vais te faire voir ton lieu de villégiature, enfermée et attachée par ton cou, impossible de t’enfuir retrouver ta démoniaque.

Contrairement à la première cage qui était au bout de celle des chiens, la nouvelle est placée à l’arrière, donc impossible à quiconque de voir que j’existe surtout quand il referme la porte, m’isolant du froid.
À l’inverse de la première, je suis gâtée, j’ai un tapis pour chiens grande taille.
Il va falloir que j’apprenne à dormir en boule car même si je ne suis pas très grande, il m’est impossible d’être en entier allongée dessus.
Je dois un peu me recroqueviller.
Je suis obligée de reconnaître que c’est un bon Maître, il a pris soin de moi, j’ai maintenant un certain confort.

• Tiens, je t’ai mis à boire et à manger, je pense que tu dois avoir faim.
Comme tu le remarques, il n’y a pas de commodité, chaque jour, je te sortirai sur le terrain de jeux de mes chiens.
Je devrais dire de mes chiennes.
J’ai un seul conseil à te donner, deviens une chienne dominante car sinon, tu vas morfler, les chiennes entre elles ne sont pas tendres.

Quand je rentre dans cette cage, il y a deux gamelles, l’une avec des croquettes, l’autre avec de l’eau. Elles sont fixées au sol.
Les croquettes, il les sort d’un des sacs que je l’ai vu déchargé, livré par le grossiste pour ses chiens.
Quant à l’eau, je suis obligée de me mettre la tête presque dedans pour pouvoir boire.

Je sais que les chiens lapent leur eau, j’essaye, je me mouille seulement la langue.
Dès le lendemain, je trouve la solution, j’aspire et je me désaltère.
On s'habitue vite !
Enfin, c’est ma première sortie, mon maître me laisse librement me promener.
Trois chiennes sont sur le terrain, elles veulent jouer avec moi, mais je me suis retenue pour mes besoins, alors je m’isole dans un coin et je me satisfais.
J’ignore comment je ferais quand mes intestins seront pleins.

Il y a trois jours que je suis dans ma cage, j’ai perdu la notion du temps, mon Maître vient me chercher à la nuit tombée, il me conduit dans notre chambre, toujours à quatre pattes.

• Tu as trente minutes pour te laver et te faire belle, je t’attends dans la salle à manger.

Il me quitte, je me dépêche, que veut dire ce renversement de situation ?
Je me savonne avec délectation, l’eau est crasseuse, j’ignorais qu’en si peu de temps on pouvait être si sale.
Je prends même le temps de me soulager, j’ignore la suite et dans combien de temps je retrouverais un tel confort.
Sur notre lit où je me love deux minutes, retrouvant la douceur de mes draps, je trouve une robe fermant sur mon épaule par une magnifique broche.
Elle est longue, moulante.
Je la mets, ainsi que des escarpins posés à côté.
Aucun sous-vêtements, il me veut nue !
Je rejoins Lionel, il a mis de la musique douce, une table est dressée avec un chandelier qui éclaire la pièce et un service inconnu de moi.
Il s’approche, me prend la main et me fait un baisemain.

• Bon anniversaire de mariage ma chérie, nous venons d’atteindre notre huitième année, tout va aller mieux dans notre couple, sinon…
Inutile qu’il en dise plus, je sais que si je mets en doute sa virilité, une cage m’attend.
Je passe une nuit ou je m'offre à lui plusieurs fois.
Une nuit où son sexe dès qu’il se repose, se remet en forme grâce à ma bouche.
.
Dans cette nuit de débauche, première d’une longue série, c’est moi qui me suis introduite sa verge dans l’anus.
La sodomie que j'ai découverte m'attire.
J'étais nue toute la nuit, dans le lit, enfin pas toute nue, j'ai dû garder le collier, qui je le sais à ce jour fera parti de moi.
À mon réveil je me sens pleinement femme, pleinement femelle aussi, je ferais tout pour le rester et être la bonne soumise qu’il a su faire de moi.

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