COLLECTION ÉCHANGISME. Le chouchen (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Le chouchen (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Le chouchen (1/3)
Nous sommes quatre couples d’amis qui nous réunissons régulièrement une fois par mois en tout bien tout honneur.
Enfin pour nous, suivant notre moral.
Natalie et moi sommes devenus des libertins qui aiment pimenter nos soirées avec d’autres amis.
Hélas, parmi les couples que nous fréquentons, nous avons caché à trois d’entre eux les pratiques sexuelles que nous adorons.
Ceux que nous rencontrons dans un club d’une ville voisine nous aident à pratiquer l’échangisme.
Parmi eux, nous nous sommes interrogés si ces pratiques avaient pu les intéresser.
Le sexe, que nous dirions entre amis, c’est souvent difficile à détecter qui est pour et qui est contre.
Il serait dommage de perdre une amitié de longue date en parlant cul de manière maladroite.

Parmi ces amis, à certains regards, Natalie voudrait bien se faire baiser par Raoul, beau gosse d’origine andalouse.
Il est marié avec Marie à qui tous donnent le bon dieu sans confession, comme on a l’habitude de le dire.
Natalie passive, dans nos rapports, ignore comment baiser avec lui, pourtant elle sait mon accord bien sûr.
De mon côté, le genre, bonne sœur de Rosette, mariée avec Alexandre m’ayant montrés plusieurs fois que nous sommes très proches par la pensée, me donnent bien des envies.
Nous avons même une certaine complicité, répondant du tac au tac à notre humour.
Il est bien connu que faire rire une femme est gage de réussite pour la guider vers votre pieu.
La baiser en lui donnant un rendez-vous dans un endroit tranquille serait chose certainement facile, mais arriver à ce que ça se passe en la présence de Nathalie et d’Alexandre est là une tache plus ardue.

Pour satisfaire nos envies, nous allons certains jeudis dans une boîte échangiste d’Aix-les-bains où j’adore la voir se donner à des hommes ou des femmes au gré de nos rencontres.
Les hommes me laissent indifférent.
Certains soirs, si Madeleine la vieille salope est toujours là avec son vieux et qui adore ma présence, je pourrais continuer à la baiser.
Je lui ai fait plaisir lors d’unes de nos premières soirées.
J’ai des difficultés à trouver des femmes méritant que je les baise, je suis devenu un peu candaulisme.
J’adore voir Nat se faire prendre surtout en levrette, c’est sa position favorite, car elle considère que nos queues vont plus loin en elle.
Certains soirs, aucune chatte pouvant m’inspirer, je me masturbe à la regarder, quand ses amants lui font prendre son pied.
Je suis le seul qui est le droit de lui donner mon foutre à avaler.
C’est moi qui ai imposé qu’elle refuse que les hommes lors de nos ébats déversent leurs burnes dans sa bouche.
J’aurais du mal à l’embrasser dès que nous sommes rentrés chez nous.
Cette bouche ayant été remplie du sperme d’un autre, même si elle se lave les dents à notre retour, j’ignore pourquoi ça me pose problème.

Il y a un mois, c’est chez Sofian et Vanessa, couple d’instituteurs travaillant ensemble dans notre commune dans le massif des Bauges près d’Annecy que nous nous sommes réunis.
Deux mois en arrière Rosette et Alexandre propriétaire de la station-service étaient ceux qui nous recevaient.
Nous avons commencé à tisser notre toile pour éviter d’apparaître comme des soudards prêts à tous pour que nous baisions tous ensemble dans nos soirées.
Après le repas classique bien arrosé habituellement, mais toujours dans des limites raisonnables, nous leur avons soumis deux idées.
La première comme nous sommes tous les huit bizarrement de régions voire de pays différents pour Raoul espagnole et Marie portugaise d’apporter une ou plutôt plusieurs bouteilles de vin ou liqueurs de nos régions.
La deuxième, le couple recevant, devra organiser un jeu nouveau à chaque soirée.
Tous adhèrent avec entrain sans voir le piège que nous leur tendons.
Pour bloquer le coup, j’ajoute une règle.
Un des membres de ce couple est seul juge des ou du gagnant et si des gages sont à distribuer, c’est lui ou bien elles qui doivent le définir.
Les participants s’engagent à respecter leurs décisions sous peine d’être exclus de nos soirées.
Je vais même jusqu’à écrire ces règles sur la nappe en papier grâce à un stylo que j’avais préparé dans ma poche intérieure de veste.
J’ai déchiré ces règles sur la table que Vanessa avait préparée et je demande aux huit participants de signer.
Bien sûr, nous discussion qui gardera ce document pour le ressortir si l’un ou l’une se sentait en position de le contester.
Dans notre toile, ses petits détails ont été prévus après les remarques pertinentes de Natalie.
Nous arrivons à leur faire croire que c’est une idée qui a germé à la fin de notre beuverie.
Quant à qui le gardera là encore, tout est prêt dans notre plan.
La boutade que Marie entend depuis des mois sur son bon dieu lui donnant une certaine virginité, en fait, la gardienne toute désigner pour cette feuille.
Dans cette soirée, nous avons le droit à du Bordeaux pour Alexandre qui est toujours prompt à en faire l’éloge chaque fois qu’il ouvre une bouteille.
Vin de chez lui, comme il dit alors que Rosette originaire de Bourgogne plus spécifiquement de la côte chalonnaise où son père possède des vignes, finisse toujours par s’enguirlander, mais amicalement.
Ni l’un ni l’autre souhaitant reculer sur le meilleur terroir de France.
Un seul accord entre eux, le Beaujolais nouveau c’est de la merde mise en bouteilles en novembre chaque année et fêter le troisième jeudi de ce mois de novembre.
Pour mettre le bordel, j’aime ajouter qu’il y a de très bon Beaujolais, Saint Amour, Juliénas et autres Morgons restants des vins de garde.
Quant au jeu, ils se sont contentés de préparer un grand nombre de bouteilles sur la table.
Ils nous les font déguster à l’aveugle et le couple qui reconnaîtra le plus de vin d’un vignoble ou de l’autre gagnera six bouteilles de l’un et si bouteille de l’autre.
Résultat l’Espagne a gagné ce qui fait honte au Français et surtout à Rosette et Alexandre qui ont fini bons derniers.
Ils ont tenu à ouvrir une grande partie des bouteilles gagnées.
Par compte, tous dans la nuit, nous sommes rentrés dans nos différentes maisons à pied comme il se doit.
Nous nous sommes fait quelques ennemies dans les diverses maisons que nous avons longées en chantant à Tue-Tête « la digue du cul » ou « le curé de Camaret ».
Surtout par certaines bigotes qui ont mal prit la façon dont nous parlions de celui qu’elle rencontre tous les dimanches dans l’église municipale.
Pour nous, aucun problème, nous sommes tous profondément athées.
Dans nos soirées, les curés et la politique sont bannis.
Ce fut notre premier jeu au début de nos rencontres, 10 € chaque fois que l’un de nous entamait une discussion sur ces thèmes.
Sofian et Vanessa les instits purs produits des couilles de leurs parents descendant de mai 68 l’on comprit à leurs dépens.
Ils ont mis 90 € dans le cochon qui est sur la table et que Rosette doit garder précieusement comme le parchemin qui nous l’espérons avec Nat, va les faire tomber dans notre piège.
Là encore, le choix a été facile, car pour elle comme elle nous le dit, le bon dieu elle se le met sous la semelle de ses chaussures.
À ce jour, j’ignore combien d’argent il contient et à quoi ça va servir.
Ce que je sais, c’est que moi, j’ai mis 30 €, Natalie 10, il faut dire qu’elle prend rarement la parole surtout pour commencer des conversations.

Enfin, le grand jour arrive, c’est nous qui recevons.
Toute la journée, nous avons préparé des mets de choix que nous avons fait de vin tout simplement de Bretagne, le berceau de Natalie.
Nous mettons sur la table, un apéro bien connu des habitants des régions bretonnes, sournois comme seul ce breuvage peut l’être lorsqu’il est méconnu.
J’ai préparé un saladier façon sangria de chouchen dont voici la recette de ma maman.
Prenez, 2 kilos de sirop de miel, 0,5 litre d’eau, 1,5 litre de jus de pomme, de la levure et deux citrons.
Faites bouillir l’eau dans une casserole d’environ 8 litres, diluer le miel dans l’eau et portez à ébullition doucement en mélangeant.
Écumez la mousse en surface et laissez refroidir en couvrant la gamelle.
Préparez la levure en la diluant dans le jus de pomme et versez dans une bombonne avec le jus de citron et mélange miel et eau.
Votre chouchen est prêt, mais avant il reste une dernière étape.
Laissez les levures agirent et laisser la bonbonne trois mois dans un endroit à température.
Je m’y suis pris trop tard à cause du temps d’attente de la levure.
J’ai appelé mon cousin fabriquant de ce breuvage en Bretagne et il m’en a fait livrer une bonbonne par transporteur spécial.
Le saladier dans notre plan doit être mortel, car on pourra se servir à la louche ce breuvage très doux grâce au miel surtout pour les dames, toujours promptement à rechigner sur les alcools.
Il est sûr qu’elles en reprendront facilement.
C’est le père de Natalie lors de ma première visite qui m’a mis la honte.
C’est tout juste, si c’est à quatre pattes que j’ai rejoint notre lit, Natalie baisant déjà avec moi quand elle me les a présentés.
Il va sans le dire, que mes futurs beaux parents ont pu dormir tranquille cette nuit-là, car il m’a été impossible d’honorer leur fille.

Tous arrivent et Natalie les reçoit avec une petite robe sous laquelle je sais qu’elle a omis de mettre petite culotte et soutient lolos.
Je le sais, car dans nos jeux érotique sa chatte doit être toujours libre à la disposition de ma main et de mon sexe.
D’ailleurs, cette soumission que je lui impose, c’est le lendemain de la cuite infligé par son père que j’ai établi cette règle.
Chez ses parents j’avais constaté qu’elle aidait ma belle-mère à servir pour lui éviter de la fatigue.
Quel plaisir de lui passer la main entre ses fesses face à beau-papa ignorant que je suis en train de doigter sa fille.
Une fois, lors du dernier repas, c’est Tania, sa mère qui servait.
Par habitude, j’ai été à deux doigts de lui mettre une main au cul.
J’ignore et j’ignorerai toujours si Gustave aurait aimé l’attaque de sa femme devant leur fille et lui-même.
Et vient l’heure de l’apéritif.

• Mes amis, vous savez tous que Natalie, ma tendre épouse est bretonne.
Elle souhaite nous faire connaître plusieurs spécialités de sa région...

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