COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (4/5)
Ducobu, pourquoi, lorsque nous entrons dans la salle des profs, porte sous son avant-bras une bouteille de vin ?
Ducobu, quel nom étrange, digne d’une bande dessinée pour enfants ou adultes.
Ducobu, le cousin de Charles, a joué son propre rôle dans un de ses films.
« L’élève Ducobu » ou « Les vacances de Ducobu. ».
Je me moque du garçon qui a fait de moi sa soumise, mais que dire de mon nom ayant entrainé cette soumission.
Milla Flute, Milla, ça peut passer, mais « Flute » vous savez, Ducobu lui sait et c’est ce qui a fait basculer mon état de prof à soumise.
• La bouteille, c’est notre sésame au cas où Lucien sortirait de sa sieste et viendrait fouiner par ici ou dans le bureau de la proviseure.
Crois en mon expérience, jusqu’à 17 heures où il fera une ronde on est tranquille.
Viens visiter le bureau de cette salope de mère Bara, la proviseure, j’ai quelque chose à te montrer.
Tu sauras comme cela à qui tu as à faire, lorsque je dis que c’est une salope, je vais te le prouver.
Nous quittons la salle des profs, en faisant attention, des fois que.
Mon amant me fait faire quelques mètres, ce bureau je connais, j’y suis entrée lorsque je suis arrivée.
• Là, je t’ai dit que question serrure Louis XVI pourrait s’accrocher.
S’accrocher, on me prend pour un cancre, mais s’il avait fait plus attention, c’est sa tête qui serait restée accrochée au haut de son corps.
Coupe papier, tour de passe-passe et voilà le tiroir aux secrets ouvert.
Ducobu en sort un classeur où il semble y avoir des fiches.
• Ma grande, voici ce que pense de toi la pute de Bara.
Milla Flute, remplaçante de madame Antoinette Douche ayant subi un burnout le jour de sa rentrée scolaire.
Ma petite me donnant des renseignements m’annonce qu’elle semble dès le premier jour être tombée sous le charme de ce petit connard de Ducobu.
J’ai connu sa mère dans le passé, elle était aussi bien faite pour être prof de Français que moi une grande cocotte.
Dès la fin de son remplacement, je lui ferais un commentaire salé à l’académie.
Le texte s’arrête là.
Ducobu regarde par-dessus mon épaule, sa main sur mon cul, je sens sa verge et je sais que je vais être obligé de me soumettre.
Hier, s’était Porcinet, là c’est bien lui qui va faire de moi, je l’espère une vraie chienne.
• Tu vois le nom de la fille qui la renseigne, je l’ai vu se gouiner avec elle, c’est Françoise Degas, elle se dit parente avec le peintre, mais j’ai creusé, c’est du pipeau.
L’un de ses ancêtres était un voleur notoire, un genre d’Arsène Lupin en plus crache, il tuait de vieilles dames qu’il coupait en morceaux et est mort au bagne de Cayenne.
C’est à ce moment que nous entendons du bruit venant du couloir.
• Merde, c’est Lucien, il doit faire sa ronde plutôt.
Merde, que faire, nous allons nous faire renvoyer, la bouteille est restée dans la salle des profs.
• Cache-toi sous le bureau, je suis prof, je vais bien trouver une explication !
Rapide comme l’éclair, Ducobu plonge, je prends un livre et je fais celle qui le feuillette.
La porte s’ouvre, c’est le pion qui a gardé ma classe en attendant que je rencontre la proviseure lundi qui l’ouvre.
• Que faite vous là, le lycée est fermé le mercredi !
• Et vous, s’il est fermé pour moi, il l’est aussi pour vous !
• Je remplace monsieur Lucien qui a dû se rendre à l’hôpital pour faire des rayons, il a un début de cancer de la prostate.
• Et moi je suis venue chercher ce livre que madame Bara m’avait dit de faire lire à mes élèves.
Comme il l’a fait dans ma classe, je sens la main de Ducobu remonter le long de ma jambe.
Je sais ma chatte libre de toute entrave depuis qu’il l’a jeté dans les égouts.
S’il l’atteint, je risque de fondre et des gémissements risqueraient de sortir de ma bouche.
Je me libère et je contourne le bureau le livre en main.
• Tu as dû entrer lorsque je suis allé soulager ma vessie, la porte du lycée était restée ouverte en attendant le retour de monsieur Lucien.
Il se rapproche de moi, presque à sentir son souffle.
• Tu as bien fait de venir, j’espérais te rencontrer seule.
Me permets-tu de te dire que pour la première fois, j’ai eu le coup de foudre lorsque tu as franchi la porte pour venir prendre ta classe.
J’ai même eu l’impression que j’étais loin de t’être insensible.
As-tu ressenti la même chose ?
J’ai dit à Ducobu que je trouverais une solution pour nous sortir de la panade ou l’intrusion d’Alexandre nous a mis, même si c’était Lucien que nous pensions découvrir.
Surtout lorsqu’il me prend dans ses bras et qu’il m’embrasse.
Je sais mon amant sous mes fesses, mais que faire surtout lorsque rendant son baiser à Alexandre, je sens sa main se poser à la lisière de ma jupe.
Je suis à deux doigts de paniquer, mais ce sont deux doigts qui trouvent ma chatte.
Il casse notre baiser.
• Ma jolie salope, tu te promènes toujours la chatte à l’air !
• Je savais peut-être que je te rencontrerais et je te fais gagner du temps !
Là, ces mots m’échappent, car ses doigts me caressant me font mouiller, c’est vrai qu’il y a eu quelque chose entre nous lorsque je suis entrée dans ma classe de première.
Nos bouches se retrouvent et je dois reconnaitre que j’oublie la présence de Ducobu lorsque Alexandre sort son sexe et sortant une capote, il se couvre.
Lorsque je repose le livre et qu’il me place mes fesses sur le bureau, me relevant une jambe et que sa verge me pénètre, Ducobu est loin de mes préoccupations.
Rapidement il me fait jouir, sortant de moi, il me place le torse sur le bureau.
Il sort mes seins de mon corsage et des bonnets de mon soutien-gorge et replongeant en moi, il recommence à me pilonner.
Je sens un orgasme monter contre mon gré, mais sa verge est si efficace que je pars dans un orgasme que même Porcinet a été capable de m’apporter, encore moins Ducobu.
Alexandre finissant lui-même par remplir sa capote, il me libère et je me rajuste après un dernier baisé.
Il retire sa capote alors que je suis toujours à moitié dans les vapes, je le vois quand même regarder sa montre.
• Lucien doit être de retour à la loge, nous avons pris un peu de temps, mais que c’était bon, quelle chance que tu sois revenue chercher ce livre.
Prend le, j’ai ma chambre donnant sur l’impasse à côté, viens, je t’offre un verre et nous nous referons un petit tour de jambes en l’air.
Remis dans une tenue décente, je suis piégée, quoique, nous quittions le bureau de madame la salope de proviseure Bara sans que j’aie une pensée pour mon jeune suborneur.
• Eh ! tu oublies ton livre, je retourne le chercher.
• Non, laisse, lorsque tu es arrivée je venais de trouver le renseignement dont j’ai besoin pour préparer mon cours de vendredi.
• Demain, as-tu cours ?
• Pas le matin seulement l’après-midi.
Je réussis à ce que mon bel amant fasse un retour dans le bureau et trouve Ducobu sorti de sous son bureau ayant entendu la façon dont je me suis laissé faire l’amour juste au-dessus de lui.
Il devait entendre mes fesses taper sous les coups de bite puissante qu’il m’assénait.
Nuit défonçant, ma chatte mais aussi ma bouche en lui faisant des fellations pour l’aider à repartir de nouveau dans nos joutes sans fin.
Lorsque je vais pour récupérer ma voiture pour retourner chez moi me changer, j’ai passé une nuit presque blanche, je saute par-dessus la bouche d’égout où Ducobu a jeté ma culotte.
À l’autre bout de l’impasse, un travailleur de l’ombre, surtout pas parse qu’il est noir à ouvert l’eau qui dévale la pente du caniveau pour venir entrer dans la bouche d’égout.
Vogue petite culotte, vogue.
C’est ce que je me dis, je suis en joie comme le sont toutes les femmes comblées par leurs amants.
Lorsque je reprends ma voiture, je suis à mille lieues de penser à Ducobu.
Aimant toujours être à l’heure, même si ce jeudi, mes cours me laissent loin de Ducobu, le lycée semble en ébullition.
C’était plus calme lorsque je suis reparti ce matin pour retourner chez moi principalement me doucher.
• Madame, savez-vous ce qui s’est passé hier au soir ?
• Non, je devrais !
Celle qui m’interpelle, c’est Françoise Dégas, pardon Degas, les dégâts je vais les découvrir surtout par celle qui renseigne la proviseure Bara.
• Vous ignorez pour Ducobu !...
Ducobu, quel nom étrange, digne d’une bande dessinée pour enfants ou adultes.
Ducobu, le cousin de Charles, a joué son propre rôle dans un de ses films.
« L’élève Ducobu » ou « Les vacances de Ducobu. ».
Je me moque du garçon qui a fait de moi sa soumise, mais que dire de mon nom ayant entrainé cette soumission.
Milla Flute, Milla, ça peut passer, mais « Flute » vous savez, Ducobu lui sait et c’est ce qui a fait basculer mon état de prof à soumise.
• La bouteille, c’est notre sésame au cas où Lucien sortirait de sa sieste et viendrait fouiner par ici ou dans le bureau de la proviseure.
Crois en mon expérience, jusqu’à 17 heures où il fera une ronde on est tranquille.
Viens visiter le bureau de cette salope de mère Bara, la proviseure, j’ai quelque chose à te montrer.
Tu sauras comme cela à qui tu as à faire, lorsque je dis que c’est une salope, je vais te le prouver.
Nous quittons la salle des profs, en faisant attention, des fois que.
Mon amant me fait faire quelques mètres, ce bureau je connais, j’y suis entrée lorsque je suis arrivée.
• Là, je t’ai dit que question serrure Louis XVI pourrait s’accrocher.
S’accrocher, on me prend pour un cancre, mais s’il avait fait plus attention, c’est sa tête qui serait restée accrochée au haut de son corps.
Coupe papier, tour de passe-passe et voilà le tiroir aux secrets ouvert.
Ducobu en sort un classeur où il semble y avoir des fiches.
• Ma grande, voici ce que pense de toi la pute de Bara.
Milla Flute, remplaçante de madame Antoinette Douche ayant subi un burnout le jour de sa rentrée scolaire.
Ma petite me donnant des renseignements m’annonce qu’elle semble dès le premier jour être tombée sous le charme de ce petit connard de Ducobu.
J’ai connu sa mère dans le passé, elle était aussi bien faite pour être prof de Français que moi une grande cocotte.
Dès la fin de son remplacement, je lui ferais un commentaire salé à l’académie.
Le texte s’arrête là.
Ducobu regarde par-dessus mon épaule, sa main sur mon cul, je sens sa verge et je sais que je vais être obligé de me soumettre.
Hier, s’était Porcinet, là c’est bien lui qui va faire de moi, je l’espère une vraie chienne.
• Tu vois le nom de la fille qui la renseigne, je l’ai vu se gouiner avec elle, c’est Françoise Degas, elle se dit parente avec le peintre, mais j’ai creusé, c’est du pipeau.
L’un de ses ancêtres était un voleur notoire, un genre d’Arsène Lupin en plus crache, il tuait de vieilles dames qu’il coupait en morceaux et est mort au bagne de Cayenne.
C’est à ce moment que nous entendons du bruit venant du couloir.
• Merde, c’est Lucien, il doit faire sa ronde plutôt.
Merde, que faire, nous allons nous faire renvoyer, la bouteille est restée dans la salle des profs.
• Cache-toi sous le bureau, je suis prof, je vais bien trouver une explication !
Rapide comme l’éclair, Ducobu plonge, je prends un livre et je fais celle qui le feuillette.
La porte s’ouvre, c’est le pion qui a gardé ma classe en attendant que je rencontre la proviseure lundi qui l’ouvre.
• Que faite vous là, le lycée est fermé le mercredi !
• Et vous, s’il est fermé pour moi, il l’est aussi pour vous !
• Je remplace monsieur Lucien qui a dû se rendre à l’hôpital pour faire des rayons, il a un début de cancer de la prostate.
• Et moi je suis venue chercher ce livre que madame Bara m’avait dit de faire lire à mes élèves.
Comme il l’a fait dans ma classe, je sens la main de Ducobu remonter le long de ma jambe.
Je sais ma chatte libre de toute entrave depuis qu’il l’a jeté dans les égouts.
S’il l’atteint, je risque de fondre et des gémissements risqueraient de sortir de ma bouche.
Je me libère et je contourne le bureau le livre en main.
• Tu as dû entrer lorsque je suis allé soulager ma vessie, la porte du lycée était restée ouverte en attendant le retour de monsieur Lucien.
Il se rapproche de moi, presque à sentir son souffle.
• Tu as bien fait de venir, j’espérais te rencontrer seule.
Me permets-tu de te dire que pour la première fois, j’ai eu le coup de foudre lorsque tu as franchi la porte pour venir prendre ta classe.
J’ai même eu l’impression que j’étais loin de t’être insensible.
As-tu ressenti la même chose ?
J’ai dit à Ducobu que je trouverais une solution pour nous sortir de la panade ou l’intrusion d’Alexandre nous a mis, même si c’était Lucien que nous pensions découvrir.
Surtout lorsqu’il me prend dans ses bras et qu’il m’embrasse.
Je sais mon amant sous mes fesses, mais que faire surtout lorsque rendant son baiser à Alexandre, je sens sa main se poser à la lisière de ma jupe.
Je suis à deux doigts de paniquer, mais ce sont deux doigts qui trouvent ma chatte.
Il casse notre baiser.
• Ma jolie salope, tu te promènes toujours la chatte à l’air !
• Je savais peut-être que je te rencontrerais et je te fais gagner du temps !
Là, ces mots m’échappent, car ses doigts me caressant me font mouiller, c’est vrai qu’il y a eu quelque chose entre nous lorsque je suis entrée dans ma classe de première.
Nos bouches se retrouvent et je dois reconnaitre que j’oublie la présence de Ducobu lorsque Alexandre sort son sexe et sortant une capote, il se couvre.
Lorsque je repose le livre et qu’il me place mes fesses sur le bureau, me relevant une jambe et que sa verge me pénètre, Ducobu est loin de mes préoccupations.
Rapidement il me fait jouir, sortant de moi, il me place le torse sur le bureau.
Il sort mes seins de mon corsage et des bonnets de mon soutien-gorge et replongeant en moi, il recommence à me pilonner.
Je sens un orgasme monter contre mon gré, mais sa verge est si efficace que je pars dans un orgasme que même Porcinet a été capable de m’apporter, encore moins Ducobu.
Alexandre finissant lui-même par remplir sa capote, il me libère et je me rajuste après un dernier baisé.
Il retire sa capote alors que je suis toujours à moitié dans les vapes, je le vois quand même regarder sa montre.
• Lucien doit être de retour à la loge, nous avons pris un peu de temps, mais que c’était bon, quelle chance que tu sois revenue chercher ce livre.
Prend le, j’ai ma chambre donnant sur l’impasse à côté, viens, je t’offre un verre et nous nous referons un petit tour de jambes en l’air.
Remis dans une tenue décente, je suis piégée, quoique, nous quittions le bureau de madame la salope de proviseure Bara sans que j’aie une pensée pour mon jeune suborneur.
• Eh ! tu oublies ton livre, je retourne le chercher.
• Non, laisse, lorsque tu es arrivée je venais de trouver le renseignement dont j’ai besoin pour préparer mon cours de vendredi.
• Demain, as-tu cours ?
• Pas le matin seulement l’après-midi.
Je réussis à ce que mon bel amant fasse un retour dans le bureau et trouve Ducobu sorti de sous son bureau ayant entendu la façon dont je me suis laissé faire l’amour juste au-dessus de lui.
Il devait entendre mes fesses taper sous les coups de bite puissante qu’il m’assénait.
Nuit défonçant, ma chatte mais aussi ma bouche en lui faisant des fellations pour l’aider à repartir de nouveau dans nos joutes sans fin.
Lorsque je vais pour récupérer ma voiture pour retourner chez moi me changer, j’ai passé une nuit presque blanche, je saute par-dessus la bouche d’égout où Ducobu a jeté ma culotte.
À l’autre bout de l’impasse, un travailleur de l’ombre, surtout pas parse qu’il est noir à ouvert l’eau qui dévale la pente du caniveau pour venir entrer dans la bouche d’égout.
Vogue petite culotte, vogue.
C’est ce que je me dis, je suis en joie comme le sont toutes les femmes comblées par leurs amants.
Lorsque je reprends ma voiture, je suis à mille lieues de penser à Ducobu.
Aimant toujours être à l’heure, même si ce jeudi, mes cours me laissent loin de Ducobu, le lycée semble en ébullition.
C’était plus calme lorsque je suis reparti ce matin pour retourner chez moi principalement me doucher.
• Madame, savez-vous ce qui s’est passé hier au soir ?
• Non, je devrais !
Celle qui m’interpelle, c’est Françoise Dégas, pardon Degas, les dégâts je vais les découvrir surtout par celle qui renseigne la proviseure Bara.
• Vous ignorez pour Ducobu !...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu en as plein de fan Chris !!!! Mais je n’adhère pas à ce récit.
La chipie
La chipie
J'ai au moins un grand fan
Merci Cyrille
Merci Cyrille
Ahhhh
Encooorreeee...
Quel roi de la saga érotico-porno....
Merci Chris
Cyrille
Encooorreeee...
Quel roi de la saga érotico-porno....
Merci Chris
Cyrille