COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (4/5)
Nuit dans un palace, mais nuit de folie.
J’avais peur que Kiriko jolie petite Japonaise en vacances à Paris m’échappe alors contre toute attente, c’est dans la chambre de ce couple que je découvre le plaisir d’une double pénétration anale et vaginale.
Comment un aussi petit brin de femme, peut-elle se faire prendre par deux mâles virils sans que nous l’ayons cassé ?
Je l’ignore, mais dès que le téléphone sonne elle saute du lit sans se poser plus de question ?
• Christian vient dans la salle de bain, nous devons quitter la chambre dans peu de temps pour descendre déjeuner et après partir rejoindre notre avion.
Je la suis, Fujiko reste couché, enfin seul avec ma petite maîtresse.
C’est là où Fujiko devait être lorsqu’il nous a rejoint pour la première des doubles pénétrations que nous avons fait subir à Kiriko.
La salle de bains, le Jacuzzi se trouvant dans la pièce voisine.
Combien, une nuit dans un tel palace peut-elle valoir, sans compter le coin bar dont nous avons largement profité pour ce qui aurait dû être un dernier verre.
Cette salle de bains est plus grande que la pièce mansardée que je loue un prix fou à un marchand de sommeil.
Un lit, une table sans la moindre chaise avec un coin penderie sous le pan coupé et un coin cuisine avec sur le côté un rideau qui cache la douche.
J’y laisse presque la moitié de ma paye, mais je suis trop content de voir le soleil par le petit vasistas et voir les toits de Paris en montant sur le lit.
Le tout au huitième étage sans ascenseur, il va de soi.
Dire que si Fujiko et Kiriko m’avaient laissé passer sans me prendre pour un poulbot, je dormirais au chaud dans cette soupente à me morfondre d’avoir loupé Sabrina ses règles ayant débarqué.
Baignoir ou douche, la petite m’entraine dans la cabine de douche.
Rapidement l’eau coule sur nous.
Je sens ma verge recommencer à ce tendre, je la prends dans mes bras et je l’embrasse passionnément.
Elle se laisse faire pour mon plus grand plaisir.
Je la prends sous les fesses et comme si je soulevais une plume, je la fais retomber sur ma queue.
• Merde, j’ai oublié la capote.
• Si tu es clin, moi je le suis avant de partir, j’ai fait un test, il est dans mon sac, mais il est en japonais, fais-moi confiance.
Je suis bien obligé de croire ma petite maîtresse sur parole surtout qu’elle apprécie les coups de bite que je lui mets.
Une nouvelle fois heureusement que je la muselle, car ses cris de plaisir dépassent l’entendement.
Une dernière fois, car j’ai compris qu’ils quittent Paris et la France ce matin, je lui remplis la chatte dans un cri de ma part, la jouissance partant du bas de mes reins.
Je la repose, elle prend du savon, elle me savonne, je la savonne, elle me rince, je la rince, je l’essuie, elle m’essuie et nous retrouvons la chambre.
Fujiko est là déjà impeccablement habillé, la porte de Jacuzzi est ouverte, il a dû se laver dans le bain bouillonnant nous laissant avoir un dernier rapport.
Je l’aimerais presque ce grand garçon, pas pour la sucette, mais pour le plaisir qu’il m’a donné en baisant et en enculant sa femme.
Si un jour, je me marie, aurais-je le courage de prêter la femme de ma vie à d’autres, je l’ignore comme j’ignore pourquoi ils en sont arrivés là.
Mes affaires sont posées sur le lit comme ceux de sa femme, tailleur gris qui doit lui donner un aspect respectable de traductrice alors que lui dirige une centrale atomique.
• Allons déjeuner.
Nous reprenons l’ascenseur quittant pour moi certainement définitivement ce genre de chambre de haut luxe.
À moins de gagner au loto, je vois mal, comment je pourrais revenir dans une telle chambre.
Pour aller déjeuner, nous passons non loin de la réception.
La jeune femme que j’ai vue hier et dont j’ai eu peur qu’elle me fasse quitter ce lieu dans la tenue d’été que j’ai remise est absente remplacée par une belle rousse dans la même tenue.
Comme hier, elle me voit et semble avoir envie de m’apostropher, mais nous entrons dans la salle des petits déjeuners et je me concentre sur les croissants odorants et le café que je me fais servir.
Ayant fini, Fujiko parle à sa femme pendant que j’ingurgite mon sixième croissant et ma deuxième tasse de café.
Baiser toute la nuit une jolie petite salope comme ma voisine à qui à ce moment tous dans cette pièce doivent donner le bon dieu sans confession, vu la raideur de son corps buvant une tasse de thé.
Dire qu’il y a une demi-heure, il se tordait sur ma bite dans la douche, certaines femmes savent avoir des postures différentes.
Fujiko se lève et quitte la pièce.
• Il va à la réception payer notre note, nous avons une limousine avec chauffeur qui va nous conduire à notre jet, veux-tu nous accompagner, le chauffeur pourra te ramener et ça nous permettra de rester quelques minutes encore ensemble.
• Orly ou Roissy ?
• Non, nous louons les services d’une compagnie de jet privé et nous repartons comme nous sommes arrivées de l’aéroport de Vélizy-Villacoublay, c’est là que notre limousine va nous conduire.
Ça nous permettra d’être un peu plus longtemps ensemble.
• Si votre chauffeur me ramène ici, alors d’accord.
C’est à ce moment que Fujiko revient de la réception.
Il me tend quelques billets, je suis à deux doigts de me mettre en colère.
• Prends, Christian, c’est le reste des billets pour les pourboires que nous donnons tous au long de notre séjour !
Fujiko a gardé ce qu’il faut pour le bagagiste et le chauffeur de la limousine.
Si nous les ramenons au Japon, il nous faudra retourner au bureau de change qui va nous en piquer une grosse somme au passage alors autant que ce soit toi qui en profites.
Fujiko m’a aussi dit que la petite réceptionniste voudrait te parler, va voir ce qu’elle te veut !
Je prends les billets, je les mets dans la poche de mon jean, maman m’a dit de remercier lorsque l’on me donne de l’argent sans regarder et je me rends à la réception.
• Vous avez demandé à me voir, mademoiselle !
Sur son uniforme, je vois qu’elle s’appelle Mathilde, comme je l’ai dit lorsque je l’ai vu à la sortie de l’ascenseur, elle est rousse.
De près, son visage est constellé de taches de rousseur, du plus bel effet.
• Oui, hier lorsque vous êtes arrivée, c’était Véronique qui était à ma place.
Lorsqu’elle m’a relevé ce matin, elle m’a dit qu’elle vous avait laissé passer, car vous étiez avec les Yakamoto, ce couple japonais avec lequel vous avez passé la nuit et avec qui vous venez de déjeuner.
Elle a été surprise que ce couple ramène une escorte le dernier jour de leur séjour.
Si vous saviez la somme que le mari vient de nous laisser, vous comprendriez qu’elle vous a laissé monter dans la tenue que vous portiez !
Elle m’a dit de vous demander votre numéro de portable, si vous en avez un.
Il arrive fréquemment que des clients ou clientes nous demandent une escorte d’accompagnement, nous avions un jeune homme que nous appelions dans ces cas précis.
Il s’est marié et a quitté votre métier, sa femme étant jalouse, si vous êtes d’accord et si nous avons des demandes, nous vous appellerons.
Pour le standing de l’hôtel, il vous faudra vous vêtir d’un costume avec chemise blanche et chaussure, Italienne si possible.
Je vois là la chance de ma vie, je donne à Mathilde mon numéro lui certifiant que si ça paye bien, j’accepte, même si au fond de moi si je deviens l’escorte de ce palace, je vais devenir une pute.
• Voilà mon numéro, appelez dès que vous aurez besoin de moi.
Je retourne vers mes amis, je sens que ma vie vient de basculer, pour le costume, je sais ou je vais m’adresser.
• Que te voulait-elle ?
• Elle croyait me connaître, mais c’était une erreur.
Pourquoi en dire plus, dans quelques heures, ils seront partis et ce que deviendra ma vie après leur départ c’est moi que cela regarde, ils auront simplement participé à me mettre le pied à l’étrier ?
Nous quittons l’hôtel, le bagagiste fini de charger les affaires certainement principalement ceux de madame, Fujiko lui donne une coupure, j’ai le temps de voir le chiffre de 100 €.
Combien ai-je de ces billets de 100 dans ma poche, deux, trois, j’ai eu le temps de sentir qu’ils y en avaient plusieurs.
Le chauffeur de cette voiture très longue tient la portière arrière ouverte, Fujiko monte, elle me fait m’assoir au milieu et monte à son tour.
Les vitres sont teintées et une vitre de séparation nous sépare du chauffeur.
Il y a une autre banquette en face de celle où nous sommes assis.
Il y a des embouteillages et je sens la main de Kiriko se poser sur mon jean.
Elle sort ma bite, insatiable cette petite Asiatique, surtout quand sa bouche et sa langue commence à me lécher.
Elle relève la tête me libérant et c’est Fujiko, du moins sa bouche qui prend possession de moi.
Je devrais me rebeller, mais c’est ma main qui vient se poser sur la tête de celui qui m’a prêté sa femme et qui guide sa fellation.
Je bande malgré que ce soit un homme, mais partageur jusqu’au bout, il relève la tête ouvre le bar et se sert un whisky.
C’est Kiriko qui boit ma semence, lorsque j’éjacule au fond de sa gorge.
Elle s’en lèche les babines et me nettoie avec sa jolie petite bouche.
• Christian lorsque tu étais à la réception, nous avons discuté avec Fujiko, l’année prochaine pour juillet et aout, nous souhaiterions te recevoir à Tokyo, je te ferais visiter notre pays et ses valeurs ancestrales.
Tous frais payés, il va de soi.
La dernière semaine, nous partirions ensemble au Canada comme nous l’avons déjà programmée, acceptes-tu, ça nous ferait plaisir !
Bien sûr que j’accepte voyager aux frais de la princesse, Japon, puis Canada avant un retour en France.
Qui refuserait comme j’ai accepté de donner mon numéro à la jeune Mathilde.
Je compte bien lui compter fleurette, j’aimerais bien voir les poils de sa chatte et si ce que l’on dit sur les odeurs poivrées des rousses est bien réel...
J’avais peur que Kiriko jolie petite Japonaise en vacances à Paris m’échappe alors contre toute attente, c’est dans la chambre de ce couple que je découvre le plaisir d’une double pénétration anale et vaginale.
Comment un aussi petit brin de femme, peut-elle se faire prendre par deux mâles virils sans que nous l’ayons cassé ?
Je l’ignore, mais dès que le téléphone sonne elle saute du lit sans se poser plus de question ?
• Christian vient dans la salle de bain, nous devons quitter la chambre dans peu de temps pour descendre déjeuner et après partir rejoindre notre avion.
Je la suis, Fujiko reste couché, enfin seul avec ma petite maîtresse.
C’est là où Fujiko devait être lorsqu’il nous a rejoint pour la première des doubles pénétrations que nous avons fait subir à Kiriko.
La salle de bains, le Jacuzzi se trouvant dans la pièce voisine.
Combien, une nuit dans un tel palace peut-elle valoir, sans compter le coin bar dont nous avons largement profité pour ce qui aurait dû être un dernier verre.
Cette salle de bains est plus grande que la pièce mansardée que je loue un prix fou à un marchand de sommeil.
Un lit, une table sans la moindre chaise avec un coin penderie sous le pan coupé et un coin cuisine avec sur le côté un rideau qui cache la douche.
J’y laisse presque la moitié de ma paye, mais je suis trop content de voir le soleil par le petit vasistas et voir les toits de Paris en montant sur le lit.
Le tout au huitième étage sans ascenseur, il va de soi.
Dire que si Fujiko et Kiriko m’avaient laissé passer sans me prendre pour un poulbot, je dormirais au chaud dans cette soupente à me morfondre d’avoir loupé Sabrina ses règles ayant débarqué.
Baignoir ou douche, la petite m’entraine dans la cabine de douche.
Rapidement l’eau coule sur nous.
Je sens ma verge recommencer à ce tendre, je la prends dans mes bras et je l’embrasse passionnément.
Elle se laisse faire pour mon plus grand plaisir.
Je la prends sous les fesses et comme si je soulevais une plume, je la fais retomber sur ma queue.
• Merde, j’ai oublié la capote.
• Si tu es clin, moi je le suis avant de partir, j’ai fait un test, il est dans mon sac, mais il est en japonais, fais-moi confiance.
Je suis bien obligé de croire ma petite maîtresse sur parole surtout qu’elle apprécie les coups de bite que je lui mets.
Une nouvelle fois heureusement que je la muselle, car ses cris de plaisir dépassent l’entendement.
Une dernière fois, car j’ai compris qu’ils quittent Paris et la France ce matin, je lui remplis la chatte dans un cri de ma part, la jouissance partant du bas de mes reins.
Je la repose, elle prend du savon, elle me savonne, je la savonne, elle me rince, je la rince, je l’essuie, elle m’essuie et nous retrouvons la chambre.
Fujiko est là déjà impeccablement habillé, la porte de Jacuzzi est ouverte, il a dû se laver dans le bain bouillonnant nous laissant avoir un dernier rapport.
Je l’aimerais presque ce grand garçon, pas pour la sucette, mais pour le plaisir qu’il m’a donné en baisant et en enculant sa femme.
Si un jour, je me marie, aurais-je le courage de prêter la femme de ma vie à d’autres, je l’ignore comme j’ignore pourquoi ils en sont arrivés là.
Mes affaires sont posées sur le lit comme ceux de sa femme, tailleur gris qui doit lui donner un aspect respectable de traductrice alors que lui dirige une centrale atomique.
• Allons déjeuner.
Nous reprenons l’ascenseur quittant pour moi certainement définitivement ce genre de chambre de haut luxe.
À moins de gagner au loto, je vois mal, comment je pourrais revenir dans une telle chambre.
Pour aller déjeuner, nous passons non loin de la réception.
La jeune femme que j’ai vue hier et dont j’ai eu peur qu’elle me fasse quitter ce lieu dans la tenue d’été que j’ai remise est absente remplacée par une belle rousse dans la même tenue.
Comme hier, elle me voit et semble avoir envie de m’apostropher, mais nous entrons dans la salle des petits déjeuners et je me concentre sur les croissants odorants et le café que je me fais servir.
Ayant fini, Fujiko parle à sa femme pendant que j’ingurgite mon sixième croissant et ma deuxième tasse de café.
Baiser toute la nuit une jolie petite salope comme ma voisine à qui à ce moment tous dans cette pièce doivent donner le bon dieu sans confession, vu la raideur de son corps buvant une tasse de thé.
Dire qu’il y a une demi-heure, il se tordait sur ma bite dans la douche, certaines femmes savent avoir des postures différentes.
Fujiko se lève et quitte la pièce.
• Il va à la réception payer notre note, nous avons une limousine avec chauffeur qui va nous conduire à notre jet, veux-tu nous accompagner, le chauffeur pourra te ramener et ça nous permettra de rester quelques minutes encore ensemble.
• Orly ou Roissy ?
• Non, nous louons les services d’une compagnie de jet privé et nous repartons comme nous sommes arrivées de l’aéroport de Vélizy-Villacoublay, c’est là que notre limousine va nous conduire.
Ça nous permettra d’être un peu plus longtemps ensemble.
• Si votre chauffeur me ramène ici, alors d’accord.
C’est à ce moment que Fujiko revient de la réception.
Il me tend quelques billets, je suis à deux doigts de me mettre en colère.
• Prends, Christian, c’est le reste des billets pour les pourboires que nous donnons tous au long de notre séjour !
Fujiko a gardé ce qu’il faut pour le bagagiste et le chauffeur de la limousine.
Si nous les ramenons au Japon, il nous faudra retourner au bureau de change qui va nous en piquer une grosse somme au passage alors autant que ce soit toi qui en profites.
Fujiko m’a aussi dit que la petite réceptionniste voudrait te parler, va voir ce qu’elle te veut !
Je prends les billets, je les mets dans la poche de mon jean, maman m’a dit de remercier lorsque l’on me donne de l’argent sans regarder et je me rends à la réception.
• Vous avez demandé à me voir, mademoiselle !
Sur son uniforme, je vois qu’elle s’appelle Mathilde, comme je l’ai dit lorsque je l’ai vu à la sortie de l’ascenseur, elle est rousse.
De près, son visage est constellé de taches de rousseur, du plus bel effet.
• Oui, hier lorsque vous êtes arrivée, c’était Véronique qui était à ma place.
Lorsqu’elle m’a relevé ce matin, elle m’a dit qu’elle vous avait laissé passer, car vous étiez avec les Yakamoto, ce couple japonais avec lequel vous avez passé la nuit et avec qui vous venez de déjeuner.
Elle a été surprise que ce couple ramène une escorte le dernier jour de leur séjour.
Si vous saviez la somme que le mari vient de nous laisser, vous comprendriez qu’elle vous a laissé monter dans la tenue que vous portiez !
Elle m’a dit de vous demander votre numéro de portable, si vous en avez un.
Il arrive fréquemment que des clients ou clientes nous demandent une escorte d’accompagnement, nous avions un jeune homme que nous appelions dans ces cas précis.
Il s’est marié et a quitté votre métier, sa femme étant jalouse, si vous êtes d’accord et si nous avons des demandes, nous vous appellerons.
Pour le standing de l’hôtel, il vous faudra vous vêtir d’un costume avec chemise blanche et chaussure, Italienne si possible.
Je vois là la chance de ma vie, je donne à Mathilde mon numéro lui certifiant que si ça paye bien, j’accepte, même si au fond de moi si je deviens l’escorte de ce palace, je vais devenir une pute.
• Voilà mon numéro, appelez dès que vous aurez besoin de moi.
Je retourne vers mes amis, je sens que ma vie vient de basculer, pour le costume, je sais ou je vais m’adresser.
• Que te voulait-elle ?
• Elle croyait me connaître, mais c’était une erreur.
Pourquoi en dire plus, dans quelques heures, ils seront partis et ce que deviendra ma vie après leur départ c’est moi que cela regarde, ils auront simplement participé à me mettre le pied à l’étrier ?
Nous quittons l’hôtel, le bagagiste fini de charger les affaires certainement principalement ceux de madame, Fujiko lui donne une coupure, j’ai le temps de voir le chiffre de 100 €.
Combien ai-je de ces billets de 100 dans ma poche, deux, trois, j’ai eu le temps de sentir qu’ils y en avaient plusieurs.
Le chauffeur de cette voiture très longue tient la portière arrière ouverte, Fujiko monte, elle me fait m’assoir au milieu et monte à son tour.
Les vitres sont teintées et une vitre de séparation nous sépare du chauffeur.
Il y a une autre banquette en face de celle où nous sommes assis.
Il y a des embouteillages et je sens la main de Kiriko se poser sur mon jean.
Elle sort ma bite, insatiable cette petite Asiatique, surtout quand sa bouche et sa langue commence à me lécher.
Elle relève la tête me libérant et c’est Fujiko, du moins sa bouche qui prend possession de moi.
Je devrais me rebeller, mais c’est ma main qui vient se poser sur la tête de celui qui m’a prêté sa femme et qui guide sa fellation.
Je bande malgré que ce soit un homme, mais partageur jusqu’au bout, il relève la tête ouvre le bar et se sert un whisky.
C’est Kiriko qui boit ma semence, lorsque j’éjacule au fond de sa gorge.
Elle s’en lèche les babines et me nettoie avec sa jolie petite bouche.
• Christian lorsque tu étais à la réception, nous avons discuté avec Fujiko, l’année prochaine pour juillet et aout, nous souhaiterions te recevoir à Tokyo, je te ferais visiter notre pays et ses valeurs ancestrales.
Tous frais payés, il va de soi.
La dernière semaine, nous partirions ensemble au Canada comme nous l’avons déjà programmée, acceptes-tu, ça nous ferait plaisir !
Bien sûr que j’accepte voyager aux frais de la princesse, Japon, puis Canada avant un retour en France.
Qui refuserait comme j’ai accepté de donner mon numéro à la jeune Mathilde.
Je compte bien lui compter fleurette, j’aimerais bien voir les poils de sa chatte et si ce que l’on dit sur les odeurs poivrées des rousses est bien réel...
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