COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (1/5)
• Pardon monsieur, pouvons-nous vous importuner ?
• M’importunez, vous rigolez, que vous arrive-t-il ?
Un couple de Japonais, du moins je le pense, se trouve devant moi dans le quartier du sentier.
Ce que je vois tenant une carte en main, certainement le plan de Paris, c’est la beauté de cette petite poupée.
Visage, aux yeux bridés et corps harmonieux dans un tailleur certainement venant d’une très grande boutique japonaise ou parisienne.
• Fujiko, mon mari et moi sommes perdus, nous cherchons le musée Grévin.
Elle, plus petite que moi, je fais 1 mètre 76 et lui plus d’un mètre 90.
Couple disproportionné mais j’en ai cure, c’est la petite à qui je porte mon intérêt.
• Vous vous dirigiez à l’opposé du musée, j’habite à côté et je passe devant, voulez-vous que je vous conduise.
Je vois la jeune femme parler à celui que je pense être son mari dans sa langue.
• Fujiko, mon mari est d’accord, ça fait deux fois que je me perds, excusez, vous parlez anglais, c’est la seule langue qu’il parle avec notre langue.
• Yes, nos, rien de plus, vous savez, j’ai quitté l’école à seize ans et j’ai vingt-deux ans, tout ça est loin.
Mais vous vous parlez parfaitement le français, avez-vous été à l’école chez nous ?
• Non, à Tokyo, je travaille comme interprète pour une grande entreprise vendant des voitures à travers le monde.
Fujiko est ingénieur et il dirige une centrale nucléaire près de la capitale.
Pour ma part, je m’appelle Kiriko je parle ma langue, l’anglais, le russe, l’arabe et je termine d’apprendre le mandarin.
• Le Chinois, tu es vraiment très forte.
Je l’ai tutoyé sans l’en rendre compte, la poupée vue de près à de petites rides au coin de ses yeux, bien caché par ses yeux bridés.
• Tu m’as dit que tu avais vingt-deux ans, j’en ai trente-quatre et mon mari dix de plus, j’adore le tutoiement dans votre langue, c’est plus intime.
Tout en parlant, nous sommes arrivés devant le musée Grévin, j’ai peine à la quitter, malgré que la bague qu’elle a aux doigts et son mari aussi augure de la difficulté d’aller plus loin avec elle.
Son mari lui parle, elle se tourne vers moi.
• Fujiko demande si tu es pressé, sinon, nous t’invitons à visiter le musée avec nous et après nous irons dîner ensemble, il voudrait aussi savoir ton nom !
• Christian, je m’appelle Christian, lorsque vous m’avez abordé, je sortais de chez mon patron, malgré que je sois en vacances pour une semaine.
• Tu vas à ton travail pendant tes vacances, chez nous les travailleurs sont fidèles à leur emploi, mais je vois qu’ici il en va de même.
Je me garde bien de lui dire que je suis allé draguer la secrétaire, qui plus est la femme de mon patron qui est parti vers l'Allemagne pour quelques jours, mais que je me suis pris un râteau.
Je devrais dire un semi-râteau, elle avait ses règles et j’ai seulement pu lui caresser la poitrine en l’embrassant.
• Et, que fais-tu dans cette entreprise ?
• Nous faisons des costumes.
Le sentier, quartier où nous nous sommes rencontrés, regorge de petits ateliers et je livre chez les uns et les autres, les produits qui nous sont commandés.
Bref, j’ai trouvé cet emploi sans aucune connaissance particulière sauf savoir se démerder et fermer sa bouche sur ce que je peux voir des trafics très fréquents dans les arrières boutiques.
• Pour la question de Fujiko, j’habite deux rue plus loin, je me suis promis de le visiter un jour, mais je suis souvent pris et je repousse toujours, je veux bien venir avec vous.
Je cherchais le moyen de prolonger avant notre séparation, c’est la petite poupée qui fait entrer le loup dans la bergerie.
Sans être un tombeur j’ai mon succès auprès des femmes du sentier, pour moi, ma patronne aurait été un point culminant de mes rapports sexuels, au risque de me faire virer !
Ils payent, Fujiko sort son portefeuille, j’ai le temps de voir qu’il était bourré de billets.
Nous commençons la visite, nous passons devant la statue en cire de notre président.
• Vous avez de la chance, votre président est jeune et beau, chez nous nous avons des empereurs, succulent à leur père, vieux et laid, car tous ridés !
Les salles défilent, la salle des sportifs m’intéresse plus, lorsque Kiriko s’arrête devant la statue d’Alain Ducasse.
Je fais le fanfaron, mais Ducasse, c’est grâce à son nom est marqué sur une plaque que j’apprends ce nom.
Une nouvelle fois, la jeune japonaise parle avec son mari et m’explique ce qu’elle lui a dit.
• Je fais remarquer à Fujiko, que c’est le chef cuistot chez qui nous avons dîné hier et qui est venu nous saluer à la fin de notre repas, le menu était divin.
• Ou avez-vous mangé depuis que vous êtes à Paris ?
• En haut de la tour Effel, chez Le Nôtre et Ducasse, un restaurant sur les Champs-Élysées.
Je comprends que tous ces noms sont connus et que jamais de ma vie, je pourrai y manger avec ma paye de commis.
Celui dont j’aurais bien voulu le faire cocu, mais la petite a tellement de classe, qu’il vaut mieux que j’évacue cette possibilité, parle à sa femme qui se tourne une nouvelle fois pour traduire.
• Il demande si tu connais un petit restaurant sympa dans le coin, il voudrait t’inviter pour ton obligeance envers nous !
• Des restos comme ceux que tu viens de me donner les noms, surement pas, mais je mange de temps en temps chez un copain, ou la cuisine est très bonne et le cadre intéressant.
Julien, c’est le nom du restaurant connu dans le quartier où je vais manger dans les cuisines les jours ou mon pote est débordé et où j’ai un peu de temps de libre.
• Tu peux le joindre et voir s’il a une table pour trois !
J’appelle mon copain, il décroche, hélas, il est complet pour trois.
• Attends Corine débarrasse une table de deux, si vous vous serrez un peu, je peux mettre trois couverts et vous servir !
J’ai mis mon portable sur haut-parleur, Kiriko entend et prend la parole.
• C’est parfait, monsieur, nous arrivons, nous nous serrerons un peu, Christian nous a vanté votre cuisine, nous avons hâte de la découvrir.
• À votre accent, vous êtes étrangère, mais vous parlez parfaitement notre langue, méfiez-vous du beau gosse qui est avec vous.
• Avec mon mari, nous sommes japonais, il est charmant et de bon conseil, nous arrivons
Nous arrivons, c’est la première fois que j’entre par la porte principale.
En temps normal, je passe par l’entrée du personnel dont Corinne que je saute de temps en temps entre deux services dans sa chambre sous les toits mansardés de sa chambre de bonne.
Je laisse passer Kiriko, la séparant de Fujiko, elle le voit, me voit, si ses yeux avaient été des mitraillettes les journaux parisiens, parlerait de deux décédés.
Elle doit voir la grande carcasse de Fujiko derrière moi, car son regard ce radouci, elle nous conduit à la table.
Une banquette et une chaise, sur la table de deux.
• Viens à mon côté, on va tenir sur la banquette, mon mari va prendre la chaise, il sera plus à l’aise.
J’ai senti qu’elle jouait un jeu dangereux, surtout que pour tenir, de suite sa jambe se colle à la mienne !
Corinne avec les yeux de l’amour nous donne les menus, je commence à bander, la jambe appuyant avec insistance.
À part les escargots, qui leur posent problème, chacun trouve son entrée.
Le plat, ça se complique.
• Tête de veaux, sauce gribiche, peux-tu nous expliquer ?
Je pense que s’ils mangent ce plat plutôt succulant, dans la cuisine, j’en mange fréquemment, je les oriente sur le navarin d’agneau, plat plus classique.
À un moment du repas, la main de celle que je croyais inaccessible se pose sur ma cuisse, en mangeant mes escargots suivis de ma tête de veau, j’avais débandé, ça repart de plus bel.
Le plus drôle c’est que le mari semble indifférent à ce qu’il se passe, ce qui finit de m’intriguer, dessert, thé vert pour eux, café pour moi.
Il paye, Julien revient de ses fourneaux pour nous saluer.
• Merci pour ce bon repas, nous donnerons l’adresse de votre restaurant au Japon à nos amis qui viendront à Paris.
Traduction des propos de Fujiko par Kiriko alors qu’ils ont parlé en Anglais, il vaut ce souvenir que même la langue de nos voisins, c’est de l’hébreu ;
Nous quittons le restaurant, je suis content de la tournure de la soirée, je vais pouvoir revenir manger quelques plats aux frais du patron.
Je cherche surtout comment traduire les gestes de celle que je mettrais bien dans mon lit, mais, hélas, il y a le mari.
• Christian, nous logeons à l’hôtel des Grands Boulevards, veux-tu venir prendre un dernier verre avec nous ?...
• M’importunez, vous rigolez, que vous arrive-t-il ?
Un couple de Japonais, du moins je le pense, se trouve devant moi dans le quartier du sentier.
Ce que je vois tenant une carte en main, certainement le plan de Paris, c’est la beauté de cette petite poupée.
Visage, aux yeux bridés et corps harmonieux dans un tailleur certainement venant d’une très grande boutique japonaise ou parisienne.
• Fujiko, mon mari et moi sommes perdus, nous cherchons le musée Grévin.
Elle, plus petite que moi, je fais 1 mètre 76 et lui plus d’un mètre 90.
Couple disproportionné mais j’en ai cure, c’est la petite à qui je porte mon intérêt.
• Vous vous dirigiez à l’opposé du musée, j’habite à côté et je passe devant, voulez-vous que je vous conduise.
Je vois la jeune femme parler à celui que je pense être son mari dans sa langue.
• Fujiko, mon mari est d’accord, ça fait deux fois que je me perds, excusez, vous parlez anglais, c’est la seule langue qu’il parle avec notre langue.
• Yes, nos, rien de plus, vous savez, j’ai quitté l’école à seize ans et j’ai vingt-deux ans, tout ça est loin.
Mais vous vous parlez parfaitement le français, avez-vous été à l’école chez nous ?
• Non, à Tokyo, je travaille comme interprète pour une grande entreprise vendant des voitures à travers le monde.
Fujiko est ingénieur et il dirige une centrale nucléaire près de la capitale.
Pour ma part, je m’appelle Kiriko je parle ma langue, l’anglais, le russe, l’arabe et je termine d’apprendre le mandarin.
• Le Chinois, tu es vraiment très forte.
Je l’ai tutoyé sans l’en rendre compte, la poupée vue de près à de petites rides au coin de ses yeux, bien caché par ses yeux bridés.
• Tu m’as dit que tu avais vingt-deux ans, j’en ai trente-quatre et mon mari dix de plus, j’adore le tutoiement dans votre langue, c’est plus intime.
Tout en parlant, nous sommes arrivés devant le musée Grévin, j’ai peine à la quitter, malgré que la bague qu’elle a aux doigts et son mari aussi augure de la difficulté d’aller plus loin avec elle.
Son mari lui parle, elle se tourne vers moi.
• Fujiko demande si tu es pressé, sinon, nous t’invitons à visiter le musée avec nous et après nous irons dîner ensemble, il voudrait aussi savoir ton nom !
• Christian, je m’appelle Christian, lorsque vous m’avez abordé, je sortais de chez mon patron, malgré que je sois en vacances pour une semaine.
• Tu vas à ton travail pendant tes vacances, chez nous les travailleurs sont fidèles à leur emploi, mais je vois qu’ici il en va de même.
Je me garde bien de lui dire que je suis allé draguer la secrétaire, qui plus est la femme de mon patron qui est parti vers l'Allemagne pour quelques jours, mais que je me suis pris un râteau.
Je devrais dire un semi-râteau, elle avait ses règles et j’ai seulement pu lui caresser la poitrine en l’embrassant.
• Et, que fais-tu dans cette entreprise ?
• Nous faisons des costumes.
Le sentier, quartier où nous nous sommes rencontrés, regorge de petits ateliers et je livre chez les uns et les autres, les produits qui nous sont commandés.
Bref, j’ai trouvé cet emploi sans aucune connaissance particulière sauf savoir se démerder et fermer sa bouche sur ce que je peux voir des trafics très fréquents dans les arrières boutiques.
• Pour la question de Fujiko, j’habite deux rue plus loin, je me suis promis de le visiter un jour, mais je suis souvent pris et je repousse toujours, je veux bien venir avec vous.
Je cherchais le moyen de prolonger avant notre séparation, c’est la petite poupée qui fait entrer le loup dans la bergerie.
Sans être un tombeur j’ai mon succès auprès des femmes du sentier, pour moi, ma patronne aurait été un point culminant de mes rapports sexuels, au risque de me faire virer !
Ils payent, Fujiko sort son portefeuille, j’ai le temps de voir qu’il était bourré de billets.
Nous commençons la visite, nous passons devant la statue en cire de notre président.
• Vous avez de la chance, votre président est jeune et beau, chez nous nous avons des empereurs, succulent à leur père, vieux et laid, car tous ridés !
Les salles défilent, la salle des sportifs m’intéresse plus, lorsque Kiriko s’arrête devant la statue d’Alain Ducasse.
Je fais le fanfaron, mais Ducasse, c’est grâce à son nom est marqué sur une plaque que j’apprends ce nom.
Une nouvelle fois, la jeune japonaise parle avec son mari et m’explique ce qu’elle lui a dit.
• Je fais remarquer à Fujiko, que c’est le chef cuistot chez qui nous avons dîné hier et qui est venu nous saluer à la fin de notre repas, le menu était divin.
• Ou avez-vous mangé depuis que vous êtes à Paris ?
• En haut de la tour Effel, chez Le Nôtre et Ducasse, un restaurant sur les Champs-Élysées.
Je comprends que tous ces noms sont connus et que jamais de ma vie, je pourrai y manger avec ma paye de commis.
Celui dont j’aurais bien voulu le faire cocu, mais la petite a tellement de classe, qu’il vaut mieux que j’évacue cette possibilité, parle à sa femme qui se tourne une nouvelle fois pour traduire.
• Il demande si tu connais un petit restaurant sympa dans le coin, il voudrait t’inviter pour ton obligeance envers nous !
• Des restos comme ceux que tu viens de me donner les noms, surement pas, mais je mange de temps en temps chez un copain, ou la cuisine est très bonne et le cadre intéressant.
Julien, c’est le nom du restaurant connu dans le quartier où je vais manger dans les cuisines les jours ou mon pote est débordé et où j’ai un peu de temps de libre.
• Tu peux le joindre et voir s’il a une table pour trois !
J’appelle mon copain, il décroche, hélas, il est complet pour trois.
• Attends Corine débarrasse une table de deux, si vous vous serrez un peu, je peux mettre trois couverts et vous servir !
J’ai mis mon portable sur haut-parleur, Kiriko entend et prend la parole.
• C’est parfait, monsieur, nous arrivons, nous nous serrerons un peu, Christian nous a vanté votre cuisine, nous avons hâte de la découvrir.
• À votre accent, vous êtes étrangère, mais vous parlez parfaitement notre langue, méfiez-vous du beau gosse qui est avec vous.
• Avec mon mari, nous sommes japonais, il est charmant et de bon conseil, nous arrivons
Nous arrivons, c’est la première fois que j’entre par la porte principale.
En temps normal, je passe par l’entrée du personnel dont Corinne que je saute de temps en temps entre deux services dans sa chambre sous les toits mansardés de sa chambre de bonne.
Je laisse passer Kiriko, la séparant de Fujiko, elle le voit, me voit, si ses yeux avaient été des mitraillettes les journaux parisiens, parlerait de deux décédés.
Elle doit voir la grande carcasse de Fujiko derrière moi, car son regard ce radouci, elle nous conduit à la table.
Une banquette et une chaise, sur la table de deux.
• Viens à mon côté, on va tenir sur la banquette, mon mari va prendre la chaise, il sera plus à l’aise.
J’ai senti qu’elle jouait un jeu dangereux, surtout que pour tenir, de suite sa jambe se colle à la mienne !
Corinne avec les yeux de l’amour nous donne les menus, je commence à bander, la jambe appuyant avec insistance.
À part les escargots, qui leur posent problème, chacun trouve son entrée.
Le plat, ça se complique.
• Tête de veaux, sauce gribiche, peux-tu nous expliquer ?
Je pense que s’ils mangent ce plat plutôt succulant, dans la cuisine, j’en mange fréquemment, je les oriente sur le navarin d’agneau, plat plus classique.
À un moment du repas, la main de celle que je croyais inaccessible se pose sur ma cuisse, en mangeant mes escargots suivis de ma tête de veau, j’avais débandé, ça repart de plus bel.
Le plus drôle c’est que le mari semble indifférent à ce qu’il se passe, ce qui finit de m’intriguer, dessert, thé vert pour eux, café pour moi.
Il paye, Julien revient de ses fourneaux pour nous saluer.
• Merci pour ce bon repas, nous donnerons l’adresse de votre restaurant au Japon à nos amis qui viendront à Paris.
Traduction des propos de Fujiko par Kiriko alors qu’ils ont parlé en Anglais, il vaut ce souvenir que même la langue de nos voisins, c’est de l’hébreu ;
Nous quittons le restaurant, je suis content de la tournure de la soirée, je vais pouvoir revenir manger quelques plats aux frais du patron.
Je cherche surtout comment traduire les gestes de celle que je mettrais bien dans mon lit, mais, hélas, il y a le mari.
• Christian, nous logeons à l’hôtel des Grands Boulevards, veux-tu venir prendre un dernier verre avec nous ?...
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j'ai adoré , vivement la suite, écris avec sensualité