COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2398 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 999 926 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 531 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Début de la saison III (7/9)
• Solange impeccable tu sais fister, j’aime cela plus que tout, chaque fois que tu le voudras tu me le feras.
C’est comme cela que je te montrerais que je suis ta petite chienne et que je te suis attachée.
Ces quelques mots sortis de sa bouche, je la replace dans le vagin d’Éliane, voir si les cascades sont terminées.
Ce qui est loin d’être le cas surtout quand je me relève que j’enjambe le canapé venant mettre ma propre chatte sur les lèvres d’Éliane.
La position semble inconfortable, mais quand Odile voyant comme je suis placée viens sans aucune pudeur me titiller l’anus de sa petite langue mise en pointe.
C’est Odile qui à son tour récolte mes sécrétions que je lui distille avec passion.
Si Odile est ma petite chienne que dire de nous trois réunis.
Salope, pute, chienne, grande cochonne les mots se bouscule, mais mon vocabulaire argotique pour définir les bacchanales que nous sommes devenues est très limité.
Je vais apprendre un nouveau jeu entre filles quand je libère Éliane qui est relâchée par Odile et qu’elle me fait asseoir sur la peau de bête ou mes fesses sentent l’éjaculation de femme fontaine.
Ces éjaculations de mon corps ont mouillé ce tapis et elle vient placer sa jolie petite moule en contacte de la mienne.
Nous arrivons à nous frotter dans un mouvement tournant.
Mon clito surdimensionné comme je l’ai dit apprécie le traitement.
C’est incroyable cette grande jouissance partant de mes reins à mon cerveau en passant par mon épine dorsale.
Ça me fait frissonner malgré la chaleur torride que nos jeux érotiques ont déclenchée dans la pièce.
Hélas le temps fil.
Éliane pour fêter la pause délirante ouvre une bouteille de champagne pour manger les petits toasts qu’elle a confectionnés comme elle l’avait fait hier.
C’est plus que légèrement pompette que nous la quittons retournant vers notre labeur certain que l’évolution des choses va changer notre comportement au travail.
Arrivé près de la boutique des fringues plus jeune que ce que je porte, je vois la propriétaire se baisser pour ouvrir sa porte en verre.
Nos regards se croisent et j’invite Odile à entrer.
• Viens m’aider à changer ma garde-robe.
• Et les clients, il est l’heure d’ouvrir.
• Au diable les clients, leur avion va les attendre, viens.
C’est comme cela un peu titubante que je la pousse à entrer.
• Bonjours mesdames que puis-je pour vous ?
• On aimerait voir des tenues pour madame les plus putes possible.
• Pute, c’est un grand mot, plus sexy que ce que je porte.
• Suivez-moi, je crois que j’ai deux modèles qui vont vous correspondre.
Dans chaque taille différente, j’ai les divers coloris.
• Avez-vous du 36 ?
• Odile soit sérieuse, j’ai 40 ans depuis quelques jours un 42 serais mieux adapté.
• Vous êtes magnifique, faites-vous du sport ?
Comment lui dire que j’ai horreur du moindre effort ?
• Oui, du sport en chambre.
Qu’est-ce que l’alcool peut faire dire comme bêtises?
Mais je suis contente de mon effet surtout par la réponse de notre interlocutrice !
• Moi aussi, mais il faut dire que, depuis deux mois, je suis chaste après que mon amie m’ait quitté.
• Votre copain est parti.
• Quelle horreur, non, Véronique m’a quittée lors de la gay Pride qui passait devant la boutique.
Elle a vu une sale gouine qui l’a subjuguée.
• Vous étiez lesbienne toutes les deux.
• Oui bien sûr, mais je l’aimais comme une midinette d’amour tendre.
Elle pour sa part celle avec laquelle elle est partie va lui apporter de la bestialité dans ses rapports sexuels.
J’ai eu le temps de voir que contrairement à moi, cette salope est une dominatrice.
Notre vendeuse semble d’un coup prendre de l’importance avec Odile qui la regarde comme un petit chien regarde sa nouvelle maîtresse.
La patronne seule dans la boutique me montre deux modèles qui correspondent à ce que je cherche.
Elle s’épanche quand je fais un mot facile sur le sport en chambre et nous avoue et son homosexualité et la misère de ses amours.
La jeune femme que j’ai devant moi est plus près de l’âge d’Odile que du mien.
Le regard qu’elle s’échange m’assure que quelque chose vient de se nouer entre elles.
J’essaye les vêtements qui me changent, mais qui correspondent à la femme que je suis en train de devenir.
Grâce à eux, je passe de l’état de future vieille rombière à la femme qui va s’assumer au renouveau de sa vie grâce à sa fille.
Chatte à l’air et sans soutien-gorge que je me montre devant ces deux femmes.
L’une a eu une vue plongeante sur l’intérieur de mon intimité quand nos chattes se sont données du plaisir.
• Ils seront encore abordables, mais ils vont devenir hors de prix quand-il aura entièrement pris son vol.
• Promis, je reviendrais avec Odile.
• Odile, quel joli prénom, moi c’est Adeline, habitez-vous dans le quartier ?
Tient, ces vrais ou habite Odile je dois l’avoir vue en remplissant son CDI, mais à ce moment là j’étais à mille lieues de penser que cela revêtait de l’importance.
• Non, j’aimerais bien, mais le salaire que je touche à l’agence de voyage de Simone malgré qu’il soit satisfaisant mon obligée à me déplacer vers le 93.
• Ma pauvre, choisissez des vêtements pour vous remonter le moral.
• Merci Adeline, mais même avec un loyer abordable les transports à payer m’obligent à m’habiller dans les super marchés.
En cherchant bien j’arrive à trouver quelques modèles acceptables.
• Quoi tu t’habilles avec du Chinois ou du Marocain, essaye ce modèle je te l’offre.
• J’ai peur de dire oui, cet ensemble est si beau et je vois que tu as l'œil.
Tu l’as sorti dans ma taille.
Sans parler de la couleur qui va très bien au teint d’Odile.
• Mais oui, je me disais bien vous avoir déjà vue, vous travaillez à l’agence à cinquante mètres d’ici !
• Oui, Simone est ma patronne et je suis son employée.
Tu permets pendant que nous essayons je surveille la boutique que nous aurions dû déjà ouvrir.
• Alors, faisons autrement, viens à 19 heures 30, je ferme à 20 heures et tu essayeras, plusieurs modèles.
Pour les retouches des modèles pour Solange je vais faire ce petit ourlet moi-même.
J’ai débuté dans le métier comme petite main chez un grand couturier qui m’a aidé à acquérir ma boutique.
Ce sera fait parfaitement et tu pourras lui donner demain.
C’est ainsi que je me fais expulser de leur cercle intime, car elle aurait pu me dire de venir moi-même récupérer mes vêtements.
C’est le portefeuille allégé de deux gros billets, que nous nous embrassons comme de vieilles copines avant de reprendre notre travail.
L’après-midi se finit vite.
Je sens, mon employée sur des charbons ardents.
Je m’écouterais, j’irais faire un tour sous ses jupes, je suis sûr qu’elle mouille.
Boutique fermée à 19 heures, Odile en attendant l’heure de son rendez-vous m’accompagne vers mon métro.
• Une table libre en terrasse de ce café, je t’offre un verre, la journée m’a donné soif.
J’accepte essayant de faire attention à ce que mon absence de culotte soit cachée des passants.
Un homme dans la cinquantaine costume impeccablement tailler, les cheveux poivre et sel, est assis à une table voisine.
Avec un regard d’un noir profond me regarde intensément.
J’ai du mal à suivre la conversation d’Odile qui extrapole son rendez-vous me confirmant qu'Adeline l'a subjuguée.
Il est l’heure de rentrer et à elle de retourner d’où nous sommes venues persuader que le 93 va l’attendre ce soir.
En me levant, je croise une dernière fois le regard de l’homme qui semble vouloir me dire quelque chose, mais certainement timide se ravise.
Dire qu’il y a peu, l’idée qu’un homme semble avoir envie de moi, aurait été loin de m’effleurer.
Un baiser sur les joues à l’entrée du métro et nous nous séparons satisfaits du moins pour moi de l’évolution de nos relations.
Dans le métro je joue les sardines dans leur boîte comme tous les soirs sans tomber sur une bite à masturber.
À la maison sur la table qui a vu mes ébats un mot est posé.
« J’ai essayé toute l’après-midi de te joindre à ton travail et sur ton portable impossible de t’avoir.
Apelle-moi dès ton retour. »
Je regarde mon portable, la batterie est déchargée.
Je suis tellement perturbée par le sexe que j’ai oublié de le mettre en charge.
Quant à la boutique, il est vrai que nous avons été connectés avec nos clients sans arrêt et il a été impossible que j’aie ses appels.
Je décroche notre ligne fixe, il répond.
• Que me voulais-tu ?
• Je pars pour le Qatar afin de reprendre le projet de la tour que nous construisons.
Il y a un problème avec les espaces verts incorporés dans l’intérieur.
Je serais de retour dimanche en fin d’après-midi.
J’ai pris des affaires dans l'armoire, bise.
L’armoire, il me faut dix minutes pour tout ranger.
Heureusement, que c’est le soir de la lessive et du ménage.
Ça me permet de me coucher assez fatiguer sans avoir besoin de m’occuper de ma chatte qui me laisse tranquille.
Le lendemain matin retour à l’agence où Odile vient d’arriver et que le baiser que je lui donne est moins chaleureux que ceux de la veille.
• Simone sais-tu ce qui m’arrive ?...
C’est comme cela que je te montrerais que je suis ta petite chienne et que je te suis attachée.
Ces quelques mots sortis de sa bouche, je la replace dans le vagin d’Éliane, voir si les cascades sont terminées.
Ce qui est loin d’être le cas surtout quand je me relève que j’enjambe le canapé venant mettre ma propre chatte sur les lèvres d’Éliane.
La position semble inconfortable, mais quand Odile voyant comme je suis placée viens sans aucune pudeur me titiller l’anus de sa petite langue mise en pointe.
C’est Odile qui à son tour récolte mes sécrétions que je lui distille avec passion.
Si Odile est ma petite chienne que dire de nous trois réunis.
Salope, pute, chienne, grande cochonne les mots se bouscule, mais mon vocabulaire argotique pour définir les bacchanales que nous sommes devenues est très limité.
Je vais apprendre un nouveau jeu entre filles quand je libère Éliane qui est relâchée par Odile et qu’elle me fait asseoir sur la peau de bête ou mes fesses sentent l’éjaculation de femme fontaine.
Ces éjaculations de mon corps ont mouillé ce tapis et elle vient placer sa jolie petite moule en contacte de la mienne.
Nous arrivons à nous frotter dans un mouvement tournant.
Mon clito surdimensionné comme je l’ai dit apprécie le traitement.
C’est incroyable cette grande jouissance partant de mes reins à mon cerveau en passant par mon épine dorsale.
Ça me fait frissonner malgré la chaleur torride que nos jeux érotiques ont déclenchée dans la pièce.
Hélas le temps fil.
Éliane pour fêter la pause délirante ouvre une bouteille de champagne pour manger les petits toasts qu’elle a confectionnés comme elle l’avait fait hier.
C’est plus que légèrement pompette que nous la quittons retournant vers notre labeur certain que l’évolution des choses va changer notre comportement au travail.
Arrivé près de la boutique des fringues plus jeune que ce que je porte, je vois la propriétaire se baisser pour ouvrir sa porte en verre.
Nos regards se croisent et j’invite Odile à entrer.
• Viens m’aider à changer ma garde-robe.
• Et les clients, il est l’heure d’ouvrir.
• Au diable les clients, leur avion va les attendre, viens.
C’est comme cela un peu titubante que je la pousse à entrer.
• Bonjours mesdames que puis-je pour vous ?
• On aimerait voir des tenues pour madame les plus putes possible.
• Pute, c’est un grand mot, plus sexy que ce que je porte.
• Suivez-moi, je crois que j’ai deux modèles qui vont vous correspondre.
Dans chaque taille différente, j’ai les divers coloris.
• Avez-vous du 36 ?
• Odile soit sérieuse, j’ai 40 ans depuis quelques jours un 42 serais mieux adapté.
• Vous êtes magnifique, faites-vous du sport ?
Comment lui dire que j’ai horreur du moindre effort ?
• Oui, du sport en chambre.
Qu’est-ce que l’alcool peut faire dire comme bêtises?
Mais je suis contente de mon effet surtout par la réponse de notre interlocutrice !
• Moi aussi, mais il faut dire que, depuis deux mois, je suis chaste après que mon amie m’ait quitté.
• Votre copain est parti.
• Quelle horreur, non, Véronique m’a quittée lors de la gay Pride qui passait devant la boutique.
Elle a vu une sale gouine qui l’a subjuguée.
• Vous étiez lesbienne toutes les deux.
• Oui bien sûr, mais je l’aimais comme une midinette d’amour tendre.
Elle pour sa part celle avec laquelle elle est partie va lui apporter de la bestialité dans ses rapports sexuels.
J’ai eu le temps de voir que contrairement à moi, cette salope est une dominatrice.
Notre vendeuse semble d’un coup prendre de l’importance avec Odile qui la regarde comme un petit chien regarde sa nouvelle maîtresse.
La patronne seule dans la boutique me montre deux modèles qui correspondent à ce que je cherche.
Elle s’épanche quand je fais un mot facile sur le sport en chambre et nous avoue et son homosexualité et la misère de ses amours.
La jeune femme que j’ai devant moi est plus près de l’âge d’Odile que du mien.
Le regard qu’elle s’échange m’assure que quelque chose vient de se nouer entre elles.
J’essaye les vêtements qui me changent, mais qui correspondent à la femme que je suis en train de devenir.
Grâce à eux, je passe de l’état de future vieille rombière à la femme qui va s’assumer au renouveau de sa vie grâce à sa fille.
Chatte à l’air et sans soutien-gorge que je me montre devant ces deux femmes.
L’une a eu une vue plongeante sur l’intérieur de mon intimité quand nos chattes se sont données du plaisir.
• Ils seront encore abordables, mais ils vont devenir hors de prix quand-il aura entièrement pris son vol.
• Promis, je reviendrais avec Odile.
• Odile, quel joli prénom, moi c’est Adeline, habitez-vous dans le quartier ?
Tient, ces vrais ou habite Odile je dois l’avoir vue en remplissant son CDI, mais à ce moment là j’étais à mille lieues de penser que cela revêtait de l’importance.
• Non, j’aimerais bien, mais le salaire que je touche à l’agence de voyage de Simone malgré qu’il soit satisfaisant mon obligée à me déplacer vers le 93.
• Ma pauvre, choisissez des vêtements pour vous remonter le moral.
• Merci Adeline, mais même avec un loyer abordable les transports à payer m’obligent à m’habiller dans les super marchés.
En cherchant bien j’arrive à trouver quelques modèles acceptables.
• Quoi tu t’habilles avec du Chinois ou du Marocain, essaye ce modèle je te l’offre.
• J’ai peur de dire oui, cet ensemble est si beau et je vois que tu as l'œil.
Tu l’as sorti dans ma taille.
Sans parler de la couleur qui va très bien au teint d’Odile.
• Mais oui, je me disais bien vous avoir déjà vue, vous travaillez à l’agence à cinquante mètres d’ici !
• Oui, Simone est ma patronne et je suis son employée.
Tu permets pendant que nous essayons je surveille la boutique que nous aurions dû déjà ouvrir.
• Alors, faisons autrement, viens à 19 heures 30, je ferme à 20 heures et tu essayeras, plusieurs modèles.
Pour les retouches des modèles pour Solange je vais faire ce petit ourlet moi-même.
J’ai débuté dans le métier comme petite main chez un grand couturier qui m’a aidé à acquérir ma boutique.
Ce sera fait parfaitement et tu pourras lui donner demain.
C’est ainsi que je me fais expulser de leur cercle intime, car elle aurait pu me dire de venir moi-même récupérer mes vêtements.
C’est le portefeuille allégé de deux gros billets, que nous nous embrassons comme de vieilles copines avant de reprendre notre travail.
L’après-midi se finit vite.
Je sens, mon employée sur des charbons ardents.
Je m’écouterais, j’irais faire un tour sous ses jupes, je suis sûr qu’elle mouille.
Boutique fermée à 19 heures, Odile en attendant l’heure de son rendez-vous m’accompagne vers mon métro.
• Une table libre en terrasse de ce café, je t’offre un verre, la journée m’a donné soif.
J’accepte essayant de faire attention à ce que mon absence de culotte soit cachée des passants.
Un homme dans la cinquantaine costume impeccablement tailler, les cheveux poivre et sel, est assis à une table voisine.
Avec un regard d’un noir profond me regarde intensément.
J’ai du mal à suivre la conversation d’Odile qui extrapole son rendez-vous me confirmant qu'Adeline l'a subjuguée.
Il est l’heure de rentrer et à elle de retourner d’où nous sommes venues persuader que le 93 va l’attendre ce soir.
En me levant, je croise une dernière fois le regard de l’homme qui semble vouloir me dire quelque chose, mais certainement timide se ravise.
Dire qu’il y a peu, l’idée qu’un homme semble avoir envie de moi, aurait été loin de m’effleurer.
Un baiser sur les joues à l’entrée du métro et nous nous séparons satisfaits du moins pour moi de l’évolution de nos relations.
Dans le métro je joue les sardines dans leur boîte comme tous les soirs sans tomber sur une bite à masturber.
À la maison sur la table qui a vu mes ébats un mot est posé.
« J’ai essayé toute l’après-midi de te joindre à ton travail et sur ton portable impossible de t’avoir.
Apelle-moi dès ton retour. »
Je regarde mon portable, la batterie est déchargée.
Je suis tellement perturbée par le sexe que j’ai oublié de le mettre en charge.
Quant à la boutique, il est vrai que nous avons été connectés avec nos clients sans arrêt et il a été impossible que j’aie ses appels.
Je décroche notre ligne fixe, il répond.
• Que me voulais-tu ?
• Je pars pour le Qatar afin de reprendre le projet de la tour que nous construisons.
Il y a un problème avec les espaces verts incorporés dans l’intérieur.
Je serais de retour dimanche en fin d’après-midi.
J’ai pris des affaires dans l'armoire, bise.
L’armoire, il me faut dix minutes pour tout ranger.
Heureusement, que c’est le soir de la lessive et du ménage.
Ça me permet de me coucher assez fatiguer sans avoir besoin de m’occuper de ma chatte qui me laisse tranquille.
Le lendemain matin retour à l’agence où Odile vient d’arriver et que le baiser que je lui donne est moins chaleureux que ceux de la veille.
• Simone sais-tu ce qui m’arrive ?...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...