COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Piégée (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Piégée (2/2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’ai fait l’erreur de ramasser les deux billets de 500 euros qui se trouvaient sous le lit d’Édouard que j’ai surnommé pépère.
Croyant qu’il était sourd ce qui est loin d’être le cas, je me suis permis certaines privautés verbales.
En réalité il a trouvé ce subterfuge pour éviter les impaires avec son fils car c’est l’amant de sa propre belle-fille qui vient se faire enfiler tous les lundis.
Il l’a dépucelé il y a 16 ans le soir de son mariage remplaçant son fils dans sa nuit de noces.
Son fils avait abusé de la bouteille et la petite voulait dans sa nuit perdre son pucelage.
Pourquoi arrêter une affaire qui marche et depuis le fils a des cornes bien plus grande que lui.
Voyant les vidéos que pépère a tourné se servant d’un stratagème caché dans son armoire, je me sens piégée.
- Tu vois petite pute j’ai tout les ingrédients pour t’envoyer en prison pendant des années.
Comme il est dit dans les livres d’histoire pour un gaulois seul le ciel susceptible de lui tomber sur la tête lui fait peur.
C’est la même chose pour moi, surtout que je culpabilise à mort.
Que vont penser mes parents, si l’on sait que j’ai volé mon patron ?
De plus il me sera difficile de retrouver du travail après ma sortie de prison.
Je suis une oie blanche surtout en ce qui concerne les choses de la vie et je prends ce qu’il me dit au pied de la lettre.
- Monsieur, non, pas la prison, je ferais tout ce que vous voulez.
J’ai honte de ce que j’ai fais, et je vais vous les ramener, je les ai rangés chez mes parents dans mon tiroir.
- Tu te trompe c’est dans ma prison où tu viens de t’enfermer.
Tu seras ma petite pute chaque jour et le lundi tu sera celle de ma belle fille qui a flashé sur toi et qui souhaite te sucer la chatte.
- Monsieur je suis vierge, j’ai peur que vous me fassiez mal.
- Quelques petites fessées avec ma cravache te seront bénéfique pour que tu ais toujours en tête ce que tu as fais.
Quant à l’argent ce sera ta première paye de prostituée qu’à partir de maintenant tu deviens.
Viens je vais t’habiller et te donner ta première leçon.
J’ai bizarrement l’impression de tomber dans un grand trou mais j’ai aussi l’impression de m’en sortir plutôt bien.
Le seul point de difficulté c’est l’âge de pépère.
Depuis que mes sens se sont éveillés, j’ai rêvé d’un homme plus jeune grand et brun.
Pépère est vieux, 71 ans, chauve et un dentier qu’il met dans un verre la nuit.
Loin d’être l’Apollon de mes rêves qui me faisait me masturber jusqu’à maintenant.
Je trouve mon clitoris chaque fois que je le veux ou l’eau sortant de la douchette à grande pression.
- Viens suis moi, tu vois cette porte qui est toujours fermée à clef au font de ma chambre ?
Tu as essayé de l’ouvrir sans succès, j’ai caché la clef.
Si tu m’avais demandé pourquoi, je t’aurais dit que c’était la pièce où je garde les effets de ma femme décédée.
Regarde j’ouvre, en réalité c’est là que ma femme c’est retrouvé dès le lendemain de notre mariage et après sa mort ma belle fille.
C’est le lieu où tout les lundi je me fais le plaisir de l’emmener et de lui faire goûter mes joujoux.
Pépère ouvre son tiroir de table de nuit et au fond récupère une clef.
Il ouvre la porte et m’empoignant le bras me propulse à l’intérieure.
- Vous êtes fou, à quoi servent tout ces engins ?
- Dans un premier temps, te faire mal mais comme douleur et plaisirs finissent par se confondre au bout de quelques jours tu en redemanderas.
Je comprends pourquoi Édith sors cassée de sa chambre chaque fois qu’elle me remplace auprès de son beau-père.
Ce n’est pas le dos mais ses fesses qui doivent lui faire mal quand je vois cette croix avec ces menottes.
J’ai dit que j’allais sur Internet et j’ai déjà vu des filles, quelquefois des hommes, attachés et se faire flageller.
- Si Édith aime se faire violenter, ça la regarde.
Mais, très peux pour moi, des tarés de votre espèces, c’est vous que je vais faire enfermer.
- Tu crois que tu as le choix, je vais te faire goûter sur le champs ce à quoi tu t’es exposée en prenant cette argent.
De sa main libre, il m’empoigne les cheveux me tire en avant et claque la porte.
Je hurle de douleur.
- La porte refermée, tu peux hurler de tout tes poumons, ça me fait bander encore plus.
C’est peine perdu cette pièce que j’ai conçu pour ma femme est entièrement capitonnée ce qui l’insonorise.
Au début Édith gueulait elle aussi, maintenant son principal mot c’est « encore ».
Je vais tout t’avoué, quand dans un de nos moment de calme elle m’a dit qu’elle avait flâché sur toi, c’est moi qui aie mis au poing le stratagème des billets.
Quant à la vidéo c’est notre nouveau joujou, mon bras vieillissant nous voulions de nouveaux plaisirs et elle adore regarder se faire baiser par celui qui n’aurait à aucun moment dû être son amant.
Ici aussi je film, regardes la camera grand angle, elle tourne en ce moment, je vais me délecter à te tortiller comme un immonde vers de terre.
Il me lâche les cheveux, me saisi une main et m’attache sur l’une des croisés avec une menotte.
La deuxième suit.
À ce moment je crois ma dernière heure venue surtout qu’il m’attache le nez sur le bois, je ne vois pas ce qu’il fait.
Je tourne ma tête, il a pris un couteau.
Adieu, je suis dans le château de Barbe Bleu et il va m’étriper.
C’est mon tablier qu’il détache et tombe à mes pieds.
Ma jupe de servante, il la coupe en premier.
Mon corsage suit, coupé à chaque manche.
Il me reste ma petite culotte rose, ma plus belle, il essaye de me l’arracher mais elle est solide et il fini par la coupé et la laisser tomber au sol.
Être nue devant ce vieillard est presque plus choquant que le fait d’être attachée à sa merci.
- Voyons avec quoi vais-je te flageller ?
Je tourne la tête, quand nous sommes entrés je n’avais pas vu la panoplie que je voyais dans ces films.
Martinet, cravache, fouet et surtout ce qui me faisait grincer des dents quand une femme le subissait.
Un chat à neuf ou plus de queue avec des boules de bois aux extrémités.
- Pour la première fois, cette badine anglaise fera l’affaire.
Lèche là, sent comme elle est fine, j’ai été spécialement l’acheté là où dans les collèges anglais les responsables de la disciplines vont se fournirent.
C’est chez Bid à Londres, célèbre maison des adeptes de la soumission où je l’ai acheté.
- Aïe.
- Je t’ai à peine caressé.
- Aïe, Aïe, Aïe.
J’explique mais j’ai envie d’hurler, la baguette s’abat trois quatre fois sur mon postérieur.
Pépère se recule et commence à me flageller d’une façon intense.
Au début j’ai mal mais c’est vite remplacé par un échauffement du bas de mon ventre.
Sa main fatigue.
Il m’écarte les jambes un peux plus, je sens qu’il cherche et son sexe me déflore.
Fini ma virginité, ce n’est pas mon Apollon mais bien mon vieux barbeau qui me pénètre.
Il me prend par les hanches et fini par me faire jouir.
Il décharge.
- Voilà petite pute, tu es à moi.
C’est pendu par les poignets mes jambes refusant de me soutenir que je perds la notion d’où je suis.
Voilà comment c’est passé ma première expérience à la soumission.
Le lundi suivant, Édith m’attache.
Depuis le moment où pépère me maltraite comme il me l’a dit, j’aime jusqu’au chat à neuf queue.
À son tour, c’est moi qui la domine avant que nous roulions sur la moquette épaisse pour nous brouter les clitoris.
Un matin pépère ne se réveille pas.
Il a avalé son bulletin de naissance.
J’apprend lors de l’enterrement que ma maîtresse restera ma soumise car son mari ne l’a jamais baisé.
Je vis dans le pavillon et Édith est avec moi.
« Jeunes femmes cherche jeune personne pour s’occuper de notre pavillons, loger, nourri. »
Pépère en décédant a légué tous son argent hérité de son père lui ayant lui-même légué lui permettant de vivre sans travailler à son fils soumis à sa femme.
Dans quelques jours, nous allons laisser traîner deux billets de 500 €.
Nul doute que nous allons prendre dans nos filet une petite dinde que nous aurons plaisir à fouetter attacher à la croix.
J’ai oublié la dernière ligne de l’article.
« Jeune homme accepté. »
J’ai réussi à ce qu’Édith ne rédige pas.
« Jeune homme avec gros sexe accepté. »
J’ai fait l’erreur de ramasser les deux billets de 500 euros qui se trouvaient sous le lit d’Édouard que j’ai surnommé pépère.
Croyant qu’il était sourd ce qui est loin d’être le cas, je me suis permis certaines privautés verbales.
En réalité il a trouvé ce subterfuge pour éviter les impaires avec son fils car c’est l’amant de sa propre belle-fille qui vient se faire enfiler tous les lundis.
Il l’a dépucelé il y a 16 ans le soir de son mariage remplaçant son fils dans sa nuit de noces.
Son fils avait abusé de la bouteille et la petite voulait dans sa nuit perdre son pucelage.
Pourquoi arrêter une affaire qui marche et depuis le fils a des cornes bien plus grande que lui.
Voyant les vidéos que pépère a tourné se servant d’un stratagème caché dans son armoire, je me sens piégée.
- Tu vois petite pute j’ai tout les ingrédients pour t’envoyer en prison pendant des années.
Comme il est dit dans les livres d’histoire pour un gaulois seul le ciel susceptible de lui tomber sur la tête lui fait peur.
C’est la même chose pour moi, surtout que je culpabilise à mort.
Que vont penser mes parents, si l’on sait que j’ai volé mon patron ?
De plus il me sera difficile de retrouver du travail après ma sortie de prison.
Je suis une oie blanche surtout en ce qui concerne les choses de la vie et je prends ce qu’il me dit au pied de la lettre.
- Monsieur, non, pas la prison, je ferais tout ce que vous voulez.
J’ai honte de ce que j’ai fais, et je vais vous les ramener, je les ai rangés chez mes parents dans mon tiroir.
- Tu te trompe c’est dans ma prison où tu viens de t’enfermer.
Tu seras ma petite pute chaque jour et le lundi tu sera celle de ma belle fille qui a flashé sur toi et qui souhaite te sucer la chatte.
- Monsieur je suis vierge, j’ai peur que vous me fassiez mal.
- Quelques petites fessées avec ma cravache te seront bénéfique pour que tu ais toujours en tête ce que tu as fais.
Quant à l’argent ce sera ta première paye de prostituée qu’à partir de maintenant tu deviens.
Viens je vais t’habiller et te donner ta première leçon.
J’ai bizarrement l’impression de tomber dans un grand trou mais j’ai aussi l’impression de m’en sortir plutôt bien.
Le seul point de difficulté c’est l’âge de pépère.
Depuis que mes sens se sont éveillés, j’ai rêvé d’un homme plus jeune grand et brun.
Pépère est vieux, 71 ans, chauve et un dentier qu’il met dans un verre la nuit.
Loin d’être l’Apollon de mes rêves qui me faisait me masturber jusqu’à maintenant.
Je trouve mon clitoris chaque fois que je le veux ou l’eau sortant de la douchette à grande pression.
- Viens suis moi, tu vois cette porte qui est toujours fermée à clef au font de ma chambre ?
Tu as essayé de l’ouvrir sans succès, j’ai caché la clef.
Si tu m’avais demandé pourquoi, je t’aurais dit que c’était la pièce où je garde les effets de ma femme décédée.
Regarde j’ouvre, en réalité c’est là que ma femme c’est retrouvé dès le lendemain de notre mariage et après sa mort ma belle fille.
C’est le lieu où tout les lundi je me fais le plaisir de l’emmener et de lui faire goûter mes joujoux.
Pépère ouvre son tiroir de table de nuit et au fond récupère une clef.
Il ouvre la porte et m’empoignant le bras me propulse à l’intérieure.
- Vous êtes fou, à quoi servent tout ces engins ?
- Dans un premier temps, te faire mal mais comme douleur et plaisirs finissent par se confondre au bout de quelques jours tu en redemanderas.
Je comprends pourquoi Édith sors cassée de sa chambre chaque fois qu’elle me remplace auprès de son beau-père.
Ce n’est pas le dos mais ses fesses qui doivent lui faire mal quand je vois cette croix avec ces menottes.
J’ai dit que j’allais sur Internet et j’ai déjà vu des filles, quelquefois des hommes, attachés et se faire flageller.
- Si Édith aime se faire violenter, ça la regarde.
Mais, très peux pour moi, des tarés de votre espèces, c’est vous que je vais faire enfermer.
- Tu crois que tu as le choix, je vais te faire goûter sur le champs ce à quoi tu t’es exposée en prenant cette argent.
De sa main libre, il m’empoigne les cheveux me tire en avant et claque la porte.
Je hurle de douleur.
- La porte refermée, tu peux hurler de tout tes poumons, ça me fait bander encore plus.
C’est peine perdu cette pièce que j’ai conçu pour ma femme est entièrement capitonnée ce qui l’insonorise.
Au début Édith gueulait elle aussi, maintenant son principal mot c’est « encore ».
Je vais tout t’avoué, quand dans un de nos moment de calme elle m’a dit qu’elle avait flâché sur toi, c’est moi qui aie mis au poing le stratagème des billets.
Quant à la vidéo c’est notre nouveau joujou, mon bras vieillissant nous voulions de nouveaux plaisirs et elle adore regarder se faire baiser par celui qui n’aurait à aucun moment dû être son amant.
Ici aussi je film, regardes la camera grand angle, elle tourne en ce moment, je vais me délecter à te tortiller comme un immonde vers de terre.
Il me lâche les cheveux, me saisi une main et m’attache sur l’une des croisés avec une menotte.
La deuxième suit.
À ce moment je crois ma dernière heure venue surtout qu’il m’attache le nez sur le bois, je ne vois pas ce qu’il fait.
Je tourne ma tête, il a pris un couteau.
Adieu, je suis dans le château de Barbe Bleu et il va m’étriper.
C’est mon tablier qu’il détache et tombe à mes pieds.
Ma jupe de servante, il la coupe en premier.
Mon corsage suit, coupé à chaque manche.
Il me reste ma petite culotte rose, ma plus belle, il essaye de me l’arracher mais elle est solide et il fini par la coupé et la laisser tomber au sol.
Être nue devant ce vieillard est presque plus choquant que le fait d’être attachée à sa merci.
- Voyons avec quoi vais-je te flageller ?
Je tourne la tête, quand nous sommes entrés je n’avais pas vu la panoplie que je voyais dans ces films.
Martinet, cravache, fouet et surtout ce qui me faisait grincer des dents quand une femme le subissait.
Un chat à neuf ou plus de queue avec des boules de bois aux extrémités.
- Pour la première fois, cette badine anglaise fera l’affaire.
Lèche là, sent comme elle est fine, j’ai été spécialement l’acheté là où dans les collèges anglais les responsables de la disciplines vont se fournirent.
C’est chez Bid à Londres, célèbre maison des adeptes de la soumission où je l’ai acheté.
- Aïe.
- Je t’ai à peine caressé.
- Aïe, Aïe, Aïe.
J’explique mais j’ai envie d’hurler, la baguette s’abat trois quatre fois sur mon postérieur.
Pépère se recule et commence à me flageller d’une façon intense.
Au début j’ai mal mais c’est vite remplacé par un échauffement du bas de mon ventre.
Sa main fatigue.
Il m’écarte les jambes un peux plus, je sens qu’il cherche et son sexe me déflore.
Fini ma virginité, ce n’est pas mon Apollon mais bien mon vieux barbeau qui me pénètre.
Il me prend par les hanches et fini par me faire jouir.
Il décharge.
- Voilà petite pute, tu es à moi.
C’est pendu par les poignets mes jambes refusant de me soutenir que je perds la notion d’où je suis.
Voilà comment c’est passé ma première expérience à la soumission.
Le lundi suivant, Édith m’attache.
Depuis le moment où pépère me maltraite comme il me l’a dit, j’aime jusqu’au chat à neuf queue.
À son tour, c’est moi qui la domine avant que nous roulions sur la moquette épaisse pour nous brouter les clitoris.
Un matin pépère ne se réveille pas.
Il a avalé son bulletin de naissance.
J’apprend lors de l’enterrement que ma maîtresse restera ma soumise car son mari ne l’a jamais baisé.
Je vis dans le pavillon et Édith est avec moi.
« Jeunes femmes cherche jeune personne pour s’occuper de notre pavillons, loger, nourri. »
Pépère en décédant a légué tous son argent hérité de son père lui ayant lui-même légué lui permettant de vivre sans travailler à son fils soumis à sa femme.
Dans quelques jours, nous allons laisser traîner deux billets de 500 €.
Nul doute que nous allons prendre dans nos filet une petite dinde que nous aurons plaisir à fouetter attacher à la croix.
J’ai oublié la dernière ligne de l’article.
« Jeune homme accepté. »
J’ai réussi à ce qu’Édith ne rédige pas.
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