COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Fin de l’histoire (13/13) - histoire érotique

Que de chemin parcouru depuis la première fois où Julie ma fille m’a contrainte de l’accompagner dans ce club échangiste où je vais une nouvelle fois goûter à des plaisirs défendus.
Défendu, car j’ai juré fidélité à Yves le père de cette fille qui m’a une nouvelle fois abandonné à mes débauches pour son travail au Qatar.
Entre sexe ,troisième mi-temps de rugby et voyages, je me sentais abandonné.

Femmes, hommes, depuis ce premier jour, mes maîtresse et amant se succèdent à un rythme effréné.
Mieux, ce sont nos amis Pedro, l’athlète du club, coqueluche de ces dames avec ses attributs hors du commun ainsi qu’Alain qui vont me servir d’apothéose à ce que ma vie future sera.
Alain, le mari de celle qui est devenue mon amie.
Je les entraine vers le jardin des plaisirs, lieu mythique pour moi, car c’est là que Pedro m’a aidé à déchirer mon contrat de fidélité.
Dès que la porte se referme, j’ôte mon paréo, qui je le sais d’avance, me porte chance.

• Messieurs, placez-vous que je puisse mettre vos verges dans ma bouche et vous faire bander pour que vous puissiez me prendre en double pénétration.

Une noire, une blanche, je lis la partition comme une virtuose du sexe que je suis devenue.
J’écris même un opéra alignant ces noires et ces blanches en les suçant tour à tour.
Je sens que je mouille comme jamais.
Dans mes ébats précédents, j’ai déjà dû dire ce genre de mot.
Là, c’est extraordinaire aussi lorsque Pedro s’allonge sur la pelouse, c’est avec frénésie que je l’introduis en moi.
Dans un même temps, je sens la boule plus forte que jamais s’installer au centre de mes entrailles.
C’est sans aucun scrupule que je lui donne mes lèvres, ma langue et enfin toute ma bouche dans un baiser qu’il y a peu je refusais.
Le moment arrive, je sens Alain se placer derrière moi ses jambes venant toucher mes flans, commençant à s’introduire.
Pedro bougeant sa verge, la sensation d’être ouverte en deux me fait partir vers la verrière ouverte du jardin des plaisirs.
Quand le premier orgasme me traverse, telle une louve hurlant à la lune, ma tête se redresse.
Je vois les fenêtres ouvertes me montrant que bon nombre de libertins participent à ma fête.
J’entends la porte claquer, quelqu’un est-il entré, je suis placé de dos les deux verges me dévastant au travers de mon périnée.
Julie avait raison, se faire prendre en double pénétration, quel pied.
Mais quand une autre verge se présente à votre bouche, vous savez qu’un troisième homme a décidé de venir vous honorer et de participer à votre fête.
Mes yeux s’écarquillent, je sens mes deux pourfendeurs m’interdire de me dégager et, et, et.
Je jouis, je jouis, je jouis.
Un orgasme sans fin traverse tout mon être en même temps que dans tous mes orifices des jets de spermes me remplissent.

• Alors ma chérie, contente de me voir ?
• Yves que fais-tu là, tu es revenue du Qatar !
Tu sais, c’est...
• Inutile de chercher des excuses ma chérie, je sais presque tout de ce que tu as fait.
Viens suit nous, j’aime venir dans ce petit Jacuzzi que j’ai placé au pied de cette petite fontaine.
• Yves, je vous laisse, vous avez bien des choses à vous dire.
Je vois aux fenêtres là-haut quelques jolies frimousses qui ont besoin de mes services.
• Je vais te suivre Pedro, Éliane m’attend.
• Merci mes amis, Solange, ce que je fais là, je gère avec Julie et toi je l’espère notre club libertin.

Quand nous nous assayons dans l’eau à température, la foudre venue de la verrière me serait tombée dessus, ça aurait été identique.

• Je suis venu faire des plans pour la rénovation de cet espace de plaisir.
J’ai fait la connaissance d’Éliane et Alain qui gérait ce club.
Ils rénovaient avant de vendre, car ils sont gérants de deux clubs.
Celui-ci ainsi qu’un autre dans la banlieue sud de Paris.
• Et tu as décidé de faire des échanges dans ton propre club.
• Tu te trompes, je dirige depuis la signature des papiers sans consommer.
Un jour où je passais tard, j’ai rencontré Julie qui était cliente du club et amie Éliane.
J’ai été surpris, mais je savais qu’elle était libre de sa vie.
• Tu as su qu’elle se prostituait en faisant l’escorte.

Yves éclate de rire.

• Elle a beaucoup d’imagination, elle t’a dit ça, c’est elle qui a eu l’idée de profiter de vos soirées pour te faire venir, quand elle m’a persuadé d’acheter.
Elle gère tout ce qui est matériel, bar, paréos, serviettes de toilettes et paye.

Mon mari me prend dans ses bras et je pose ma tête sur son épaule.
Sa main, autour de moi, lui permet de prendre mon sein dans sa main.
Même dans l’eau, je sens ma chatte mouiller.

• J’ai compris, tout ce que j’ai fait ici, c’était votre idée, même Éliane et Alain ont fait partie de votre plan !
• Oui, je sentais notre vie s’étioler, j’en avais assez de prendre des avions, des trains et des taxis.
J’ai mis en gérance mon travail de rénovation incluant des espaces verts comme ici.
Soit sans crainte, nous gagnions largement de quoi vivre et avec les loyers de ton agence, nous pourrons vivre heureux.

Je suis chaude, ma main plonge sous l’eau et trouve sa verge qui comme ma chatte en redemande.
Quand je pivote pour m’empaler, c’est avec délice que je retrouve la verge familiale.
À une fenêtre, une seule personne nous regarde, mon amie Éliane.
Un geste, la fenêtre se referme.

• C’est bon Solange, continue, ta chatte est divine.

La porte s’ouvre, notre amie dénoue son paréo et entre dans le Jacuzzi.
Je m’écarte de mon mari, je l’ai trompé, il faut qu’il en fasse de même.
J’ai pris conscience que notre couple était devenu bancal, j’ai baisé, lui non.
C’est moi qui prends sa verge et la plonge dans la chatte de cette belle salope qui m’a bien manœuvré.
Yves la fait jouir avant que nous rejoignions la pelouse où nous retrouvons dans un nouveau 69 alors que je vois la bite d’Yves aller et venir dans son vagin alors que je lui suce le clito.
Voilà je jouis une énième fois.
Voilà, j’ai un énième orgasme.


À la suite de toutes ces révélations, nous nous retrouvons tous devant ce que beaucoup appels le verre de l’amitié.
Je fais sauter les bouchons, finissant un peu pompette.
Julie décomptera tout ceci dans les frais généraux.
La nuit qui se finit lorsque nous fermons me permet de retrouver la tanière ou mon ours passait ses nuits lorsqu’il me faisait croire qu’il était à l’étranger.
Lit une place dans le bureau ou à midi, j’ouvre la fenêtre donnant sur le jardin des plaisirs.
Une femme nettoie l’espace, le service de nettoyage est à son travail.
Cette femme, la cinquantaine, sait-elle que sur la pelouse qu’elle foule et dans le Jacuzzi, j’ai pris mon plaisir au milieu de nombreux autres libertins.
Quand Yves vient me rejoindre, derrière moi, j’écarte mes cuisses pour qu’il entre en moi.
Une pensée lubrique me traverse.
Je ferme mes yeux, la femme sur la pelouse fait son travail nu.
Yves me fait jouir, ça me réveille, la femme sort du jardin qui se retrouve vide.

Quand je retrouve mon agence, je propose à Odile de gérer ma boutique ce qu’elle accepte.
Je peux travailler en famille tout en me donnant du bon temps quand des clients me plaisent.
Yves en fait de même, quant à Julie, elle s’absente de temps en temps, son père m’aurait-il caché certaines choses quand elle quitte notre appartement.
Ma fille est-elle réellement ce qu’elle avouait être.
En plus de notre club, est-elle une escorte internationale ?
Nous pendons la crémaillère de la boîte dans le même temps qu’elle s’offre un appartement cinq pièces donnant sur le bois de Boulogne.
J’ai une certaine idée, comment peut-elle financer tout ça, mais c’est sa vie alors que j’ai trouvé la plénitude dans la mienne.

Avant de retourner retrouver Pedro dans mon jardin, ce soir je dîne à deux pas du club de nos amis dans la banlieue sud .
Yves doit m’y retrouver.
Sylvain, mon ami Bordelais m’a téléphoné.
Suzette, son épouse à accepter toutes ses exigences.
Nous les attendons, ils montent en voiture.
Nous verrons ce soir si elle dit vrai lorsque comme moi pour la première fois elle s’aperçoit que le club que je pensais être un club de danse est un club libertin.

Une dernière chose, hier je suis allée régler des papiers avec Odile pour la gérance de ma boutique.
En regagnant le Boulevard Saint-Germain afin de trouver plus facilement un taxi, je suis tombée sur Radia la petite Marocaine un peu simplette au dire de Nouzha, sa sœur.
Elle nettoyait les baies vitrées.
Elle était seule avant la reprise du service du soir.
Elle m’a offert un thé.
Nous étions assises sur les tabourets du bar.
Ma robe remontait et je mouillais de voir qu’elle avait une vue imprenable sur ma féminité.
La coquine est loin d’être simplette, je dirais plutôt espiègle et nous avons rendez-vous mercredi prochain.
Je vais l’emmener à notre club sans le lui dore, mon pif me fait penser qu’elle prendra grand plaisir à se retrouver avec moi dans notre jardin des plaisirs.