COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Début de la saison IV (10/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Début de la saison IV (10/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Début de la saison IV (10/12)
Quel démon ma fille Julie a-t-elle fait entrer en moi ?
Comment une fille peut-elle avoir l’idée de faire cela à sa mère ?
Suivre cet homme dans sa chambre, même s’il est charmant et je dirais même galant.
Il est vrai qu’il joue sur les mots en me proposant de venir boire ce que l’on appelle un dernier verre, sans jamais me forcer plus que de raison.
J’ai l’âge de raison et je sais pertinemment le risque que je prenais.
C’est certainement comme l’on dit parce que j’ai jeté ma gourme qu’après l’avoir sucé allant même jusqu’à pratiquer un 69 que je me retrouve à écarter les cuisses.

Stéphane est attentif à mon plaisir et surtout au sien ayant certainement compris que je suis de celle qu’il cherchait en venant à Paris et en m’invitant.
Ai-je tellement changé depuis mon passage dans ce club échangiste qu’un homme en quête de femelles comme Stéphane l’ait senti ?
A-t-il pressenti que j’étais est prête à tout accepter d’un mari ou d’un amant.
Fini pour moi les remord.
Pour lui prouver, au moment où nos sexes se rejoignent et que ses mains empaument mes seins, j’approche cette bouche que je voulais préserver.
Le baiser que nous échangeons met à mal mes derniers scrupules.
Mes lèvres sur les siennes, ma langue sort de ma bouche et va rejoindre la sienne dans un baiser fougueux qui attise notre envie l’un de l’autre.
La présence de son sexe concrétise mon appartenance complète à cet homme pour le temps qu’il voudra de moi.

• Continu plus fort, voilà comme j’aime être prise, redonne-moi ta bouche que je hurle mon plaisir en toi par tous les côtés.

Il le fait et l’orgasme qu’il déclenche est bien différent de ceux que j’ai sentis sous les coups de boutoir du sexe gigantesque de Pedro.
Je suis à la limite de me dire que samedi Alain et Éliane pourront me faire retourner au club.
J’ai une verge à ma disposition dont je tiens à tirer la quintessence de ce qu’elle me propose en ce moment.
Un instant j’ai l’outrecuidance d’être un sexe et de vouloir rester sexuellement dépendante le plus longtemps possible.
C’est ma chatte qui pense pour moi laissant mon cerveau emmagasiner des images qui me seront utiles le restant de ma vie.
Ça me rappelle au premier temps des X sur Canal, j’avais déjà profité de l’absence d’Yves pour regarder le film du samedi minuit.
Yves avait pris cette chaine pour le foot, mais un peu honteuse, j’avais regardé l’histoire d’une femme ayant son clito au fond de sa chatte.
Moi, c’est un cerveau qui doit se trouver là depuis que ma fille m’a aidé à ouvrir les vannes des plaisirs adultérins.
J’espère qu’il en est de même pour lui au moment où je sens qu’il va craquer et se vider dans mon intimité au risque de me laisser sur ma faim le restant de la nuit.
C’est un cri de dépit qu’il pousse quand je me relève et que je viens me blottir dans ses bras bien carrés de deuxième ligne de rugby Yves étant d’un format plutôt trois quarts.
Deuxième ligne, talonneur, ailier, ce sont les seuls noms que j’ai retenus de l’explication, le jour du tournoi des six nations que mon cocu de mari a voulu me faire voir.
J’ai découvert leur sport le jour où mon époux a invité la moitié de son équipe à la maison pour suivre le match, contre l’Irlande, il y a quelques mois.
Le match fini, tous faisaient la gueule, les Français ayant pris la pâtée.

Ce jour-là, que se serait-il passé si sortant de ma cuisine pour leur servir un cassoulet, j’étais allée chercher dans mon armoire le petit tablier blanc.
Je m’en servais dans ma jeunesse le soir ou je faisais des extras pour un traiteur.
Si je l’avais mis après avoir enlevé tous mes vêtements, ce seraient-ils plus intéressés à moi qu’au match.
Comment se serait terminé l’après-midi, je crains une telle penser, je souhaite toujours avoir de telle pensée ?
Me serais-je retrouvée dans une grande mêlée dont j’aurais été le ballon que l’on essaye de chiper à l’autre.
Mes jambes seraient-elles devenues les poteaux de transformations de leurs verges et ma chatte le point à viser.
En ce moment, je suis le ballon unique réservé de Stéphane.
Il comprend que je veux plus de lui dans cette nuit magique.
Je le caresse du bout des doigts pendant qu’il me caresse divinement avec la pointe des siens.
Le sexe d’une femme est comme une bouche que l’on peut ouvrir ou fermer à satiété alors que le sang qui régit la turgescence de l’homme est loin d’être infini.
Même s’il reste tendu le mâle contrairement à sa femelle à qu’un seul but dans la chaîne humaine, saillir celle qu’il a séduit pour lui remplir le ventre.
C’est ainsi que depuis la nuit des temps au printemps les espèces se reproduisent.

Heureusement, chez les humains pour nous les femmes si l’on sait y faire quand cela semble fini, cela recommence.

• Embrasse-moi et met tes doigts plus au fond de moi, essaye de rentrer ta main dans ma chatteJ’ai vu une amie réussir à le faire, elle m’a dit régulièrement aimer être fistée, du moins c’est le mot qu’elle a employé.

Je veux tout tenter ce soir et c’est comme cela même au moment où son poignet hésite à entrer que je le saisis des deux mains et que je le fais franchir le passage.
J’ai la totalité de sa main en moi.
Je sens immédiatement que je pars, je vais m’évanouir mes yeux se révulsant.
Stéphane de son autre main me caresse le front me permettant de revenir vers lui et de profiter pleinement de cette main qu’il entre et qu’il sort de mon corps.
Sans le moindre problème, il déclenche en moi une nouvelle vague de plaisir que ma gorge a du mal à endiguer.
Les cris que je pousse doivent s’entendre dans les chambres voisines, ma bouche étant libre.
Je me fiche de leur sommeil ayant accepté de monter, sachant bien que la flûte de champagne serait les prémices des plaisirs que je prends.
Mais surtout ceux que je découvre depuis que j’ai accepté de libérer mon corps.
Quand on se séparera au matin, redeviendrais-je l’autre femme coincée du cul...

Si tout à l’heure à l’agence une cliente comme cela m’est arrivée deux fois me demande, un voyage vers des clubs libertins sans leur mari je les enverrai en Jamaïque.
Un jour l’une d’elles m’a dit y avoir été avec son amant.
Je me suis sentie offusquée de la demande ma boutique étant une agence respectable.
Lorsqu’elle est partie, j’ai interrogé Internet.
Les renseignements et ce genre d’hôtels existent dans ce pays.
Mieux, si Stéphane savait que ce genre de séjour existe et me proposait une semaine tout frais payés, je m’empresserais de lui dit, « banco. ».
Je suis devenue ce que je refusais d’être une femme adultère et j’aime être cette femme baignant dans le libertinage.
Le sexe de Stéphane au maxi, je me penche pour le replacer dans ma bouche, mais une nouvelle fois le voyant rouge est prêt à éclater.
Je sors sa main pour la sucer et la nettoyer de mes sécrétions faisant une nouvelle fois tomber la pression.
Je me retourne et je lui présente mon cul une jambe relevée pour qu’il me prenne.
C’est dans ma chatte qu’il se replace me frustrant de la sodomie que j’espérais me voir proposé.
Je glisse ma main et je sors sa queue pour le placer sur mon anus qui baille d’être pris.
Je sens mes petits muscles autour de sa circonférence crier famine ayant compris que mon cerveau avait décidé que c’est là que mon bordelais devait mettre sa verge.

• Non, la sodomie, je suis contre, c’est bestial.
• Alors range ton engin, raccompagne-moi.
J’aime me faire enculer et une nuit d’amour serait incomplète avec toi sans cette pratique sexuelle.
Tu es contre, car ta bourgeoise est contre, elle t’a conditionné.
• C’est vrai au début, j’ai essayé et j’ai reçu un tel avertissement que j’ai pris comme prétexte la bestialité de la chose.
• Alors, prends mon petit trou et vois, comment je vais te malaxer la verge, tu en redemanderas.

J’ai à peine fini ma phrase qu’il me pointe et que mon anus s’ouvre le laissant entrer jusqu’aux couillesHeureusement, que je l’ai persuadé de me sodomiser, c’est différent des pénétrations vaginales, mais bien que différant encore plus divin.
Je fais marcher mes sprinters et les bruits que sa bouche émet me montrent qu’il apprécie énormément, comme moi aussi, j’apprécie.
Je suis devenue une intégrale folle de mon cul.

• Simone que me fais-tu, on dirait qu’un calmar géant m’aspire la verge au fond de sa large bouche pour me dévorer.
Oui, mange la toute, tu auras été la maîtresse idéale que je cherchais.
J’ai eu de la chance de rencontrer une femme libérée de tous ces tabous.
Une femme entière.
Je vais pouvoir rentrer à Bordeaux et finir ma vie avec ton souvenir.

Pourquoi les hommes quand-il vous baise se sentent-ils obliger de commenter.
Je savoure cette sodomie prodiguée par une verge inconnue il y a peu, mais que j’ai plaisir à avoir découvert.
Une nouvelle fois je sens qu’il va remplir mon fondement aimant sentir les jets avec sa verge au plus profond de moi.
Après un dernier spasme de plaisir je le fais sortir et m’agenouillant comme une femme soumise à mon dieu phallus, je l’engame sans aucune répulsion.
C’est après de longues minutes de succions et léchages de cette verge qu’une nouvelle fois il explose dans ma bouche en gorge profonde.

Je finis par m’endormir repue de sexe et contente d’avoir rapidement pris l’initiative de nos ébats.
Au matin une soubrette nous apporte deux petits déjeuners que je dévore.
Le sport pratiqué cette nuit m’ayant ouvert l’appétit malgré les grandes quantités de spermes ingurgités.
Me servant de la verge que j’ai su maîtriser, je sens que je deviens une experte du sexe.
Mais ou vais-je m’arrêter...

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