COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (5/5)
Une pute, moi qui pensais simplement partager Kiriko avec son mari Fujiko, en voyage à Paris.
Une pute lorsque je m’aperçois ce matin que pour la réception de l’hôtel où ils sont descendus, l’on me prend pour une escorte boy.
Ça se confirme lorsque Fujiko sous couvert de me laisser les euros en liquide me donne une liasse de billets, certainement deux ou trois si comme celui qu’il donne au bagagiste de 100 € doit représenter une somme intéressante.
Nous arrivons, la limousine entre directement jusqu’au pied de l’avion, un petit jet pour un nombre réduit de voyageurs.
Le chauffeur comme au moment où il nous a fait monter, ouvre la porte, je vois ses yeux se baisser, je suis à deux doigts de lui faire une réflexion.
Je sais que Kiriko se balade la chatte à l’air et je me sens le droit d’être le seul avec son mari à le savoir et surtout à l’admirer.
Deviendrais-je jaloux d’un simple regarde comme si Kiriko m’appartenait !
Comme elle me l’a dit, Fujiko met un billet dans sa main alors que des employés chargent les bagages dans les soutes.
En même temps, il doit lui parler en anglais, je vais devoir prendre des cours accélérés si je veux servir un max des clients comme escortes boys.
J’entends, Julien, ce doit être le nom du chauffeur qui les a déplacés depuis plusieurs jours lors de leur séjour à Paris.
Nous arrivons au pied de la passerelle d’embarquement, Kiriko me prend dans ces bras et m’embrasse jusqu’au coin de mes lèvres.
• À bientôt au Japon, vient je te ferais découvrir mon pays, écrit-moi ton numéro sur ce petit carnet !
• Je te promets de venir, nous restons en contact grâce au numéro que je t’écris.
Mon numéro devient primordial dans la nouvelle vie que je souhaite épouser.
Fujiko me prend à son tour dans ses grands bras, me broyant littéralement le dos.
Je les regarde monter, je recule jusqu’à la voiture, les turbines du jet sont déjà en service, il roule jusqu’à la piste de décollage.
Il fait son point fixe, petit, j’allais voir les avions à Orly avec mes parents et décolle dans un bruit de moteurs poussés à leurs maximum.
Je retourne à la limousine, voulant remonter à l’arrière.
• Je m’appelle Ernesto, monte à mes côtés, ce sera plus sympa, dépêche, il risque d’y avoir des embouteillages et je dois prendre des clients à l’hôtel Mercure à 12 heures.
Je monte et il démarre direction la sortie.
• Dis-moi, il y a longtemps que tu fais l’escorte, je connaissais ton prédécesseur, il était nettement plus stylé que toi ?
Qu’est-ce qu’ils ont tous à vouloir me prendre pour une pute ?
• Explique-moi, cette petite pute, elle t’a payé combien pour se faire tringler, comment tu t’appelles ?
• Christian, mais comment savez-vous que nous avons baisé ensemble avec son mari et pourquoi la traiter de salope ou de pute ?
• Tu vois cette vitre entre nous et mes clients, lorsqu’ils sont arrivés, ils ont voulu qu’elle soit ouverte.
Je peux te dire que cette petite salope a passé le chemin jusqu’à ce que je les laisse à l’hôtel dans l’axe de mon rétro.
J’ai eu le loisir de voir sa chatte épilée, dis-moi qu’elle a une toison et j’arrêterais de te poser des questions !
Maman a toujours dit que mentir, s’était mal, qui se tait, consent.
• Tu vois aussi cette vitre, il y a un micro pour que je puisse converser avec mes clients, il se coupe de leur côté.
Il est resté branché tous le long du parcours jusqu’à l’aéroport.
J’ai nettement entendu qu’elle te demandait que chacun leur tour, tu te laisses sucer, jusqu’au moment où elle a fini par déglutir, j’aurais voulu être à ta place.
Sucer son mec, j’espère qu’ils t’ont largement payé.
Je sors les billets de ma poche et je les déplie.
Merde, cinq de 500 et deux de 20, 2 540 €, pour de la monnaie de pourboire, ils m’ont payé certainement au tarif d’une pute sur la place de Paris.
Heureusement, nous arrivons, sans le moindre mot supplémentaire et je file chez moi analyser ce que je viens de vivre.
Au matin, je me réveille, j’ai dormi toute l’après-midi et toute la nuit, les émotions, ça creuse et de plus, il faut que je m’occupe de mon costume, comme je l’ai dit, je sais ou m’adresser.
Même s’ils ont a du fric, là encore maman m’a appris à être raisonnable, surtout que j’ignore combien réellement je serais payé pour faire l’escorte lorsque Véronique ou Mathilde vont m’appeler.
Un sandwich et je retourne à ma boîte que je venais de quitter lorsque Kiriko m’a interpellé sous couvert de chercher le musée Grévin.
Si je calcule bien, mon patron sera de retour dans la soirée, j’ai le temps de me rendre dans le bureau voire Sabrina sa femme.
• Christian, c’est toi, j’étais malheureuse de ce qui nous est arrivé l’autre après-midi, vient, mes règles sont passées, depuis je rêve que tu me baises !
Aussitôt dit aussitôt fait, elle veut du sexe, je lui en donne, je baisse mon jean et mon boxer et je la couche sur son bureau.
Sa chatte est dégoulinante, j’y rentre comme dans du beurre, encore une qui va apprécier le mâle qui la laboure à grands coups de sexe.
• Saligaud, je savais que cette salope me trompait avec quelqu’un dès que j’avais le dos tourné
C’est toi, Christian à qui j’étais prêt à tout donner puisque cette salope est incapable de me faire un mouflet, attend que je t’attrape.
Mon sperme dégouline encore, je viens de faire jouir Sabrina et de jouir moi-même lorsque le cocu est entré.
Nous jouons au chat et à la souris mon patron, homme obèse et moi entre les bureaux.
J’ai juste relevé mon boxer et mon jean, mais plus rapide que lui j’arrive à prendre la porte et sortir dans le couloir.
Je l’entends arriver à la porte, essoufflé, que je ferme alors que la clef est dessus, me sauvant de ses grosses paluches.
C’est à travers alors que je reboutonne mon pantalon que je l’entends crier.
• Fumier, tu es viré, tu peux toujours courir pour que je te paye tes droits, tu peux aller te faire voir ailleurs petit enculé.
Il tire sur la poignée risquant de l’arracher.
Je tourne les talons et je longe les costumes que les couturières ont terminés et que je devais livrer après mes vacances chez les divers grossistes qui les ont commandés.
Ils sont par tailles et couleurs, 42, un gris et un anthracite, ça suffira largement pour me payer ce que me doit le cocu que je viens de quitter.
En venant voir Sabrina, j’ignorais qu’elle était en état de baiser, mais de lui demander de m’offrir un costume sous couvert d’aller au mariage d’un cousin imaginaire.
Je retourne chez moi ou je les dépose avant de me rendre dans une boutique où des gens déposent des vêtements usagés, mais propres où j’achète trois chemises.
Deux blanches et une, bleu à ma taille ainsi qu’une paire de chaussures noire à l’Italienne.
Avec l’argent de Kiriko, j’aurais pu en acheter des neuves, mais une nouvelle fois je fais confiance à maman qui retournait les cols de chemise de mon père travaillant à la SNCF pour faire des économies.
Voilà, ça fait plusieurs mois que je suis devenu escorte, Véronique m’a appelé deux jours plus tard, une femme d’affaires voulait une escorte pour l’accompagner dans un grand restaurant.
Ironie du temps, elle venait d’Allemagne, elle parlait français, mais j’ai pu pratiquer l’Anglais que je prends grâce à des cours dans une société formant les gens à marche forcée.
D’ici mes prochaines vacances, je parlerais suffisamment pour avoir plus de travail.
Elle était mariée et à la base je devais seulement l’accompagner, mais lorsqu’elle m’a vu elle m’a couché dans son lit et j’ai joué mon rôle de mâle et surtout de Français.
En plus de l’Anglais, sauf lorsque je suis pris par mon travail, je vais à deux pas de mon nouveau logement dans une salle où je peaufine mes tablettes ce qui plait à ces dames.
Je vais être complet dans mes explications, si j’ai pu emménager dans un trois-pièces meublé, ironie du sort à peu de mètres de mon ancien travail, c’est aussi par ce que me donnent des hommes pour passer la soirée avec moi.
Sur le site d’escorte où je me suis inscrit, il est spécifié qu’avec eux, je refuse toute pénétration anale, même si moi je les encule allègrement.
Je viens de passer deux jours avec l’un d’eux, aussi gros que mon ancien patron qui m’a payé 5 000 € pour se faire pointer.
Encore une chose, pour être entièrement complet, dans ces deux jours, je l’ai sucé pendant qu’il en faisait de même et j’ai avalé son sperme comme l’a fait Kiriko avec moi dans la limousine.
Ernesto, je le vois de temps en temps quand nos clients l’engagent et moi aussi, nous sommes devenus les meilleurs amis au monde.
Julien aussi, vous vous souvenez le restaurateur où j’ai emmené Kiriko et Fujiko dîner avant de passer la nuit avec eux.
Ce qui m’a permis de gagner mes premiers euros, même si je suis persuadé que c’est autre chose qu’une pute qu’ils se sont payé.
Je vais y manger régulièrement avec différents clients ou amis.
Ce fut le cas avec Sabrina, mon ancienne patronne que je vois dès qu’elle est libre et qu’elle m’appelle avant de l’emmener dans mon chez-moi pour la baiser sans la faire payer, il va de soi.
Bien sûr, elle le fait dans le dos de son mari et moi ça me venge des indemnités qu’il a refusé de me payer.
J’envisageais de mettre dans mon lit Véronique et Mathilde, Véronique ça s’est fait.
C’est chez elle que ça s’est passé, une vraie chaude du cul, je suis à deux doigts de trouver, comment la laisser tomber, tellement elle me vide les couilles au détriment de mes clients ou clientes.
Le monde est petit et même improbable.
Mathilde vient de me joindre pour savoir si je pouvais escorter deux petites marocaines pendant cinq jours.
Marocaines, ça a éveillé mon intérêt, surtout lorsqu’elle m’a donné leur nom Wafae et Radia.
À ce qu’elle m’a dit, ce sont deux lesbiennes de la pire espèce désirant visiter Paris sans être importuné par les mâles parisiens.
J’aurais une chambre contiguë à la leur et tous les services de l’hôtel avec un défraiement bien conséquent pour mon compte en banque.
Gouine plus friquée, elles voulaient aussi un moyen de transport à leur disposition, j’ai conseillé Ernesto, il est libre et partant.
Je vais en salle développer mes plaquettes, je mets mon billet qu’avant la fin de leur séjour, de lesbiennes elles passeront au stade de bisexuelle.
Qui peut résister à la queue de Christian ?
Kiriko, elle est bien arrivée, j’ai demandé mon passeport, prochaine étape le Japon et des vacances que je rêve idyllique.
Dans la vie, il faut de la chance, mais surtout il faut savoir la saisir.
Une pute lorsque je m’aperçois ce matin que pour la réception de l’hôtel où ils sont descendus, l’on me prend pour une escorte boy.
Ça se confirme lorsque Fujiko sous couvert de me laisser les euros en liquide me donne une liasse de billets, certainement deux ou trois si comme celui qu’il donne au bagagiste de 100 € doit représenter une somme intéressante.
Nous arrivons, la limousine entre directement jusqu’au pied de l’avion, un petit jet pour un nombre réduit de voyageurs.
Le chauffeur comme au moment où il nous a fait monter, ouvre la porte, je vois ses yeux se baisser, je suis à deux doigts de lui faire une réflexion.
Je sais que Kiriko se balade la chatte à l’air et je me sens le droit d’être le seul avec son mari à le savoir et surtout à l’admirer.
Deviendrais-je jaloux d’un simple regarde comme si Kiriko m’appartenait !
Comme elle me l’a dit, Fujiko met un billet dans sa main alors que des employés chargent les bagages dans les soutes.
En même temps, il doit lui parler en anglais, je vais devoir prendre des cours accélérés si je veux servir un max des clients comme escortes boys.
J’entends, Julien, ce doit être le nom du chauffeur qui les a déplacés depuis plusieurs jours lors de leur séjour à Paris.
Nous arrivons au pied de la passerelle d’embarquement, Kiriko me prend dans ces bras et m’embrasse jusqu’au coin de mes lèvres.
• À bientôt au Japon, vient je te ferais découvrir mon pays, écrit-moi ton numéro sur ce petit carnet !
• Je te promets de venir, nous restons en contact grâce au numéro que je t’écris.
Mon numéro devient primordial dans la nouvelle vie que je souhaite épouser.
Fujiko me prend à son tour dans ses grands bras, me broyant littéralement le dos.
Je les regarde monter, je recule jusqu’à la voiture, les turbines du jet sont déjà en service, il roule jusqu’à la piste de décollage.
Il fait son point fixe, petit, j’allais voir les avions à Orly avec mes parents et décolle dans un bruit de moteurs poussés à leurs maximum.
Je retourne à la limousine, voulant remonter à l’arrière.
• Je m’appelle Ernesto, monte à mes côtés, ce sera plus sympa, dépêche, il risque d’y avoir des embouteillages et je dois prendre des clients à l’hôtel Mercure à 12 heures.
Je monte et il démarre direction la sortie.
• Dis-moi, il y a longtemps que tu fais l’escorte, je connaissais ton prédécesseur, il était nettement plus stylé que toi ?
Qu’est-ce qu’ils ont tous à vouloir me prendre pour une pute ?
• Explique-moi, cette petite pute, elle t’a payé combien pour se faire tringler, comment tu t’appelles ?
• Christian, mais comment savez-vous que nous avons baisé ensemble avec son mari et pourquoi la traiter de salope ou de pute ?
• Tu vois cette vitre entre nous et mes clients, lorsqu’ils sont arrivés, ils ont voulu qu’elle soit ouverte.
Je peux te dire que cette petite salope a passé le chemin jusqu’à ce que je les laisse à l’hôtel dans l’axe de mon rétro.
J’ai eu le loisir de voir sa chatte épilée, dis-moi qu’elle a une toison et j’arrêterais de te poser des questions !
Maman a toujours dit que mentir, s’était mal, qui se tait, consent.
• Tu vois aussi cette vitre, il y a un micro pour que je puisse converser avec mes clients, il se coupe de leur côté.
Il est resté branché tous le long du parcours jusqu’à l’aéroport.
J’ai nettement entendu qu’elle te demandait que chacun leur tour, tu te laisses sucer, jusqu’au moment où elle a fini par déglutir, j’aurais voulu être à ta place.
Sucer son mec, j’espère qu’ils t’ont largement payé.
Je sors les billets de ma poche et je les déplie.
Merde, cinq de 500 et deux de 20, 2 540 €, pour de la monnaie de pourboire, ils m’ont payé certainement au tarif d’une pute sur la place de Paris.
Heureusement, nous arrivons, sans le moindre mot supplémentaire et je file chez moi analyser ce que je viens de vivre.
Au matin, je me réveille, j’ai dormi toute l’après-midi et toute la nuit, les émotions, ça creuse et de plus, il faut que je m’occupe de mon costume, comme je l’ai dit, je sais ou m’adresser.
Même s’ils ont a du fric, là encore maman m’a appris à être raisonnable, surtout que j’ignore combien réellement je serais payé pour faire l’escorte lorsque Véronique ou Mathilde vont m’appeler.
Un sandwich et je retourne à ma boîte que je venais de quitter lorsque Kiriko m’a interpellé sous couvert de chercher le musée Grévin.
Si je calcule bien, mon patron sera de retour dans la soirée, j’ai le temps de me rendre dans le bureau voire Sabrina sa femme.
• Christian, c’est toi, j’étais malheureuse de ce qui nous est arrivé l’autre après-midi, vient, mes règles sont passées, depuis je rêve que tu me baises !
Aussitôt dit aussitôt fait, elle veut du sexe, je lui en donne, je baisse mon jean et mon boxer et je la couche sur son bureau.
Sa chatte est dégoulinante, j’y rentre comme dans du beurre, encore une qui va apprécier le mâle qui la laboure à grands coups de sexe.
• Saligaud, je savais que cette salope me trompait avec quelqu’un dès que j’avais le dos tourné
C’est toi, Christian à qui j’étais prêt à tout donner puisque cette salope est incapable de me faire un mouflet, attend que je t’attrape.
Mon sperme dégouline encore, je viens de faire jouir Sabrina et de jouir moi-même lorsque le cocu est entré.
Nous jouons au chat et à la souris mon patron, homme obèse et moi entre les bureaux.
J’ai juste relevé mon boxer et mon jean, mais plus rapide que lui j’arrive à prendre la porte et sortir dans le couloir.
Je l’entends arriver à la porte, essoufflé, que je ferme alors que la clef est dessus, me sauvant de ses grosses paluches.
C’est à travers alors que je reboutonne mon pantalon que je l’entends crier.
• Fumier, tu es viré, tu peux toujours courir pour que je te paye tes droits, tu peux aller te faire voir ailleurs petit enculé.
Il tire sur la poignée risquant de l’arracher.
Je tourne les talons et je longe les costumes que les couturières ont terminés et que je devais livrer après mes vacances chez les divers grossistes qui les ont commandés.
Ils sont par tailles et couleurs, 42, un gris et un anthracite, ça suffira largement pour me payer ce que me doit le cocu que je viens de quitter.
En venant voir Sabrina, j’ignorais qu’elle était en état de baiser, mais de lui demander de m’offrir un costume sous couvert d’aller au mariage d’un cousin imaginaire.
Je retourne chez moi ou je les dépose avant de me rendre dans une boutique où des gens déposent des vêtements usagés, mais propres où j’achète trois chemises.
Deux blanches et une, bleu à ma taille ainsi qu’une paire de chaussures noire à l’Italienne.
Avec l’argent de Kiriko, j’aurais pu en acheter des neuves, mais une nouvelle fois je fais confiance à maman qui retournait les cols de chemise de mon père travaillant à la SNCF pour faire des économies.
Voilà, ça fait plusieurs mois que je suis devenu escorte, Véronique m’a appelé deux jours plus tard, une femme d’affaires voulait une escorte pour l’accompagner dans un grand restaurant.
Ironie du temps, elle venait d’Allemagne, elle parlait français, mais j’ai pu pratiquer l’Anglais que je prends grâce à des cours dans une société formant les gens à marche forcée.
D’ici mes prochaines vacances, je parlerais suffisamment pour avoir plus de travail.
Elle était mariée et à la base je devais seulement l’accompagner, mais lorsqu’elle m’a vu elle m’a couché dans son lit et j’ai joué mon rôle de mâle et surtout de Français.
En plus de l’Anglais, sauf lorsque je suis pris par mon travail, je vais à deux pas de mon nouveau logement dans une salle où je peaufine mes tablettes ce qui plait à ces dames.
Je vais être complet dans mes explications, si j’ai pu emménager dans un trois-pièces meublé, ironie du sort à peu de mètres de mon ancien travail, c’est aussi par ce que me donnent des hommes pour passer la soirée avec moi.
Sur le site d’escorte où je me suis inscrit, il est spécifié qu’avec eux, je refuse toute pénétration anale, même si moi je les encule allègrement.
Je viens de passer deux jours avec l’un d’eux, aussi gros que mon ancien patron qui m’a payé 5 000 € pour se faire pointer.
Encore une chose, pour être entièrement complet, dans ces deux jours, je l’ai sucé pendant qu’il en faisait de même et j’ai avalé son sperme comme l’a fait Kiriko avec moi dans la limousine.
Ernesto, je le vois de temps en temps quand nos clients l’engagent et moi aussi, nous sommes devenus les meilleurs amis au monde.
Julien aussi, vous vous souvenez le restaurateur où j’ai emmené Kiriko et Fujiko dîner avant de passer la nuit avec eux.
Ce qui m’a permis de gagner mes premiers euros, même si je suis persuadé que c’est autre chose qu’une pute qu’ils se sont payé.
Je vais y manger régulièrement avec différents clients ou amis.
Ce fut le cas avec Sabrina, mon ancienne patronne que je vois dès qu’elle est libre et qu’elle m’appelle avant de l’emmener dans mon chez-moi pour la baiser sans la faire payer, il va de soi.
Bien sûr, elle le fait dans le dos de son mari et moi ça me venge des indemnités qu’il a refusé de me payer.
J’envisageais de mettre dans mon lit Véronique et Mathilde, Véronique ça s’est fait.
C’est chez elle que ça s’est passé, une vraie chaude du cul, je suis à deux doigts de trouver, comment la laisser tomber, tellement elle me vide les couilles au détriment de mes clients ou clientes.
Le monde est petit et même improbable.
Mathilde vient de me joindre pour savoir si je pouvais escorter deux petites marocaines pendant cinq jours.
Marocaines, ça a éveillé mon intérêt, surtout lorsqu’elle m’a donné leur nom Wafae et Radia.
À ce qu’elle m’a dit, ce sont deux lesbiennes de la pire espèce désirant visiter Paris sans être importuné par les mâles parisiens.
J’aurais une chambre contiguë à la leur et tous les services de l’hôtel avec un défraiement bien conséquent pour mon compte en banque.
Gouine plus friquée, elles voulaient aussi un moyen de transport à leur disposition, j’ai conseillé Ernesto, il est libre et partant.
Je vais en salle développer mes plaquettes, je mets mon billet qu’avant la fin de leur séjour, de lesbiennes elles passeront au stade de bisexuelle.
Qui peut résister à la queue de Christian ?
Kiriko, elle est bien arrivée, j’ai demandé mon passeport, prochaine étape le Japon et des vacances que je rêve idyllique.
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