COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (4/6) - histoire érotique

• Ma chérie, suis-moi, sans faire le moindre bruit, j’ai la solution à notre problème !

J’ignorais lorsque j’ai écrit cette phrase qu’il me faudrait la transcrire une quatrième fois, ce que je fais avec plaisir car dans ma voiture en chemin pour le Mont-Saint-Michel, une crevaison me fait louper la navette.
Enfin, j’espérais l’attraper, mais les évènements se sont enchainés.
Lorsque j’ai crevé, j’ai voulu appeler avec mon portable l’hôtel où Violette m’attendait, mais j'ai constaté qu'il avait disparu de la poche de ma veste.
Je m’étais arrêté 25 à 30 kilomètres plutôt pensant être largement en avance.
J’ai changé ma roue, ayant du mal à desserrer un boulon et j’ai rejoint la sortie suivante pour revenir sur mes pas.
La police était là, qui prenait des dépositions de personne ayant subi comme moi, des vols.
Deux noirs, l’un bousculant et l’autre récupérant avaient fini par être remarqués et s’étaient échappés lorsqu’ils ont vu que la responsable de la cafétaria téléphonait en les regardant.
J’avais subi ces voles et la police a enregistré ma plainte ce qui bien sûr lorsque j’ai pu repartir m’a fait louper la dernière navette de minuit.
Sans moyen de communication je viens de passer sept heures dans ma voiture avant de prendre la première navette du matin.

• J’avais rendez-vous avec madame Violette, pouvez-vous m’indiquer le numéro de sa chambre.

Tous ces renseignements étaient dans mon portable, je n’aurais pas dû avoir à passer par la réception.

• Madame Violette, elle vous a demandé plusieurs fois depuis hier au soir, elle a même fini par aller dîner seule.
Vous la trouverez chambre 22 au deuxième étage, l’ascenseur est derrière vous !

Une vieille la soixantaine, un garçon trente-cinq, quarante ans, j’ai tout à fait l’impression d’être le gigolo que cette vieille cougar attendait.
Je prends presque les jambes à mon cou, montant dans l’ascenseur sans demander mon reste, jusqu’au deuxième étage, chambre 22.

• J’arrive, le temps de passer un petit vêtement la réception vient de me prévenir que vous étiez arrivé !

Cette voix me semble connue, même à travers la porte tout est possible.
Elle s’ouvre, la femme qui est devant moi, porte une guêpière noire transparente du haut en bas.
Je vois très nettement ses pointes de seins et sa fourrure au travers de la partie culotte de son ensemble, sans oublier les bas noirs fixés à la guêpière par des jarretelles.

• Vivian que fais-tu ici, il est arrivé malheur à ma fille ou à l’un de vos enfants !
Que je suis bête, comment aurais-tu pu savoir où je me trouvais sinon que tu te sers de l’application pour des rendez-vous galants ?

Mathilde, belle-maman en tenue, certains diraient de pute, mais j’efface tout de suite cette vision, osée toute au plus.
Aimée ayant le même genre de tenue que je lui ai offerte lors d’une de ses sorties pour aller se faire sauter à la montagne.

• Entre, tu ne vas pas rester sur le palier, des gens pourraient sortir de leur chambre et voir dans quelle petite tenue je reçois un beau garçon à mon âge.
Te rends-tu compte, j’accepte des rendez-vous à des kilomètres de nos deux maisons et il faut que l’ordinateur nous rapproche l’un de l’autre.
Depuis quand, trompes-tu ma fille avec des partenaires que l’ordi nous choisis sur l’application.
• Je suis au regret de te dire, que si tout ceci se produit, c’est la faute de ta fille.
J’ai eu plein de soucis en venant par l’autoroute, j’ai loupé la dernière navette sans pouvoir te prévenir, on m’avait volé mon portable.
J’ai dormi dans ma voiture, j’aimerais aller m’allonger.
• Viens, moi aussi je n’ai pas fini ma nuit, allons-nous allonger, tu vas tous m’expliquer.

Nous rejoignons le lit que je voyais derrière elle lorsque je l’écoutais, je me déshabille gardant mon boxer.
Une fois installe, bien caler dans les oreillers, Mathilde dans sa petite tenue, viens s’allonger à mes côtés et reprend son récit.

• Attends, je crois que je sais lorsque les choses ont basculé pour vous, c’était pendant nos vacances dans le bungalow au bord de la mer.
Cette nuit-là, pardon, plutôt ce matin-là, je l’ai vu se faufiler hors du bungalow.
Toi, je le pense, passant par la fenêtre pour la rejoindre.
Je sais le bruit que ma fille fait lorsqu’elle jouit et tu as dû l’emmener dans la pinède.
Et c’est ce matin-là qu’il y a dû se produire quelque chose qui vous a entrainé vers le libertinage.
• Tu as raison, c’est ce matin-là, alors que j’étais passé par la fenêtre emmenant une couverture que j’ai eu l’idée d’aller faire l’amour dans la pinède sur cette couverture.
Comme tu l’as dit les cris d’orfraie que pousse ta fille risquait de te déranger. Mais alors que nous étions en train, comment dire, oui, de faire crac, crac, elle m’a dit qu’un homme, un joggeur nous regardait.
C’est elle qui l’a invité à venir se faire faire une fellation parlant d’un de ses fantasmes !
• C’est pourquoi je viens de penser que ce jour-là tout avait basculé lorsque vous m’avez demandé de sortir le soir pour un restaurant et une soirée en discothèque.
C’était si soudain que j’ai pensé qu’il y avait anguille sous roche.
• Nous avons rejoint le couple dans leur villa et c’est ce soir-là que Rodrigue, c’était le joggeur, a expliqué que Solange, petite rondouillarde n’était pas sa femme mais une amie qu’ils trouvaient sur une application.

Tout en discutant insidieusement le faisant exprès, elle se blottit dans mon bras, ma main se reposant sur sa petite culotte.
Dans le même temps son souffle de plus en plus saccadé, c’est mis à me souffler sur ma verge, mon gland finissant par sortir lorsque ma tige a été complètement tendue.
C’est sa langue qui a commencé à me sucer, ou ma main qui a écarté sa culotte pour plonger trois doigts dans sa chatte, complètement ruisselante.

• C’est mal, mais c’est bon, tu es bien monté !
• Ta fille est loin de s’en plaindre, même si elle aime se servir de l’application pour nous trouver des partenaires.
• Arrête de me parler d’elle, tu vas me couper mes envies.
• Surtout que si je suis là, c’est de sa faute, nous choisissons nos partenaires ensemble et c’est elle qui voulant me faire une vacherie a mis la croix dans « tous les âges. »
• Elle a bien, fait, lorsque nous rentrerons, je la remercierais de l’avoir fait, je peux m’empaler sur ta queue, tu bandes et je mouille.
• Attends, je vais sortir une capote.
• Inutile, chaque fois que je rencontre un homme depuis que moi aussi je me sers de l’ordi pour qu’il me trouve des partenaires, je veux qu’il se couvre.
Si je te demande d’en mettre une, ça voudra dire que ma fille t’a refilé des saloperies.
Si c’est le cas, nous prendrons notre posologie ensemble, depuis ton beau-père, je n’ai plus senti une verge sans latex sur mon clito, ça te dérange !

Comme on l’a vu avec Aimée, il est difficile que je dise « non » à une femme, même si c’est une femme âgée, même si c’est ma belle-mère, mais une femme très douée pour baiser.
Lorsqu’un orgasme la traverse et que je lui remplis le vagin, c’est en toute quiétude que je jouis hurlant à mon tour à en réveiller les voisins de notre chambre.
C’est elle, revenant à sa position de départ lorsqu’elle a commencé à me sucer, sa bouche nettoie le mélange de mon sperme et de sa cyprine.
Mathilde, me fait une gorge profonde et pour la première fois de ma vie, je décharge en un temps très court, mais cette fois dans la bouche de cette salope.
Je découvre que ma belle-maman est une fêlée du sexe, pourquoi m’en priverais-je ?

• Bouffe-moi la chatte, ma fille a bien fait de cocher la case qui t’a amené près de moi.
Il va sans dire que lorsque le week-end sera terminé ce moment de bonheur restera entre nous.

Je suis loin d’être un surhomme, ces propos Mathilde me les tiens après notre retour du restaurant, hélas, non pas chez la mère Poulard où l’on mange l’omelette, car il fallait réserver.
Mais dans une auberge qui nous a servi des fruits de mer.

• Allo, ma chérie, je t’appelle de l’hôtel, oui tout va bien, oui je passe un moment agréable, non, elle est descendue acheter des cartes postales !

« Mathilde, arrête de me sucer la queue pendant que je téléphone à ta fille, sinon je lui dis que la femme âgée, c’est sa maman chérie. »

J’ai posé ma main sur le combiné pour éviter qu’Aimée n’entende, sa mère me caresse les couilles et me suce, c’est ce qu’il me fait rebander.

• Pourquoi ne me téléphones-tu pas avec ton portable ?
• Je vais tout t’expliquer dès mon retour, je peux te dire qu’on me l’a volé et avec la police, nous avons fait le nécessaire auprès de l’opérateur.

« Mathilde, tu es une vraie gamine, arrête de me montrer ton cul et de le secouer devant mes yeux. »

• Chéri, j’ai entendu une voix féminine, elle est revenue !
• Oui, je t’embrasse, cette femme malgré son âge est insatiable, je vais revenir sur les rotules.
J’embrasse aussi les enfants, fais-leur savoir, papa les aime.

Juste au moment où je repose le combiner, je pense sans qu’Aimée ait pu entendre, cette vieille salope dit :

• Grand-mère aussi vous embrasse les enfants.

Je l’attrape, je l’attire à moi, elle tombe le cul en avant et s’empale sur ma verge.
C’est comme cela que j’ai enculé pour la première fois ma belle-mère ou si on préfère Mathilde ou encore Violette.

Plusieurs mois que je baise ma femme surtout lorsqu’elle revient d’une petite expédition comme elle vient de m'en raconter une dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Y a-t-il eu une suite entre Mathilde et moi ?...