COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison I (1/3)
Cette histoire sera en quatre saisons avec un total de 13 chapitres.
Cette année, nous avons loué une villa dans les Landes les pieds dans l’eau.
Nous avions réservé avec ma femme depuis janvier pour ce mois d’aoûtDès le 1er nous arrivons à l’adresse que nous avons reçue de l’agence de location.
• Chéri, t’avaient-ils dit que notre maison avait une jumelle et que notre indépendance se trouve remise en question ?
• Non, sinon j’aurais refusé.
Peut-être que l’autre restera libre en août.
Certaines résidences restent vides car elles appartiennent à des particuliers qui viennent en juillet et sont repartis reprendre leur travail.
Nous voyons la façade, la partie arrière a peut-être une clôture qui nous isole de l’autre moitié.
• Les enfants, aidez papa à décharger les affaires et souvenez-vous de ce que vous m’avez promis, papa va ouvrir et je vous désignerai votre chambre.
Comme Gladys, mon épouse avec qui je vis depuis 10 ans et avec laquelle j’ai eu le choix du roi, Gabriel 8 ans et Gwendolyne 6 ans me le disent, j’ouvre et l’intérieur est très agréable.
• Je veux cette chambre, c’est la mienne.
• Non, c’est moi qui la veux, elle est plus grande que l’autre.
• Je suis plus vieux, je veux plus de place.
• Non, je suis une fille et j’ai plus d'affaires que toi et j’ai une famille plus grande que toi avec mes poupées.
• Stop, vous avez déjà mis trois heures à faire vos valises et vous aviez promis à maman que pendant notre mois de repos, vous seriez sage !
Alors, allez voir derrière comment est la terrasse.
Je les vois partir, Gabriel a dû arriver à ouvrir, car ils semblent être calmés.
J’aide Gladys à sortir les affaires de chacun dans les armoires.
Un moment je passe vers elle et ma main vient caresser l’avant du short ras sa minette, ce qui me fait bander immédiatement.
• Arrête les enfants vont revenir.
• Pour une fois qu’ils sont sages et qu’ils jouent derrière sans nous ennuyer, viens, je vais t’en mettre un petit coup vite fait pour inaugurer les vacances.
Enlève ton short, je ferme à clef.
Cela fait cinq heures que tu me mets ta chatte sous les yeux tout au long de la route dans les embouteillages alors à poil !
Je suis sûr que ta petite culotte est mouillée ma jolie salope.
• Gaétan, tu sais que, lorsque tu me dis des mots grossiers, je suis mal à l’aise.
• Si pendant les vacances, je dois tout contrôler alors refait les valises, je retourne à la maison.
• Non, tu sais que je te dis cela, mais j’aime ta grosse bite en moi.
Chéri, tu as raison, je t’ai promis l’autre jour de lâcher les chevaux pendant ses vacances et éviter de divorcer.
Quelques jours avant le départ, nous avons eu une petite altercation.
J’ai amené sur le tapis la femme qu’elle était devenue au fil du temps qui se contente d’écarter les cuisses attendant d’avoir sa petite jouissance.
Après elle baille aux corneilles jusqu’au moment où je lui envoie mes petits jets, frustrant pour moi.
Avant la naissance de Gwendolyne, elle tortillait du cul un peu plus et je me suis retrouvé avec une poupée gonflable sans la bouche pour me faire sucer.
Après qu’elle eut retiré son sous-vêtement, pour ce premier jour, je me contente de la caresser pour qu’elle soit humide et que ma verge la pénètre sans lui faire mal.
Demain, on passe à la levrette, avant la fin des vacances, il faudra qu’elle accepte la sodomie sinon à trente-deux ans, malgré les enfants, je compte la quitter pour retrouver une vraie femme.
• Chéri, j’ai peur que les enfants viennent taper à la porte, mais c’est bon, je te sens bien en moi, tu avais raison de me dire qu’il fallait que je m’exprime.
Tu veux que je te dise, je rêve que ta bite entre partout dans mon corps.
Magali, ma copine m’a dit qu’elle se faisait sodomiser par Paul et que c’était divin, demain encule-moi.
L’air marin a dû frapper son cerveau et moi qui pensais à une simple levrette, elle en est déjà à la sodomie, il faudrait que je remercie sa copine pour son aide.
Si la sodomie est pour demain, pourquoi retarder le passage à la levrette.
• Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
• Au oui, ça aussi elle m’a dit que c’était bien, tu vas me prendre en levrette.
Deux fois, deux fois je vais remercier Magali, j’espère qu’elles ont parlé de la fellation qui manque à sa panoplie pour avoir la femme de mes rêves,une belle salope.
• Chérie, en acceptant que je te baise en levrette, tu deviens la femme que je souhaite avoir dans mon lit.
Je veux que tu t’éclates, tout ce que nous ferons sera pour ton seul plaisir et ta seule volonté.
En même temps, elle se place et je viens derrière elle.
Je franchis un interdit, je commence par lui lécher du clito jusqu’à son anus.
Je fais quelques allers et retours et je sens que sa petite boule se durcit.
Je la fais rouler sous ma langue et j’ai le plaisir au chant qu’elle émet de constater l’effet que je lui fais.
La décharge doit être trop importante.
Elle s’écroule sur le côté chutant lourdement au sol, car la chambre à un lit pour personne seul.
C’est celui que j’ai attribué à ma fille.
IL aurait très bien suffi à notre ancienne méthode de baise, aujourd’hui avec les fioritures il s’avère trop exigu.
Nous éclatons de rire et nous prenons conscience que le temps a filé et que les enfants semblent étrangement absents.
• Ce soir tu vas ramasser ma belle, je crois que tu vas connaître ta première sodo plus top que penser.
• Des mots, rien que des mots.
Il est bien de rigoler, mais en parents indignes, nous prenons peur surtout lorsque nous sortons.
Nous nous trouvons sur la terrasse, nos deux enfants ont disparu.
Un chemin semble aller vers la mer.
Nous longeons un camping sur une cinquantaine de mètres et atteignons la plage.
La marée est basse et je vois au loin deux enfants qui jouent dans les vagues.
En approchant je vois que ce sont les nôtres nus comme des vers ayant enlevé leurs affaires.
• Maman, c’est drôle les vagues, on s’amuse bien.
Nous récupérons leurs vêtements et nous retournons à la villa en les serrant dans nos bras.
Les fenêtres de la partie jumelle sont ouvertes et sur la terrasse deux enfants jouent avec une jeune fille.
Alors que nous entrons sur notre parti de terrain, une jeune femme sort et nous salue.
• Bonjour, je vois que vous êtes mes locataires, vous êtes déjà allés voir la mer !
Je vous présente Abby, la jeune étudiante en français, fille d’amis anglais elle s’occupe tout l’été de nos jumelles, elle les emmène à la plage dans dix minutes.
Vous pourriez lui confier les vôtres, elle a l’habitude et nous pourrions prendre un rafraîchissement sur notre terrasse pour apprendre à nous connaître.
• Les enfants voulez-vous retourner à la mer avec Sabine et Aline mes deux filles, elles ont 9 ans et avec la jeune dame ?
• Tu crois que nous pouvons embêter la dame.
• La dame,s’appelle Clarisse, je suis seule pendant quelques jours Alain, mon époux a été retenu à Bordeaux par notre entreprise.
Il développe un nouveau produit.
• Et nous nous sommes la famille avec un grand G.
Ma femme Gladys, Gabriel mon fils 8 ans, Gwendolyne 6 ans et moi pour finir le carré Gaétan.
Les enfants, allez chercher vos maillots, vos seaux et vos pelles et retour rapidement pour aller à la plage.
Il leur a fallu quelques minutes pour démonter les vêtements dans l’armoire que nous avions si bien rangée.
Il est vrai que le temps où je l’ai prise pour la première fois en levrette ils en avaient profité pour disparaître.
• Papa, pourquoi mon lit est tout défait ?
• C’est pendant que maman rangeait tes vêtements, je me suis assis sur ton lit et je l’ai dérangée.
Explication vaseuse, mais je lui fais une bise et je retourne ranger les consommables dans la cuisine.
• Chérie, il faut y aller, met toi en maillot pour aller prendre un pot chez la voisine.
Elle arrive deux minutes après avec son petit maillot deux pièces que je lui ai achetées en signe de paix après notre grosse altercation.
• Je t’attends dehors, j’entends les enfants qui partent à la plage.
Mon couillon de fils les suit avec pelles seaux et arrosoirs.
À cette distance, j’ai l’impression de voir la jeune anglaise nue.
Elle doit avoir un maillot en forme de string avec la ficelle qui doit se cacher entre ces fesses.
Gladys me rejoint et nous passons d’une terrasse à l’autre.
Trente secondes d’attente et nous voyons Clarisse arriver entièrement nues.
Entièrement pas tout à fait, car elle a une chaîne en or autour de sa taille et de sa cheville.
• Pas de chichi, enlevé tous, ici l’été, c’est fait pour cela.
À notre regard ahuri, la proprio voit que quelque chose diverge.
• Je peux vous poser une question.
• Bien sûr.
• Pourquoi avez-vous des vêtements, l’agence vous a bien prévenu ?
• Prévenue, non ?
• Nos maisons sont en zone naturiste, en face derrière cette haie, vous avez le camping naturiste.
Toutes les maisons le long du chemin qui mène à la plage appartiennent à des couples aimants vivre nusLa plage, elle-même est naturiste.
Alain et moi avons l’habitude de vivre comme nous sommes nés depuis notre plus tendre enfance.
• L’agence a omis de nous le dire, en janvier j’ai eu une jeune secrétaire qui m’a donné les tarifs et les capacités de la résidence.
• Vous êtes tombés au moment où la responsable était en vacances et il semble que la remplaçante se soit fichue de son travail.
Comment va-t-on faire ?
• Je conçois le problème, mais il doit être possible de rester ici avec nos vêtements.
• Avez-vous vu le film « textile » ou un jeune couple boulanger à Paris achète une maison sur une île nudiste sans savoir qu’ils vont être nus ?
Au début, ils ont de gros problèmes avec les naturistes du cru !
• Ici c’est pareil surtout sur la plage.
• Sur la plage les gens sont nus et nos enfants qui sont partis avec votre jeune Anglaise, elle va les mettre nus !
• Lorsque je vous ai proposé qu’elle les emmène vous les portiers dans vos bras déshabillés.
J’étais certaine que vous étiez au courant et que vous aviez déjà enlevé les vêtements de vos enfants comme je les fais pour les miennes.
• Je les ai vus tourner le coin et j’ai eu l’impression de voir votre baby-sitter qui était en string de bains avec la ficelle.
• Gaétan, je t’ai promis d’être zen pendant nos vacances, mais peux-tu éviter de dire la fin de ta phrase en spécifiant où la ficelle passe.
• Je vais me rhabiller, je suis gêné et je vais appeler l’agence pour qu’il vous déplace en zone textile.
• Chérie, sur la plage lorsque nous étions partis chercher les enfants ayant fugué, nous les avons trouvés jouant naturellement nus sans se poser de questions.
Fais comme moi montre à Clarisse que nous sommes un couple ouvert.
Avant que je me pose la moindre question, les ficelles de son soutien-gorge et de son maillot sont détachées et Gladys se montre à nous comme au premier jour à un autre endroit que notre chambre où notre salle de bain.
J’enlève le mien un peu honteux devant ces deux jolies femmes, les vacances commencent très bien…
Cette année, nous avons loué une villa dans les Landes les pieds dans l’eau.
Nous avions réservé avec ma femme depuis janvier pour ce mois d’aoûtDès le 1er nous arrivons à l’adresse que nous avons reçue de l’agence de location.
• Chéri, t’avaient-ils dit que notre maison avait une jumelle et que notre indépendance se trouve remise en question ?
• Non, sinon j’aurais refusé.
Peut-être que l’autre restera libre en août.
Certaines résidences restent vides car elles appartiennent à des particuliers qui viennent en juillet et sont repartis reprendre leur travail.
Nous voyons la façade, la partie arrière a peut-être une clôture qui nous isole de l’autre moitié.
• Les enfants, aidez papa à décharger les affaires et souvenez-vous de ce que vous m’avez promis, papa va ouvrir et je vous désignerai votre chambre.
Comme Gladys, mon épouse avec qui je vis depuis 10 ans et avec laquelle j’ai eu le choix du roi, Gabriel 8 ans et Gwendolyne 6 ans me le disent, j’ouvre et l’intérieur est très agréable.
• Je veux cette chambre, c’est la mienne.
• Non, c’est moi qui la veux, elle est plus grande que l’autre.
• Je suis plus vieux, je veux plus de place.
• Non, je suis une fille et j’ai plus d'affaires que toi et j’ai une famille plus grande que toi avec mes poupées.
• Stop, vous avez déjà mis trois heures à faire vos valises et vous aviez promis à maman que pendant notre mois de repos, vous seriez sage !
Alors, allez voir derrière comment est la terrasse.
Je les vois partir, Gabriel a dû arriver à ouvrir, car ils semblent être calmés.
J’aide Gladys à sortir les affaires de chacun dans les armoires.
Un moment je passe vers elle et ma main vient caresser l’avant du short ras sa minette, ce qui me fait bander immédiatement.
• Arrête les enfants vont revenir.
• Pour une fois qu’ils sont sages et qu’ils jouent derrière sans nous ennuyer, viens, je vais t’en mettre un petit coup vite fait pour inaugurer les vacances.
Enlève ton short, je ferme à clef.
Cela fait cinq heures que tu me mets ta chatte sous les yeux tout au long de la route dans les embouteillages alors à poil !
Je suis sûr que ta petite culotte est mouillée ma jolie salope.
• Gaétan, tu sais que, lorsque tu me dis des mots grossiers, je suis mal à l’aise.
• Si pendant les vacances, je dois tout contrôler alors refait les valises, je retourne à la maison.
• Non, tu sais que je te dis cela, mais j’aime ta grosse bite en moi.
Chéri, tu as raison, je t’ai promis l’autre jour de lâcher les chevaux pendant ses vacances et éviter de divorcer.
Quelques jours avant le départ, nous avons eu une petite altercation.
J’ai amené sur le tapis la femme qu’elle était devenue au fil du temps qui se contente d’écarter les cuisses attendant d’avoir sa petite jouissance.
Après elle baille aux corneilles jusqu’au moment où je lui envoie mes petits jets, frustrant pour moi.
Avant la naissance de Gwendolyne, elle tortillait du cul un peu plus et je me suis retrouvé avec une poupée gonflable sans la bouche pour me faire sucer.
Après qu’elle eut retiré son sous-vêtement, pour ce premier jour, je me contente de la caresser pour qu’elle soit humide et que ma verge la pénètre sans lui faire mal.
Demain, on passe à la levrette, avant la fin des vacances, il faudra qu’elle accepte la sodomie sinon à trente-deux ans, malgré les enfants, je compte la quitter pour retrouver une vraie femme.
• Chéri, j’ai peur que les enfants viennent taper à la porte, mais c’est bon, je te sens bien en moi, tu avais raison de me dire qu’il fallait que je m’exprime.
Tu veux que je te dise, je rêve que ta bite entre partout dans mon corps.
Magali, ma copine m’a dit qu’elle se faisait sodomiser par Paul et que c’était divin, demain encule-moi.
L’air marin a dû frapper son cerveau et moi qui pensais à une simple levrette, elle en est déjà à la sodomie, il faudrait que je remercie sa copine pour son aide.
Si la sodomie est pour demain, pourquoi retarder le passage à la levrette.
• Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
• Au oui, ça aussi elle m’a dit que c’était bien, tu vas me prendre en levrette.
Deux fois, deux fois je vais remercier Magali, j’espère qu’elles ont parlé de la fellation qui manque à sa panoplie pour avoir la femme de mes rêves,une belle salope.
• Chérie, en acceptant que je te baise en levrette, tu deviens la femme que je souhaite avoir dans mon lit.
Je veux que tu t’éclates, tout ce que nous ferons sera pour ton seul plaisir et ta seule volonté.
En même temps, elle se place et je viens derrière elle.
Je franchis un interdit, je commence par lui lécher du clito jusqu’à son anus.
Je fais quelques allers et retours et je sens que sa petite boule se durcit.
Je la fais rouler sous ma langue et j’ai le plaisir au chant qu’elle émet de constater l’effet que je lui fais.
La décharge doit être trop importante.
Elle s’écroule sur le côté chutant lourdement au sol, car la chambre à un lit pour personne seul.
C’est celui que j’ai attribué à ma fille.
IL aurait très bien suffi à notre ancienne méthode de baise, aujourd’hui avec les fioritures il s’avère trop exigu.
Nous éclatons de rire et nous prenons conscience que le temps a filé et que les enfants semblent étrangement absents.
• Ce soir tu vas ramasser ma belle, je crois que tu vas connaître ta première sodo plus top que penser.
• Des mots, rien que des mots.
Il est bien de rigoler, mais en parents indignes, nous prenons peur surtout lorsque nous sortons.
Nous nous trouvons sur la terrasse, nos deux enfants ont disparu.
Un chemin semble aller vers la mer.
Nous longeons un camping sur une cinquantaine de mètres et atteignons la plage.
La marée est basse et je vois au loin deux enfants qui jouent dans les vagues.
En approchant je vois que ce sont les nôtres nus comme des vers ayant enlevé leurs affaires.
• Maman, c’est drôle les vagues, on s’amuse bien.
Nous récupérons leurs vêtements et nous retournons à la villa en les serrant dans nos bras.
Les fenêtres de la partie jumelle sont ouvertes et sur la terrasse deux enfants jouent avec une jeune fille.
Alors que nous entrons sur notre parti de terrain, une jeune femme sort et nous salue.
• Bonjour, je vois que vous êtes mes locataires, vous êtes déjà allés voir la mer !
Je vous présente Abby, la jeune étudiante en français, fille d’amis anglais elle s’occupe tout l’été de nos jumelles, elle les emmène à la plage dans dix minutes.
Vous pourriez lui confier les vôtres, elle a l’habitude et nous pourrions prendre un rafraîchissement sur notre terrasse pour apprendre à nous connaître.
• Les enfants voulez-vous retourner à la mer avec Sabine et Aline mes deux filles, elles ont 9 ans et avec la jeune dame ?
• Tu crois que nous pouvons embêter la dame.
• La dame,s’appelle Clarisse, je suis seule pendant quelques jours Alain, mon époux a été retenu à Bordeaux par notre entreprise.
Il développe un nouveau produit.
• Et nous nous sommes la famille avec un grand G.
Ma femme Gladys, Gabriel mon fils 8 ans, Gwendolyne 6 ans et moi pour finir le carré Gaétan.
Les enfants, allez chercher vos maillots, vos seaux et vos pelles et retour rapidement pour aller à la plage.
Il leur a fallu quelques minutes pour démonter les vêtements dans l’armoire que nous avions si bien rangée.
Il est vrai que le temps où je l’ai prise pour la première fois en levrette ils en avaient profité pour disparaître.
• Papa, pourquoi mon lit est tout défait ?
• C’est pendant que maman rangeait tes vêtements, je me suis assis sur ton lit et je l’ai dérangée.
Explication vaseuse, mais je lui fais une bise et je retourne ranger les consommables dans la cuisine.
• Chérie, il faut y aller, met toi en maillot pour aller prendre un pot chez la voisine.
Elle arrive deux minutes après avec son petit maillot deux pièces que je lui ai achetées en signe de paix après notre grosse altercation.
• Je t’attends dehors, j’entends les enfants qui partent à la plage.
Mon couillon de fils les suit avec pelles seaux et arrosoirs.
À cette distance, j’ai l’impression de voir la jeune anglaise nue.
Elle doit avoir un maillot en forme de string avec la ficelle qui doit se cacher entre ces fesses.
Gladys me rejoint et nous passons d’une terrasse à l’autre.
Trente secondes d’attente et nous voyons Clarisse arriver entièrement nues.
Entièrement pas tout à fait, car elle a une chaîne en or autour de sa taille et de sa cheville.
• Pas de chichi, enlevé tous, ici l’été, c’est fait pour cela.
À notre regard ahuri, la proprio voit que quelque chose diverge.
• Je peux vous poser une question.
• Bien sûr.
• Pourquoi avez-vous des vêtements, l’agence vous a bien prévenu ?
• Prévenue, non ?
• Nos maisons sont en zone naturiste, en face derrière cette haie, vous avez le camping naturiste.
Toutes les maisons le long du chemin qui mène à la plage appartiennent à des couples aimants vivre nusLa plage, elle-même est naturiste.
Alain et moi avons l’habitude de vivre comme nous sommes nés depuis notre plus tendre enfance.
• L’agence a omis de nous le dire, en janvier j’ai eu une jeune secrétaire qui m’a donné les tarifs et les capacités de la résidence.
• Vous êtes tombés au moment où la responsable était en vacances et il semble que la remplaçante se soit fichue de son travail.
Comment va-t-on faire ?
• Je conçois le problème, mais il doit être possible de rester ici avec nos vêtements.
• Avez-vous vu le film « textile » ou un jeune couple boulanger à Paris achète une maison sur une île nudiste sans savoir qu’ils vont être nus ?
Au début, ils ont de gros problèmes avec les naturistes du cru !
• Ici c’est pareil surtout sur la plage.
• Sur la plage les gens sont nus et nos enfants qui sont partis avec votre jeune Anglaise, elle va les mettre nus !
• Lorsque je vous ai proposé qu’elle les emmène vous les portiers dans vos bras déshabillés.
J’étais certaine que vous étiez au courant et que vous aviez déjà enlevé les vêtements de vos enfants comme je les fais pour les miennes.
• Je les ai vus tourner le coin et j’ai eu l’impression de voir votre baby-sitter qui était en string de bains avec la ficelle.
• Gaétan, je t’ai promis d’être zen pendant nos vacances, mais peux-tu éviter de dire la fin de ta phrase en spécifiant où la ficelle passe.
• Je vais me rhabiller, je suis gêné et je vais appeler l’agence pour qu’il vous déplace en zone textile.
• Chérie, sur la plage lorsque nous étions partis chercher les enfants ayant fugué, nous les avons trouvés jouant naturellement nus sans se poser de questions.
Fais comme moi montre à Clarisse que nous sommes un couple ouvert.
Avant que je me pose la moindre question, les ficelles de son soutien-gorge et de son maillot sont détachées et Gladys se montre à nous comme au premier jour à un autre endroit que notre chambre où notre salle de bain.
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