COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (6/6)
Parano, je deviens parano !
J’analyse chaque mot, chaque phrase prononcée par quiconque devant moi si cela parle de l’affaire du meurtre de notre maître à Valérie et à moi.
Blotti au fond de mon lit, je repense à ce que j’ai fait avec lui et les Bulgares soupçonnés de son meurtre.
Le fil est ténu entre eux et moi, pour exemple, mes empreintes digitales sur les cartes, en est une preuve.
Certes, j’ai repensé à mes empreintes et mon ADN, là je pourrais dire que je venais souvent voir ma voisine pour prendre de ses nouvelles comme je l’ai faite pour Mathéo et en en parlant avec Maria Santa notre gardienne.
Je deviens insomniaque, voire paranoïaque, j’ai même des doutes, j’ignore pourquoi, j’ai cocufié Calvin sans raison apparente.
Sur dès que j’ai vu cette verge gigantesque sur un si petit corps mes certitudes se sont envolées.
L’aurait-il appris et serait-il venu se venger, surtout s’il savait pour les Bulgare et leurs intentions malveillantes pouvant le toucher dans ses affaires ?
• Ma chérie, j’ai eu quelques informations sur le meurtre de notre voisin !
Mon sang se glace, mais Calvin me dit cette phrase si naturellement que j’arrive à reprendre mon calme attendant ce que sont ces informations.
• Les Bulgares, surtout Vladimir, ils ont la preuve qu’ils ont repassé la frontière le lendemain du meurtre.
Ils ont lancé un mandat international sans grand espoir de résultat, on sait comment finit ce genre d’homme si dans leur mission ils sont découverts.
Un instant lorsqu’il me parle de Vladimir je cherche qui est cet homme.
Bien sur Boris l’homme qui m’a mis sa bite dans le cul pendant que les deux autres me pénétraient ensemble par la chatte.
C’est drôle, j’ai beau cherché, ils m’ont baisé et à aucun moment, j’ai su leurs noms.
• Ils pensent que le tueur a pris le portable de Mathéo, car le téléphone que la police a retrouvé venait d’être acheté dans une boîte louche dans Paris.
Un autre point, certainement le plus insolite, ils ont trouvé un jeu de cartes posé sur la table avec des jetons de poker.
Une nouvelle fois, une sueur froide descend le long de ma colonne vertébrale, heureusement que je suis couchée, Calvin étant revenu tard de son travail.
Il avait rendez-vous avec un dîner en ville.
• Ils ont voulu prendre des empreintes, le jeu comme les jetons étaient neuf, ils n’avaient jamais servi.
Une baudruche qui se dégonfle, c’est ce que je suis, lorsqu’il me donne cette nouvelle, mais pessimiste de nature, la police va se poser plus de questions, qui avaient intérêt de supprimer toutes traces de son passage.
Je veux voir la réaction de Valérie à l’annonce de ces découvertes et des interrogations de la police.
Bien sûr avant je me donne sans aucune retenue à mon mari, il semblerait que l’amour revienne, comme si la disparition d’un rival avait redonné du tonus à notre couple.
Aux matins repus de son sexe m’ayant fait retrouver mon septième ciel, je suis une femme comblée.
• Valérie, retrouvons-nous à notre salon de thé si tu as toujours envie de me voir !
Elle veut toujours, ça me rassure sur un point, si elle avait été de mèche avec Mathéo, elle profiterait de sa mort pour reprendre son indépendance.
Lorsque nous nous rejoignons, certains diront que nous prenons des risques, mais qui peut reprocher à une amie de retrouver son amie ?
• Je suis heureuse que tu m’es appelée, j’avais envie de le faire, mais cette affaire me turlupine et si la police tombait sur le téléphone ou notre maître nous avait filmés dans des postures plus qu’indélicates.
• J’ai eu la même pensée, mais c’est là ou grâce à Calvin, j’ai quelques informations.
• La police est sur Boris qui en réalité s’appelle Vladimir, qui est bulgare et qui aurait repassé la frontière juste après avoir été vu par des caméras au volant de sa voiture dans le secteur où nous habitons avec Mathéo.
Tu m’excuses, j’ai terminé de l’appeler maître, il serait un simple truand international qui faisait du chantage à des femmes comme nous pour leur soutirer des informations.
De plus, après avoir tué le nain, il aurait fait le ménage, là où j’ai été soumise aux turpitudes de ces hommes.
Ils ont retrouvé le jeu de cartes dont nous nous étions servis par un jeu neuf et un portable vierge lui aussi de toutes communications et de contacts.
• Tu me rassures, je vais mieux dormir ce soir.
• Alors ça, rien de moins sûr, je crois que même si j’aime mon mari, il s’est passé quelque chose entre nous surtout lorsque j’ai vu la laisse dans ton vestibule.
J’ai grande envie de te maltraiter comme Mathéo nous maltraitait, je me vois bien te tordre tes pointes de seins entre mon index et mon pouce, jusqu’à te faire hurler de plaisir !
• Tu as lu en moi, je suis une femme qui hors des studios ou je dois lutter pour ma place dans ce monde de requins qu’est la télé, mais qui en dehors aime qu’on la force comme tu viens de le dire pour ce que tu ferais à mes seins.
Devient ma maîtresse si tu aimes dominer les autres, je suis ta soumise, domine-moi.
• Tu veux que je t’avoue un autre moment ou je me suis senti très forte envers toi !
• Non, je l’avoue !
• Lorsque tu m’as mis ton gode autour de ma taille et lorsque je t’ai pris comme les mâles nous prennent.
• J’ai senti un peu la même chose, mais dans un sens inverse, depuis je rêve que tu recommences à me labourer et me faire hurler de plaisir, j’en mouille encore.
• On est folle, parlons moins fort, quel scandale si une de ces bourgeoises nous entendait dire de telles horreurs.
• Elles se diraient que nous sommes deux femmes qui s’assument et qui s’assument.
Viens, prenons un taxi, je pourrais appeler le chauffeur de la production, mais inutile de perdre du temps, je veux être ta petite chienne.
Voilà comment deux salopes rejoignent l’appartement où nous nous sommes découvertes alors que moi je voulais savoir si mon amie avait des nouvelles de mon subordinateur.
• Tient, ils vendent un appartement dans ton immeuble, regarde le panneau sur la porte.
• Oui, une vieille dame est mal en point et sa fille l’a mise en maison de retraite, un très bel appartement, j’aimerais que tu vive en dessous de chez moi avec ton mari.
Je m’excuse de m’initier dans le commentaire que Juliette vous fait de ses turpitudes dans l’enquête que je dirige.
Je m’appelle l’inspecteur Barnabé, j’ai été chargé d’enquêter sur le meurtre d’un homme de petite taille s’appelant Mathéo et qui squattait l’appartement de madame Louise Sœur.
Les premières constatations lorsque je suis arrivé sur les lieux sont que cet homme étant décédé ayant reçu deux projectiles de 9 mm dans la tête dans son vestibule.
Il a été prouvé que le tireur s’était servi d’un silencieux ce qui a permis qu’aucun voisin présent n’ait entendu le bruit des balles.
Le meurtrier devait être connu de monsieur Mathéo, car il semble qu’il ait ouvert à son assassin sans la moindre précaution comme la prise de son arme qui se trouvait dans sa chambre.
Parmi ses voisins, madame Juliette m’a paru suspecte.
Elle s’était inquiétée auprès de madame Santa la gardienne de la disparition du décédé.
Là encore après enquête aucune preuve de rapprochement auprès de notre décédé n’a pu être établie.
Aucune caméra ne se trouvant près de l’immeuble, nous avons dû nous rabattre sur celle la plus proche, au carrefour avant les immeubles où le meurtre a eu lieu.
Par contre, celle-ci nous a montré clairement qu’à l’heure du meurtre défini par notre service de police judiciaire qu’une voiture conduit par Vladimir un Bulgare était passé avec cet homme au volant.
Nous avons conclu qu’il devait être le meurtrier et avons lancé un mandat international contre lui.
Un point nous est paru bizarre, le tireur avait nettoyé la scène de crime allant même jusqu’à remplacer le jeu de cartes et le portale ainsi que la pièce ou le jeu si jeu il y avait eu lieu s’était déroulé.
Pourtant nous avions un autre suspect, monsieur Calvin, mari de la voisine, mais il lui était impossible d’être à Bruxelles et à Paris dans la même nuit.
• Juliette, tu fais bien de passer, tu m’as fait peur lorsque tu m’as dit de me méfier de ce que je dis sur mon portable.
Ce matin au studio, on m’a amené un colis qu’un motard aurait déposé à l’entrée.
Je l’ai ouvert, regarde ce qu’il contenait.
• Un portable et un jeu de cartes.
Le portable Mathéo avait le même, c’est celui où il m’avait montré les photos qu’il avait faites lorsque vous le sussiez et toi Juliette qui vous faisait baiser.
Il y avait une lettre que voici.
« Mesdames, voici les deux preuves qui ont permis à votre amant de vous faire chanter, les photos du portable et le jeu de cartes, détruisez-les et vous serez tranquille plus rien ne pourra vous relier au meurtre de ce petit fumier.
Un ami qui vous veut du bien. »
C’est toutes les deux que nous sommes descendus sur les quais de Seine, Valérie a jeté le portable après avoir enlevé et cassé la carte qui s’y trouvait et moi qui en ait fait de même avec le jeu de cartes partant une par une au fil de l’eau.
Terminé les empreintes montrant s’il y avait lieu que j’avais joué au poker avec les hommes qui allaient nous faire encore plus de misère.
Nous sommes remontés et c’est dans ses bras que j’ai écrit le mot « fin » sur mon aventure extra conjugale.
Pas tout à fait, nous venons de déménager, Calvin a accepté de vendre là où nous vivions car je faisais des cauchemars en pensant à cet homme qui s’était fait tuer.
Nous avons emménagé dans l’appartement où réside Valérie ma soumise ce qui facilite notre rapprochement chaque fois que nous le désirons.
Présentement nous sommes en vol pour Las Vegas toute les deux, je vois le collier que j’ai offert à ma maîtresse et soumise.
C’est comme un collier de chien et sa laisse est dans mon sac à main.
Nous sommes en route pour que je participe au plus grand tournoi de poker, de la ville et du monde.
Quelques rangs devant nous il y a « Patrick » qui va lui aussi faire ce tournoi, je suis restée fidèle à ce jeu que notre ancien maître m’a fait découvrir, paix à son âme s’il en avait une.
Fin, non, je suis l’homme en noir qui s’est, introduit chez son voisin après une course folle en moto de Bruxelles à Paris puis retour dans la nuit.
J’ai sonné dès que je suis arrivée ayant évité de passer en survitesse les radars fixes dont j’avais relevé les emplacements pour éviter de me faire flacher.
Je voulais éviter de donner des preuves à la police que j’avais réussi à le faire un aller-retour en une nuit après la soirée passée avec notre président.
Quel meilleur alibi.
Ce que la police ignorait c’est que j’ai été pilote de course moto dans ma jeunesse et que rouler avec des pointes à plus de 200, frôlant même les 300 sur certaines lignes droites, ça m’était facile, même dans la nuit.
J’ai failli me faire prendre lorsque je nettoyais les endroits où la police aurait pu trouver des empreintes lorsque j’ai entendu qu’on bifouillait la porte d’entrée.
Je me suis planqué sous la table, j’ai su plus tard que les rapports incriminaient un Bulgare qui aurait pris mon meurtre à son compte.
La moto, c’est facile, je suis resté en contact avec un ami ayant une 1 000.
Je l’ai expédié vers la Belgique deux jours avant de faire ma course folle et mon meurtre ayant une sainte horreur que l’on touche à mes biens, ma femme en faisant partie.
En ce moment elle vole vers Las Vegas avec son amie Valérie notre nouvelle voisine que j’aimais bien regarder sur le portable de celui que j’ai abattu comme un chien de deux balles dans la tête tirée avec un silencieux, Juliette dormant à deux pas de ce qui deviendra une scène de crime.
Voilà la fin réelle de cette histoire vécue.
Un dernier point, Juliette a-t-elle des doutes que ce soit moi qui ai abattu son amant, je l’ignore.
Ce que je sais que faisant nettement plus attention à elle, nous baisons chaque fois que je suis près d’elle autant voir plus que dans nos premiers jours.
Si un autre nain de jardin à grosse queue veut une bastos dans la tête venez me la prendre, il m’en reste encore dans mon chargeur bien caché.
J’analyse chaque mot, chaque phrase prononcée par quiconque devant moi si cela parle de l’affaire du meurtre de notre maître à Valérie et à moi.
Blotti au fond de mon lit, je repense à ce que j’ai fait avec lui et les Bulgares soupçonnés de son meurtre.
Le fil est ténu entre eux et moi, pour exemple, mes empreintes digitales sur les cartes, en est une preuve.
Certes, j’ai repensé à mes empreintes et mon ADN, là je pourrais dire que je venais souvent voir ma voisine pour prendre de ses nouvelles comme je l’ai faite pour Mathéo et en en parlant avec Maria Santa notre gardienne.
Je deviens insomniaque, voire paranoïaque, j’ai même des doutes, j’ignore pourquoi, j’ai cocufié Calvin sans raison apparente.
Sur dès que j’ai vu cette verge gigantesque sur un si petit corps mes certitudes se sont envolées.
L’aurait-il appris et serait-il venu se venger, surtout s’il savait pour les Bulgare et leurs intentions malveillantes pouvant le toucher dans ses affaires ?
• Ma chérie, j’ai eu quelques informations sur le meurtre de notre voisin !
Mon sang se glace, mais Calvin me dit cette phrase si naturellement que j’arrive à reprendre mon calme attendant ce que sont ces informations.
• Les Bulgares, surtout Vladimir, ils ont la preuve qu’ils ont repassé la frontière le lendemain du meurtre.
Ils ont lancé un mandat international sans grand espoir de résultat, on sait comment finit ce genre d’homme si dans leur mission ils sont découverts.
Un instant lorsqu’il me parle de Vladimir je cherche qui est cet homme.
Bien sur Boris l’homme qui m’a mis sa bite dans le cul pendant que les deux autres me pénétraient ensemble par la chatte.
C’est drôle, j’ai beau cherché, ils m’ont baisé et à aucun moment, j’ai su leurs noms.
• Ils pensent que le tueur a pris le portable de Mathéo, car le téléphone que la police a retrouvé venait d’être acheté dans une boîte louche dans Paris.
Un autre point, certainement le plus insolite, ils ont trouvé un jeu de cartes posé sur la table avec des jetons de poker.
Une nouvelle fois, une sueur froide descend le long de ma colonne vertébrale, heureusement que je suis couchée, Calvin étant revenu tard de son travail.
Il avait rendez-vous avec un dîner en ville.
• Ils ont voulu prendre des empreintes, le jeu comme les jetons étaient neuf, ils n’avaient jamais servi.
Une baudruche qui se dégonfle, c’est ce que je suis, lorsqu’il me donne cette nouvelle, mais pessimiste de nature, la police va se poser plus de questions, qui avaient intérêt de supprimer toutes traces de son passage.
Je veux voir la réaction de Valérie à l’annonce de ces découvertes et des interrogations de la police.
Bien sûr avant je me donne sans aucune retenue à mon mari, il semblerait que l’amour revienne, comme si la disparition d’un rival avait redonné du tonus à notre couple.
Aux matins repus de son sexe m’ayant fait retrouver mon septième ciel, je suis une femme comblée.
• Valérie, retrouvons-nous à notre salon de thé si tu as toujours envie de me voir !
Elle veut toujours, ça me rassure sur un point, si elle avait été de mèche avec Mathéo, elle profiterait de sa mort pour reprendre son indépendance.
Lorsque nous nous rejoignons, certains diront que nous prenons des risques, mais qui peut reprocher à une amie de retrouver son amie ?
• Je suis heureuse que tu m’es appelée, j’avais envie de le faire, mais cette affaire me turlupine et si la police tombait sur le téléphone ou notre maître nous avait filmés dans des postures plus qu’indélicates.
• J’ai eu la même pensée, mais c’est là ou grâce à Calvin, j’ai quelques informations.
• La police est sur Boris qui en réalité s’appelle Vladimir, qui est bulgare et qui aurait repassé la frontière juste après avoir été vu par des caméras au volant de sa voiture dans le secteur où nous habitons avec Mathéo.
Tu m’excuses, j’ai terminé de l’appeler maître, il serait un simple truand international qui faisait du chantage à des femmes comme nous pour leur soutirer des informations.
De plus, après avoir tué le nain, il aurait fait le ménage, là où j’ai été soumise aux turpitudes de ces hommes.
Ils ont retrouvé le jeu de cartes dont nous nous étions servis par un jeu neuf et un portable vierge lui aussi de toutes communications et de contacts.
• Tu me rassures, je vais mieux dormir ce soir.
• Alors ça, rien de moins sûr, je crois que même si j’aime mon mari, il s’est passé quelque chose entre nous surtout lorsque j’ai vu la laisse dans ton vestibule.
J’ai grande envie de te maltraiter comme Mathéo nous maltraitait, je me vois bien te tordre tes pointes de seins entre mon index et mon pouce, jusqu’à te faire hurler de plaisir !
• Tu as lu en moi, je suis une femme qui hors des studios ou je dois lutter pour ma place dans ce monde de requins qu’est la télé, mais qui en dehors aime qu’on la force comme tu viens de le dire pour ce que tu ferais à mes seins.
Devient ma maîtresse si tu aimes dominer les autres, je suis ta soumise, domine-moi.
• Tu veux que je t’avoue un autre moment ou je me suis senti très forte envers toi !
• Non, je l’avoue !
• Lorsque tu m’as mis ton gode autour de ma taille et lorsque je t’ai pris comme les mâles nous prennent.
• J’ai senti un peu la même chose, mais dans un sens inverse, depuis je rêve que tu recommences à me labourer et me faire hurler de plaisir, j’en mouille encore.
• On est folle, parlons moins fort, quel scandale si une de ces bourgeoises nous entendait dire de telles horreurs.
• Elles se diraient que nous sommes deux femmes qui s’assument et qui s’assument.
Viens, prenons un taxi, je pourrais appeler le chauffeur de la production, mais inutile de perdre du temps, je veux être ta petite chienne.
Voilà comment deux salopes rejoignent l’appartement où nous nous sommes découvertes alors que moi je voulais savoir si mon amie avait des nouvelles de mon subordinateur.
• Tient, ils vendent un appartement dans ton immeuble, regarde le panneau sur la porte.
• Oui, une vieille dame est mal en point et sa fille l’a mise en maison de retraite, un très bel appartement, j’aimerais que tu vive en dessous de chez moi avec ton mari.
Je m’excuse de m’initier dans le commentaire que Juliette vous fait de ses turpitudes dans l’enquête que je dirige.
Je m’appelle l’inspecteur Barnabé, j’ai été chargé d’enquêter sur le meurtre d’un homme de petite taille s’appelant Mathéo et qui squattait l’appartement de madame Louise Sœur.
Les premières constatations lorsque je suis arrivé sur les lieux sont que cet homme étant décédé ayant reçu deux projectiles de 9 mm dans la tête dans son vestibule.
Il a été prouvé que le tireur s’était servi d’un silencieux ce qui a permis qu’aucun voisin présent n’ait entendu le bruit des balles.
Le meurtrier devait être connu de monsieur Mathéo, car il semble qu’il ait ouvert à son assassin sans la moindre précaution comme la prise de son arme qui se trouvait dans sa chambre.
Parmi ses voisins, madame Juliette m’a paru suspecte.
Elle s’était inquiétée auprès de madame Santa la gardienne de la disparition du décédé.
Là encore après enquête aucune preuve de rapprochement auprès de notre décédé n’a pu être établie.
Aucune caméra ne se trouvant près de l’immeuble, nous avons dû nous rabattre sur celle la plus proche, au carrefour avant les immeubles où le meurtre a eu lieu.
Par contre, celle-ci nous a montré clairement qu’à l’heure du meurtre défini par notre service de police judiciaire qu’une voiture conduit par Vladimir un Bulgare était passé avec cet homme au volant.
Nous avons conclu qu’il devait être le meurtrier et avons lancé un mandat international contre lui.
Un point nous est paru bizarre, le tireur avait nettoyé la scène de crime allant même jusqu’à remplacer le jeu de cartes et le portale ainsi que la pièce ou le jeu si jeu il y avait eu lieu s’était déroulé.
Pourtant nous avions un autre suspect, monsieur Calvin, mari de la voisine, mais il lui était impossible d’être à Bruxelles et à Paris dans la même nuit.
• Juliette, tu fais bien de passer, tu m’as fait peur lorsque tu m’as dit de me méfier de ce que je dis sur mon portable.
Ce matin au studio, on m’a amené un colis qu’un motard aurait déposé à l’entrée.
Je l’ai ouvert, regarde ce qu’il contenait.
• Un portable et un jeu de cartes.
Le portable Mathéo avait le même, c’est celui où il m’avait montré les photos qu’il avait faites lorsque vous le sussiez et toi Juliette qui vous faisait baiser.
Il y avait une lettre que voici.
« Mesdames, voici les deux preuves qui ont permis à votre amant de vous faire chanter, les photos du portable et le jeu de cartes, détruisez-les et vous serez tranquille plus rien ne pourra vous relier au meurtre de ce petit fumier.
Un ami qui vous veut du bien. »
C’est toutes les deux que nous sommes descendus sur les quais de Seine, Valérie a jeté le portable après avoir enlevé et cassé la carte qui s’y trouvait et moi qui en ait fait de même avec le jeu de cartes partant une par une au fil de l’eau.
Terminé les empreintes montrant s’il y avait lieu que j’avais joué au poker avec les hommes qui allaient nous faire encore plus de misère.
Nous sommes remontés et c’est dans ses bras que j’ai écrit le mot « fin » sur mon aventure extra conjugale.
Pas tout à fait, nous venons de déménager, Calvin a accepté de vendre là où nous vivions car je faisais des cauchemars en pensant à cet homme qui s’était fait tuer.
Nous avons emménagé dans l’appartement où réside Valérie ma soumise ce qui facilite notre rapprochement chaque fois que nous le désirons.
Présentement nous sommes en vol pour Las Vegas toute les deux, je vois le collier que j’ai offert à ma maîtresse et soumise.
C’est comme un collier de chien et sa laisse est dans mon sac à main.
Nous sommes en route pour que je participe au plus grand tournoi de poker, de la ville et du monde.
Quelques rangs devant nous il y a « Patrick » qui va lui aussi faire ce tournoi, je suis restée fidèle à ce jeu que notre ancien maître m’a fait découvrir, paix à son âme s’il en avait une.
Fin, non, je suis l’homme en noir qui s’est, introduit chez son voisin après une course folle en moto de Bruxelles à Paris puis retour dans la nuit.
J’ai sonné dès que je suis arrivée ayant évité de passer en survitesse les radars fixes dont j’avais relevé les emplacements pour éviter de me faire flacher.
Je voulais éviter de donner des preuves à la police que j’avais réussi à le faire un aller-retour en une nuit après la soirée passée avec notre président.
Quel meilleur alibi.
Ce que la police ignorait c’est que j’ai été pilote de course moto dans ma jeunesse et que rouler avec des pointes à plus de 200, frôlant même les 300 sur certaines lignes droites, ça m’était facile, même dans la nuit.
J’ai failli me faire prendre lorsque je nettoyais les endroits où la police aurait pu trouver des empreintes lorsque j’ai entendu qu’on bifouillait la porte d’entrée.
Je me suis planqué sous la table, j’ai su plus tard que les rapports incriminaient un Bulgare qui aurait pris mon meurtre à son compte.
La moto, c’est facile, je suis resté en contact avec un ami ayant une 1 000.
Je l’ai expédié vers la Belgique deux jours avant de faire ma course folle et mon meurtre ayant une sainte horreur que l’on touche à mes biens, ma femme en faisant partie.
En ce moment elle vole vers Las Vegas avec son amie Valérie notre nouvelle voisine que j’aimais bien regarder sur le portable de celui que j’ai abattu comme un chien de deux balles dans la tête tirée avec un silencieux, Juliette dormant à deux pas de ce qui deviendra une scène de crime.
Voilà la fin réelle de cette histoire vécue.
Un dernier point, Juliette a-t-elle des doutes que ce soit moi qui ai abattu son amant, je l’ignore.
Ce que je sais que faisant nettement plus attention à elle, nous baisons chaque fois que je suis près d’elle autant voir plus que dans nos premiers jours.
Si un autre nain de jardin à grosse queue veut une bastos dans la tête venez me la prendre, il m’en reste encore dans mon chargeur bien caché.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore merci Cyrille
Quel magnifique polar érotique mon cher Chris
Cyrille
Cyrille