COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (5/5)
Qu’est-ce que Ducobu a-t-il pu faire pour que le lycée soit en effervescence comme sait le cas lorsque j’arrive ?
Certes, celle qui m’interpelle est celle qui va baver vers la proviseure étant même si j’écoute mon amant, la gouine de cette femme.
Elles en ont le droit, même si la déontologie recommande de garder ses distances entre élèves et mondes des profs.
Que puis-je en dire, moi, qui aussi ai franchi la ligne blanche avec Ducobu même si l’un et l’autre sommes des adultes majeurs ?
• Mademoiselle Françoise, dites-moi ce qu’il se passe !
Je vois qu’elle jubile de me rapporter ce qui s’est passé.
• Madame Flute, hier dans la soirée, monsieur Lucien le concierge a fait sa ronde.
Dans la salle des professeurs, il a trouvé Ducobu pissant dans un pot de fleurs artificielles.
Il avait une bouteille de vin presque vide à la main, la police pense qu’il l’avait bu !
Madame la proviseur a été prévenue et est venue.
La façon dont il était rentré s’est posée, ils lui ont fait vider ses poches et ont trouvé la clef de la porte cachée se trouvant dans la salle des professeurs.
• Eh ! tout ça méritait la police !
• Non, c’était un début, Chantal s’est rendue dans son bureau, il avait dû se masturber dans une capote, c’est complètement dégueulasse et il l’a vidé sur mon livre sur l’art grec.
Les pages étaient collées par cette matière visqueuse, la capote était sur le bureau.
• Deux choses Françoise, depuis quand, appelez-vous madame la proviseure par son petit nom « Chantal » et comment se fait-il qu’elle avait un livre à vous sur son bureau.
• Je lui avais offert pour son anniversaire !
• Et s’est tout, tu es sûr que lorsque tu étais dans son bureau, vous étiez sage !
Françoise devient toute rouge et je la vois partir en courant.
Heureusement, que Ducobu m’a mise au courant pour les relations entre les deux femmes ou presque une femme.
Dans les couloirs, c’est un peu l’effervescence, certes, c’est le retour du réfectoire pour certains et certaines, mais l’on sent une certaine tension parmi les élèves et les profs.
• Annabelle, as-tu vu madame la proviseure ?
• Oui, Milla, elle est dans la salle des profs.
Je me dirige vers le lieu ou Ducobu semble avoir pété les plombs après que je sois partie avec Alexandre.
S’est-il servi de la capote que mon amant a jetée dans la poubelle dans le bureau de madame Bara la proviseure ?
Ou avait-il lui aussi une capote dans sa poche en plus de celle dont il s’est servi hier pour me baiser ?
Je dois aider Ducobu qui est en partie responsable, j’ai ma part moi aussi ayant transgressé les règles en vigueur dans un lycée.
De toute façon, monsieur Lucien a dû dire qu’il m’avait vu avec Alexandre ce mercredi.
Je sens que l’on me saisit me coupant dans mon élan pour faire justice et rétablir la vérité !
• Milla, ou vas-tu, tu veux aussi nous faire renvoyer ?
Pour Ducobu, il est trop tard, Bara voulait faire un conseil des profs avec les délégués de classes.
Parmi eux où elles, Françoise Degas, comme c’est étrange.
Il arrive qu’une proviseure convoque l’une d’elles dans son bureau.
Elle y a renoncé, car tu étais absente et comme tu es la prof principale de cette classe, il fallait qu’elle t’attende.
• Mais ce pauvre garçon Alexandre ?
• Je pourrais, moi aussi me poser des questions de l’endroit où il était lorsque nous avons fait l’amour.
Mais comme son père est venu et qu’ils sont repartis pour un centre de recrutement des paras choix de Ducobu entre la légion et les paras, inutile de remuer la merde.
Tu m’as fait passer une nuit merveilleuse.
Alexandre me relâche, je suis calmée, je rentre tout de même dans la salle des profs, Françoise est là, tenant par les épaules Chantal Bara.
• C’est maintenant que vous arrivez, vous êtes comme votre mère, toujours en retard lorsque l’on a besoin de vous.
Vous pouvez retourner à votre classe, j’ai tout réglé sans vous.
• Mademoiselle Degas a dû être d’un grand secours pour vous madame la proviseure !
• De quoi parlez-vous, ce sont des ragots, Françoise se trouve être ma filleule et je refuse ces bruits de couloir sur des relations que j’aurais avec une de nos élèves.
D’abord comment savez-vous ce qu’il se passe entre Françoise et moi ?
• Comme vous venez de le dire, madame, je suis ici depuis peu et vous savez les bruits de couloir...
Je tourne les talons, Alexandre est là qui me réconforte.
• Bien jouée Milla, tu viens chez moi ce soir, j’ai encore des choses à te dire !
Pour me les dire, il me les dit et je me rapproche encore plus lorsque Madame Antoinette ayant appris le départ de Ducobu, va voir la médecin du travail pour reprendre son boulot.
Mon remplacement se terminant, à la demande d’Alexandre, je donne ma démission de mon poste d’enseignante de Français.
En tant que futur mari, il a rencontré maman, lui a expliqué que pour moi, c’est la terre et la biologie qui sont mes centres d’intérêt.
Pour lui, tout roule, il était pion le temps de préparer son concours pour être proviseur.
C’est avec sa tête entre mes cuisses me broutant le pistil que nous attendons sa première affectation.
Avec lui, nous luttons à armes égales, fini les dominations, de toute façon j’adore tout ce qu’il me fait.
Après notre mariage, il veut que j’aie des enfants, mais après mon diplôme universitaire dans la biologie.
Pendant que j’étudie, que sont devenus les acteurs de mon aventure !
Françoise et Irma ont été prises la main dans le sac dans le bureau de cette dernière et madame la proviseure la main dans la culotte de Françoise, une élève.
Elle a été mise à pied et Françoise a changé de lycée.
Antoinette Douche a épousé son curé défroqué, du moins c’est comme cela que ça m’a été rapporté, j’ignore pourquoi « défroqué » bien que Ducobu m’ait dit l’avoir vu le pantalon en bas des pieds se faisant sucer la bite.
Lucien a été mis en retraite anticipée, il carburait à deux litres au cent et à la fin, il était bourré du matin au soir.
Il a été remplacé par l’administration par un couple en reclassement professionnel.
Ducobu, a accepté notre invitation à mon mariage avec l’accord de mon futur mari.
C’est un béret vert qui est venu avec Vénus sa future.
Si un moment, j’étais très proche, la façon dont il couvait Vénus nous montrait qu’il fallait nous tenir à carreau pour éviter de prendre une véritable branlée.
De toute façon dans ma robe blanche, il faudrait que je sois devenue lesbienne pour avoir le moindre risque.
Enfin, moi, j’ai dit « oui » à Alexandre tout en pensant à divorcer.
Pourquoi, mariage et divorce le même jour ?
Côté sexe, il nous arrive de faire l’amour, trois ou quatre fois par jour surtout les samedis, dimanches, jours ferrier et vacances, ce qui m’épanouit.
Mais c’est le nom que je prends lorsque je prononce ce « oui ».
J’ai dit avoir été victime de harcèlement à cause de mon nom de jeune fille, « Flute »
Mais que dire, du jour de mon mariage, bien que je sache avant le nom que j’allais épouser.
« Mademoiselle Milla Flute, voulez-vous prendre pour époux, monsieur Alexandre Poireau ici présent. »
« Poireau », il va falloir que je vive avec ce nom jusqu’à la fin de mes jours.
J’ai bien essayé de me servir de la loi sur les noms accolés.
« Madame Milla Flute-Poireau ou Milla Poireau-Flute, voulez-vous épouser... »
Il faut le reconnaitre que c’est un peu dur à porter.
Pour leur bien, même si le harcèlement est combattu à cette rentrée, que vont subir nos enfants lorsque l’on demandera.
« Poireau au tableau. »
« Flute au tableau, » j’ai déjà donné pendant des années et je sais ce que cela représente comme brimades.
Lors de mon mariage avec Alexandre nous avons ouvert nos cadeaux.
Je passe le célèbre service de table, la ménagère ou autre friteuse pour arriver à un gros cadeau.
« Charles et Vénus »
Gros puis après huit boîtes toutes emballées et la dernière que j’ouvre.
• Merci Charles, ça me touche vraiment.
Dans la boîte ma petite culotte qu’il m’a arrachée le premier jour de ma classe.
Mais pensons de manière plus positive, même si maman m’a fait un peu la gueule...
J’ai fini d’être prof, on peut se lâcher sur les mots grossiers.
M’a fait la gueule, donc, lorsqu’elle a appris que je quittais l’enseignement pour me lancer dans des études de Bio.
Mais une mère, reste une mère et les choses se sont tassées.
Attendre d’être grand-mère et de garder son petit-fils, c’est sa nouvelle raison de vivre.
Chaque fois que nous allons chez elle le dimanche, dès que j’ai ôté mon manteau, son regard se porte sur mon ventre, elle en est pour ses frais, j’ai fait poser un stérilet.
Avec Alexandre, nous voulons profiter de ce qui reste de notre jeunesse, la vie va si vite, pour faire des grâces matinées les dimanches matin avant notre jogging de maintien en forme.
De retour à notre appartement, nous prenons une douche ensemble.
Rapidement sa bite entre faisant de moi la salope qu’il aime avoir dans ses bras.
De temps en temps, il m’arrive de fermer les yeux, Ducobu est derrière moi, c’est lui qui me baise et j’adore ça.
Ce soir, Alexandre m’emmène au restaurant puis au cinéma, il joue « Ducobu président. »
Certes, celle qui m’interpelle est celle qui va baver vers la proviseure étant même si j’écoute mon amant, la gouine de cette femme.
Elles en ont le droit, même si la déontologie recommande de garder ses distances entre élèves et mondes des profs.
Que puis-je en dire, moi, qui aussi ai franchi la ligne blanche avec Ducobu même si l’un et l’autre sommes des adultes majeurs ?
• Mademoiselle Françoise, dites-moi ce qu’il se passe !
Je vois qu’elle jubile de me rapporter ce qui s’est passé.
• Madame Flute, hier dans la soirée, monsieur Lucien le concierge a fait sa ronde.
Dans la salle des professeurs, il a trouvé Ducobu pissant dans un pot de fleurs artificielles.
Il avait une bouteille de vin presque vide à la main, la police pense qu’il l’avait bu !
Madame la proviseur a été prévenue et est venue.
La façon dont il était rentré s’est posée, ils lui ont fait vider ses poches et ont trouvé la clef de la porte cachée se trouvant dans la salle des professeurs.
• Eh ! tout ça méritait la police !
• Non, c’était un début, Chantal s’est rendue dans son bureau, il avait dû se masturber dans une capote, c’est complètement dégueulasse et il l’a vidé sur mon livre sur l’art grec.
Les pages étaient collées par cette matière visqueuse, la capote était sur le bureau.
• Deux choses Françoise, depuis quand, appelez-vous madame la proviseure par son petit nom « Chantal » et comment se fait-il qu’elle avait un livre à vous sur son bureau.
• Je lui avais offert pour son anniversaire !
• Et s’est tout, tu es sûr que lorsque tu étais dans son bureau, vous étiez sage !
Françoise devient toute rouge et je la vois partir en courant.
Heureusement, que Ducobu m’a mise au courant pour les relations entre les deux femmes ou presque une femme.
Dans les couloirs, c’est un peu l’effervescence, certes, c’est le retour du réfectoire pour certains et certaines, mais l’on sent une certaine tension parmi les élèves et les profs.
• Annabelle, as-tu vu madame la proviseure ?
• Oui, Milla, elle est dans la salle des profs.
Je me dirige vers le lieu ou Ducobu semble avoir pété les plombs après que je sois partie avec Alexandre.
S’est-il servi de la capote que mon amant a jetée dans la poubelle dans le bureau de madame Bara la proviseure ?
Ou avait-il lui aussi une capote dans sa poche en plus de celle dont il s’est servi hier pour me baiser ?
Je dois aider Ducobu qui est en partie responsable, j’ai ma part moi aussi ayant transgressé les règles en vigueur dans un lycée.
De toute façon, monsieur Lucien a dû dire qu’il m’avait vu avec Alexandre ce mercredi.
Je sens que l’on me saisit me coupant dans mon élan pour faire justice et rétablir la vérité !
• Milla, ou vas-tu, tu veux aussi nous faire renvoyer ?
Pour Ducobu, il est trop tard, Bara voulait faire un conseil des profs avec les délégués de classes.
Parmi eux où elles, Françoise Degas, comme c’est étrange.
Il arrive qu’une proviseure convoque l’une d’elles dans son bureau.
Elle y a renoncé, car tu étais absente et comme tu es la prof principale de cette classe, il fallait qu’elle t’attende.
• Mais ce pauvre garçon Alexandre ?
• Je pourrais, moi aussi me poser des questions de l’endroit où il était lorsque nous avons fait l’amour.
Mais comme son père est venu et qu’ils sont repartis pour un centre de recrutement des paras choix de Ducobu entre la légion et les paras, inutile de remuer la merde.
Tu m’as fait passer une nuit merveilleuse.
Alexandre me relâche, je suis calmée, je rentre tout de même dans la salle des profs, Françoise est là, tenant par les épaules Chantal Bara.
• C’est maintenant que vous arrivez, vous êtes comme votre mère, toujours en retard lorsque l’on a besoin de vous.
Vous pouvez retourner à votre classe, j’ai tout réglé sans vous.
• Mademoiselle Degas a dû être d’un grand secours pour vous madame la proviseure !
• De quoi parlez-vous, ce sont des ragots, Françoise se trouve être ma filleule et je refuse ces bruits de couloir sur des relations que j’aurais avec une de nos élèves.
D’abord comment savez-vous ce qu’il se passe entre Françoise et moi ?
• Comme vous venez de le dire, madame, je suis ici depuis peu et vous savez les bruits de couloir...
Je tourne les talons, Alexandre est là qui me réconforte.
• Bien jouée Milla, tu viens chez moi ce soir, j’ai encore des choses à te dire !
Pour me les dire, il me les dit et je me rapproche encore plus lorsque Madame Antoinette ayant appris le départ de Ducobu, va voir la médecin du travail pour reprendre son boulot.
Mon remplacement se terminant, à la demande d’Alexandre, je donne ma démission de mon poste d’enseignante de Français.
En tant que futur mari, il a rencontré maman, lui a expliqué que pour moi, c’est la terre et la biologie qui sont mes centres d’intérêt.
Pour lui, tout roule, il était pion le temps de préparer son concours pour être proviseur.
C’est avec sa tête entre mes cuisses me broutant le pistil que nous attendons sa première affectation.
Avec lui, nous luttons à armes égales, fini les dominations, de toute façon j’adore tout ce qu’il me fait.
Après notre mariage, il veut que j’aie des enfants, mais après mon diplôme universitaire dans la biologie.
Pendant que j’étudie, que sont devenus les acteurs de mon aventure !
Françoise et Irma ont été prises la main dans le sac dans le bureau de cette dernière et madame la proviseure la main dans la culotte de Françoise, une élève.
Elle a été mise à pied et Françoise a changé de lycée.
Antoinette Douche a épousé son curé défroqué, du moins c’est comme cela que ça m’a été rapporté, j’ignore pourquoi « défroqué » bien que Ducobu m’ait dit l’avoir vu le pantalon en bas des pieds se faisant sucer la bite.
Lucien a été mis en retraite anticipée, il carburait à deux litres au cent et à la fin, il était bourré du matin au soir.
Il a été remplacé par l’administration par un couple en reclassement professionnel.
Ducobu, a accepté notre invitation à mon mariage avec l’accord de mon futur mari.
C’est un béret vert qui est venu avec Vénus sa future.
Si un moment, j’étais très proche, la façon dont il couvait Vénus nous montrait qu’il fallait nous tenir à carreau pour éviter de prendre une véritable branlée.
De toute façon dans ma robe blanche, il faudrait que je sois devenue lesbienne pour avoir le moindre risque.
Enfin, moi, j’ai dit « oui » à Alexandre tout en pensant à divorcer.
Pourquoi, mariage et divorce le même jour ?
Côté sexe, il nous arrive de faire l’amour, trois ou quatre fois par jour surtout les samedis, dimanches, jours ferrier et vacances, ce qui m’épanouit.
Mais c’est le nom que je prends lorsque je prononce ce « oui ».
J’ai dit avoir été victime de harcèlement à cause de mon nom de jeune fille, « Flute »
Mais que dire, du jour de mon mariage, bien que je sache avant le nom que j’allais épouser.
« Mademoiselle Milla Flute, voulez-vous prendre pour époux, monsieur Alexandre Poireau ici présent. »
« Poireau », il va falloir que je vive avec ce nom jusqu’à la fin de mes jours.
J’ai bien essayé de me servir de la loi sur les noms accolés.
« Madame Milla Flute-Poireau ou Milla Poireau-Flute, voulez-vous épouser... »
Il faut le reconnaitre que c’est un peu dur à porter.
Pour leur bien, même si le harcèlement est combattu à cette rentrée, que vont subir nos enfants lorsque l’on demandera.
« Poireau au tableau. »
« Flute au tableau, » j’ai déjà donné pendant des années et je sais ce que cela représente comme brimades.
Lors de mon mariage avec Alexandre nous avons ouvert nos cadeaux.
Je passe le célèbre service de table, la ménagère ou autre friteuse pour arriver à un gros cadeau.
« Charles et Vénus »
Gros puis après huit boîtes toutes emballées et la dernière que j’ouvre.
• Merci Charles, ça me touche vraiment.
Dans la boîte ma petite culotte qu’il m’a arrachée le premier jour de ma classe.
Mais pensons de manière plus positive, même si maman m’a fait un peu la gueule...
J’ai fini d’être prof, on peut se lâcher sur les mots grossiers.
M’a fait la gueule, donc, lorsqu’elle a appris que je quittais l’enseignement pour me lancer dans des études de Bio.
Mais une mère, reste une mère et les choses se sont tassées.
Attendre d’être grand-mère et de garder son petit-fils, c’est sa nouvelle raison de vivre.
Chaque fois que nous allons chez elle le dimanche, dès que j’ai ôté mon manteau, son regard se porte sur mon ventre, elle en est pour ses frais, j’ai fait poser un stérilet.
Avec Alexandre, nous voulons profiter de ce qui reste de notre jeunesse, la vie va si vite, pour faire des grâces matinées les dimanches matin avant notre jogging de maintien en forme.
De retour à notre appartement, nous prenons une douche ensemble.
Rapidement sa bite entre faisant de moi la salope qu’il aime avoir dans ses bras.
De temps en temps, il m’arrive de fermer les yeux, Ducobu est derrière moi, c’est lui qui me baise et j’adore ça.
Ce soir, Alexandre m’emmène au restaurant puis au cinéma, il joue « Ducobu président. »
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle Merveilleuse narration, avec toujours autant de retournement de situation...
Cyrille
Cyrille