COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (5/6)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2492 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 349 342 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 119 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (5/6)
• Ma chérie, suis-moi, sans faire le moindre bruit, j’ai la solution à notre problème !
Cinquième fois que cette phrase me sert d’introduction à l’aventure mettant en cause Mathilde ma belle-mère.
Un vol à une station d’essence sur l’autoroute, conjugué à une crevaison m’a retardé lors du déplacement vers le Mont-Saint-Michel où je devais rencontrer Violette femme se présentant dans l’application comme une femme, la soixantaine.
Comme l’on dit, c’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe.
Que se serait-il passé si j’avais réussi à attraper la navette entre le parking et le mont et tout particulièrement la chambre que j’avais louée et où je devais retrouver une certaine Violette.
Ceci s’était produit après la petite crasse qu’Aimée mon épouse m’avait faite en cochant la phrase « tous les âges. »
Ce qui a pollué mon jugement c’est le fait d’avoir passé un peu moins de sept heures dans mon auto, le portable disparu m’empêchant d’appeler pour expliquer mon retard et le pneu qu’il me faudra réparer avant de repartir.
J’étais fatigué lorsque ma belle-mère m’a ouvert en guêpière transparente me montrant les aréoles de ses seins, mais aussi ses poils pubiens.
Le lit me tendant les bras pouvant enfin m’allonger pour me débloquer le dos lorsque Mathilde est venue finir, soi-disant sa nuit dans mon bras.
J’avais les doigts à hauteur de sa foune et lorsque instinctivement je lui ai mis trois doigts, ses yeux et sa bouche à hauteur de mon sexe prenant de l’ampleur lorsque j’ai senti qu’elle mouillait.
Sans ces incidents, voyant avec qui l’ordi m’avait envoyé passer un week-end de débauche comme j’ai pris l’habitude d’en faire, chaque fois que c’est mon tour d’aller baiser, je serais passé à côté de bien des choses.
En pleine forme, j’aurais emmené Mathilde, après qu’elle se soit changée, au restaurant, après avoir demandé une autre chambre ou au moins un lit d’appoint.
Là c’est dans sa chatte et maintenant dans son cul que je plonge ma verge.
Son cul, c’est un accident de parcours lorsque appelant sa fille, ma femme, pour lui expliquer mes autres incidents de parcours.
Elle m’a provoqué risquant de faire entendre à Aimée avec qui je suis et que c’était sa propre mère que j’étais en train de baiser.
Je l’ai attrapé et tiré à moi la faisant retomber sur ma verge et l’empalant comme les bourreaux le faisaient au temps du Moyen Âge en leur faisant gouter le supplice du pal.
Bon, moi c’est un pieu de chair que j’ai réussi à lui introduire, même s’il est bien dur. Alors qu’aux temps médiévaux, c’était un pieu en fer, bien plus dur, plus long et plus pointu, les embrochant du point le plus bas vers le point le plus haut de leur corps.
Eux devaient hurler de souffrance jusqu’à ce que le métal leur coupe le sifflet.
Mathilde aussi a hurlé, réveillant certainement nos voisins, mais de plaisir lorsqu’elle a joui par son cul transpercé.
Ça fait quelques semaines, que nous nous sommes quittés sur le parking avant la navette du Mont-Saint-Michel.
J’ai retrouvé sa fille, inutile de dire ma femme.
Et en bon amant espérant poursuivre les relations avec Mathilde, inutile de dire ma belle-mère, ayant rarement au cours de mes rencontres justement rencontré une femme, même à son âge, ayant autant le feu au cul.
J’ai réussi à cacher avec qui j’avais été en week-end.
Des balades dans le mont, avec surtout la visite de l’abbaye, entrecoupée de moments dans la chambre ou Violette s’était donné à moi comme une femme ayant la soixantaine.
Alors que dans la réalité, certes nous sommes sorties, plus pour nous restaurer que de réellement visiter.
Lui faire l’amour dans le lit de peur de la casser, elle avait l’air si fragile, chaque fois dans la position du missionnaire, ça crédibilisait ce que je disais alors que dans la réalité ce fut un feu d’artifice.
Ma verge étant le lanceur et sa chatte, son cul, sa bouche, était à tout moment ma principale cible.
Le deuxième soir la veille de mon retour, je lui ai servi le « on s’est couché tôt sans la moindre envie de baiser, car Violette avait prétexté avoir peur d’un accident avec sa voiture.
Deux gros mensonges, l’un cachant l’autre.
Violette est venue en train, car Aimée sait que sa mère aime par-dessus tout, toujours conduire sa propre voiture et bien sûr, j’ai inventé une femme venue de Caen et non d’une maison près de chez nous.
J’aurais préféré la ramener jusqu’à un taxi parisien, mais cela était impossible, il aurait fallu qu’elle revienne ou fasse rapatrier sa C3 Citroën.
Le deuxième mensonge, c’est qu’après le repas du soir, gourmande comme elle l’est, surtout après des profiteroles, je l’ai baisé dans une petite rue, heureusement vide à cette heure.
Ce sont ses seins que j’avais sortis pour mieux les agripper et poser entre deux créneaux.
Je voyais grâce à la lune, la mer monter, comme il est dit à la vitesse d’un cheval au galop et que ma verge en elle l’a fait jouir une nouvelle fois.
Une des innombrables fois où elle a joui au cours de ce week-end, à nul autre pareil.
Aimée sans le savoir en cochant la case sur l’âge de ma partenaire, m’avait offert le meilleur coup du siècle, du moins de ma vie d’adulte.
• Chérie, je vais divorcer et vivre, jusqu’au bout de ta vie avec toi !
• Eh ! tu ferais la connerie de ta vie, pense à tes enfants, comme tu le sais, je suis une fille de divorcés, à la séparation de mes parents, j’ai été traumatisé.
Veux-tu que tes enfants le soit et surtout notre différence d’âge fait que j’ai des chances de partir avant toi ou être dans l’incapacité physique de tout ce que tu me fais faire maintenant ?
Si je décède, tu te trouveras seul après la cinquantaine tournant en rond dans une maison vide, tes enfants n’ayant pas accepté que tu aies pu baiser avec leur grand-mère.
Meilleures solutions, tu restes avec Aimée, tu continues à jouer son jeu de réservation de week-end coquin et pour elle et pour toi.
Tu m’envoies les coordonnés des rendez-vous qu’elle a pris pour toi, je fais ce qu’il faut pour les annuler et l’on se retrouve chaque fois pour des moments intenses.
Tes enfants grandissent, rapidement, si tu as toujours envie d’une vieille peau comme moi, quand tu seras de garde, ou moi quand je le serais, nous les enverrons au cinéma.
On se retrouvera chez moi ou chez toi et que dire des week-ends ou Aimée les gardera !
Chaque fois, je te promets des moments et des endroits où nous pourrons être tout à nous comme nous venons de l’être.
Lorsque je partirais, ce qui est inéluctable, tu auras toujours ta femme qui elle ayant pris de l’âge sera peut-être un peu moins demandeuse et tu auras ainsi femme et enfants tout en ayant baisé en toute impunité.
Ayant fini de tenir ces propos, Mathilde est redevenue celle que j’étais venu voir s’appelant Violette.
À trois heures du matin, sans se soucier du volant qu’elle devait reprendre le lendemain, une nouvelle fois elle a été à moi.
Nous nous sommes suivies jusqu’à Paris, je me suis arrêté devant sa maison et je me suis garé derrière elle.
Qui pourrait dire si les voisins remarquaient ma voiture qu’il y avait quelque chose d’anormal, à ce qu’un gendre vienne rendre visite à sa belle-mère.
Nul ne pourra le dire et avant de rentrer dans mon foyer mentir à celle qui m’avait entrainé vers l’échangisme, un dernier petit allé et retour rapide dans sa chatte si accueillante pour son salop de gendre.
C’est une nouvelle vie qui commence pour moi, certes avec des risques, mais si plaisants à vivre avec les deux femmes de ma vie.
La mère et aussi la fille, car ces escapades devant la mettre mal à laisse, c’est aussi une autre bacchanale que je retrouve chaque fois qu’elle revient de s’être fait sauter.
À oui, j’oubliais, c’est le temps des vacances, nous avons loué de nouveau un bungalow les pieds dans l’eau tout près de la forêt de pins où Rodrigue s’est fait sucer.
Mathilde a sa chambre et nous la nôtre ainsi que les enfants.
Aimée joue avec nos enfants sur la plage, Mathilde avait raison, Alexandra ma fille grandie, un jeune homme d’un autre bungalow commence à tourner autour.
Quatorze ans c’est jeune, mais c’est l’âge ou la porte de la salle de bain s’est fermé pour toujours pour moi et encore une chance, un père incestueux très peu pour moi.
Nous voyons tout notre petit monde, sans qu’eux nous voient.
C’est derrière la table de la salle où nous mangeons lorsqu’il est impossible de le faire à cause du temps, que Mathilde d’elle-même descend son slip de maillot de bain et que par-derrière je trouve mon chemin sans la moindre difficulté.
À un moment, je vois Aimée tourner la tête vers nous, mais lorsque l’on fait quelque chose d’interdit, la paranoïa s’empare de vous.
Je suis à deux doigts de la quitter en relevant mon slip que j’ai moi aussi descendu.
Heureusement, le jeune garçon lui parle, elle le regarde et je peux finir de faire jouir ma maitresse.
• Où sont passés ta fille et le garçon à qui je t’ai vu parler avant que j’arrive ?
• Regarde-les se promenant là-bas sur la plage !
Voilà comment l’on vieillit d’un coup, bien sûr ils ne vont pas faire bien du mal, car je les vois marcher et revenir, parlant certainement de la pluie et du beau temps.
• Chérie, as-tu préparé ta fille à rentrer dans le monde des grandes personnes ?
• Pour qui tu me prends, une inconsciente, je me souviens pourquoi elle est née avant terme.
J’ai parlé avec elle, nous avons rendez-vous chez ma gynéco à notre retour à la maison.
Jusque-là, elle sait qu’il faut qu’elle repousse toutes les avances qui pourraient lui être faites.
• En attendant, si elle contredit tes ordres, je vais lui donner des capotes, j’en ai dans la voiture cachée dans le coffre, tu sais à quel moment je m’en sers !
• Inutile de la traumatiser avec tes propositions venant d’un homme, surtout son père !
Sur la plage en maillot de bain, sauf aller dans la pinède, mais tu sais pourquoi j’interviendrais, aucun souci.
Pour le reste, pourquoi je suis allée avec elle faire des courses hier ?
Elle m’a demandé de te convaincre, qu’elle peut sortir ce soir pour le 14 juillet et aller danser avec Ludovic, c’est le nom de ce garçon avec qui elle se promène.
Nous avons eu du mal à trouver un modèle alliant ses gouts et une poche, ou elle aura deux capotes avec elles, si toi tu t’en sers, moi aussi, j’ai quelques réserves.
Je suis toujours sortie couverte, on peut baiser librement, mais il serait inconscient de ramener la maladie dans notre famille.
J’espère qu’il en est de même pour toi.
Voilà la messe est dite, j’ai pris un coup de vieux, surtout ce soir-là ou à une heure comme je l’avais demandé elle est arrivée avec trente minutes de retard.
J’ai attendu qu’elle soit couchée et s’être endormie pour entrer dans sa chambre.
J’ai pu voir son pantalon et glisser mes doigts dans sa poche.
Ma fille était cette soirée-là devenue une femme, avec un gamin de son âge, il n’y avait qu’une capote restante dans cette poche...
Cinquième fois que cette phrase me sert d’introduction à l’aventure mettant en cause Mathilde ma belle-mère.
Un vol à une station d’essence sur l’autoroute, conjugué à une crevaison m’a retardé lors du déplacement vers le Mont-Saint-Michel où je devais rencontrer Violette femme se présentant dans l’application comme une femme, la soixantaine.
Comme l’on dit, c’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe.
Que se serait-il passé si j’avais réussi à attraper la navette entre le parking et le mont et tout particulièrement la chambre que j’avais louée et où je devais retrouver une certaine Violette.
Ceci s’était produit après la petite crasse qu’Aimée mon épouse m’avait faite en cochant la phrase « tous les âges. »
Ce qui a pollué mon jugement c’est le fait d’avoir passé un peu moins de sept heures dans mon auto, le portable disparu m’empêchant d’appeler pour expliquer mon retard et le pneu qu’il me faudra réparer avant de repartir.
J’étais fatigué lorsque ma belle-mère m’a ouvert en guêpière transparente me montrant les aréoles de ses seins, mais aussi ses poils pubiens.
Le lit me tendant les bras pouvant enfin m’allonger pour me débloquer le dos lorsque Mathilde est venue finir, soi-disant sa nuit dans mon bras.
J’avais les doigts à hauteur de sa foune et lorsque instinctivement je lui ai mis trois doigts, ses yeux et sa bouche à hauteur de mon sexe prenant de l’ampleur lorsque j’ai senti qu’elle mouillait.
Sans ces incidents, voyant avec qui l’ordi m’avait envoyé passer un week-end de débauche comme j’ai pris l’habitude d’en faire, chaque fois que c’est mon tour d’aller baiser, je serais passé à côté de bien des choses.
En pleine forme, j’aurais emmené Mathilde, après qu’elle se soit changée, au restaurant, après avoir demandé une autre chambre ou au moins un lit d’appoint.
Là c’est dans sa chatte et maintenant dans son cul que je plonge ma verge.
Son cul, c’est un accident de parcours lorsque appelant sa fille, ma femme, pour lui expliquer mes autres incidents de parcours.
Elle m’a provoqué risquant de faire entendre à Aimée avec qui je suis et que c’était sa propre mère que j’étais en train de baiser.
Je l’ai attrapé et tiré à moi la faisant retomber sur ma verge et l’empalant comme les bourreaux le faisaient au temps du Moyen Âge en leur faisant gouter le supplice du pal.
Bon, moi c’est un pieu de chair que j’ai réussi à lui introduire, même s’il est bien dur. Alors qu’aux temps médiévaux, c’était un pieu en fer, bien plus dur, plus long et plus pointu, les embrochant du point le plus bas vers le point le plus haut de leur corps.
Eux devaient hurler de souffrance jusqu’à ce que le métal leur coupe le sifflet.
Mathilde aussi a hurlé, réveillant certainement nos voisins, mais de plaisir lorsqu’elle a joui par son cul transpercé.
Ça fait quelques semaines, que nous nous sommes quittés sur le parking avant la navette du Mont-Saint-Michel.
J’ai retrouvé sa fille, inutile de dire ma femme.
Et en bon amant espérant poursuivre les relations avec Mathilde, inutile de dire ma belle-mère, ayant rarement au cours de mes rencontres justement rencontré une femme, même à son âge, ayant autant le feu au cul.
J’ai réussi à cacher avec qui j’avais été en week-end.
Des balades dans le mont, avec surtout la visite de l’abbaye, entrecoupée de moments dans la chambre ou Violette s’était donné à moi comme une femme ayant la soixantaine.
Alors que dans la réalité, certes nous sommes sorties, plus pour nous restaurer que de réellement visiter.
Lui faire l’amour dans le lit de peur de la casser, elle avait l’air si fragile, chaque fois dans la position du missionnaire, ça crédibilisait ce que je disais alors que dans la réalité ce fut un feu d’artifice.
Ma verge étant le lanceur et sa chatte, son cul, sa bouche, était à tout moment ma principale cible.
Le deuxième soir la veille de mon retour, je lui ai servi le « on s’est couché tôt sans la moindre envie de baiser, car Violette avait prétexté avoir peur d’un accident avec sa voiture.
Deux gros mensonges, l’un cachant l’autre.
Violette est venue en train, car Aimée sait que sa mère aime par-dessus tout, toujours conduire sa propre voiture et bien sûr, j’ai inventé une femme venue de Caen et non d’une maison près de chez nous.
J’aurais préféré la ramener jusqu’à un taxi parisien, mais cela était impossible, il aurait fallu qu’elle revienne ou fasse rapatrier sa C3 Citroën.
Le deuxième mensonge, c’est qu’après le repas du soir, gourmande comme elle l’est, surtout après des profiteroles, je l’ai baisé dans une petite rue, heureusement vide à cette heure.
Ce sont ses seins que j’avais sortis pour mieux les agripper et poser entre deux créneaux.
Je voyais grâce à la lune, la mer monter, comme il est dit à la vitesse d’un cheval au galop et que ma verge en elle l’a fait jouir une nouvelle fois.
Une des innombrables fois où elle a joui au cours de ce week-end, à nul autre pareil.
Aimée sans le savoir en cochant la case sur l’âge de ma partenaire, m’avait offert le meilleur coup du siècle, du moins de ma vie d’adulte.
• Chérie, je vais divorcer et vivre, jusqu’au bout de ta vie avec toi !
• Eh ! tu ferais la connerie de ta vie, pense à tes enfants, comme tu le sais, je suis une fille de divorcés, à la séparation de mes parents, j’ai été traumatisé.
Veux-tu que tes enfants le soit et surtout notre différence d’âge fait que j’ai des chances de partir avant toi ou être dans l’incapacité physique de tout ce que tu me fais faire maintenant ?
Si je décède, tu te trouveras seul après la cinquantaine tournant en rond dans une maison vide, tes enfants n’ayant pas accepté que tu aies pu baiser avec leur grand-mère.
Meilleures solutions, tu restes avec Aimée, tu continues à jouer son jeu de réservation de week-end coquin et pour elle et pour toi.
Tu m’envoies les coordonnés des rendez-vous qu’elle a pris pour toi, je fais ce qu’il faut pour les annuler et l’on se retrouve chaque fois pour des moments intenses.
Tes enfants grandissent, rapidement, si tu as toujours envie d’une vieille peau comme moi, quand tu seras de garde, ou moi quand je le serais, nous les enverrons au cinéma.
On se retrouvera chez moi ou chez toi et que dire des week-ends ou Aimée les gardera !
Chaque fois, je te promets des moments et des endroits où nous pourrons être tout à nous comme nous venons de l’être.
Lorsque je partirais, ce qui est inéluctable, tu auras toujours ta femme qui elle ayant pris de l’âge sera peut-être un peu moins demandeuse et tu auras ainsi femme et enfants tout en ayant baisé en toute impunité.
Ayant fini de tenir ces propos, Mathilde est redevenue celle que j’étais venu voir s’appelant Violette.
À trois heures du matin, sans se soucier du volant qu’elle devait reprendre le lendemain, une nouvelle fois elle a été à moi.
Nous nous sommes suivies jusqu’à Paris, je me suis arrêté devant sa maison et je me suis garé derrière elle.
Qui pourrait dire si les voisins remarquaient ma voiture qu’il y avait quelque chose d’anormal, à ce qu’un gendre vienne rendre visite à sa belle-mère.
Nul ne pourra le dire et avant de rentrer dans mon foyer mentir à celle qui m’avait entrainé vers l’échangisme, un dernier petit allé et retour rapide dans sa chatte si accueillante pour son salop de gendre.
C’est une nouvelle vie qui commence pour moi, certes avec des risques, mais si plaisants à vivre avec les deux femmes de ma vie.
La mère et aussi la fille, car ces escapades devant la mettre mal à laisse, c’est aussi une autre bacchanale que je retrouve chaque fois qu’elle revient de s’être fait sauter.
À oui, j’oubliais, c’est le temps des vacances, nous avons loué de nouveau un bungalow les pieds dans l’eau tout près de la forêt de pins où Rodrigue s’est fait sucer.
Mathilde a sa chambre et nous la nôtre ainsi que les enfants.
Aimée joue avec nos enfants sur la plage, Mathilde avait raison, Alexandra ma fille grandie, un jeune homme d’un autre bungalow commence à tourner autour.
Quatorze ans c’est jeune, mais c’est l’âge ou la porte de la salle de bain s’est fermé pour toujours pour moi et encore une chance, un père incestueux très peu pour moi.
Nous voyons tout notre petit monde, sans qu’eux nous voient.
C’est derrière la table de la salle où nous mangeons lorsqu’il est impossible de le faire à cause du temps, que Mathilde d’elle-même descend son slip de maillot de bain et que par-derrière je trouve mon chemin sans la moindre difficulté.
À un moment, je vois Aimée tourner la tête vers nous, mais lorsque l’on fait quelque chose d’interdit, la paranoïa s’empare de vous.
Je suis à deux doigts de la quitter en relevant mon slip que j’ai moi aussi descendu.
Heureusement, le jeune garçon lui parle, elle le regarde et je peux finir de faire jouir ma maitresse.
• Où sont passés ta fille et le garçon à qui je t’ai vu parler avant que j’arrive ?
• Regarde-les se promenant là-bas sur la plage !
Voilà comment l’on vieillit d’un coup, bien sûr ils ne vont pas faire bien du mal, car je les vois marcher et revenir, parlant certainement de la pluie et du beau temps.
• Chérie, as-tu préparé ta fille à rentrer dans le monde des grandes personnes ?
• Pour qui tu me prends, une inconsciente, je me souviens pourquoi elle est née avant terme.
J’ai parlé avec elle, nous avons rendez-vous chez ma gynéco à notre retour à la maison.
Jusque-là, elle sait qu’il faut qu’elle repousse toutes les avances qui pourraient lui être faites.
• En attendant, si elle contredit tes ordres, je vais lui donner des capotes, j’en ai dans la voiture cachée dans le coffre, tu sais à quel moment je m’en sers !
• Inutile de la traumatiser avec tes propositions venant d’un homme, surtout son père !
Sur la plage en maillot de bain, sauf aller dans la pinède, mais tu sais pourquoi j’interviendrais, aucun souci.
Pour le reste, pourquoi je suis allée avec elle faire des courses hier ?
Elle m’a demandé de te convaincre, qu’elle peut sortir ce soir pour le 14 juillet et aller danser avec Ludovic, c’est le nom de ce garçon avec qui elle se promène.
Nous avons eu du mal à trouver un modèle alliant ses gouts et une poche, ou elle aura deux capotes avec elles, si toi tu t’en sers, moi aussi, j’ai quelques réserves.
Je suis toujours sortie couverte, on peut baiser librement, mais il serait inconscient de ramener la maladie dans notre famille.
J’espère qu’il en est de même pour toi.
Voilà la messe est dite, j’ai pris un coup de vieux, surtout ce soir-là ou à une heure comme je l’avais demandé elle est arrivée avec trente minutes de retard.
J’ai attendu qu’elle soit couchée et s’être endormie pour entrer dans sa chambre.
J’ai pu voir son pantalon et glisser mes doigts dans sa poche.
Ma fille était cette soirée-là devenue une femme, avec un gamin de son âge, il n’y avait qu’une capote restante dans cette poche...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

