COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (2/5)
• Christian, nous logeons à l’hôtel des Grands Boulevards, veux-tu venir prendre un dernier verre avec nous ?
Cette phrase me laisse dubitatif.
L’hôtel où Fujiko le mari et Kiriko la petite Japonaise sont descendus, je passe tous les jours devant pour me rendre à mon travail dans le sentier.
Me suis-je déjà fait la remarque qu’y entrer était impossible, non, cet endroit friqué est fait pour les touristes et certainement pas pour un titi parisien comme moi.
Même le personnel, que je vois venir accueillir les clients, a un style bien différent du mien et surtout le moindre chasseur semble parler plusieurs langues.
Hélas, pour moi, ce genre d’hôtel doit posséder un bar dès la porte franchi et c’est là que nos routes vont finir par se séparer.
J’aurais rêvé de passer un moment dans le lit de cette touriste de passage à Paris.
Au fond de ma mémoire, il me restera sa main sur ma cuisse.
• J’ai tout mon temps, je suis en vacances.
Rapidement nous sommes devant l’hôtel et ils franchissent la porte menant à la réception.
Il est 23 heures à la pendule au-dessus de la jeune femme qui est à cette réception.
Nous tournons à droite, devant nous se trouvent des ascenseurs,
Jusqu’à ce qu’il se referme, je m’attends à ce que la réceptionniste me rappelle et me demande de sortir, mon jean basket faisant tache dans le décor.
Les portes se referment, merde, c’est vers leur chambre que nous nous dirigeons.
Nous entrons, Kiriko me prend la main, est-il possible de louer une telle chambre, avec devant la baie un salon avec un bar largement achalandé, il y a même un frigo.
Nous nous installons dans des fauteuils profonds et moelleux à souhait.
• Que veux-tu boire ?
Traduction de celle qui semble bien plus près de moi que ce que je pensais, mais mots prononcés par celui que j’espère cocufier.
• Un jus de fruits, si vous en avez, vous m’aviez proposé du vin, je bois juste des boissons sans alcool.
Traduction de mes propos et je me retrouve avec un jus d’orange fraichement pressé dans un verre.
Kiriko prend le même jus que moi et sans aucune retenue, vient s’assoir sur mes genoux.
Tenant mon verre d’une main, l’autre enserrant sa taille, j’en ai vite fait le tour et je peux lui prendre le sein.
Impossible que la coquine ignore que je bande, son petit cul étant aux premières loges.
Fujiko s’est servi un whisky, il y a deux fauteuils, l’un mieux placé que l’autre, il s’installe dans celui qui lui donne le meilleur angle de vision.
• Christian, lorsque nous nous sommes croisée, nous t’avons volontairement abordé.
Je tombe des nues, comment m’avoir abordé alors que je revenais d’avoir essayé de sauter ma patronne.
Si les Anglais avaient été absents, je serais passé bien plus tard, j’attends la suite.
• Notre rencontre, il y a un an qu’elle était programmée.
Lorsque nous nous sommes mariés au Japon, il y a six ans, Fujiko mon mari est libertin.
Je tombe de plus en plus des nues, dans ce pays si strict sur la façon d’être, il y a des libertins comme chez nous en France.
• Nous avions de plus en plus de connaissances dans nos métiers respectifs et un jour nous avons failli tout perdre, dans un scandale.
Nous ignorions qu’un couple nous ayant présenté une jeune femme cette dernière était mineur.
Nous nous en sommes sorti et depuis comme nous avons l’habitude de faire une rencontre le dernier jour avant notre retour au Japon.
Nous avons pris l’habitude que mon mari m’offre une soirée libertine lui permettant de regarder quand mon amant d’un soir me fait l’amour devant lui.
• Tu as dit que notre rencontre avait été programmée l’an passé, on se connaissait !
• Non, pas du tout, l’an passé, nos vacances se sont déroulées au Maroc.
Casablanca, Marrakech, Tanger et nous avons terminé à Meknès.
Le dernier soir, nous avons mangé dans notre hôtel l’intercontinental.
Nous avions remarqué quelques beaux spécimens de la faune locale.
Étant au bord de la piscine, j’étais simplement revêtu de mon maillot de bain et d’un paréo.
Le serveur à qui j’aurais bien fait les yeux doux, nous a installés à notre table.
À la table voisine, deux jeunes femmes nous ont regardés nous installer et j’ai clairement vu que le regard noir, mais de braise de la première face à moi me transperçait.
J’avais eu des expériences lesbiennes au début de notre mariage et des partouzes que nous faisions jusqu’au scandale sans penser à Fujiko.
J’ai fait tomber ma serviette et la femme que je convoitais me l’a fait remarquer en Arabe.
Je lui ai répondu dans cette langue trop fière d’étaler mon savoir dans cette langue.
Wafae, ma convoitise et Radia sa copine.
Nous avons sympathisé, j’ai rapidement pu constater que les deux auraient pu être une seule et même personne tellement elles avaient les mêmes atomes crochus.
À la fin du repas, elles nous ont invitées, à une centaine de mètres de l’hôtel à venir boire un dernier verre chez elle.
Je me suis empressée d’accepter, sans savoir que j’allais frustrer mon mari.
Elles sont passées au vestiaire me certifiant que mon paréo me couvrait assez pour le peu de distances qui nous séparaient de leur maison.
Des amis nous avaient dit que si lors de notre voyage, ils nous étaient possible de visiter une maison marocaine, il fallait découvrir les merveilles se cachant derrière ces murs austères.
Nous rejoignions les filles, au début sans les voir.
Elles sont recouvertes d’une tenue noire les couvrants intégralement, je crois que cela s’appelle un niqab, c’est à leurs yeux que je les ai reconnus.
Le niqab cache les yeux, elle doit se tromper de nom, mais je laisse courir, seul son petit cul m’intéresse, ma main se glisse sous sa jupe, sa chatte est épilée et vierge de toute protection.
Je découvre, une nouvelle disposition de cette jeune Japonaise, la petite salope, elle se promenait la chatte à l’air dans les rues de la capitale.
• La maison se trouvait sur une petite colline au-dessus d’une oliveraie, une porte en fer forgée.
Un couloir menant dans un petit bijou de cour intérieure, ou au centre, entre les plantes odoriférantes, une petite piscine apportait un peu de fraîcheur.
Fujiko nous suivait, avait-il senti qu’il serait exclu de nos jeux, c’est plus tard dans notre jet de retour qu’il a fini par s’exprimer.
Mais je vais trop vite, Wafae et Radia dans un ensemble parfait se sont dénudées et m’ont aidé à en faire de même avant de m’entraîner dans la piscine.
J’ai senti des mains partout sur moi et une nouvelle fois, avaient-elles fait un geste vers Fujiko, mais je l’ai vu assis sur des coussins, lui qui, d’habitude s’empresse de participer à mes jeux.
Deux femmes, quatre mains et rapidement deux bouches et surtout des mains à cinq doigts que je sentais partout sur moi.
Elles m’ont fait tellement jouir que j’ignore, comment je me suis retrouvée dans notre chambre d’hôtel.
J’ai un vague souvenir d’avoir bu quelques verres d’alcool souvent prohibé dans leur pays par leur religion, mais bien caché au plus profond de ces maisons aux coussins accueillants.
Je me souviens seulement qu’à la sortie de la piscine, j’avais accepté un thé vert à la menthe.
En confiant mon corps à ces deux furies, j’avais oublié notre complicité à trouver un homme ou un couple ce dernier jour afin de partouzer hors des murs de notre pays.
C’est encore endormi que dans notre jet, j’ai vu que Fujiko faisait la tête, je te raconterais notre réconciliation plus tard.
Kiriko a quitté mes genoux glissant jusque sur la moquette avant de défaire mon ceinturon et descendre mon jean et mon boxer sortant ma verge.
Je regarde Fujiko qui sirote son whisky me faisant un geste de la main m’invitant à me laisser faire.
Sans ce geste, j’aurais tué s’il avait montré le moindre signe de réprobation !
J’avais tellement attendu ce moment pensant même quitter cette petite sans la moindre trace d’affection que cette bouche léchant mon gland était une bénédiction des Dieux envers ma personne.
Petite, mais jolie salope pour mon seul plaisir à ce moment de grande intensité, seul elle et moi étions présents dans cette chambre
Le moment que j’avais tant attendu tout au long de la visite du musée Grévin, par moments derrière son petit cul semblait être arrivé lorsque cette petite bouche s’est mise à me faire des gorges profondes.
• Viens allons dans le Jacuzzi !
Un Jacuzzi, va-t-il falloir que nous descendions dans les profondeurs de cet hôtel, alors que j’étais bien dans cette chambre à deux doigts de baiser cette petite salope fille du soleil levant ?
Elle me dirige vers l’une des portes se trouvant dans la chambre, le Jacuzzi est là très rassurant, car possédant deux places, de toute façon, Fujiko, vient de se reservir un whisky.
Elle me dénude, mon jean et mon boxer tombant enfin au sol et se laisse, elle aussi dénuder.
Une vraie Japonaise, petits seins, mais d’une harmonie telle, que l’un après l’autre, je les mets dans ma bouche.
Je saute dans l’eau bouillonnante, elle en fait autant sa chatte épilée m’apparais dans toute sa splendeur déjà ouverte d’envie me montrant sa chair rose.
Même dans l’eau chaude je bande lorsque son corps vient se poser sur le mien.
Je suis à deux doigts de décharger, faisant certainement passer les Français pour des vieux bofs.
• Lève-toi que je te savonne, j’aime que mes amants soient propres !...
Cette phrase me laisse dubitatif.
L’hôtel où Fujiko le mari et Kiriko la petite Japonaise sont descendus, je passe tous les jours devant pour me rendre à mon travail dans le sentier.
Me suis-je déjà fait la remarque qu’y entrer était impossible, non, cet endroit friqué est fait pour les touristes et certainement pas pour un titi parisien comme moi.
Même le personnel, que je vois venir accueillir les clients, a un style bien différent du mien et surtout le moindre chasseur semble parler plusieurs langues.
Hélas, pour moi, ce genre d’hôtel doit posséder un bar dès la porte franchi et c’est là que nos routes vont finir par se séparer.
J’aurais rêvé de passer un moment dans le lit de cette touriste de passage à Paris.
Au fond de ma mémoire, il me restera sa main sur ma cuisse.
• J’ai tout mon temps, je suis en vacances.
Rapidement nous sommes devant l’hôtel et ils franchissent la porte menant à la réception.
Il est 23 heures à la pendule au-dessus de la jeune femme qui est à cette réception.
Nous tournons à droite, devant nous se trouvent des ascenseurs,
Jusqu’à ce qu’il se referme, je m’attends à ce que la réceptionniste me rappelle et me demande de sortir, mon jean basket faisant tache dans le décor.
Les portes se referment, merde, c’est vers leur chambre que nous nous dirigeons.
Nous entrons, Kiriko me prend la main, est-il possible de louer une telle chambre, avec devant la baie un salon avec un bar largement achalandé, il y a même un frigo.
Nous nous installons dans des fauteuils profonds et moelleux à souhait.
• Que veux-tu boire ?
Traduction de celle qui semble bien plus près de moi que ce que je pensais, mais mots prononcés par celui que j’espère cocufier.
• Un jus de fruits, si vous en avez, vous m’aviez proposé du vin, je bois juste des boissons sans alcool.
Traduction de mes propos et je me retrouve avec un jus d’orange fraichement pressé dans un verre.
Kiriko prend le même jus que moi et sans aucune retenue, vient s’assoir sur mes genoux.
Tenant mon verre d’une main, l’autre enserrant sa taille, j’en ai vite fait le tour et je peux lui prendre le sein.
Impossible que la coquine ignore que je bande, son petit cul étant aux premières loges.
Fujiko s’est servi un whisky, il y a deux fauteuils, l’un mieux placé que l’autre, il s’installe dans celui qui lui donne le meilleur angle de vision.
• Christian, lorsque nous nous sommes croisée, nous t’avons volontairement abordé.
Je tombe des nues, comment m’avoir abordé alors que je revenais d’avoir essayé de sauter ma patronne.
Si les Anglais avaient été absents, je serais passé bien plus tard, j’attends la suite.
• Notre rencontre, il y a un an qu’elle était programmée.
Lorsque nous nous sommes mariés au Japon, il y a six ans, Fujiko mon mari est libertin.
Je tombe de plus en plus des nues, dans ce pays si strict sur la façon d’être, il y a des libertins comme chez nous en France.
• Nous avions de plus en plus de connaissances dans nos métiers respectifs et un jour nous avons failli tout perdre, dans un scandale.
Nous ignorions qu’un couple nous ayant présenté une jeune femme cette dernière était mineur.
Nous nous en sommes sorti et depuis comme nous avons l’habitude de faire une rencontre le dernier jour avant notre retour au Japon.
Nous avons pris l’habitude que mon mari m’offre une soirée libertine lui permettant de regarder quand mon amant d’un soir me fait l’amour devant lui.
• Tu as dit que notre rencontre avait été programmée l’an passé, on se connaissait !
• Non, pas du tout, l’an passé, nos vacances se sont déroulées au Maroc.
Casablanca, Marrakech, Tanger et nous avons terminé à Meknès.
Le dernier soir, nous avons mangé dans notre hôtel l’intercontinental.
Nous avions remarqué quelques beaux spécimens de la faune locale.
Étant au bord de la piscine, j’étais simplement revêtu de mon maillot de bain et d’un paréo.
Le serveur à qui j’aurais bien fait les yeux doux, nous a installés à notre table.
À la table voisine, deux jeunes femmes nous ont regardés nous installer et j’ai clairement vu que le regard noir, mais de braise de la première face à moi me transperçait.
J’avais eu des expériences lesbiennes au début de notre mariage et des partouzes que nous faisions jusqu’au scandale sans penser à Fujiko.
J’ai fait tomber ma serviette et la femme que je convoitais me l’a fait remarquer en Arabe.
Je lui ai répondu dans cette langue trop fière d’étaler mon savoir dans cette langue.
Wafae, ma convoitise et Radia sa copine.
Nous avons sympathisé, j’ai rapidement pu constater que les deux auraient pu être une seule et même personne tellement elles avaient les mêmes atomes crochus.
À la fin du repas, elles nous ont invitées, à une centaine de mètres de l’hôtel à venir boire un dernier verre chez elle.
Je me suis empressée d’accepter, sans savoir que j’allais frustrer mon mari.
Elles sont passées au vestiaire me certifiant que mon paréo me couvrait assez pour le peu de distances qui nous séparaient de leur maison.
Des amis nous avaient dit que si lors de notre voyage, ils nous étaient possible de visiter une maison marocaine, il fallait découvrir les merveilles se cachant derrière ces murs austères.
Nous rejoignions les filles, au début sans les voir.
Elles sont recouvertes d’une tenue noire les couvrants intégralement, je crois que cela s’appelle un niqab, c’est à leurs yeux que je les ai reconnus.
Le niqab cache les yeux, elle doit se tromper de nom, mais je laisse courir, seul son petit cul m’intéresse, ma main se glisse sous sa jupe, sa chatte est épilée et vierge de toute protection.
Je découvre, une nouvelle disposition de cette jeune Japonaise, la petite salope, elle se promenait la chatte à l’air dans les rues de la capitale.
• La maison se trouvait sur une petite colline au-dessus d’une oliveraie, une porte en fer forgée.
Un couloir menant dans un petit bijou de cour intérieure, ou au centre, entre les plantes odoriférantes, une petite piscine apportait un peu de fraîcheur.
Fujiko nous suivait, avait-il senti qu’il serait exclu de nos jeux, c’est plus tard dans notre jet de retour qu’il a fini par s’exprimer.
Mais je vais trop vite, Wafae et Radia dans un ensemble parfait se sont dénudées et m’ont aidé à en faire de même avant de m’entraîner dans la piscine.
J’ai senti des mains partout sur moi et une nouvelle fois, avaient-elles fait un geste vers Fujiko, mais je l’ai vu assis sur des coussins, lui qui, d’habitude s’empresse de participer à mes jeux.
Deux femmes, quatre mains et rapidement deux bouches et surtout des mains à cinq doigts que je sentais partout sur moi.
Elles m’ont fait tellement jouir que j’ignore, comment je me suis retrouvée dans notre chambre d’hôtel.
J’ai un vague souvenir d’avoir bu quelques verres d’alcool souvent prohibé dans leur pays par leur religion, mais bien caché au plus profond de ces maisons aux coussins accueillants.
Je me souviens seulement qu’à la sortie de la piscine, j’avais accepté un thé vert à la menthe.
En confiant mon corps à ces deux furies, j’avais oublié notre complicité à trouver un homme ou un couple ce dernier jour afin de partouzer hors des murs de notre pays.
C’est encore endormi que dans notre jet, j’ai vu que Fujiko faisait la tête, je te raconterais notre réconciliation plus tard.
Kiriko a quitté mes genoux glissant jusque sur la moquette avant de défaire mon ceinturon et descendre mon jean et mon boxer sortant ma verge.
Je regarde Fujiko qui sirote son whisky me faisant un geste de la main m’invitant à me laisser faire.
Sans ce geste, j’aurais tué s’il avait montré le moindre signe de réprobation !
J’avais tellement attendu ce moment pensant même quitter cette petite sans la moindre trace d’affection que cette bouche léchant mon gland était une bénédiction des Dieux envers ma personne.
Petite, mais jolie salope pour mon seul plaisir à ce moment de grande intensité, seul elle et moi étions présents dans cette chambre
Le moment que j’avais tant attendu tout au long de la visite du musée Grévin, par moments derrière son petit cul semblait être arrivé lorsque cette petite bouche s’est mise à me faire des gorges profondes.
• Viens allons dans le Jacuzzi !
Un Jacuzzi, va-t-il falloir que nous descendions dans les profondeurs de cet hôtel, alors que j’étais bien dans cette chambre à deux doigts de baiser cette petite salope fille du soleil levant ?
Elle me dirige vers l’une des portes se trouvant dans la chambre, le Jacuzzi est là très rassurant, car possédant deux places, de toute façon, Fujiko, vient de se reservir un whisky.
Elle me dénude, mon jean et mon boxer tombant enfin au sol et se laisse, elle aussi dénuder.
Une vraie Japonaise, petits seins, mais d’une harmonie telle, que l’un après l’autre, je les mets dans ma bouche.
Je saute dans l’eau bouillonnante, elle en fait autant sa chatte épilée m’apparais dans toute sa splendeur déjà ouverte d’envie me montrant sa chair rose.
Même dans l’eau chaude je bande lorsque son corps vient se poser sur le mien.
Je suis à deux doigts de décharger, faisant certainement passer les Français pour des vieux bofs.
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