COLLECTION ÉCHANGISME. Confinement et échangisme (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Confinement et échangisme (1/3)
Le confinement a l’air d’inspirer les auteurs comme je l’ai déjà fait une fois.
Une autre idée d’histoire dans cette période m’est venue.
Je vais essayer d’en écrire les grandes lignes.
- Jeanne descend Bibiche, je sens qu’il gratte du pied.
- C’est ton tour, j’y suis allée ce matin.
- Mon tour, tu rigoles, depuis quand y a-t-il un tour.
Je finis mes mots croisés.
Quand tu remonteras, nous ferons nos parties de Rummikub.
Depuis le début du confinement pendant nos deux heures de jeux, je gagne 62 parties à 34.
- Viens, Bibiche, c’est ta maîtresse qui va te faire faire ton pipi.
- Pense à ton attestation de déplacement, inutile que tu payes 135 € pour la pisse de notre chien.
Il y en a sur mon bureau.
Si c’est toi qui as descendu le chien ce matin, tu aurais pu remettre un sac propre sur la laisse, laisser la merde de son chien avenue d’Iéna, ça fait désordre.
Je suis prête.
Promener notre chien est loin d’être une corvée après plus de 30 jours de confinement.
Ces quelques allées et retours, jusqu’à ce que notre chien fasse pipi dans le caniveau, c’est une bénédiction et loin d’être une corvée.
Surtout qu’il fait un magnifique soleil en ce mois d’avril.
Je fais les cent pas, Bibiche, pur bâtard récupéré dans la vallée de Chevreuse où nous avons une petite résidence de week-end semble apprécier de se trouver à l’extérieur.
Au début du confinement nous nous sommes interrogés si nous devions y aller,mais Pierre a sa banque près de l’étoile et comme directeur adjoint même s’il peut comme moi faire du télétravail, il doit s’y rendre deux fois par semaine.
Pour ma part, je dirige une agence de voyage non loin de là qui sera fermé un bon bout de temps.
Sortant de notre immeuble, la voisine du dessous sort avec son caniche et commence, aussi à faire des allées et retours.
Avec son mari, ils sont arrivés une semaine avant le confinement avec leur fille qui semble absente ou qui doit rester au fond de son lit.
Pour notre part, nous avons des jumeaux qui sont sur le bassin d’Arcachon au bord de l’eau.
C’est le père de Pierre qui a pris le risque de traverser la France du sud vers le nord pour venir les chercher.
Nous habitons leur ancien appartement qu’ils ont quitté pour aller se retirer là-bas à leur retraite.
C’est en se retournant, contrôle, 3 personnes à 135 et le confinement de nos enfants nous a coûté 405 €.
La voisine est une véritable bimbo malgré sa quarantaine vu l’âge de sa fille qui doit avoir une vingtaine d’années.
Bibiche en voyant la chienne semble s’exciter.
Quand elle passe à quelques pas de moi, mon chien saute littéralement sur l’autre chien.
Ils tournent, ils virevoltent semblant se faire fête au point que les laisses s’entourent autour de nous et je me retrouve littéralement collée à cette femme.
- Retirez ce sale cabot, Poupette a un pedigree, sa lignée est pure.
À nos pieds, Bibiche grimpe sur le dos de sa copine et comme un mâle dominant qu’il est, il l’a trombine allègrement.
- Arrêtez de me souffler dans ma figure, il est hors de question que vous me refiliez ce putain de virus.
- Votre chienne, vous pourriez lui mettre une culotte quand elle a ses chaleurs.
- À la maison, c’est possible ici, il faut bien qu’elle fasse ses besoins.
Autour de nous les gens passent et se marrent.
Les deux chiens sont collés.
- Mesdames, présentez-nous vos attestations de déplacement.
Deux policiers sont devant nous.
- On fait pisser nos chiens.
- L’attestation est obligatoire même pour sortir son chien !
- Monsieur le policier, mon mari m’a dit qu’il y en avait sur son bureau, j’ai oublié de la prendre.
Voilà comment se retrouve-t-on avec 135 € chacune à payer.
Ça nous rapproche et ça calme notre agressivité.
- J’adore votre tailleur, j’ai essayé, mais votre look BCBG choquait mes amies.
Je garde le mien.
Deux femmes qui parlent chiffons sont sur un terrain apaisant.
Nous entrons, notre chien d’une main la verbalisation de l’autre.
Il y a peu de temps que je suis de retour, me battant avec les plaques du Rummikub quand on sonne à la porte.
Bibiche comme à son habitude grogne.
- Laisse, j’y vais, continue à chercher, j’ai vu la plaque que tu as tirée, tu as quelque chose à faire.
J’ai horreur qu’il m’aide, j’ai l’impression qu’il me prend pour une blonde comme la bimbo de l’étage du dessous.
- Excusez, David, le mari de Valérie, vos voisins du dessous !
Je voulais m’excuser pour les mots d’oiseau que ma femme a prononcé envers votre épouse à propos de nos chiens.
Je lui ai toujours dit qu’il fallait qu’elle fasse attention quand notre chienne était en chaleur.
À cause de son inadvertance, elle vient de partir chez le vétérinaire pour lui faire une piqure et l’empêcher de mettre bas.
J’aime avoir de bonnes relations entre voisins.
Demain soir, nous vous invitons à venir dîner, sans votre chien si possible, mais je vous taquine, je vous ferais goûter un petit bourgogne dont vous me direz des nouvelles.
- Merci de l’invitation, mais le confinement ?
- À ce que m’a dit Sylvie, les laisses se sont entourées et elles se sont trouvées nez à nez.
J’ignore vos rapports avec votre épouse pendant cet enfermement, mais nous nous sommes assez actifs dans nos rapports dans notre couple.
Nous étions sur le canapé après ce petit moment de bonheur quand elle m’a avoué ce qu’il lui était arrivé.
J’ai pris les choses en main, pour le vétérinaire et je pense que si nous étions infectés, nous le sommes tous à cette heure.
C’est en plus le deuxième motif de ma visite, elle m’a expliqué que des agents les avaient verbalisé, à la description qu’elle m’en a fait, ce devait être des agents municipaux qui les ont épinglés.
Avez-vous le récépissé ?
Tenez, il est là sur ce guéridon !
Donnez-le-moi, j’ai les moyens de le faire sauter, j’ai quelques entrées à la mairie, je vais aller les voir.
Alors pour demain ?
- Je vais voir avec ma femme, mais je pense qu’elle sera partante.
- Je suis là, bien sûr que je suis d’accord, ça nous changera de nos soirées devant la télévision.
- Venez sans aucun chichi vestimentaire, ma femme lorsqu’elle reçoit aime la décontraction.
Inutile de remplir des attestations.
À demain.
Il quitte notre palier, Bibiche vient dans mes pieds.
Pierre se baisse et flatte la tête de notre chien.
- C’est très bien, tu es un bon chien, tu as sauté la petite pétasse du dessous.
Dommage, j’aurais bien voulu avoir le chiot qui nous revenait.
Chérie, si nous allions faire un petit tour sur notre canapé, c’est mieux que de te voir perdre au Rummikub.
Il est vrai que j’aime jouer, à deux c’est moins marrant.
Nos bouches se rejoignent.
J’aime quand mon mari m’embrasse, car il pose sa main directement sur mon sein qui réagit toujours en bandant.
Depuis dix ans que nous sommes mariés, papa et maman depuis cinq ans, j’ai toujours aimé le sexe même si dans cette période contrairement à David et Valérie, nous avons perdu l’habitude des après-midi crapuleuses.
Jumeaux obligent, ils accaparent la plupart de notre temps.
J’ouvre sa braguette, je sors sa queue que je masturbe.
Une idée folle me vient moi qui suis passive d’habitude.
Est-ce le fantasme de penser à la jolie blonde les cuisses écarté sur son canapé qui me donne cette audace.
Je m’agenouille et pour la première fois dans notre couple, je le prends dans ma bouche.
- Chérie, si tu savais, depuis le temps où j’attendais à ce que tu me fasses une fellation.
Il me met ses mains sur la tête et rythme la vitesse où il aime que ma langue vienne caresser sa verge.
- Mon cœur, demande-moi ce que tu veux, je te l’offrirais !
Je vais y réfléchir pour le moment je suis concentrée sur ce que je lui fais.
Pour une première fois, hors de question que j’avale le sperme, même de mon amour.
Une de mes positions favorites, la levrette, il me prend jusqu’à notre jouissance simultanée.
Il est l’heure, j’ai mis un débardeur et une petite jupe achetée, mais jamais mise, car je la trouvais un peu provocante après coup.
Nous sonnons chez nos voisins.
C’est elle qui vient nous ouvrir.
J’avais l’impression de faire oser avec ma tenue.
Mon Dieu, quelle robe…
Une autre idée d’histoire dans cette période m’est venue.
Je vais essayer d’en écrire les grandes lignes.
- Jeanne descend Bibiche, je sens qu’il gratte du pied.
- C’est ton tour, j’y suis allée ce matin.
- Mon tour, tu rigoles, depuis quand y a-t-il un tour.
Je finis mes mots croisés.
Quand tu remonteras, nous ferons nos parties de Rummikub.
Depuis le début du confinement pendant nos deux heures de jeux, je gagne 62 parties à 34.
- Viens, Bibiche, c’est ta maîtresse qui va te faire faire ton pipi.
- Pense à ton attestation de déplacement, inutile que tu payes 135 € pour la pisse de notre chien.
Il y en a sur mon bureau.
Si c’est toi qui as descendu le chien ce matin, tu aurais pu remettre un sac propre sur la laisse, laisser la merde de son chien avenue d’Iéna, ça fait désordre.
Je suis prête.
Promener notre chien est loin d’être une corvée après plus de 30 jours de confinement.
Ces quelques allées et retours, jusqu’à ce que notre chien fasse pipi dans le caniveau, c’est une bénédiction et loin d’être une corvée.
Surtout qu’il fait un magnifique soleil en ce mois d’avril.
Je fais les cent pas, Bibiche, pur bâtard récupéré dans la vallée de Chevreuse où nous avons une petite résidence de week-end semble apprécier de se trouver à l’extérieur.
Au début du confinement nous nous sommes interrogés si nous devions y aller,mais Pierre a sa banque près de l’étoile et comme directeur adjoint même s’il peut comme moi faire du télétravail, il doit s’y rendre deux fois par semaine.
Pour ma part, je dirige une agence de voyage non loin de là qui sera fermé un bon bout de temps.
Sortant de notre immeuble, la voisine du dessous sort avec son caniche et commence, aussi à faire des allées et retours.
Avec son mari, ils sont arrivés une semaine avant le confinement avec leur fille qui semble absente ou qui doit rester au fond de son lit.
Pour notre part, nous avons des jumeaux qui sont sur le bassin d’Arcachon au bord de l’eau.
C’est le père de Pierre qui a pris le risque de traverser la France du sud vers le nord pour venir les chercher.
Nous habitons leur ancien appartement qu’ils ont quitté pour aller se retirer là-bas à leur retraite.
C’est en se retournant, contrôle, 3 personnes à 135 et le confinement de nos enfants nous a coûté 405 €.
La voisine est une véritable bimbo malgré sa quarantaine vu l’âge de sa fille qui doit avoir une vingtaine d’années.
Bibiche en voyant la chienne semble s’exciter.
Quand elle passe à quelques pas de moi, mon chien saute littéralement sur l’autre chien.
Ils tournent, ils virevoltent semblant se faire fête au point que les laisses s’entourent autour de nous et je me retrouve littéralement collée à cette femme.
- Retirez ce sale cabot, Poupette a un pedigree, sa lignée est pure.
À nos pieds, Bibiche grimpe sur le dos de sa copine et comme un mâle dominant qu’il est, il l’a trombine allègrement.
- Arrêtez de me souffler dans ma figure, il est hors de question que vous me refiliez ce putain de virus.
- Votre chienne, vous pourriez lui mettre une culotte quand elle a ses chaleurs.
- À la maison, c’est possible ici, il faut bien qu’elle fasse ses besoins.
Autour de nous les gens passent et se marrent.
Les deux chiens sont collés.
- Mesdames, présentez-nous vos attestations de déplacement.
Deux policiers sont devant nous.
- On fait pisser nos chiens.
- L’attestation est obligatoire même pour sortir son chien !
- Monsieur le policier, mon mari m’a dit qu’il y en avait sur son bureau, j’ai oublié de la prendre.
Voilà comment se retrouve-t-on avec 135 € chacune à payer.
Ça nous rapproche et ça calme notre agressivité.
- J’adore votre tailleur, j’ai essayé, mais votre look BCBG choquait mes amies.
Je garde le mien.
Deux femmes qui parlent chiffons sont sur un terrain apaisant.
Nous entrons, notre chien d’une main la verbalisation de l’autre.
Il y a peu de temps que je suis de retour, me battant avec les plaques du Rummikub quand on sonne à la porte.
Bibiche comme à son habitude grogne.
- Laisse, j’y vais, continue à chercher, j’ai vu la plaque que tu as tirée, tu as quelque chose à faire.
J’ai horreur qu’il m’aide, j’ai l’impression qu’il me prend pour une blonde comme la bimbo de l’étage du dessous.
- Excusez, David, le mari de Valérie, vos voisins du dessous !
Je voulais m’excuser pour les mots d’oiseau que ma femme a prononcé envers votre épouse à propos de nos chiens.
Je lui ai toujours dit qu’il fallait qu’elle fasse attention quand notre chienne était en chaleur.
À cause de son inadvertance, elle vient de partir chez le vétérinaire pour lui faire une piqure et l’empêcher de mettre bas.
J’aime avoir de bonnes relations entre voisins.
Demain soir, nous vous invitons à venir dîner, sans votre chien si possible, mais je vous taquine, je vous ferais goûter un petit bourgogne dont vous me direz des nouvelles.
- Merci de l’invitation, mais le confinement ?
- À ce que m’a dit Sylvie, les laisses se sont entourées et elles se sont trouvées nez à nez.
J’ignore vos rapports avec votre épouse pendant cet enfermement, mais nous nous sommes assez actifs dans nos rapports dans notre couple.
Nous étions sur le canapé après ce petit moment de bonheur quand elle m’a avoué ce qu’il lui était arrivé.
J’ai pris les choses en main, pour le vétérinaire et je pense que si nous étions infectés, nous le sommes tous à cette heure.
C’est en plus le deuxième motif de ma visite, elle m’a expliqué que des agents les avaient verbalisé, à la description qu’elle m’en a fait, ce devait être des agents municipaux qui les ont épinglés.
Avez-vous le récépissé ?
Tenez, il est là sur ce guéridon !
Donnez-le-moi, j’ai les moyens de le faire sauter, j’ai quelques entrées à la mairie, je vais aller les voir.
Alors pour demain ?
- Je vais voir avec ma femme, mais je pense qu’elle sera partante.
- Je suis là, bien sûr que je suis d’accord, ça nous changera de nos soirées devant la télévision.
- Venez sans aucun chichi vestimentaire, ma femme lorsqu’elle reçoit aime la décontraction.
Inutile de remplir des attestations.
À demain.
Il quitte notre palier, Bibiche vient dans mes pieds.
Pierre se baisse et flatte la tête de notre chien.
- C’est très bien, tu es un bon chien, tu as sauté la petite pétasse du dessous.
Dommage, j’aurais bien voulu avoir le chiot qui nous revenait.
Chérie, si nous allions faire un petit tour sur notre canapé, c’est mieux que de te voir perdre au Rummikub.
Il est vrai que j’aime jouer, à deux c’est moins marrant.
Nos bouches se rejoignent.
J’aime quand mon mari m’embrasse, car il pose sa main directement sur mon sein qui réagit toujours en bandant.
Depuis dix ans que nous sommes mariés, papa et maman depuis cinq ans, j’ai toujours aimé le sexe même si dans cette période contrairement à David et Valérie, nous avons perdu l’habitude des après-midi crapuleuses.
Jumeaux obligent, ils accaparent la plupart de notre temps.
J’ouvre sa braguette, je sors sa queue que je masturbe.
Une idée folle me vient moi qui suis passive d’habitude.
Est-ce le fantasme de penser à la jolie blonde les cuisses écarté sur son canapé qui me donne cette audace.
Je m’agenouille et pour la première fois dans notre couple, je le prends dans ma bouche.
- Chérie, si tu savais, depuis le temps où j’attendais à ce que tu me fasses une fellation.
Il me met ses mains sur la tête et rythme la vitesse où il aime que ma langue vienne caresser sa verge.
- Mon cœur, demande-moi ce que tu veux, je te l’offrirais !
Je vais y réfléchir pour le moment je suis concentrée sur ce que je lui fais.
Pour une première fois, hors de question que j’avale le sperme, même de mon amour.
Une de mes positions favorites, la levrette, il me prend jusqu’à notre jouissance simultanée.
Il est l’heure, j’ai mis un débardeur et une petite jupe achetée, mais jamais mise, car je la trouvais un peu provocante après coup.
Nous sonnons chez nos voisins.
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