COLLECTION ÉCHANGISME. Divorce par consentement mutuel (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Divorce par consentement mutuel (1/5)
- Gilles, j’ai décidé de divorcer.
- Isabelle, que fais-tu de nos enfants et de notre amour qui devait être éternel ?
- À 20 ans, il est éternel et à presque 30 il est un peu éteint.
- Si nous rallumions la flamme.
- Comment ?
- Je l’ignore cherchons ensemble, surtout pour nos enfants.
- Nos enfants arrêtent de les prendre en otages et de te réfugier derrière eux, c’est toujours ce que tu as fait chaque fois qu’il y avait des tensions entre nous.
Demain, j’irai en ville prendre un avocat qui s’occupera de notre séparation.
J’ai regardé sur Internet, le divorce par consentement mutuel est possible avec un seul avocat si les deux parties s’entendent.
Bien des couples dans notre situation y arrivent, pourquoi pas nous.
Voilà c’est fait, Isabelle a signé et moi aussi.
Ce soir tout est réglé, je passe ma soirée à regarder mes enfants devant le corps de ferme gardé par elle dans le partage.
Garde alternée, cette semaine ils sont chez celle que je peux appeler mon ex.
La semaine prochaine, ils traverseront la cour et viendront dans leur chambre rigoureusement identique dans la deuxième partie du corps de cette même ferme dans laquelle j’ai amené mes affaires.
Il y a 2 ans, nous avions eu envie, avant bien d’autres, de venir vivre à la campagne alors que nous habitions à Paris 12e, tout près du zoo de Vincennes.
C’est lors d’une promenade vers les châteaux de la Loire que nous avons vu ce fermage à vendre.
Il était possible d’acheter les bâtiments composés de deux barres parallèles individuelles, les parcelles de terrain exploitables intéressant le plus gros producteur de céréales du coin, nous lui avons cédé.
Isabelle étant institutrice, pardon professeur des écoles a pu demander sa mutation et a eu un poste dans le village voisin.
De mon côté, je gère des sites Internet principalement des créations et après des mises à jour.
Préalablement au télétravail que font par obligation les gens à cause du covid-19, moi depuis notre déménagement avec enfants, armes et bagages, je pratique le travail à la maison gagnant bien ma vie.
Chaque fois que nos revenues le permettait nous remettions en état la moitié à l’abandon où je suis maintenant avec pour but d’en faire une chambre d’hôtes avec tous ce qu’il faut pour une famille avec 4 enfants.
Il restait quelques bricoles à faire dont la chambre de chaque enfant, ce qui nous a permis de les faire identiques afin d’éviter tout risqua de les traumatiser par notre séparation.
Je sais où était notre chambre à Isabelle et à moi et lorsque la lumière s’allume, je sais exactement comment elle va procéder.
S’asseoir devant sa table à maquillage, bien qu’elle soit loin d’être coquette, elle aime à montrer à tous une femme sachant s’entretenir.
Tient, c’est vrai, notre séparation l’a fait manquer d’une habitude prise il y a deux ans.
Son jogging du soir après son travail.
Immanquablement en rentrant pendant que je préparais le fricot ayant fait les courses au village, elle mettait sa tenue et partait faire ses 5 à 10 kilomètres.
Elle parcourt, ces distances se préparent pour un jour faire un voyage à New York où elle avait été jeune fille avant notre mariage pour faire le marathon.
Tout ça est bien compromis pour elle, car cette semaine impossible de laisser les enfants seuls.
Après s’être démaquillé, elle va aller enlever ses affaires dans la salle de bains.
Les poser sur la chaise pour les remettre demain ou les mettre dans la panière à linge salle comme avec sa petite culotte toujours rose.
Tient, un autre petit souci pour elle, elle va, devoir faire des machines à laver alors que depuis que je travaille à la maison, c’est moi qui trouvais le temps de m’acquitter de ces tâches ménagères.
Là savoir nue, dans son bain, non sa douche, car elle a encore du travail pour faire manger les enfants de contrôler leur devoir et d’aller les coucher.
C’est drôle, c’était devenu tellement routinier que lorsque j’étais dans le lit à travailler sur mon portable que ça me laissait froid.
Là la savoir nue, je bande comme un cerf au moment du rut.
Si je m’écoutais, je traverserais la cour pour lui proposer une partie de jambes en l’air.
Qui dit, qu’un goût de revenez-y serait pour lui déplaire ?
Mais il lui faut coucher les enfants, alors je retourne à mon ordi pour finaliser un site pour une société de travaux publics.
La semaine passe et le dimanche soir mes enfants arrivent avec leur baluchon.
Toute la semaine nous avons vécu en gens civilisés et chaque fois qu’ils l’ont voulu, ils ont pu venir m’embrasser.
- Gilles, Victoria est légèrement enrhumé, voici les médicaments que tu dois lui donner.
Christian lui est en pleine forme, à un détail près, il est un peu tête en l’air à l’école ces temps-ci.
- Rien d’anormal avec une mère qui a quitté le foyer conjugal.
Non, pardon, je retire ce que je viens de dire, il faut vivre notre divorce sereinement pour eux.
Je discuterais avec lui à l’occasion, à 6 ans, on est un homme et on doit apprendre à vivre avec des parents séparés.
- Divorcés et non séparés, tu m’excuses, je vous quitte.
Bonsoir, les enfants, j’ai un rendez-vous.
Il est 22 heures, quand j’entends sa C4 Picasso freiner devant la porte de l’ancienne grange que nous avons transformée en garage.
Je ferme mon ordi pour éviter la lumière et je m’approche de la fenêtre.
Merde, elle a ramené un mec qui a garé sa berline à côté de l’entrer et attendant qu’elle arrive.
Ou bien étais-je cocu avant notre divorce et elle m’a quitté pour ce bellâtre, certainement un Maghrébin vu sa peau légèrement bronzée.
Sait-il que j’habite en face et que je peux le voir quand la porte de la cuisine ouverte, elle allume et qu’il lui met la main aux fesses ?
Heureusement, que les enfants sont couchés, voyant leur mère se comporter comme une pute, car au lieu de le remettre à sa place, je vois nettement qu’elle lui porte la main au sexe.
J’en ai assez vu, surtout quant à travers les volets de notre chambre, je vois la lumière qui s’allume.
Il va falloir m’habituer à ce que je pense que c’est ça chambre et éviter de dire notre chambre.
Je me couche et je mets ma tête sous mon oreiller.
Malgré la distance et l’épaisseur des murs de chaque corps de bâtiment, ses cris de jouissance, car elle est assez expressive quand elle jouit me seraient insupportables.
Comment la prend-il, en levrette, elle adore, à la missionnaire, avec moi s’était loin d’être son truc.
L’a-t-elle sucé bien qu’avec moi elle était réticente.
Quand j’entends sa voiture démarrée, je suis soulagé, j’aurais eu du mal à expliquer aux enfants, pourquoi il y avait une voiture devant la porte de la maison de maman.
Deux jours tranquilles, nous sommes sur la terrasse à manger quand elle sort en tenue sexy.
Femme nouvelle et nouvelle tenue, je suis vert de rage.
Un petit geste comme un baiser avec le bout de ses doigts vers nous et elle monte en voiture.
Sa jupe est si courte que j’ai, une fraction de seconde la vision de sa culotte rose.
Je suis obligé de mettre ma main sur mon sexe qui de nouveau bande sous mon short.
Comme la première fois, elle arrive et sans me faire voir, j’observe.
Demain, c’est mercredi et c’est une femme blonde qui est avec elle.
Elle brune, elles sont magnifiques, mais je me pose des questions quand je vois une nouvelle fois la lumière de sa chambre s’allumer alors qu’il y a une chambre d’amie.
Est-il possible que mon ex en plus d’être une salope avec l’homme ramené dès le premier soir ou elle ait été seule se faisant des…J’allais dire un nom qui allait dépasser ma pensée.
En plus, est-il possible qu’elle soit une gouine, une lesbienne et une brouteuse de gazon ?
Si c’est le cas, j’ai ma part de responsabilité, car ayant été élevé dans un milieu bourgeois et un peu catho, à part quelques pratiques sexuelles normales dans un couple, j’ai toujours été loin d’être une bête de sexe.
Le lendemain, c’est mercredi et repos pour elle et les enfants.
Afin que les enfants évitent de se poser des questions, je les emmène à Thoiry espérant que la maîtresse de ma femme aura vidé les lieux quand nous rentrerons.
Nous n’avions qu’une voiture projetant d’en acheter une deuxième.
J’ai une moto, mais dans notre accord, je peux emprunter la C4 si c’est pour transporter les enfants.
Dimanche, ma semaine se termine, les enfants retournent dans leur autre chambre, semblant avoir pris le pli de ce qui sera leur vie.
Que vais-je pouvoir trouver pour lui faire voir que moi aussi à trente ans je suis encore très séduisant ?
Dès que j’ai remis les enfants à leur mère, je prends ma moto et je pars vers Saint-Germain-en-Laye.
Je sais y trouver bar et peut-être une fille à ramener à la maison bien que baiser une inconnue pour la première fois depuis notre mariage me fasse un peu peur.
J’ai eu quelques aventures avant de rencontrer Isabelle, mais j’étais jeune et sans expérience.
Je l’ai rencontré, dépucelé et épousé.
Devant conduire de nuit une chose que depuis que je l’ai, je bois du jus de fruits, ce qui est bien moins existant qu’un verre avec de l’alcool.
À part un Pd, aucune touche, même une vieille rombière en mal d’amour interdit.
Il est minuit quand je suis de retour.
J’ai une grange moi aussi ou je range ma moto.
Je laisse tourner le moteur, prenant mon temps pour ouvrir les portes, espérant bien que ça va la réveiller.
Peut-être qu’elle est derrière ses volets à regarder entre les lames si je suis seul ou accompagné et qu’elle soit jalouse que moi aussi je m’offre de petits extras même si je reviens sans personne dans mes pénates.
C’est le lendemain que j’ai l’idée même si cela doit me coûter un petit paquet d’argent.
Aussitôt l’idée ayant germé, aussitôt je la mets en pratique.
Ça marche…
- Isabelle, que fais-tu de nos enfants et de notre amour qui devait être éternel ?
- À 20 ans, il est éternel et à presque 30 il est un peu éteint.
- Si nous rallumions la flamme.
- Comment ?
- Je l’ignore cherchons ensemble, surtout pour nos enfants.
- Nos enfants arrêtent de les prendre en otages et de te réfugier derrière eux, c’est toujours ce que tu as fait chaque fois qu’il y avait des tensions entre nous.
Demain, j’irai en ville prendre un avocat qui s’occupera de notre séparation.
J’ai regardé sur Internet, le divorce par consentement mutuel est possible avec un seul avocat si les deux parties s’entendent.
Bien des couples dans notre situation y arrivent, pourquoi pas nous.
Voilà c’est fait, Isabelle a signé et moi aussi.
Ce soir tout est réglé, je passe ma soirée à regarder mes enfants devant le corps de ferme gardé par elle dans le partage.
Garde alternée, cette semaine ils sont chez celle que je peux appeler mon ex.
La semaine prochaine, ils traverseront la cour et viendront dans leur chambre rigoureusement identique dans la deuxième partie du corps de cette même ferme dans laquelle j’ai amené mes affaires.
Il y a 2 ans, nous avions eu envie, avant bien d’autres, de venir vivre à la campagne alors que nous habitions à Paris 12e, tout près du zoo de Vincennes.
C’est lors d’une promenade vers les châteaux de la Loire que nous avons vu ce fermage à vendre.
Il était possible d’acheter les bâtiments composés de deux barres parallèles individuelles, les parcelles de terrain exploitables intéressant le plus gros producteur de céréales du coin, nous lui avons cédé.
Isabelle étant institutrice, pardon professeur des écoles a pu demander sa mutation et a eu un poste dans le village voisin.
De mon côté, je gère des sites Internet principalement des créations et après des mises à jour.
Préalablement au télétravail que font par obligation les gens à cause du covid-19, moi depuis notre déménagement avec enfants, armes et bagages, je pratique le travail à la maison gagnant bien ma vie.
Chaque fois que nos revenues le permettait nous remettions en état la moitié à l’abandon où je suis maintenant avec pour but d’en faire une chambre d’hôtes avec tous ce qu’il faut pour une famille avec 4 enfants.
Il restait quelques bricoles à faire dont la chambre de chaque enfant, ce qui nous a permis de les faire identiques afin d’éviter tout risqua de les traumatiser par notre séparation.
Je sais où était notre chambre à Isabelle et à moi et lorsque la lumière s’allume, je sais exactement comment elle va procéder.
S’asseoir devant sa table à maquillage, bien qu’elle soit loin d’être coquette, elle aime à montrer à tous une femme sachant s’entretenir.
Tient, c’est vrai, notre séparation l’a fait manquer d’une habitude prise il y a deux ans.
Son jogging du soir après son travail.
Immanquablement en rentrant pendant que je préparais le fricot ayant fait les courses au village, elle mettait sa tenue et partait faire ses 5 à 10 kilomètres.
Elle parcourt, ces distances se préparent pour un jour faire un voyage à New York où elle avait été jeune fille avant notre mariage pour faire le marathon.
Tout ça est bien compromis pour elle, car cette semaine impossible de laisser les enfants seuls.
Après s’être démaquillé, elle va aller enlever ses affaires dans la salle de bains.
Les poser sur la chaise pour les remettre demain ou les mettre dans la panière à linge salle comme avec sa petite culotte toujours rose.
Tient, un autre petit souci pour elle, elle va, devoir faire des machines à laver alors que depuis que je travaille à la maison, c’est moi qui trouvais le temps de m’acquitter de ces tâches ménagères.
Là savoir nue, dans son bain, non sa douche, car elle a encore du travail pour faire manger les enfants de contrôler leur devoir et d’aller les coucher.
C’est drôle, c’était devenu tellement routinier que lorsque j’étais dans le lit à travailler sur mon portable que ça me laissait froid.
Là la savoir nue, je bande comme un cerf au moment du rut.
Si je m’écoutais, je traverserais la cour pour lui proposer une partie de jambes en l’air.
Qui dit, qu’un goût de revenez-y serait pour lui déplaire ?
Mais il lui faut coucher les enfants, alors je retourne à mon ordi pour finaliser un site pour une société de travaux publics.
La semaine passe et le dimanche soir mes enfants arrivent avec leur baluchon.
Toute la semaine nous avons vécu en gens civilisés et chaque fois qu’ils l’ont voulu, ils ont pu venir m’embrasser.
- Gilles, Victoria est légèrement enrhumé, voici les médicaments que tu dois lui donner.
Christian lui est en pleine forme, à un détail près, il est un peu tête en l’air à l’école ces temps-ci.
- Rien d’anormal avec une mère qui a quitté le foyer conjugal.
Non, pardon, je retire ce que je viens de dire, il faut vivre notre divorce sereinement pour eux.
Je discuterais avec lui à l’occasion, à 6 ans, on est un homme et on doit apprendre à vivre avec des parents séparés.
- Divorcés et non séparés, tu m’excuses, je vous quitte.
Bonsoir, les enfants, j’ai un rendez-vous.
Il est 22 heures, quand j’entends sa C4 Picasso freiner devant la porte de l’ancienne grange que nous avons transformée en garage.
Je ferme mon ordi pour éviter la lumière et je m’approche de la fenêtre.
Merde, elle a ramené un mec qui a garé sa berline à côté de l’entrer et attendant qu’elle arrive.
Ou bien étais-je cocu avant notre divorce et elle m’a quitté pour ce bellâtre, certainement un Maghrébin vu sa peau légèrement bronzée.
Sait-il que j’habite en face et que je peux le voir quand la porte de la cuisine ouverte, elle allume et qu’il lui met la main aux fesses ?
Heureusement, que les enfants sont couchés, voyant leur mère se comporter comme une pute, car au lieu de le remettre à sa place, je vois nettement qu’elle lui porte la main au sexe.
J’en ai assez vu, surtout quant à travers les volets de notre chambre, je vois la lumière qui s’allume.
Il va falloir m’habituer à ce que je pense que c’est ça chambre et éviter de dire notre chambre.
Je me couche et je mets ma tête sous mon oreiller.
Malgré la distance et l’épaisseur des murs de chaque corps de bâtiment, ses cris de jouissance, car elle est assez expressive quand elle jouit me seraient insupportables.
Comment la prend-il, en levrette, elle adore, à la missionnaire, avec moi s’était loin d’être son truc.
L’a-t-elle sucé bien qu’avec moi elle était réticente.
Quand j’entends sa voiture démarrée, je suis soulagé, j’aurais eu du mal à expliquer aux enfants, pourquoi il y avait une voiture devant la porte de la maison de maman.
Deux jours tranquilles, nous sommes sur la terrasse à manger quand elle sort en tenue sexy.
Femme nouvelle et nouvelle tenue, je suis vert de rage.
Un petit geste comme un baiser avec le bout de ses doigts vers nous et elle monte en voiture.
Sa jupe est si courte que j’ai, une fraction de seconde la vision de sa culotte rose.
Je suis obligé de mettre ma main sur mon sexe qui de nouveau bande sous mon short.
Comme la première fois, elle arrive et sans me faire voir, j’observe.
Demain, c’est mercredi et c’est une femme blonde qui est avec elle.
Elle brune, elles sont magnifiques, mais je me pose des questions quand je vois une nouvelle fois la lumière de sa chambre s’allumer alors qu’il y a une chambre d’amie.
Est-il possible que mon ex en plus d’être une salope avec l’homme ramené dès le premier soir ou elle ait été seule se faisant des…J’allais dire un nom qui allait dépasser ma pensée.
En plus, est-il possible qu’elle soit une gouine, une lesbienne et une brouteuse de gazon ?
Si c’est le cas, j’ai ma part de responsabilité, car ayant été élevé dans un milieu bourgeois et un peu catho, à part quelques pratiques sexuelles normales dans un couple, j’ai toujours été loin d’être une bête de sexe.
Le lendemain, c’est mercredi et repos pour elle et les enfants.
Afin que les enfants évitent de se poser des questions, je les emmène à Thoiry espérant que la maîtresse de ma femme aura vidé les lieux quand nous rentrerons.
Nous n’avions qu’une voiture projetant d’en acheter une deuxième.
J’ai une moto, mais dans notre accord, je peux emprunter la C4 si c’est pour transporter les enfants.
Dimanche, ma semaine se termine, les enfants retournent dans leur autre chambre, semblant avoir pris le pli de ce qui sera leur vie.
Que vais-je pouvoir trouver pour lui faire voir que moi aussi à trente ans je suis encore très séduisant ?
Dès que j’ai remis les enfants à leur mère, je prends ma moto et je pars vers Saint-Germain-en-Laye.
Je sais y trouver bar et peut-être une fille à ramener à la maison bien que baiser une inconnue pour la première fois depuis notre mariage me fasse un peu peur.
J’ai eu quelques aventures avant de rencontrer Isabelle, mais j’étais jeune et sans expérience.
Je l’ai rencontré, dépucelé et épousé.
Devant conduire de nuit une chose que depuis que je l’ai, je bois du jus de fruits, ce qui est bien moins existant qu’un verre avec de l’alcool.
À part un Pd, aucune touche, même une vieille rombière en mal d’amour interdit.
Il est minuit quand je suis de retour.
J’ai une grange moi aussi ou je range ma moto.
Je laisse tourner le moteur, prenant mon temps pour ouvrir les portes, espérant bien que ça va la réveiller.
Peut-être qu’elle est derrière ses volets à regarder entre les lames si je suis seul ou accompagné et qu’elle soit jalouse que moi aussi je m’offre de petits extras même si je reviens sans personne dans mes pénates.
C’est le lendemain que j’ai l’idée même si cela doit me coûter un petit paquet d’argent.
Aussitôt l’idée ayant germé, aussitôt je la mets en pratique.
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