COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde Fin de la saison II (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde Fin de la saison II (6/6)
C’est dans notre chambre après avoir pour la première fois baisé sur la table de cuisine avec Yves, mon mari que je m’apprête au sacrifice suprême, offrir mon anus à sa verge.
Après m’avoir passé sa langue sur ma chatte et surtout mon clito jusqu’à mon anus il me plante littéralement me faisant pousser un vrai cri de bête que l’on égorge.
Ayant déjà vidé ses couilles, une fois, il maltraite ma rosette, comme j’aime pendant de longues minutes.
Il la quitte avant de passer devant moi et de mettre sa pine maculer de toutes mes sécrétions dans ma bouche.
Je le suce de plus en plus experte, jusqu’à ce qu’il décharge son foutre au fond de ma gorge.
Je le pompe avidement.
Une vide couille, je suis devenue la vide couille de mon mari.
Je sens que dans les jours prochains mon sexe sera fou de plaisir et certainement dès demain avec Odile chez Éliane.
Éliane qui a bien raison de dire que quand on a goutté à tous ces plaisirs, il est difficile de s’en passer.
J’irais plus loin, il est impossible de s’en passer.
Pourtant samedi soir je reste persuadée que c’est à Beaubourg avec les insectes que je finirais la soirée.
Repus, je m’endors dans ses bras.
À partir de ce soir vu la façon dont il m’a fait voir qu’il m’aimait encore.
Je refuserais toutes sollicitations de verges qui m’amèneraient à le tromper en excluant les femmes.
Le matin nous sommes seuls à déjeuner, Julie semblant avoir trouvé un point de chute dans des bras accueillants.
Comme une midinette je pars à l’agence l’esprit serein et dans le métro j’affronte les obsédés étant, moi-même devenue une obsédée.
Il y a du monde et aucune place assise.
Je saisis avec ma main la barre centrale du wagon ou j’ai difficilement trouvé place quand je sens quelque chose de chaud me toucher.
Ayant des années de pratique du métro depuis ma jeunesse où j’allais au lycée dans ce type de moyen de transport, j’ai déjà senti des bites posées sur ma main placée à cette hauteur.
Ce matin après avoir pris la ligne 9 et avoir récupéré la 10 les stations défilent trop rapidement à mon goût quand j’empoigne ce morceau de chair et que je le masturbe lentement.
L’homme qui a sorti sa queue me regarde intensément jusqu’à ce qu’il éjacule montrant sur son visage le plaisir qu’il vient de prendre.
J’ai assez de place malgré la foule à cette heure pour voir ses giclées de sperme partir sur les fesses d’une petite brune descendant avec mon obsédé à la station suivante.
Il a rentré précipitamment son engin et je vois cette jeune femme remonter le quai alors que nous avons redémarré sans avoir senti les dégâts.
J’ignore où elle se rend, mais à son lieu d’arriver la surprise va être totale.
Descendu moi-même un débat s’engage en moi ouvert par d’autres depuis longtemps.
J’entends fréquemment que sucer, c’est tromper.
Est-ce que masturber un voyageur dans le métro à l’insu de mon plein gré, c’est tromper ?
Ai-je sans m’en rendre compte déjà trahit Yves avec un homme en le masturbant sans avoir cherché son sexe ?
J’ai fait de la philo étant jeune ayant même étudiée dans ce lieu où le métro me dépose.
La Sorbonne pour la nommer.
Ou j’étudiais les langues me permettant d’en parler plusieurs très utiles dans mon travail.
J’arrive devant l’agence où m’attend Odile toujours pimpante dans une tenue affriolante.
Comparée à moi portant une tenue austère, ma garde-robe est toute dans le même style.
Je suis bien décidée, dès que je le pourrais, de rafraîchir ma garde-robe dans une des petites boutiques non loin d’ici.
Pourtant, j’étais persuadé qu’il m’était impossible d’acheter le moindre des vêtements présenté en vitrine vu la jeunesse des coupes de vêtements proposés.
Nous entrons dans l’agence et passons dans la salle où nous nous faisons des cafés.
• Bonjour Solange j’ai rêvé de toi toute la nuit, je me suis bien masturbé avant de m’endormir.
La friponne, la langue qu’elle me donne et que je m’empresse d’attraper est très agréable dès le matin.
C’est naturellement que ma main empomme son sein très petit, mais avec une grosse fraise en guise de téton.
Je suis presque à la sucer quand elle me met la main à la chatte.
• Super comme moi tu es sans culotte, nos bureaux sont mal placés viens, on va les tourner.
Avant l’arrivée des clients, nous les disposons afin de nous faire face.
• Assieds-toi et écarte les cuisses, j’en fais autant.
Je sais que je suis une salope, mais là comme ma fille cette nouvelle génération de demoiselles libérées nous dépasse.
Je vois à un peu plus de trois mètres sa chatte épilée comme elle voit la mienne gardant ses poils.
Le plus dur, c’est lorsque je me suis assise, j’ai dû relever ma jupe de tailleur avant d’écarter mes cuisses pour lui montrer ma toison.
C’est Christine l’esthéticienne, de l’institut de beauté proche d’ici qui me la taille et où je vais régulièrement.
Le premier client intéressé par un voyage vers la Thaïlande entre et viens s’asseoir en face de moi.
Ça me cache le tableau idyllique que je retrouve quand le voyage signé le client quitte son siège.
Les quatre personnes dont une femme est loin de penser que dessous nos bureaux nos cuisses nous laissent entrevoir le plaisir que nous allons prendre chez Éliane à midi.
L’attente est longue et dans la matinée dans un des rares moments où nous sommes seules, je lui téléphone lui disant ces simples mots.
« À midi chez toi, j’aurais une surprise. »
Odile en entendant ce que je dis me regarde ayant très nettement compris que la surprise, c’était elle, ce qui semble lui plaire.
Une cliente entre pour nous déposer un chèque.
Dans son dos, elle m’envoie un baiser avec sa bouche en cul-de-poule.
Midi arrive enfin et contrairement à hier le dernier client sort ce qui nous laisse le temps après avoir satisfait un besoin naturel de faire une retouche à nos maquillages.
Discret pour moi plus voyant pour elle.
• Attends, je vais te mettre une touche de modernisme.
Elle cherche dans son sac et me met sur les lèvres un rouge qu’elle a choisi.
J’aurais évité d’acheter le même donnant à ma bouche l’impression que je suis une fille de joie.
• Tu crois que je vais pouvoir sortir ainsi, ce rouge est trop voyant • Certainement, mais il dessine divinement la forme de tes lèvres au point que si je le voulais je te l’enlèverais dans un baiser interminable.
Il faut y aller, je crois que tu as un cadeau à faire à quelqu’un, mais j’espère qu’un c’est une.
Porte fermée, comme hier, j’appuie sur le Dictaphone et la porte, but de nos plaisirs à venir, s’ouvre.
Toujours aussi nue Éliane nous attend et voyant Odile semble tout émoustillée.
• C’est loin d'être vrai, tu as déjà réussi !
• Oui, je suis son employé et nous en sommes à nous embrasser et moi à me masturber cette nuit en pensant à elle.
Je peux me déshabiller !
Solange dépêche-toi, fais-nous voir que tu es loin d’être timide.
À peine arrivée elle mène le bal de nos plaisirs.
Est-elle comme nous une femme fontaine qui va comme sait si bien le faire Éliane me remplir la bouche ?
Pour le moment, c’est la maîtresse de maison nous ayant aidé à enlever nos vêtements les posant sur des chaises de la salle, s’approche d’Odile.
Le canapé a été lavé de nos débordements d’hier afin d’éviter de l’abîmer.
J’ai une fraction de seconde l’impression d’être abandonné quand mes deux copines se prennent dans les bras pour faire connaissance.
Se gouiner à deux, comme hier, guidée par l’experte qu’est Éliane était facile.
Le fait à trois est un exercice difficile aussi alors qu’Odile ayant couché mon amie commence à la sucer, ces premiers grognements de plaisir montrent que les premières gouttes de liquide coulent et qu’elle semble les apprécier.
Je passe ma main entre les jambes d’Odile la pénétrant avec deux doigts.
Afin de faciliter mon passage, elle redresse sa jolie croupe très fine et je peux plonger divinement dans son sexe béant.
La position qu’elle a prise me permet de m’asseoir les fesses sur la peau de bête placé là devant le canapé, elle écarte les jambes.
Pendant qu’elle suce le clito de la maitresse de maison, je suce le sien allant même jusqu’à remettre mes doigts en elle.
Ma propre chatte a faim, elle aussi et c’est de ma main libre que je me masturbe faisant monter en moi ce plaisir tant recherché depuis que je me suis ouverte au sexe sous toutes ses formes.
Incroyable, je suce mon employée que je dois appeler maintenant ma petite maîtresse.
L’image de la masturbation dans le métro, du saligaud que j’ai encouragé en le masturbant me revient en mémoire.
Si le faite en ce moment de sucer Odile, c’est trompé, faire éjaculer cet homme, c’est tromper aussi.
Je viens de placer un nouveau gramme de luxure dans la balance de ma débauchée que je deviens de plus en plus.
Ambiguïté, je suis en pleine ambiguïté.
Chaque fois que j’ai un orgasme, le fléau s’incline vers les abimes et ses ténèbres, mais sans pour autant me freiner.
D’un coup Éliane envoie les grandes eaux qu’avale Odile avec délice, m’éclaboussant par la même occasion.
Je sais bien que nos corps sont faits d’eau, mais en expulser sur le visage de ma petite maîtresse avec autant de quantité, c’est incroyable.
Il va falloir à Éliane recommencer à cirer son canapé.
Les deux femmes sont au sommet de leur jouissance aussi, je profite de mon avantage en entrant ma main dans le sexe d’Odile qui semble apprécier avec facilité.
J’ai réussi à entrer malgré son jeune âge montrant certainement qu’avec son amante elle se faisait déjà fister de la sorte par cette main amie…
Voilà la saison II se termine sur ces amours lesbiens que semble apprécier de plus en plus Solange.
Son incertitude à tomber dans la débauche de ses plaisirs va nous montrer dans la saison III jusqu’à ou elle va s’accepter telle qu’elle est devenue par l’intermédiaire de sa fille.
Après m’avoir passé sa langue sur ma chatte et surtout mon clito jusqu’à mon anus il me plante littéralement me faisant pousser un vrai cri de bête que l’on égorge.
Ayant déjà vidé ses couilles, une fois, il maltraite ma rosette, comme j’aime pendant de longues minutes.
Il la quitte avant de passer devant moi et de mettre sa pine maculer de toutes mes sécrétions dans ma bouche.
Je le suce de plus en plus experte, jusqu’à ce qu’il décharge son foutre au fond de ma gorge.
Je le pompe avidement.
Une vide couille, je suis devenue la vide couille de mon mari.
Je sens que dans les jours prochains mon sexe sera fou de plaisir et certainement dès demain avec Odile chez Éliane.
Éliane qui a bien raison de dire que quand on a goutté à tous ces plaisirs, il est difficile de s’en passer.
J’irais plus loin, il est impossible de s’en passer.
Pourtant samedi soir je reste persuadée que c’est à Beaubourg avec les insectes que je finirais la soirée.
Repus, je m’endors dans ses bras.
À partir de ce soir vu la façon dont il m’a fait voir qu’il m’aimait encore.
Je refuserais toutes sollicitations de verges qui m’amèneraient à le tromper en excluant les femmes.
Le matin nous sommes seuls à déjeuner, Julie semblant avoir trouvé un point de chute dans des bras accueillants.
Comme une midinette je pars à l’agence l’esprit serein et dans le métro j’affronte les obsédés étant, moi-même devenue une obsédée.
Il y a du monde et aucune place assise.
Je saisis avec ma main la barre centrale du wagon ou j’ai difficilement trouvé place quand je sens quelque chose de chaud me toucher.
Ayant des années de pratique du métro depuis ma jeunesse où j’allais au lycée dans ce type de moyen de transport, j’ai déjà senti des bites posées sur ma main placée à cette hauteur.
Ce matin après avoir pris la ligne 9 et avoir récupéré la 10 les stations défilent trop rapidement à mon goût quand j’empoigne ce morceau de chair et que je le masturbe lentement.
L’homme qui a sorti sa queue me regarde intensément jusqu’à ce qu’il éjacule montrant sur son visage le plaisir qu’il vient de prendre.
J’ai assez de place malgré la foule à cette heure pour voir ses giclées de sperme partir sur les fesses d’une petite brune descendant avec mon obsédé à la station suivante.
Il a rentré précipitamment son engin et je vois cette jeune femme remonter le quai alors que nous avons redémarré sans avoir senti les dégâts.
J’ignore où elle se rend, mais à son lieu d’arriver la surprise va être totale.
Descendu moi-même un débat s’engage en moi ouvert par d’autres depuis longtemps.
J’entends fréquemment que sucer, c’est tromper.
Est-ce que masturber un voyageur dans le métro à l’insu de mon plein gré, c’est tromper ?
Ai-je sans m’en rendre compte déjà trahit Yves avec un homme en le masturbant sans avoir cherché son sexe ?
J’ai fait de la philo étant jeune ayant même étudiée dans ce lieu où le métro me dépose.
La Sorbonne pour la nommer.
Ou j’étudiais les langues me permettant d’en parler plusieurs très utiles dans mon travail.
J’arrive devant l’agence où m’attend Odile toujours pimpante dans une tenue affriolante.
Comparée à moi portant une tenue austère, ma garde-robe est toute dans le même style.
Je suis bien décidée, dès que je le pourrais, de rafraîchir ma garde-robe dans une des petites boutiques non loin d’ici.
Pourtant, j’étais persuadé qu’il m’était impossible d’acheter le moindre des vêtements présenté en vitrine vu la jeunesse des coupes de vêtements proposés.
Nous entrons dans l’agence et passons dans la salle où nous nous faisons des cafés.
• Bonjour Solange j’ai rêvé de toi toute la nuit, je me suis bien masturbé avant de m’endormir.
La friponne, la langue qu’elle me donne et que je m’empresse d’attraper est très agréable dès le matin.
C’est naturellement que ma main empomme son sein très petit, mais avec une grosse fraise en guise de téton.
Je suis presque à la sucer quand elle me met la main à la chatte.
• Super comme moi tu es sans culotte, nos bureaux sont mal placés viens, on va les tourner.
Avant l’arrivée des clients, nous les disposons afin de nous faire face.
• Assieds-toi et écarte les cuisses, j’en fais autant.
Je sais que je suis une salope, mais là comme ma fille cette nouvelle génération de demoiselles libérées nous dépasse.
Je vois à un peu plus de trois mètres sa chatte épilée comme elle voit la mienne gardant ses poils.
Le plus dur, c’est lorsque je me suis assise, j’ai dû relever ma jupe de tailleur avant d’écarter mes cuisses pour lui montrer ma toison.
C’est Christine l’esthéticienne, de l’institut de beauté proche d’ici qui me la taille et où je vais régulièrement.
Le premier client intéressé par un voyage vers la Thaïlande entre et viens s’asseoir en face de moi.
Ça me cache le tableau idyllique que je retrouve quand le voyage signé le client quitte son siège.
Les quatre personnes dont une femme est loin de penser que dessous nos bureaux nos cuisses nous laissent entrevoir le plaisir que nous allons prendre chez Éliane à midi.
L’attente est longue et dans la matinée dans un des rares moments où nous sommes seules, je lui téléphone lui disant ces simples mots.
« À midi chez toi, j’aurais une surprise. »
Odile en entendant ce que je dis me regarde ayant très nettement compris que la surprise, c’était elle, ce qui semble lui plaire.
Une cliente entre pour nous déposer un chèque.
Dans son dos, elle m’envoie un baiser avec sa bouche en cul-de-poule.
Midi arrive enfin et contrairement à hier le dernier client sort ce qui nous laisse le temps après avoir satisfait un besoin naturel de faire une retouche à nos maquillages.
Discret pour moi plus voyant pour elle.
• Attends, je vais te mettre une touche de modernisme.
Elle cherche dans son sac et me met sur les lèvres un rouge qu’elle a choisi.
J’aurais évité d’acheter le même donnant à ma bouche l’impression que je suis une fille de joie.
• Tu crois que je vais pouvoir sortir ainsi, ce rouge est trop voyant • Certainement, mais il dessine divinement la forme de tes lèvres au point que si je le voulais je te l’enlèverais dans un baiser interminable.
Il faut y aller, je crois que tu as un cadeau à faire à quelqu’un, mais j’espère qu’un c’est une.
Porte fermée, comme hier, j’appuie sur le Dictaphone et la porte, but de nos plaisirs à venir, s’ouvre.
Toujours aussi nue Éliane nous attend et voyant Odile semble tout émoustillée.
• C’est loin d'être vrai, tu as déjà réussi !
• Oui, je suis son employé et nous en sommes à nous embrasser et moi à me masturber cette nuit en pensant à elle.
Je peux me déshabiller !
Solange dépêche-toi, fais-nous voir que tu es loin d’être timide.
À peine arrivée elle mène le bal de nos plaisirs.
Est-elle comme nous une femme fontaine qui va comme sait si bien le faire Éliane me remplir la bouche ?
Pour le moment, c’est la maîtresse de maison nous ayant aidé à enlever nos vêtements les posant sur des chaises de la salle, s’approche d’Odile.
Le canapé a été lavé de nos débordements d’hier afin d’éviter de l’abîmer.
J’ai une fraction de seconde l’impression d’être abandonné quand mes deux copines se prennent dans les bras pour faire connaissance.
Se gouiner à deux, comme hier, guidée par l’experte qu’est Éliane était facile.
Le fait à trois est un exercice difficile aussi alors qu’Odile ayant couché mon amie commence à la sucer, ces premiers grognements de plaisir montrent que les premières gouttes de liquide coulent et qu’elle semble les apprécier.
Je passe ma main entre les jambes d’Odile la pénétrant avec deux doigts.
Afin de faciliter mon passage, elle redresse sa jolie croupe très fine et je peux plonger divinement dans son sexe béant.
La position qu’elle a prise me permet de m’asseoir les fesses sur la peau de bête placé là devant le canapé, elle écarte les jambes.
Pendant qu’elle suce le clito de la maitresse de maison, je suce le sien allant même jusqu’à remettre mes doigts en elle.
Ma propre chatte a faim, elle aussi et c’est de ma main libre que je me masturbe faisant monter en moi ce plaisir tant recherché depuis que je me suis ouverte au sexe sous toutes ses formes.
Incroyable, je suce mon employée que je dois appeler maintenant ma petite maîtresse.
L’image de la masturbation dans le métro, du saligaud que j’ai encouragé en le masturbant me revient en mémoire.
Si le faite en ce moment de sucer Odile, c’est trompé, faire éjaculer cet homme, c’est tromper aussi.
Je viens de placer un nouveau gramme de luxure dans la balance de ma débauchée que je deviens de plus en plus.
Ambiguïté, je suis en pleine ambiguïté.
Chaque fois que j’ai un orgasme, le fléau s’incline vers les abimes et ses ténèbres, mais sans pour autant me freiner.
D’un coup Éliane envoie les grandes eaux qu’avale Odile avec délice, m’éclaboussant par la même occasion.
Je sais bien que nos corps sont faits d’eau, mais en expulser sur le visage de ma petite maîtresse avec autant de quantité, c’est incroyable.
Il va falloir à Éliane recommencer à cirer son canapé.
Les deux femmes sont au sommet de leur jouissance aussi, je profite de mon avantage en entrant ma main dans le sexe d’Odile qui semble apprécier avec facilité.
J’ai réussi à entrer malgré son jeune âge montrant certainement qu’avec son amante elle se faisait déjà fister de la sorte par cette main amie…
Voilà la saison II se termine sur ces amours lesbiens que semble apprécier de plus en plus Solange.
Son incertitude à tomber dans la débauche de ses plaisirs va nous montrer dans la saison III jusqu’à ou elle va s’accepter telle qu’elle est devenue par l’intermédiaire de sa fille.
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