COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Piégée (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Piégée (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Piégée (1/2)
J’ai quitté l’école étant hostile aux études.
Bien que j’habite chez mes parents je souhaite rapidement trouver du travail.
J’en trouve sans difficulté en répondant à une annonce dans le courrier de Saône et Loire.

« Famille cherche jeune personne pour s’occuper de notre grand-père âgé de 71 ans, loger, nourri. »
Pensant que cette offre m’échapperait je réponds sans grande conviction.
Je me trompais, un rendez-vous m’est fixé.
Le fils du vieil homme me reçoit et m’engage.
Le 1er septembre il passe me chercher pour me conduire chez ce monsieur avec qui je vais partager ma vie.
L’immeuble dans lequel il me fait entrer est l’un des plus beaux de Grenoble dans le centre-ville.

- Magali je te présente Édouard qui comme je te l’ai écrit à besoin d’aide dans les taches de la vie courante.
Tu verras, il est sourd, ce qui fait qu’y fait qu’il parle peu.
- Je suis là pour cela, vous pouvez compter sur moi.

C’est comme cela que j’ai commencé sur le champ ma nouvelle vie étant venue comme on me l’avait demandé avec une petite valise.
Édouard est un homme charmant pas du tout difficile à vivre, jamais un mot plus haut que l’autre, J’ai ma chambre avec mes dépendances et un jour par semaine la femme de Guy, le fils vient passer la journée et la nuit, ce qui me permet de m’échapper.
J’ai oublié de préciser, je suis vierge ayant découvert mon corps dans le début de mon adolescence.
Depuis ce jour sous la douche ou sans chercher, j’ai trouvé le jet d’eau chaude dirigé vers mon intimité.
La décharge a été si forte que j’ais plier les genoux, surpris par le plaisir qui est montée de mes lombaires.
Maintenant, mes doigts ont rejoint l’eau même si mon hymen m’oblige à rester à l’entrée de ma grotte.
Le seul point noir avec Édouard, c’est qu’il est sourd comme un pot, au début les.

- Un.

C’est « un » ont vite fait de m’exaspérer et au bout d’un moment j’ai perdu le sens de la réalité dans ma façon de répondre à ces « uns ».
Tout commence le jour ou à la suite d’un « un », pour la première fois je lui réponds sans prévoir les conséquences pour moi.

- Un, Pépère que j’ai un joli cul.

À partir de ce moment, je prends l’habitude de l’appeler Pépère et de partir sur des propos de ce genre.

- Un- Pépère tu voudrais bien me baiser, allez dit moi, tu voudrais voir ma chatte.

Je suis vierge, c’est le fait du hasard.
J’ai eu des flirte poussés, mais chaque fois nous étions dans des endroits où il était difficile à un garçon de sortir sa queue et me la mettre là où je pense que cela fait du bien.
Je vais souvent sur Internet et je connais tout sur les termes liés à la baise.
Baiser, enfiler, gros sexe, doigter mon clitoris, ça je pratique comme je l’ai déjà dit.
Mais aussi des termes plus extrêmes, sodomie, fister, sado-maso et plein d’autres comme les termes pour parler de sexe féminin ou masculin.

- Un- Un petit coup de bite dans ma chatte pépère.
Tu aimerais et bien non, d’ailleurs à ton âge tu dois être dans l’impossibilité de bander.

Et cela pendant plus d’un mois.

- Pépère tu as soif avec cette chaleur de fin septembre.
- Un.
- Un évite de me dire que tu veux m’enculer, je suis une jeune fille chaste.

Un matin après c’être préparé, car s’il est sourd, il est un peu valide, il est dans son fauteuil devant sa fenêtre il regarde son jardin qu’il entretenait par le passer et qui est fait par une société encagée par Guy son fils.
Édith, sa femme m’a remplacé deux fois où je suis allé passer une soirée chez mes parents qui étaient très contents que j’ai trouvé un emploi que j’assume.
J’évite de leur parler du petit dérèglement verbal débuté avec pépère.
Je fais attention de dire ce petit nom avec eux parlant de monsieur Édouard.

Le matin où je vais reprendre ma place Édith me quitte et il semble qu’elle ait du mal à se déplacer, son corps est légèrement plié quand elle passe devant moi.

- Mon beau-père est en pleine forme ce matin, j’espère qu’il est sage avec toi.
- Une tombe il est sage comme une image.
- Bien, à la semaine prochaine.

Pépère se lève tôt car dans le temps, c’est à la fraîche qu’il allait dans son jardin et les bonnes habitudes sont difficiles à perdre.
Je vais faire sa chambre et en nettoyant sous le lit près du bord j’aperçois deux billets posés au sol.
Je nettoie tous les jours sous ce lit, il est donc impossible qu’ils soient là depuis quelques jours.
Deux fois cinq cents euros, l’équivalent d’un mois de mon salaire pour mon travail.
Je les laisse pensantes que je suis là toute la semaine et qu’il sera toujours temps de les récupérer.
Soyons patiente, la seule chose que je fais c’est de les repousser nettement plus loin pour qu’ils soient mieux cachés.
Deux jours plus tard ils sont toujours là et ils rejoignent ma poche.
La semaine se termine sans qu’il me parle des billets que je cache dans ma chambre.

Le lendemain je retrouve Édith qui est toujours aussi bloquée du dos à la manière dont elle marche.

- Il est toujours dans sa chambre et m’a demandé d’éviter de le déranger.
- Bien madame Édith je vais attendre de le voir arriver dans la salle.

Une heure plus tard il arrive et c’est le moment où tout bascule.

- Alors petite pute tu me voles.
- Non, monsieur.
- Et elle nie en plus, alors que les preuves son accablante.
- Je voudrais bien comprendre !
Vous avez décidé de me renvoyer avec votre belle-fille et vous voulez éviter de me payer mes indemnités.
- Viens, je vais te montrer.
- Je croyais que vous étiez sourd, ce qui entraîne que vous êtes muet.
- À oui les « uns » qui te permettent de me parler comme une petite salope en t’adressant à moi, cela fait partie de mes griefs.

Nous retournons dans sa chambre et il ouvre une armoire dans laquelle tout un système vidéo est installé.

- Assied toi là et regarde.

Il prend un CD qu’il place dans un lecteur.

- Tu vois, c’est au mariage de mon fils que tout a commencé il y a 16 ans.
Il faut que tu saches que dans ces années-là en plus de mon jardin j’ai développé une passion pour les films vidéo quand mon entreprise m’a mis en pré-retraite à 55 ans.
Mes anciens collègues m’ont offert un Caméscope, je filmais tout ce qui bouge et le premier film intéressant que j’ai fait c’est le jour du mariage de mon fils avec Édith.
Tu peux voir que mon fils sans s’en rendre compte est tombé dans la bouteille placée près de lui et qu’au petit matin il était dans l’impossibilité de conduire.
Elle était en train de passer son permis et il lui était impossible de le ramener.
Je lui ai proposé de le faire et elle a accepté.
Arrivé chez eux, car elle avait apporté ses affaires les jours précédents, je l’ai aidé à le coucher sur son lit et nous l’avons laissé dormir.
Nous sommes allés dans la cuisine préparer un café et elle à devant moi enlever sa robe de mariée qui la serait au sein d’après elle.
C’est les seins à l’air en porte jarretelle avec des bas et petite culotte lui couvrant juste la moule qu’elle a préparé le café pendant que j’étais assis sur une chaise.
Elle me faisait triquer.
Elle s’est approchée pour me poser une tasse sa croupe à quelques centimètres de mon visage.
Je l’ai empoigné et fait pivoter pour qu’elle s’assoie sur mes genoux.

« Oh, papa »
- Ce sont les seuls mots qu’elle a prononcés avant de s’abandonner et que nous nous embrassions avec passion.
Plus tard elle devait m’avouer avoir un faible pour les hommes mûr qui assumait.
Pour commencer, je lui est mis la main dans les string et je lui est arraché sauvagement Voyant son regard quémandeur je me suis déboutonné et sans prendre de gant je l’ai fait asseoir sur mon sexe qui est entré en elle déchirant son hymen.
C’est le cri qu’elle a poussé et la membrane que j’ai senti céder sous la pénétration qui m’ont fait comprendre que je venais de dépucelé ma bru.
L’instant de déplaisir passé c’est une femelle avide de mon sexe qui m’a sorti d’elle c’est agenouillé et en ultime cadeau de ce que nous venions de faire entre beau-père et belle-fille m’a nettoyer la verge du sang provoqué par sa déchirure.
Elle m’a si bien pompé que mon sperme a giclé.
Je m’attendais à ce qu’elle recrache mais non, la coquine a pris goût à mes éjaculation et a pris l’habitude au fil du temps de venir tout les lundi se faire enfiler.
Il faut dire qu’avec mon fils les choses était simple, ils tiennent une boutique de vente de chaussure et tout les lundi jour de fermeture il fait la comptabilité et les nouvelles commandes.
Sa femme est libre de ses mouvements qui immanquablement la conduise ici.
C’est à ce moment que j’ai décidé de jouer au sourd devant mon fil pour évité tout impaire risquant de casser notre bel harmonie.
Grâce à moi son plaisir est complet car je la sodomise régulièrement.

Je comprends mieux son soi-disant mal de dos chaque fois qu’elle part de chez lui.
Elle se fait casser le cul par Pépère qui me semble de moins en moins à 71 ans un homme vieillissant mais encore très vert.

- Je suis devenue accro à ma bru et comme il est hors de questions de me passer de son cul, le jour ou elle m’a demandé de la payer voulant même que je l’appelle ma pute, j’ai cédé et cela fait un an que chaque mois je lui donne mille euros en dédommagement de sa peine.
La semaine dernière je l’ai donc payé mais les billets sont tombé de sa poche.
Comme tu peux le voir sur ce film pendant nos ébats, la caméra tournait encore quand tu a fait la chambre et on te vois clairement trouver les billets et les cacher.
Toutes les fois que tu entrais faire la chambre je démarrais le caméscope et tu peux te voir les ramasser et les mettre dans ta poche.

Je prends conscience de ce que j’ai fais et je suis belle et bien piégée…

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