COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (1/6) - histoire érotique

• Ma chérie, suis-moi, sans faire le moindre bruit, j’ai la solution à notre problème, nous allons nous rendre dans la pinède derrière notre bungalow.
J’emporte une couverture.
• Maman est couchée dans le salon, il faut que nous passions près d’elle et si elle se réveillait !
• Nous lui dirions que nous avons besoin d’un peu d’intimité et que nous nous isolons dans la pinède un petit moment.
Matilde, ta mère a été mariée malgré son divorce, hélas, et à Paris, elle doit avoir une vie sexuelle.
• Va lui poser la question, à moins que tu aies envie de te dévouer pour être celui qui la fera se souvenir qu’elle reste bandante et qu’elle a un sexe que tu rêves de le défoncer.
• Arrête de dire des conneries, belle-maman, certes elle a de beau reste, mais si je la baisais, j’aurais l’impression de te tromper avec toi-même, vous vous ressemblez tellement.
• Quand-elle nous a demandé si elle pouvait venir avec nous et que tu as accepté, elle nous proposait de garder les enfants pendant que nous profiterions un peu plus de la plage, je voulais que tu loues plus grand.
• J’ai appelé, mais les bungalows avec une chambre de plus, ils étaient tous indisponibles, tu sais qu’ici ce sont des familles nombreuses qui profitent de la plage les pieds dans l’eau.
J’ai pris la couverture, je la place sur le rebord de la fenêtre de notre chambre et je saute dans le sable.
Tu fais celle qui va aux toilettes, la porte du bungalow est à côté et tu sors sans réveiller nos trois enfants ainsi que belle-maman, à nous la pinède.

Je m’appelle Vivian, ma femme Aimée, nous avons trente ans, mariés depuis presque dix ans.
Ma femme voulait de nombreux enfants et surtout des enfants étant jeunes.
Trois, fille, garçon et garçon, ayant le choix du roi inversé avec fille et garçon, je m’en serais bien contenté.
Mais Aimée, à ce qu’il me semble, a su faire ce qu’il fallait pour que Jules notre dernier, il y a trois ans, vienne nous rejoindre.
Soi-disant un problème de stérilet ayant été la cause de sa naissance entrainant par là même de nombreux problèmes comme la voiture, d’une berline, je passais à une familiale plus chère à l’entretien.
La location, d’un, quatre pièces nous avons dû acheter un, cinq pièces.
Par chance dans notre immeuble, j’ai appris qu’il y avait un appartement de cinq pièces qui se libérerait et comme nous parlions de la possibilité de l’acheter, ma situation me le permettant, le déménagement a été facilité.
Je suis huissier de justice, je sais, certains disent que c’est laid de saisir les gens ou de les expulser.
Mais comme j’avais fait du droit et que beau papa était lui-même dans cette profession, c’est naturellement que je l’ai embrassé.
La profession, pas beau papa, lui je l’ai fait sur son front à sa mort subite, un infarctus à 52 ans, laissant Matilde ma belle-mère veuve.

• Tu vois tous s’est bien passé, tu vois assez clair, sinon j’ai pris mon portable et le jour commence à poindre.
• Sans problème, juste lorsque je suis passée près d’elle, maman, a relevé son torse, j’ai vu sa poitrine, elle a marmonné en me regardant et est retombée endormie.
Elle a dû faire un cauchemar, j’ai failli lui parler et la réveiller, mais j’ai bien réagi et me voilà.
• Ici au pied de ce pin, la bande de sable va nous permettre d’étaler la couverture aide-moi !
C’est parfait, vient dans mes bras, enlève ton soutien-gorge, tu sais que j’adore m’occuper de tes seins et je sais que toi aussi.

Allongés sur la couverture, je prends Aimée dans mes bras, nos bouches se retrouvent et c’est tout naturellement que ma queue se redresse.
Même en chemin sur la vingtaine de mètres que nous avons parcourus pour nous isoler et étendre notre couverture, je commençais à bander sachant que j’allais une nouvelle fois posséder ce corps qui est le mien.

• Dis-moi, que vois-je entre tes jambes, ne serait-ce pas le corps du délit nous faisant nous retrouver sur cette couverture ?
• Tait-toi et suce, tu parleras lorsque je t’aurais fait jouir, mais avant que ce morceau de roi, soit ta propriété occupe-toi d’elle pendant que je te bouffe les seins.

Voilà pourquoi nous avons des problèmes avec la venue de Matilde, ce n’est pas tant les enfants, ils dorment profondément dès que nous les mettons au lit.
Surtout ici où ils se défoulent tellement qu’il est inutile de les bercer pour qu’ils s’endorment.
Quant à belle-maman, chez elle, elle traine à point d’heure surtout depuis qu’elle a découvert que sur son portable elle pouvait voir ses feuilletons favoris en « Replay. »
Alors que nous adorons nous exprimer, des fois, de façon salace, Aimée et moi.
Et nous sommes au début de nos ébats, ma chérie arrive à se contenir.
Mais dès que son plaisir va survenir et il survient immanquablement comme en ce moment où je lui titille de ma langue les pointes de ses seins alors qu’elle me pompe avidement le sexe.
J’allais lui demander de se mettre en levrette, comme je suis placé du sable ayant glissé sur la couverture me souvenant de la première année avant les enfants où nous étions allés en Martinique.
Je l’avais baisé sur la plage au clair de lune, dans la position classique du missionnaire et je sais que du sable sur ma queue et en elle la blessant, nous empêchant tout rapport pendant trois jours.

• Chéri, quelqu’un nous regarde !
• Ou ?
Merde, tu as raison derrière ce pin à quelques mètres, monsieur vous n’êtes pas gêné de jouer les voyeurs pendant que je baise avec ma femme !
• Excusez, je fais mon jogging de bon matin et je tombe sur un couple baisant sur une couverture.
Que devais-je faire, passer, vous dire bonjour, comment ça va et poursuivre mon chemin ?
Vous étiez si bandant surtout vous madame qui pompée avidement celui dont je comprends qu’il est votre époux à ce que vient de dire monsieur ?
Regardez, je bande et que dire de vos seins.
• Allez y, approchez et sucez-en un pendant que je m’occupe de l’autre, Aimée va aimer, je suis sûr !

L’homme se redresse, j’ai le temps de voir le bout de sa queue qui dépasse de son pantalon de jogging.
Contre toute attente, je plaisantais lorsque j’ai invité cet homme à participer avec nous, joggeur de surcroit.

• Chéri, tu vas réaliser l’un de mes fantasmes, sucer la bite d’un autre homme pendant que tu vas me baiser !
• Et pourquoi pas lui qui te baise et moi que tu continues à sucer ?
• Je serais partante, mieux je fantasme de le faire à plusieurs lorsque mon mari me baise, mais avec capote et je pense que monsieur comme toi, vous n’en avez pas.
Même dans notre bungalow, il n’y en a pas, à moins que tu ailles demander à maman si elle a quelques préservatifs à nous prêter, tu iras renouveler son stock tout à l’heure !

Incroyable, de la parole, le geste, pensant certainement au sable, Aimée me présente son cul pendant que l’homme s’étant rapproché baisse son pantalon et lui présente sa verge qu’elle engame rapidement.
Ai-je le temps de réfléchir, son cul rebondi est si appétissant que pendant que l’homme se masturbe dans sa bouche, bien aidé par la main de mon aimée, je plonge délicieusement au fond du sexe dégoulinant de cyprine ?
C’est la première fois au bout de quelques secondes que je sens du liquide venir inonder mes cuisses.
Je suis sûr que nous sommes en train de vivre un tournant dans notre vie sexuelle !
Surtout lorsque Aimée, du moins son corps, me démontre qu’elle peut être femme fontaine ce qui n’est jamais arrivé depuis la toute première fois où nous avons fait l’amour.
Sauf si elle me trompe sans que je ne le sache, j’ai toujours pensé que j’étais le seul homme dans sa vie.
Lorsque ce garçon sort de sa bouche pour éjaculer sur la couverture, j’éjacule aussi mais bien au fond du vagin aimé.

• Vous avez eu de la chance, si j’ai bien compris Aimée, j’étais à deux doigts de me vider dans votre jolie bouche !
• Oui, je me prénomme Aimée, mon mari Vivian, vous auriez pu finir dans ma bouche, j’adore boire le sperme de mon mari, j’aurais pu comparer vos goûts.
• Chérie, tu as réalisé ton fantasme, j’ignorais que tu fantasmais sur d’autres bites que la mienne.
Mais regarde mes jambes elles collent des jets de liquide que ton corps m’a envoyé, j’avais une femme fontaine et c’est après toutes ces années de mariage, que je le découvre.
• Si je peux me permettre, je vais me présenter, ça aurait été plus poli de le faire avant d’investir ta bouche Aimée.
Je me nomme Rodrigue et comme j’ai du cœur, je vous invite ce soir à venir dîner à la maison que nous louons ma compagne et moi.
• Nous avons trois enfants, dans ce bungalow tout prêt.
Je vais demander à maman de les garder ce soir et ce sera avec plaisir que nous nous rendrons à votre invitation, du moins si tu es d’accord Vivian.
• Je pense qu’avec mon amie, vous avez compris que nous sommes échangistes.
Bien sûr, si vous venez, le problème de capotes sera réglé, nous en avons toujours quelques bandes disponibles.
Je vais vous faire rire, Solange en a apporté gout fraise et moi gout caramel.
• Beurre salé ?
• Je vois que tu as beaucoup d’humour Vivian, on regardera cela sans problème, j’espère que vous viendrez !

Rodrigue, remonte son pantalon et nous ayant donné l’adresse de sa maison, c’est facile, c’est celle au côté du bureau de tabac fermé à partir de 19 heures, leur laissant le champ libre pour leurs ébats entre adultes consentants.

• Si tu veux, nous y allons, si tu n’en veux pas, je n’en ferais pas une maladie.
• As-tu aussi ce fantasme de pratiquer l’échangisme ?
• Ça mettrait du sel dans notre relation en vieillissant, il est vrai que j’ai ce genre de fantasme qui me travaille, mais seulement si tu es partant, sa femme est peut-être un boudin.
• Je pense que ta mère serait enchantée de nous rendre service et de garder les enfants, mais bien sûr sans lui dire où nous allons.
• Nous lui dirons que tu m’emmènes au resto puis en boîte et nous pourrons même lui dire que nous avons rencontré des amis et que nous avons été chez eux boire un dernier verre en tout bien tout honneur.
• Écoute, je vais y réfléchir, on lui demande de garder les enfants pendant que je t’offre le resto.
Pour le reste, je réserve ma réponse jusqu’à ce que nous soyons dans la voiture.
Ce sera resto ou Rodrigue et Solange, tu verras à laquelle de ces deux situations tu auras le droit ce soir.
Dans les deux cas, tu te seras faite belle et moi aussi, ça me laissera le temps de réfléchir, c’est une situation insolite et qui demande de la réflexion...