COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Découverte d’une nouvelle application (6/6)
• Ma chérie, suis-moi, sans faire le moindre bruit, j’ai la solution à notre problème !

Je pense que cette phrase, c’est la dernière fois que je l’emploie dans cette histoire.
J’en suis même sûr, j’arrive au bout de mon imagination à trouver des rebondissements et pour une fois j’ai ce qui me manque parfois, la chute de ces moments de plaisir.
Je dirais plutôt une aventure, à cause du bruit qu’au départ nous avions eu peur de faire risquant de gêner ma belle-mère.
Le retour de vacances quant à lui se fait sans le moindre problème et chacun retrouva son commun avec pour moi deux femmes très proches l’une de l’autre.

• Maman, pour les vacances de Toussaint, pourrais-tu venir garder les enfants.
• Je t’aime ma chérie, mais j’ai prévu des vacances avec des amis, je serais à Royan.

C’était la merde, sauf que Mathilde avait prévu cinq jours à l’hôtel avec moi, ce qui devait arriver, arriva, Aimée me demanda de rester pour les garder.
Existe-t-il un bon dieu pour les maris volages surtout avec sa belle-mère, mais alors qu’elle avait réservé un séjour de défonce avec une bite dont j’ignore la teneur ou la provenance, je me suis trouvé libre.
Jules notre dernier nous faisait les oreillons et la présence de sa mère devenait impérative.

• Vivian as-tu eu les oreillons ?
• Non Georges, mais Louis non plus ?
• Pour Louis comme pour Jules cette maladie entraine rarement des complications, il serait bon que tu t’éloignes s’il te reste des vacances possible.

Georges, c’est un copain d’enfance ayant fait médecine et qui s’occupe de tous sauf de Mathilde fidèle à son vieux médecin.

• Je vais en profiter en allant faire un tour en Grèce ou en Italie.

Je savais que je mentais, je revenais à ma destination initiale prévue avec ma maîtresse, la Côte atlantique et plus particulièrement la plage de Royan dans la réservation d’un appartement, lui aussi les pieds dans l’eau.

• Vivian, lorsque j’ai su que tu ne pouvais pas m’accompagner, j’ai fait une demande à l’ordinateur de me trouver un couple pour passer la semaine et partager les frais d’hébergement !
• Tu voulais me faire cocu, dès que j’ai le dos tourné.
• Tu me dis ça alors que nous venons de baiser en étant venu chez moi sous couvert de changer le papier peint de ma chambre.
Je suis une libertine et cinq jours dans le froid de l’Atlantique, j’avais besoin d’édredons.

Nous avons éclaté de rire, non seulement elle aurait un édredon, mais aussi un oreiller pour lui tenir chaud après qu’elle est appelée le portable Lily et Courtois étant content de partager les frais.
Ce couple était du coin, lui étant ingénieur à la Centrale Nucléaire du Blayais entre Bordeaux et Royan et elle prof de Français.
Le fait que nous soyons parisiens les arrangeait car nous venions de loin et ils n’avaient aucune chance de tomber sur des voisins proches découvrant qu’ils étaient échangistes.

Cinq jours à coucher dans le lit de Mathilde ou de celui de Lily ce soir-là, Courtois était avec mon épouse malgré notre différence d’âge.
Obligé de mentir, car lorsque j’ai voulu ôter mon alliance et présenter ma belle-mère comme simplement ma maitresse, impossible de l’enlever sauf à la couper.
Et encore, je suis sûr que la trace blanche nous aurait trahis, nous voulions en dire le moins possible à ce couple que nous étions sûrs de ne pas revoir.
J’étais le plus jeune, Lily et Courtois ayant le même âge proche de la cinquantaine.
Nous devions apprendre que c’est à l’approche de la quarantaine que dix ans plus tôt, ils avaient décidé de se tromper en présence l’un de l’autre et de se tromper mutuellement l’un regardant l’autre en sachant qu’ils étaient très proches.

C’est dans cet appartement que j’ai appris que Mathilde aimait se faire brouter par une femme, devant son mari et comme le couple avait coché cette case, c’est tout naturellement que nous nous sommes orientés vers cette situation.
Pour dormir cette nuit-là, après que les deux femmes se soient éclatées sur le canapé du salon, elles ont rejoint notre chambre.
Courtois ayant rejoint sa propre chambre, il m’est resté le fauteuil où j’avais admiré la dextérité de ma belle-mère à se faire brouter tout en léchant la chatte d’une autre.
À un moment de la soirée, j’ai chaussé mon sexe d’une capote, Mathilde faisant une moitié du pain du sandwich et Lily la tranche de jambon.

• Si tu le veux, encule ma femme, être prise comme une bête, elle adore ça.
C’est avec une bite d’un migrant noir que je l’ai trouvé un soir ou rentrant chez moi, j’ai appris que j’étais cocu.

Courtois après cette tirade est revenu à son verre de Cognac, alcool de la région avec le Pineau dont il en faisait une grande consommation.
Si j’ai dormi dans le fauteuil au départ, c’était à cause que j’ai eu peur qu’il ne me prenne pour sa femme et qu’il m’encule dans l’état où il était.
J’ai fini par rejoindre, les femmes, ayant des courbatures et c’est dans la position du missionnaire que je retrouvais la chatte baveuse de celle que je leur avais présentée comme ma femme.
Depuis le Mont-Saint-Michel ne l’était peut-être pas un peu, me partageant entre la mère et la fille.
Ce fut ces jours-là, les derniers avant Noël qui est arrivé très vite.

• Chéri, j’appelle maman et son portable sonne sans qu’elle ne décroche.
Je vais aller voir si tout va bien, ça fait presque une heure qu’elle devrait nous avoir rejoint !
• Elle va arriver, mais si tu veux que j’aille voir, j’ai les clefs !
Je suis sûr qu’elle a voulu faire une sieste à son âge pour être en forme pour venir passé minuit et elle se sera endormie.
Occupe-toi de la dinde, tu vas raller si elle est mal arrosée, tu as horreur lorsque je la laisse sécher.

Idée plausible, mais j’espère qu’en retardant son arrivée, je fais venir voir et lui permettra de me faire comme cadeau de Noël une fellation dont elle a le secret.
En ouvrant la porte de son pavillon aucun bruit.
J’appelle, personne en bas, intrigué, sa voiture se trouvant bien dans l’allée du pavillon.
Je commence à baliser, c’est dans sa chambre que je finis par la trouver.

• Chérie, les enfants, votre mamy se sent fatiguée ce soir, elle restera couchée et demain elle verra pour nous rejoindre.
• Chéri, dit moi, est-il arrivé un problème à maman.

Comment dire à sa femme que l’on a trouvé sa belle-mère, maitresse et tout ce qu’il va avec morte un gode dans la chatte, le vibreur toujours en marche, lui astiquant le clitoris ?
Je sais, c’est macabre, mais quant au matin nous y sommes retournés avec Aimée, laissant les enfants dormir, nous les avions laissé veiller tard.
Ma femme a trouvé sa mère, sans le gode, les jambes bien ranger sous les draps en chemise de nuit que j’avais trouvée dans son armoire.
Tout le temps où nous avons eu l’occasion d’être ensemble, elle restait toujours nue.
Aimée me sut gré de les avoir laissés passer Noël, surtout les enfants, que nous avons retrouvés jouant avec les jouets que le père Noël avait apportés sous le sapin.
Nous avons prévenu les autorités et Georges notre copain médecin ayant conclu à une mort naturelle et non pas à une mort du à un excès de sexe, rien ne le justifiant.
C’est deux jours plus tard quand il devenait impossible de leur caché que nous leur avons annoncé que leur grand-mère était partie au ciel.
C’est ce soir-là, qu’Aimée m’a posé la question qui m’embarrassait.

• Tu as l’air bien affecté, je pourrais comprendre si c’était ta propre mère, mais tu donnais toujours l’impression d’une certaine indifférence envers maman !
• Je...
• Inutile de me mentir, Vivian, je sais tout et certainement depuis ta rencontre avec une femme âgée au Mont-saint-Michel, inutile de nié tu étais l’amant de maman.
• Bibiche !
• Inutile là encore de me dire bibiche si tu as couché avec ta belle-mère c’est entièrement de ma faute, c’est moi qui t’ai imposé mon fantasme lorsque j’ai sucé Rodrigue.
Je n’oublie pas le lendemain où c’est moi qui t’ai un peu forcé la main en prenant les clefs de l’auto qui nous a conduits vers notre première soirée échangiste.
C’est Rodrigue et Solange qui nous ont fait connaître l’application permettant de nous trouver des partenaires.
Tu vois, tu peux être rassuré, je prends tout ce qui est survenu à partir de ce matin dans la pinède, comme étant ma faute.
• Comment as-tu eu confirmation et pourquoi n’avoir rien dit ?
• Un jour, tu es parti alors que maman nous avait refusé la garde des enfants, c’était mon tour dans ces circonstances de les garder.
Tu te souviens chaque fois qu’elle s’absentait nous allions arroser ses plantes et donner à manger à son chat.
Sur la table du salon, il y avait un relevé bancaire de la Poste, j’ai eu la mauvaise curiosité de regarder.
J’ai vu la cotisation qu’elle venait de renouveler comme nous de 250 €.
J’ai été intrigué, bien sûr lorsqu’elle s’absentait sans plus de motif, nous pensions qu’elle allait retrouver un coquin.
Tu m’as même dit, que la connaissant ce devait toujours être le même, mais qu’il était éloigné, tu as su noyer le poisson.
Quelle imbécile, j’étais, il se trouvait à quelques centaines de mètres de chez elle !
• Les 250 € on suffit pour savoir que c’était moi !
• Non, j’ai voulu en savoir plus, sur le même relevé, il y avait les frais d’un voyage que vous avez fait ensemble, après annulations qu’elle faisait alors que c’était moi qui avais pris tes rendez-vous.
La Bretagne, tu devais rejoindre, une femme qui t’avait plus lors du choix de l’ordinateur.
Jusqu’à Royan où je t’ai laissé y aller sachant qu’une nouvelle fois ma mère me faisait cocu.
Ce jour-là, je suis rentrée et j’ai regardé notre compta, les frais étaient remboursés chaque fois que vous restiez dans son pavillon, mais que c’était moi qui partais à mes rendez-vous !
Dis-moi, tu l’aimais plus que moi, inutile de mentir ?
• J’ai voulu te quitter pour elle, mais c’est elle qui a souhaité que nous restions comme cela.
Elle devait connaître son problème de cœur et m’a conseillé de laisser les choses en l’état.
Elle me disait que si un malheur lui arrivait, je t’aurais toujours toi et les enfants.
• C’est honnête de m’avoir dit la vérité, tu m’aurais dit que maman était un simple plan cul, tu partirais dans notre chambre faire ta valise.
Là, je te propose autre chose, ayant fait le tour de ces rendez-vous galant, trouvons un endroit où nous pourrions nous retrouver.
Prenons une baby-sitter pour garder les enfants et partons en amoureux afin de tirer un trait sur toutes ces tromperies.
• La réunion ou l’Île Maurice, ça te dirait, j’appelle une agence !

Eh non, l’Île Maurice, ça pourra attendre, il nous faut assurer pleinement notre rôle de parent d’une adolescente, n’ayant pas écouté les conseils de ses aînés.
On se souvient du contrôle que j’ai fait de la poche du pantalon d’Alexandra.
Elle vient de nous avouer que ses règles avaient disparu ainsi que son petit ami qui l’avait envoyé promener lorsqu’elle l’avait appelé pour lui expliquer la situation.
Quant à la capote, s’est à une copine qu’elle là donné et qu’en rentrant ce salopard l’avait dépucelé sur la plage, elle était tellement amoureuse qu’elle en a oublié la deuxième capote, le résultat étant là.
Du moins dans quelques mois.
Que dire de plus, rien, une adolescente de quinze ans, des études qu’elle doit continuer, c’est à notre tour d’être appelé Papy et Mamy ?
Quant à Ludovic, je rappelle que c’est le petit con qui comme moi je l’avais fait quinze ans plus tôt, lui a implanté une petite graine, je l’ai rencontré.
Il a reconnu son implication dans la naissance qui va arriver et assume sa connerie, il m’a avoué, lui aussi, avoir des capotes dans son pantalon.

Une chose est sûre, je vais faire très attention qu’Aimée reste bien sage avec Ludovic, alors que moi, je l’ai été un peu moins avec Mathilde, paix à son âme.

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