COLLECTION ÉCHANGISME. Le parking de super-marcher (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Le parking de super-marcher (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Le parking de super-marcher (2/2)
• Alors, on s’amuse bien.

Will, que fait-il là, il devrait être dans la piscine.
Pourquoi est-il dans l’encoignure de la porte-fenêtre, beau dans la lumière de cette fin de journée ?
Je me dégage de la verge qui me pourfend, alors que je suis à deux doigts de ma jouissance.

• Mon chéri, je vais t’expliquer.
• Que cette après-midi, tu t’es fait caresser par Thierry et que tu as fini par le sucer !
• Oh !
• Et ce soir, je te trouve appuyé sur ce plan de travail, après ta bouche la verge de notre ami dans ta chatte.
J’aimerais beaucoup entendre ton explication.
• Laisse tomber Sophie, mon plan a parfaitement fonctionné, bien venue dans notre cercle échangiste.

Si certaines personnes tombent d’une falaise, moi c’est d’un building de vingt étages quand je vois Anne venir nue s’appuyer la tête sur l’épaule de mon mari.
Sa chatte doit être en contact avec ses fesses.
Ça fait bander Will.
Elle s’avance vers moi, belle dans sa nudité.

• Viens, mon amie, je sais que tu as des sentiments pour moi comme j’en ai pour toi.

Depuis que je me suis réveillée dans ma voiture, la main de Thierry dans ma culotte et ses doigts dans ma chatte, j’ai dû rester en état second.
C’est certainement ça, je vais me réveiller, aller vers la piscine et retrouver Maud et Guy sagement assis auprès de la table que Thierry a préparée avec Annie avant notre arrivée.

« Si je devais me gouiner, ce serait avec Annie mon amie. »
Cette pensée lubrique me revient en mémoire alors qu’elle m’a pris la main et qu’elle m’entraîne vers les flots bleus qui nous tendent les mains.
La bombe, une magnifique bombe jusqu’à couler.
Le chlore, qui peut aimer, surement pas moi.
Je refais surface aidée par Annie et c’est sa bouche sur ma bouche qui m’aide à reprendre mon souffle.
On pourrait dire que ce bouche-à-bouche est fait pour revenir à la vie, mais sa main sur mon sein, la mienne sur le sien les fonds bandés, malgré la légère froidure de l’eau.
Une bite, une bouche autre que celle de Will qui nous rejoint et qui nous enlace toutes les deux.
Trois personnages, trois bouches qui passent de l’une à l’autre m’apportant un moment de quiétude.
La chute d’un corps à nos côtés, j’ai le temps de voir le noir de la peau de Thierry.
Une partie carrée, que nenni, il rejoint Maud qui se trouve prise en sandwich avec son homme.
Je sens Will nous quitter vite remplacé par Guy.
Échange de bons procédés, les partouzeurs veulent baiser avec les autres et éviter leur moitié.
C’est de bonne guerre et mes amis respectent la règle.
Je comprends qu’ils veulent que je joue alors je plonge pour prendre la verge de Guy dans ma bouche.
Je suis la reine des suceuses.

• Sortons Sophie.

C’est lorsque je sors ma tête pour reprendre mon souffle ceci avant que Guy me remplisse la bouche de son sperme qu’Annie me propose de rejoindre la pelouse très bien tondu par Thierry.
Au fond de moi j’avais envie de ce qui m’arrive malgré la petite pointe de jalousie quand mon œil enregistre Will qui ceinture Maud.
Mais Anne me fait franchir une étape quand nous nous écroulons sur sa pelouse et qu’elle m’entraîne la tête à la hauteur de sa chatte.
Le jeu m’amuse même si j’ai l’impression d’être tombée dans un piège.
Ma langue encore hésitante Anne est plus directe.
Serait-il possible que Maud et elle face ce que je finis par faire lorsque la pointe de ma langue suce son vagin ?
Salé comme la mienne, sa cyprine l’est tout autant.
Je sais, on se dit, comment je le sais ?
Ma jeunesse, jeunesse comme la plupart des jeunes filles quand votre vulve se modifie, que vos grandes lèvres se développent et que vous voyez des gouttes perler.
Vous les récupérez, mais vous avez un instant de recul, à 13 ans, tout vous fait peur, même si votre maman vous à fichu votre gifle quand en pleurs vous êtes venue lui montrer du sang.
Votre premier sang.
Alors aujourd’hui en gouttant ça vous sert.
Identique.
Je finis par y aller carrément, je passe du monde des hétéros à celui des bisexuelles surtout quand je suis prise par les hanches, Guy nous ayant suivis.
La désinvolture avec laquelle Will me traite depuis quelque temps, m’enlève tout scrupule surtout qu’il aurait pu faire un esclandre tout à l’heure dans la cuisine avec Thierry.
Tout ceci au moment où prise entre deux feux, je m’éclate.
Mon corps jusqu’à il y a peu réagissait aux étreintes de celui qui a fait de moi une femme et qui m’a offert mes enfants.
Je m’envole, le libertinage a du bon aussi.

• À table, les pizzas sont chaudes, vous continuerez vos galipettes plus tard, nous avons toute la soirée.
• Thierry dit plutôt la nuit.
Vous êtes les biens venus pour tout le week-end.
Pour la première fois, les supermarchés sont ouverts les dimanches matin.

Nous dînons, je suis à côté d’Anne en bout de table, Will à l’autre bout, à côté de Maud.
Une pointe de jalousie me saisit malgré ce que je viens de faire l’amour entre femme et homme.
Je tente de détendre l’atmosphère au dessert.

• Je peux vous poser une question, j’ai l’impression d’avoir sauté une étape de l’évolution de votre amitié pour arriver à votre libertinage.
• Nous nous attendions à cette question fort justifiée, Sophie.
À ta place, je me poserais des questions.

C’est Anne, me posant ma main sur ma cuisse qui me rassure qui prend la parole.

• Depuis plusieurs mois nous nous réunissons tous les premier samedi du mois à tour de rôle les uns chez les autres.
Il y a deux mois, c’était chez Maud et Guy que nous étions.

Maud se penche et me fait un petit signe de la main, elle semble gênée.

• J’étais absente, c’est vrai, mais ma migraine, je la subis chaque fois que je la ressens.
C’est de ma faute à double titre.
Ma migraine et Will que j’ai forcé à venir à la soirée.
• Oui, Sophie, avec Guy nous avions préparé une fondue au fromage.
• Sans le fil comme dans les bronzés.
• J’y avais pensé, mais au prix du fromage, j’ai reculé.
• Et vous connaissant, vous avez picolé du vin blanc.
• Exact et chaque fois que l’un de nous perdait son crouton, un gage lui était attribué.
• Will a perdu !
• Non, Maud.
• Ils m’ont fait monter sur la table pour que je fasse un strip-tease.
• Toi Maud si réservée, tu es montée.
• Tu sais que j’aime le vin blanc.
C’est là que Will a perdu le sien avant que je redescende de la table.
• Dit-moi qu’ils lui ont demandé de te rejoindre.
• Oui, mais c’est Guy qui lui a demandé.
Il avait envie de me voir me faire baiser, si ça avait été Thierry ça aurait été pareil.
• Comment pouvez-vous avoir pensé que cette après-midi j’allais m’endormir.

C’est Anne qui prend la parole à son tour.

• Cette aprème, ce fut un coup de chance de chercher une place à l’ombre le temps d’aller chercher les pizzas.
Nous avons vu ta voiture et j’ai vu que tu étais endormi.
Nous voulions que tu rejoignes ton mari dans nos ébats libertins.
Après l’avoir appelé sur son portable pour qu’il prenne son temps, Thierry a tenté le tout pour le tout.
• Et ce soir, il lui a suffi de m’emmener dans votre cuisine pour que Will face semblant de découvrir que je le trompe.
• Tu m’aurais trompé si j’avais été étranger à tout ce que tu as fait.
Mais là, Thierry avait mon consentement et a ce que je sache, tu as beaucoup apprécié ainsi que la bite de Guy sur la pelouse avant de dîner.

Voilà comment les choses se sont enclenchées, il y a six mois.
D’une fois tous les premiers samedis du mois, nous sommes passées à la quinzaine.
Dès que nos enfants ont été de retour, nous les réunissons chez l’un des trois couples avec un babysitteur que nous payons en commun.
C’est dans l’une des maisons libres que nous nous libérons de tous nos tabous.
Incroyable, dès le premier soir en revenant de chez Thierry et Anne, Will a arrêté la voiture dans le premier petit-bois près de chez nous.
Il nous était impossible d’attendre d’être chez nous pour qu’il me prenne comme une bête, empaler sur sa bite, le volant me barrant les reins.
Ça nous a rappelé nos vingt ans, mais à la place d’une C4 Picasso, s’était dans une 4 L que nous prenions notre plaisir.

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