COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison I (1/3)
Il y aura certainement trois ou quatre saisons pour cette histoire.
Quarante ans aujourd’hui et mère d’une jeune fille Julie de 20 ans nés le même jour que le mien.
Depuis ses 16 ans nous avons pris l’habitude de fêter cet événement ensemble.
Ce soir nous, nous avons rivalisé pour être les plus séduisantes malgré notre différence d’âges.
Pour moi il est hors de question de faire des rencontres étant fidèle depuis mon mariage accéléré pour cause de grossesse inopinée.
C’est la seule fois où j’ai accepté de coucher avec Yves premier garçon de ma vie bien qu’il soit sorti de moi avant éjaculation un spermatozoïde fripon ayant pris de l’avance pour rencontrer l’un de mes ovules.
Yves a été correct et nous nous sommes mariés 7 mois et demi avant la naissance de Julie.
Je suis très heureuse, car sexuellement mon mari me fait jouir chaque fois que nous faisons l’amour et elles sont de nombreuses.
Certains jours nos jeux érotiques sont plus que des jeux d’amours.
Il sait pimenter ma vie mais jamais sans aller au-delà de l’intimité de notre couple.
Pour Julie, les choses en sont autrement.
C’est au cours du repas de ses seize ans qu’elle m’a demandé la pilule et depuis je la vois sortir tous les week-ends.
J’ai l’impression que ses amants outre d’être légion changent régulièrement pour éviter de dire chaque fois.
• Maman, tu connais notre convention, un an sur deux, nous choisissons notre soirée.
L’an passé s’est toi qui as choisi, tu m’as fait monter à la tour Eiffel où nous avons dîner au restaurant panoramique.
C’est année je nous ai concocté une petite soirée étonnante pour toi.
Convention oblige, j’accepte de la suivre dans cette nuit qu’elle m’a préparé.
Restaurant dans un petit bouchon comme il y en a tellement à Paris quand l’on sait chercher.
Menu sympathique avec des spécialités lyonnaises que j’apprécie particulièrement étant originaire de Saint-Chamond.
Yves aussi, c’est son travail qui nous a obligée à monter à la capitale deux mois après notre mariage.
Mon homme sentait-il que ma vie allait basculer, car quand je me prépare et après avoir pris ma douche, me rejoignant il me fait sucer sa queue longue et fine.
Ça me permet de la faire entrer dans ma bouche jusqu’à ses couilles.
Il m’attrape par les oreilles et dirige la vitesse à laquelle je le suce jusqu’à ce qu’il m’envoie ses traits de sperme que j’avale avec envie.
Généralement je l’appelle, « monsieur, frappe qu’un coup, » avant plusieurs heures mais là il sort de la douche le sexe toujours bandé et sans m’essuyer me prend par les cheveux me tirant jusqu’à notre lit.
Il me propulse me faisant mal au cuir chevelu mais un mal qui reste divin, car il me pénètre me faisant jouir deux fois avant un orgasme incroyable.
La violence, il l'a pratique de temps en temps dans nos échanges.
Au départ de nos relations, j’étais déboussolée, mais j’ai appris à aimer et même à en redemander car cette violence a toujours pour but de décupler mon plaisir.
Plaisir que j’ai pris de nombreuses fois et particulièrement aujourd’hui.
Non satisfait de me faire jouir, il me fait mettre en levrette et mon anus a le plaisir de le recevoir jusqu’au moment où il m’arrose de nouveau avec de longues éjaculations très étonnantes pour lui.
Le cul et la chatte cassée.
J’ai été à deux doigts d’appeler Julie pour reporter notre soirée.
Mais sachant qu’Yves a sa soirée rugby vétéran au PUC suivi de sa troisième mi-temps allant jusqu’au bout de la nuit, je suis contente de la perspective de cette soirée.
Les jambes flageolantes ayant du mal à reprendre place sur terre je me prépare et à 20 heures nous quittons la maison vers le restaurant réservé par Julie.
Charcuterie lyonnaise diverse dont de la rosette et du Jésus, saucisson brioché de Lyon, saint Marcellin et roulé au chocolat aux pralines rose arrosé avec une bouteille de Saint Amour 2009 qui me met en joie ayant le vin gai.
L’addition réglée par mademoiselle ma fille, c’est à pied qu’elle m’entraîne vers le lieu de la deuxième partie de soirée.
« Club privé ».
C’est ce que je vois au-dessus de la porte possédant un simple Juda en lettres fluo.
Je pense que c’est dans un cabaret que m’emmène ma fille.
La porte s’ouvre et c’est un immense black qui s’efface pour que nous entrions.
• Bonjour, mademoiselle Julie, vous avez amené une amie, amusez-vous bien !
• Merci Léon, on va se défouler comme d’habitude tu me connais.
C’est ainsi que nous franchissons un rideau rouge reçu par une belle femme en guêpière avec bas résille sur talons hauts qui comme pour Léon embrassent ma fille.
• De retour Julie, tu nous as manqué.
• Merci Mélanie la nature des femmes m’a obligé à m’isoler.
Pour un cabaret s’est étonnant surtout que dès que nous entrons je voie l’erreur que j’ai faite en acceptant d’entrer dans ce genre de lieu.
Au bar qui est devant moi, plusieurs couples sont là.
Les hommes ont une serviette autour du bas-ventre et les femmes s’entourent d’un paréo de couleurs différentes mais assez transparentes pour que j’aperçoive des intimités et des seins de toutes formes.
Un club libertin, c’est dans un club libertin que Julie semblant être très connue par le nombre d’hommes et de femmes qui viennent l’embrasser m’a entraîné.
• Julie, je pars, je suis fidèle à ton père, il est hors de question que je le trompe.
• Tu as promis, chacune choisie son type de soirée.
La tour Eiffel, c’était parfait, mais mon club, c’est mieux, reste au bar pour observer, mais viens dans le vestiaire te changer et passer ton paréo. Mélanie à l’entrée a eu la touche juste en t’en donnant un orange.
Cela relève ton teint de peau assez blanche.
Pour moi elle m’en a donné un bleu, car chaque fois que je viens et que je suis en bleu, je suis la reine de la soirée.
Incroyable Julie ma fille que je savais accro au sexe vu le turnover des hommes dans sa vie est une libertine qui s’assume.
Elle se met nue devant moi sans aucune pudeur, ce qui me pose un problème, car être dénudé devant mon enfant, c’est impensable.
Partir, c’est donné aux amies de Julie, le sentiment que je suis une femme fermée.
Alors, c’est sur un tabouret du bar que je m’assoie voyant mon entremetteuse franchir un deuxième rideau qu’il est impossible que je franchisse.
Je me fais servir une coupe de champagne et quand je demande combien je dois prête à aller chercher de l’argent au vestiaire la jolie barmaid métisse me fait une révélation.
• Vous êtes l’invité de Julie, elle paye tout, vous avez un crédit illimité.
Comme il est hors de question que je bouge je risque d’être pompette au moment où ma fille décidera de me ramener chez nous, même si je suis sûr de finir la nuit seule dans notre grand lit.
• Bonjour Solange, Julie m’envoie pour vous présenter mes hommages.
Pour me les présenter, il me les présente, la serviette négligemment nouée sur le devant me montre un sexe très noir d’un volume jamais vu pour moi.
Diamètre et longueur tout cela au repos montre l’ampleur de ce qu’une femme est capable de faire entrer en elle lorsqu’il sera en érection.
Je me prends à rêver que si j’avais décidé d’être infidèle, c’est sous le joug d’un tel engin que je souhaiterais céder.
J’aimerais juger si le dicton disant qu’il vaut mieux une petite vigoureuse à une grande fainéante est vrai ou pas.
• Je suis bien Solange bien que ce prénom fût dur à porter dans ma jeunesse, mais même si vous êtes un bel homme tout en muscle je reste là à l’attendre.
• Dommage j’aime les femmes de votre classe.
Il s’éloigne semblant gêné de mon refus, ce qui doit être rare dans ce lieu de débauche du moins pour moi.
Quelques minutes après ayant refusé trois invitations de deux hommes et d’un couple.
Surtout la femme me regardant avec une certaine gourmandise, je vois Julie revenir de derrière le rideau.
• Maman, tu refuses de jouer le jeu, comment peux-tu refuser l’invitation de Pedro, l’étalon black du club, toutes les femmes se l’arrachent.
Moi-même j’ai refusé d’aller passer un moment avec lui en arrivant alors que je l’adore te l’ayant réservée.
Vie un peu, éclate ton corps, tu vas être sèche avant l’heure et tu regretteras toute ta vie d’avoir refusé de passer un moment avec lui.
• Et ton père ?
• Ou est-il, que fait-il !
Crois-tu que comme tous les hommes si une jolie chatte passe à sa portée, il refusera de lui donner et se donner du plaisir ?
• Tu nous as entendus.
• Presque chaque fois que vous baisez, je t’entends crier de plaisir.
Écoute bien derrière ce rideau des femmes, comme toi, aimant leur mari s’envoie en l’air.
Tiens, tu entends, elle sait Agnès, la femme d’un médecin je la reconnaîtrais entre un millier de femmes.
Son chant par du fond de sa gorge pour finir au bord de ses lèvres dans un éclatement soudain et très long.
Bon, j’y retourne Stéphane, son mari m’attend il m’a promis de prendre soin de moi ce soir et j’ai dit oui, toi reste vieille fille à siroter ton champagne.
Par compte si tu le veux je te le prête !
Je dois reconnaître que ma propre fille m'ébranle. Comme un fait exprès Pedro repasse le rideau et viens vers moi.
• Alors belle enfant, on a réfléchi et l’on est prête à me suivre dans le jardin des plaisirs.
• Le jardin des plaisirs, ce jardin existe au sein de ce club.
• Bien sûr, l’architecte qui a dessiné cet espace est un adepte de l’amour dans les prés et il a conçu différents espaces pour que chacun de nous y trouve son centre d’intérêt et d’envie.
Viens !
C’est ainsi que sans avoir la force de lui résister lorsqu’il me prend la main dont j’aime la couleur voulant savoir ce que ressentent les femmes qui font l’amour avec un sexe de couleur.
Je saute de mon tabouret pour le suivre de l’autre côté du rideau.
Il semble si pressé de m’emmener que, de l’autre côté, j’ai juste le temps de voir ma fille dans un Jacuzzi d’intérieur aux mains de deux hommes qui semblent s’intéresser de près à son anatomie.
Pour notre part, je suis mon suborneur dans un couloir où au fond trois portes identiques s’offrent à nous.
Chacune équipée d’un boîtier comme un Digicode que Pedro utilise avant d’ouvrir la porte.
• Tu vois le bouton ouverture en bas, si un ou des couples utilisent cet espace sans vouloir être dérangé.
Il tape un code de quatre chiffes comme je viens de le faire empêchent d’autres personnes d’entrer.
Si l’on veut avoir de la visite et que tous profitent de l’espace mis à notre disposition, pas de code et le lieu est ouvert à tous.
J’ai tapé 69 69, nous serons seuls à pouvoir passer un moment.
C’est ainsi qu’il ouvre la porte et que je découvre le jardin des plaisirs…
Quarante ans aujourd’hui et mère d’une jeune fille Julie de 20 ans nés le même jour que le mien.
Depuis ses 16 ans nous avons pris l’habitude de fêter cet événement ensemble.
Ce soir nous, nous avons rivalisé pour être les plus séduisantes malgré notre différence d’âges.
Pour moi il est hors de question de faire des rencontres étant fidèle depuis mon mariage accéléré pour cause de grossesse inopinée.
C’est la seule fois où j’ai accepté de coucher avec Yves premier garçon de ma vie bien qu’il soit sorti de moi avant éjaculation un spermatozoïde fripon ayant pris de l’avance pour rencontrer l’un de mes ovules.
Yves a été correct et nous nous sommes mariés 7 mois et demi avant la naissance de Julie.
Je suis très heureuse, car sexuellement mon mari me fait jouir chaque fois que nous faisons l’amour et elles sont de nombreuses.
Certains jours nos jeux érotiques sont plus que des jeux d’amours.
Il sait pimenter ma vie mais jamais sans aller au-delà de l’intimité de notre couple.
Pour Julie, les choses en sont autrement.
C’est au cours du repas de ses seize ans qu’elle m’a demandé la pilule et depuis je la vois sortir tous les week-ends.
J’ai l’impression que ses amants outre d’être légion changent régulièrement pour éviter de dire chaque fois.
• Maman, tu connais notre convention, un an sur deux, nous choisissons notre soirée.
L’an passé s’est toi qui as choisi, tu m’as fait monter à la tour Eiffel où nous avons dîner au restaurant panoramique.
C’est année je nous ai concocté une petite soirée étonnante pour toi.
Convention oblige, j’accepte de la suivre dans cette nuit qu’elle m’a préparé.
Restaurant dans un petit bouchon comme il y en a tellement à Paris quand l’on sait chercher.
Menu sympathique avec des spécialités lyonnaises que j’apprécie particulièrement étant originaire de Saint-Chamond.
Yves aussi, c’est son travail qui nous a obligée à monter à la capitale deux mois après notre mariage.
Mon homme sentait-il que ma vie allait basculer, car quand je me prépare et après avoir pris ma douche, me rejoignant il me fait sucer sa queue longue et fine.
Ça me permet de la faire entrer dans ma bouche jusqu’à ses couilles.
Il m’attrape par les oreilles et dirige la vitesse à laquelle je le suce jusqu’à ce qu’il m’envoie ses traits de sperme que j’avale avec envie.
Généralement je l’appelle, « monsieur, frappe qu’un coup, » avant plusieurs heures mais là il sort de la douche le sexe toujours bandé et sans m’essuyer me prend par les cheveux me tirant jusqu’à notre lit.
Il me propulse me faisant mal au cuir chevelu mais un mal qui reste divin, car il me pénètre me faisant jouir deux fois avant un orgasme incroyable.
La violence, il l'a pratique de temps en temps dans nos échanges.
Au départ de nos relations, j’étais déboussolée, mais j’ai appris à aimer et même à en redemander car cette violence a toujours pour but de décupler mon plaisir.
Plaisir que j’ai pris de nombreuses fois et particulièrement aujourd’hui.
Non satisfait de me faire jouir, il me fait mettre en levrette et mon anus a le plaisir de le recevoir jusqu’au moment où il m’arrose de nouveau avec de longues éjaculations très étonnantes pour lui.
Le cul et la chatte cassée.
J’ai été à deux doigts d’appeler Julie pour reporter notre soirée.
Mais sachant qu’Yves a sa soirée rugby vétéran au PUC suivi de sa troisième mi-temps allant jusqu’au bout de la nuit, je suis contente de la perspective de cette soirée.
Les jambes flageolantes ayant du mal à reprendre place sur terre je me prépare et à 20 heures nous quittons la maison vers le restaurant réservé par Julie.
Charcuterie lyonnaise diverse dont de la rosette et du Jésus, saucisson brioché de Lyon, saint Marcellin et roulé au chocolat aux pralines rose arrosé avec une bouteille de Saint Amour 2009 qui me met en joie ayant le vin gai.
L’addition réglée par mademoiselle ma fille, c’est à pied qu’elle m’entraîne vers le lieu de la deuxième partie de soirée.
« Club privé ».
C’est ce que je vois au-dessus de la porte possédant un simple Juda en lettres fluo.
Je pense que c’est dans un cabaret que m’emmène ma fille.
La porte s’ouvre et c’est un immense black qui s’efface pour que nous entrions.
• Bonjour, mademoiselle Julie, vous avez amené une amie, amusez-vous bien !
• Merci Léon, on va se défouler comme d’habitude tu me connais.
C’est ainsi que nous franchissons un rideau rouge reçu par une belle femme en guêpière avec bas résille sur talons hauts qui comme pour Léon embrassent ma fille.
• De retour Julie, tu nous as manqué.
• Merci Mélanie la nature des femmes m’a obligé à m’isoler.
Pour un cabaret s’est étonnant surtout que dès que nous entrons je voie l’erreur que j’ai faite en acceptant d’entrer dans ce genre de lieu.
Au bar qui est devant moi, plusieurs couples sont là.
Les hommes ont une serviette autour du bas-ventre et les femmes s’entourent d’un paréo de couleurs différentes mais assez transparentes pour que j’aperçoive des intimités et des seins de toutes formes.
Un club libertin, c’est dans un club libertin que Julie semblant être très connue par le nombre d’hommes et de femmes qui viennent l’embrasser m’a entraîné.
• Julie, je pars, je suis fidèle à ton père, il est hors de question que je le trompe.
• Tu as promis, chacune choisie son type de soirée.
La tour Eiffel, c’était parfait, mais mon club, c’est mieux, reste au bar pour observer, mais viens dans le vestiaire te changer et passer ton paréo. Mélanie à l’entrée a eu la touche juste en t’en donnant un orange.
Cela relève ton teint de peau assez blanche.
Pour moi elle m’en a donné un bleu, car chaque fois que je viens et que je suis en bleu, je suis la reine de la soirée.
Incroyable Julie ma fille que je savais accro au sexe vu le turnover des hommes dans sa vie est une libertine qui s’assume.
Elle se met nue devant moi sans aucune pudeur, ce qui me pose un problème, car être dénudé devant mon enfant, c’est impensable.
Partir, c’est donné aux amies de Julie, le sentiment que je suis une femme fermée.
Alors, c’est sur un tabouret du bar que je m’assoie voyant mon entremetteuse franchir un deuxième rideau qu’il est impossible que je franchisse.
Je me fais servir une coupe de champagne et quand je demande combien je dois prête à aller chercher de l’argent au vestiaire la jolie barmaid métisse me fait une révélation.
• Vous êtes l’invité de Julie, elle paye tout, vous avez un crédit illimité.
Comme il est hors de question que je bouge je risque d’être pompette au moment où ma fille décidera de me ramener chez nous, même si je suis sûr de finir la nuit seule dans notre grand lit.
• Bonjour Solange, Julie m’envoie pour vous présenter mes hommages.
Pour me les présenter, il me les présente, la serviette négligemment nouée sur le devant me montre un sexe très noir d’un volume jamais vu pour moi.
Diamètre et longueur tout cela au repos montre l’ampleur de ce qu’une femme est capable de faire entrer en elle lorsqu’il sera en érection.
Je me prends à rêver que si j’avais décidé d’être infidèle, c’est sous le joug d’un tel engin que je souhaiterais céder.
J’aimerais juger si le dicton disant qu’il vaut mieux une petite vigoureuse à une grande fainéante est vrai ou pas.
• Je suis bien Solange bien que ce prénom fût dur à porter dans ma jeunesse, mais même si vous êtes un bel homme tout en muscle je reste là à l’attendre.
• Dommage j’aime les femmes de votre classe.
Il s’éloigne semblant gêné de mon refus, ce qui doit être rare dans ce lieu de débauche du moins pour moi.
Quelques minutes après ayant refusé trois invitations de deux hommes et d’un couple.
Surtout la femme me regardant avec une certaine gourmandise, je vois Julie revenir de derrière le rideau.
• Maman, tu refuses de jouer le jeu, comment peux-tu refuser l’invitation de Pedro, l’étalon black du club, toutes les femmes se l’arrachent.
Moi-même j’ai refusé d’aller passer un moment avec lui en arrivant alors que je l’adore te l’ayant réservée.
Vie un peu, éclate ton corps, tu vas être sèche avant l’heure et tu regretteras toute ta vie d’avoir refusé de passer un moment avec lui.
• Et ton père ?
• Ou est-il, que fait-il !
Crois-tu que comme tous les hommes si une jolie chatte passe à sa portée, il refusera de lui donner et se donner du plaisir ?
• Tu nous as entendus.
• Presque chaque fois que vous baisez, je t’entends crier de plaisir.
Écoute bien derrière ce rideau des femmes, comme toi, aimant leur mari s’envoie en l’air.
Tiens, tu entends, elle sait Agnès, la femme d’un médecin je la reconnaîtrais entre un millier de femmes.
Son chant par du fond de sa gorge pour finir au bord de ses lèvres dans un éclatement soudain et très long.
Bon, j’y retourne Stéphane, son mari m’attend il m’a promis de prendre soin de moi ce soir et j’ai dit oui, toi reste vieille fille à siroter ton champagne.
Par compte si tu le veux je te le prête !
Je dois reconnaître que ma propre fille m'ébranle. Comme un fait exprès Pedro repasse le rideau et viens vers moi.
• Alors belle enfant, on a réfléchi et l’on est prête à me suivre dans le jardin des plaisirs.
• Le jardin des plaisirs, ce jardin existe au sein de ce club.
• Bien sûr, l’architecte qui a dessiné cet espace est un adepte de l’amour dans les prés et il a conçu différents espaces pour que chacun de nous y trouve son centre d’intérêt et d’envie.
Viens !
C’est ainsi que sans avoir la force de lui résister lorsqu’il me prend la main dont j’aime la couleur voulant savoir ce que ressentent les femmes qui font l’amour avec un sexe de couleur.
Je saute de mon tabouret pour le suivre de l’autre côté du rideau.
Il semble si pressé de m’emmener que, de l’autre côté, j’ai juste le temps de voir ma fille dans un Jacuzzi d’intérieur aux mains de deux hommes qui semblent s’intéresser de près à son anatomie.
Pour notre part, je suis mon suborneur dans un couloir où au fond trois portes identiques s’offrent à nous.
Chacune équipée d’un boîtier comme un Digicode que Pedro utilise avant d’ouvrir la porte.
• Tu vois le bouton ouverture en bas, si un ou des couples utilisent cet espace sans vouloir être dérangé.
Il tape un code de quatre chiffes comme je viens de le faire empêchent d’autres personnes d’entrer.
Si l’on veut avoir de la visite et que tous profitent de l’espace mis à notre disposition, pas de code et le lieu est ouvert à tous.
J’ai tapé 69 69, nous serons seuls à pouvoir passer un moment.
C’est ainsi qu’il ouvre la porte et que je découvre le jardin des plaisirs…
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