COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison II (4/6)
Nous avions quitté Gladys et aussi Gaétan avec des doutes pour la suite de leur couple.
Clarisse a-t-elle su les mener vers le chemin de la luxure et d’un amour durable et infini entre notre couple ?
C’est ce qu’écrivait Chris71.
Gladys sent bien que son couple part à vau-l’eau, après une grande altercation avec Gaétan comprend qu’il faut prendre une autre route pour son couple.
Magali, sa copine l’a bien aidée en lui faisant prendre conscience de ses lacunes sur le plan sexuel.
Dès ce matin, en l'absence de son mari et de ses enfants, elle fait une envolée magnifique en se laissant caresser par les doigts de sa nouvelle amie.
• Veux-tu rester manger avec nous à midi avec tes filles et Abby, tu m’as aidé à préparer le repas et je vois que Gaétan a rapporté assez de pain.
• Si je dis oui, j’abuse, mais c’est d’accord.
Tout se passe bien et après manger, la baby-sitter récupère les quatre enfants pour faire la sieste.
Ils nous rejoindront vers 16 heures après avoir pris leurs goûtés.
• Gaétan, nous accompagnes-tu ?
• Je vais rester à lire, j’ai amené deux bouquins, l’an passé, les commentaires étaient dans la presse avant que je les lise.
Je vous rejoindrai avec les enfants.
L’an passé, il est vrai qu’il a oublié de lire, mais c’est parce qu’il s’endormait sur son bouquin.
L’an passé, il serait resté seul à deux pas d’une petite girelle anglaise, cela ce serait bien mal passé.
Cette année, je suis une autre et ces deux premiers jours m'ont profondément changée.
La maison en l’état, les enfants chez Clarisse, pour la première fois nous prenons le chemin de la plage.
Nous l’avions pris hier pour retrouver les enfants, mais là c’est la première fois que je me promène la chatte à l’air.
C’est bizarre, nous croisons deux couple dont l’un doit être plus vieux que mes parents.
Je manque d’éclater de rire, je vois mal papa et encore moins maman, se promener la serviette posée sur l’épaule et les seins descendant vers le centre de la terre.
Ce qui m’étonne, c’est que les deux fois j’ai tendance à regarder le sexe de ces hommes.
Le plus jeune doit avoir une verge de 15 centimètres, environ identique à celle de Gaétan, bien que ce soit à vu d’œil que je calcule.
Si les seins de la mémé sont tombants, la verge de pépé est tellement entrée dans ses bourses, qu’il semble eunuque.
• Bonjour Clarisse, bonjour madame !
• Bonjour René, Alice, vous allez bien !
• Il fait trop chaud, nous rentrons nous mettre à l’ombre.
Conversation irréelle, tous les quatre nus et même si le dialogue est court, il est surprenant.
Arrivées sur la plage, c’est vrai que le sable est brûlant, nous étendons nos serviettes et comme ce matin, l’une l’autre nous nous enduisons de crème solaire.
Nous nous allongeons et comme on fait cuire une crêpe côté pile et côté face, nous nous cuisons à point.
Autour de nous que des hommes seuls, des couples et deux trios de femmes.
Au loin des enfants qui jouent comme ont dû jouer les quatre notre avant le dîner.
• Gladys vient, je vais te montrer quelque chose.
Une fois levés, nous reprenons nos petites sandales de plage pour remonter à l’opposé du chemin d’où nous sommes descendus vers un petit bois de pins.
Clarisse veut-elle se mettre à l’ombre, le soleil de 14 heures plombant énormément.
Ce matin, j’ai joui , mais elle est restée sur sa faim, le temps s’étant écoulé et les enfants revenant.
Caché des regards indiscrets, elle s’appuie contre un pin et nos bouches se retrouvent pour mon plus grand plaisir.
Elle m’a donné du plaisir et je veux en faire de même, je m’agenouille dans le sable et je commence à lui lécher sa chatte blonde.
Je suis sur le point de la faire jouir quand je sens une présence.
Je tourne la tête, un voyeur, non cinq, rien que des hommes.
Tous ont leur queue en main et se masturbent en nous regardant.
• Clarisse, partons, regarde, il se branle en nous regardant.
• Non, c'était ce que je voulais te faire découvrir.
Il faut bien que chacun dans sa vie trouve son plaisir d’une façon ou d’une autre.
Continue à me faire jouir.
Je mouille de sentir le regard de ces hommes sur ma langue léchant son clitoris.
Rapidement elle se cabre et je reçois un petit jet de liquide sortant de sa chatte.
À cet instant, Magali me serait d’un grand secours, hélas, je dois me débrouiller seule.
Je savais que les femmes mouillaient, mais qu’elles soient capables d’envoyer des jets de liquide en plein visage, ça dépasse mes connaissances.
• Merci de m’avoir fait jouir, tu as reçu ma cyprine dans l’œil, c’est la première fois que j’ai été une femme fontaine, je t’adore ma belle.
En bon élève que j’étais m’ayant conduit vers l’enseignement, mon cerveau incorpore ces jets de cyprine et que ces jets font d’elle une femme fontaine.
À l’école on vous fait des cours d'éducation sexuelle, mais si simpliste que moi la professeur des écoles, j’ignorais ces phénomènes.
• Tu as, vu, ils sont tous restés à regarder en se masturbant, si tu le désires, tu peux en choisir un, tu le suces où tu le laisses te baiser, sinon ils vont éjaculer sur le sable.
• Celui de gauche, derrière l’arbre.
Je me redresse et nous nous rapprochons de l’homme.
• Veux-tu qu’on te suce ou veux-tu baiser l’une d’entre nous ?
• Sucez-moi, vous me faite une belle paire de salopes.
• Pour te servir mon seigneur, j’espère être à la hauteur de celle que tu voudrais que je sois.
• Grâce à Clarisse, tu dépasses toutes mes espérances, tu étais magnifique à lécher notre amie !
L’homme que je viens de choisir, c’est bien sûr le mien, qui se tenais à moitié caché derrière un pin et comme les autres se masturbaient.
À genoux devant Clarisse, maintenant les deux devant le père de mes enfants, nos langues sont très actives.
Et dire que si une petite oie blanche avait fait correctement son boulot, nous aurions été privés de la rencontre de cette belle libertine.
Je veux être maîtresse de nos jeux et de ma vie, ce que j’ai refusé de faire à cause de mon père avec son éducation rigoriste.
• Clarisse, si tu es d’accord, mets-toi en levrette, s’il est d’accord, lui aussi je voudrais qu’il te baise devant moi.
Avant d’avoir une réponse, Clarisse se positionne et souplement Gaétan place sa verge à hauteur de la chatte béante de notre amie.
C’est moi qui la saisis comme je l’ai toujours fait, après une petite branlette rapide avant de me la mettre en moi.
La salope est si mouillée que c’est d’une seule poussée qu’elle pénètre en elle la faisant rapidement éructer.
Un à un, les voyeurs éjaculent sur le sable et retour qui vers l’intérieur de la petite forêt, qui vers la plage.
Parmi eux, un homme assez âgé qui était sur sa serviette près d’où nous nous sommes installés, il avait dû nous suivre lorsque nous nous étions rapprochés des pins.
• Chéri, comment as-tu su que nous étions là ?
• C’est facile, je lisais quand j’ai regretté d’avoir laissé partir mes deux petites putes, j’ai pris ma serviette et je suis venu.
Vous brillez par votre absence et par chance la machine à nettoyer la plage était passée et il y avait deux traces de pas remontant vers ces pins.
C’est tout en pilonnant Clarisse qu’il me donne ces explications, Clarisse semble absente, je vois ses yeux se révulser.
Gaétan lui aussi commence à être essoufflé, baiser en parlant demande de la concentration et de la force dans les jambes, étant placé comme une grenouille.
• Il y avait trois autres traces de pas qui venaient dans la même direction, j’espérais découvrir une chose exceptionnelle, je suis servi.
Il est servi, mais moi je suis frustrée, j’aurais dû faire signe à un de ses voyeurs de s’approcher, mais trop tard, le sperme de ce monsieur ventripotent viens se perdre dans le sable.
Je pense que c’est parti remis, je connais le bois et je compte bien en profiter un de ces jours.
Clarisse comme une louve, tant son cou vers la cime des arbres et nous fait participer à l’orgasme qui la transperce.
• Mon cœur, mets-toi en levrette, je vais finir en toi.
J’avais peur d’être oubliée, mais mon tendre et cher veux me faire participer à la fête.
Je m’agenouille, Gaétan en fait de même récupérant une position plus confortable.
Sa verge se présente, je sens son gland me toucher, je passe ma main entre nous et je la remonte juste là où il faut au moment où il pousse un grand coup.
La déchirure est intense, mais j’ai agi sans réfléchir, lui aurais-je offert mon anneau inviolé à ce jour même à mon mari.
Par chance, après avoir fait jouir Clarisse et m’avoir dépucelé comme à notre premier jour, mais par la voie interdite, il éjacule me remplissant mon anus de son sperme et me quitte.
Je tombe dans les bras de Clarisse qui nous regardait.
• C’était la première fois que je me laissais m’enculer, si tu savais comme ça fait mal.
• À qui le dis-tu petite sotte, une verge dans le cul, ça se prépare, viens retournons à la plage, dans mon sac, j’ai du lubrifiant ça va te calmer, c’est adoucissant.
Nous retournons tous les trois vers nos serviettes.
Gaétan d’un côté, Clarisse de l’autre, ils font comme s’il me mettait de l'ambre solaire.
Gaétan, ça en est, notre amie, c’est de la pommade qu’elle a mise au bout de son doigt.
Elle le glisse dans mon anus et me la fait pénétrer, rapidement une douce chaleur remplace la douleur.
Est-ce possible de jouir du cul sous l’effet de ce doigt mutin ?
Hélas, des cris d’enfants viennent interrompre le début de jouissance qui allait me traverser.
Nos enfants et leur baby-sitter arrivent...
Clarisse a-t-elle su les mener vers le chemin de la luxure et d’un amour durable et infini entre notre couple ?
C’est ce qu’écrivait Chris71.
Gladys sent bien que son couple part à vau-l’eau, après une grande altercation avec Gaétan comprend qu’il faut prendre une autre route pour son couple.
Magali, sa copine l’a bien aidée en lui faisant prendre conscience de ses lacunes sur le plan sexuel.
Dès ce matin, en l'absence de son mari et de ses enfants, elle fait une envolée magnifique en se laissant caresser par les doigts de sa nouvelle amie.
• Veux-tu rester manger avec nous à midi avec tes filles et Abby, tu m’as aidé à préparer le repas et je vois que Gaétan a rapporté assez de pain.
• Si je dis oui, j’abuse, mais c’est d’accord.
Tout se passe bien et après manger, la baby-sitter récupère les quatre enfants pour faire la sieste.
Ils nous rejoindront vers 16 heures après avoir pris leurs goûtés.
• Gaétan, nous accompagnes-tu ?
• Je vais rester à lire, j’ai amené deux bouquins, l’an passé, les commentaires étaient dans la presse avant que je les lise.
Je vous rejoindrai avec les enfants.
L’an passé, il est vrai qu’il a oublié de lire, mais c’est parce qu’il s’endormait sur son bouquin.
L’an passé, il serait resté seul à deux pas d’une petite girelle anglaise, cela ce serait bien mal passé.
Cette année, je suis une autre et ces deux premiers jours m'ont profondément changée.
La maison en l’état, les enfants chez Clarisse, pour la première fois nous prenons le chemin de la plage.
Nous l’avions pris hier pour retrouver les enfants, mais là c’est la première fois que je me promène la chatte à l’air.
C’est bizarre, nous croisons deux couple dont l’un doit être plus vieux que mes parents.
Je manque d’éclater de rire, je vois mal papa et encore moins maman, se promener la serviette posée sur l’épaule et les seins descendant vers le centre de la terre.
Ce qui m’étonne, c’est que les deux fois j’ai tendance à regarder le sexe de ces hommes.
Le plus jeune doit avoir une verge de 15 centimètres, environ identique à celle de Gaétan, bien que ce soit à vu d’œil que je calcule.
Si les seins de la mémé sont tombants, la verge de pépé est tellement entrée dans ses bourses, qu’il semble eunuque.
• Bonjour Clarisse, bonjour madame !
• Bonjour René, Alice, vous allez bien !
• Il fait trop chaud, nous rentrons nous mettre à l’ombre.
Conversation irréelle, tous les quatre nus et même si le dialogue est court, il est surprenant.
Arrivées sur la plage, c’est vrai que le sable est brûlant, nous étendons nos serviettes et comme ce matin, l’une l’autre nous nous enduisons de crème solaire.
Nous nous allongeons et comme on fait cuire une crêpe côté pile et côté face, nous nous cuisons à point.
Autour de nous que des hommes seuls, des couples et deux trios de femmes.
Au loin des enfants qui jouent comme ont dû jouer les quatre notre avant le dîner.
• Gladys vient, je vais te montrer quelque chose.
Une fois levés, nous reprenons nos petites sandales de plage pour remonter à l’opposé du chemin d’où nous sommes descendus vers un petit bois de pins.
Clarisse veut-elle se mettre à l’ombre, le soleil de 14 heures plombant énormément.
Ce matin, j’ai joui , mais elle est restée sur sa faim, le temps s’étant écoulé et les enfants revenant.
Caché des regards indiscrets, elle s’appuie contre un pin et nos bouches se retrouvent pour mon plus grand plaisir.
Elle m’a donné du plaisir et je veux en faire de même, je m’agenouille dans le sable et je commence à lui lécher sa chatte blonde.
Je suis sur le point de la faire jouir quand je sens une présence.
Je tourne la tête, un voyeur, non cinq, rien que des hommes.
Tous ont leur queue en main et se masturbent en nous regardant.
• Clarisse, partons, regarde, il se branle en nous regardant.
• Non, c'était ce que je voulais te faire découvrir.
Il faut bien que chacun dans sa vie trouve son plaisir d’une façon ou d’une autre.
Continue à me faire jouir.
Je mouille de sentir le regard de ces hommes sur ma langue léchant son clitoris.
Rapidement elle se cabre et je reçois un petit jet de liquide sortant de sa chatte.
À cet instant, Magali me serait d’un grand secours, hélas, je dois me débrouiller seule.
Je savais que les femmes mouillaient, mais qu’elles soient capables d’envoyer des jets de liquide en plein visage, ça dépasse mes connaissances.
• Merci de m’avoir fait jouir, tu as reçu ma cyprine dans l’œil, c’est la première fois que j’ai été une femme fontaine, je t’adore ma belle.
En bon élève que j’étais m’ayant conduit vers l’enseignement, mon cerveau incorpore ces jets de cyprine et que ces jets font d’elle une femme fontaine.
À l’école on vous fait des cours d'éducation sexuelle, mais si simpliste que moi la professeur des écoles, j’ignorais ces phénomènes.
• Tu as, vu, ils sont tous restés à regarder en se masturbant, si tu le désires, tu peux en choisir un, tu le suces où tu le laisses te baiser, sinon ils vont éjaculer sur le sable.
• Celui de gauche, derrière l’arbre.
Je me redresse et nous nous rapprochons de l’homme.
• Veux-tu qu’on te suce ou veux-tu baiser l’une d’entre nous ?
• Sucez-moi, vous me faite une belle paire de salopes.
• Pour te servir mon seigneur, j’espère être à la hauteur de celle que tu voudrais que je sois.
• Grâce à Clarisse, tu dépasses toutes mes espérances, tu étais magnifique à lécher notre amie !
L’homme que je viens de choisir, c’est bien sûr le mien, qui se tenais à moitié caché derrière un pin et comme les autres se masturbaient.
À genoux devant Clarisse, maintenant les deux devant le père de mes enfants, nos langues sont très actives.
Et dire que si une petite oie blanche avait fait correctement son boulot, nous aurions été privés de la rencontre de cette belle libertine.
Je veux être maîtresse de nos jeux et de ma vie, ce que j’ai refusé de faire à cause de mon père avec son éducation rigoriste.
• Clarisse, si tu es d’accord, mets-toi en levrette, s’il est d’accord, lui aussi je voudrais qu’il te baise devant moi.
Avant d’avoir une réponse, Clarisse se positionne et souplement Gaétan place sa verge à hauteur de la chatte béante de notre amie.
C’est moi qui la saisis comme je l’ai toujours fait, après une petite branlette rapide avant de me la mettre en moi.
La salope est si mouillée que c’est d’une seule poussée qu’elle pénètre en elle la faisant rapidement éructer.
Un à un, les voyeurs éjaculent sur le sable et retour qui vers l’intérieur de la petite forêt, qui vers la plage.
Parmi eux, un homme assez âgé qui était sur sa serviette près d’où nous nous sommes installés, il avait dû nous suivre lorsque nous nous étions rapprochés des pins.
• Chéri, comment as-tu su que nous étions là ?
• C’est facile, je lisais quand j’ai regretté d’avoir laissé partir mes deux petites putes, j’ai pris ma serviette et je suis venu.
Vous brillez par votre absence et par chance la machine à nettoyer la plage était passée et il y avait deux traces de pas remontant vers ces pins.
C’est tout en pilonnant Clarisse qu’il me donne ces explications, Clarisse semble absente, je vois ses yeux se révulser.
Gaétan lui aussi commence à être essoufflé, baiser en parlant demande de la concentration et de la force dans les jambes, étant placé comme une grenouille.
• Il y avait trois autres traces de pas qui venaient dans la même direction, j’espérais découvrir une chose exceptionnelle, je suis servi.
Il est servi, mais moi je suis frustrée, j’aurais dû faire signe à un de ses voyeurs de s’approcher, mais trop tard, le sperme de ce monsieur ventripotent viens se perdre dans le sable.
Je pense que c’est parti remis, je connais le bois et je compte bien en profiter un de ces jours.
Clarisse comme une louve, tant son cou vers la cime des arbres et nous fait participer à l’orgasme qui la transperce.
• Mon cœur, mets-toi en levrette, je vais finir en toi.
J’avais peur d’être oubliée, mais mon tendre et cher veux me faire participer à la fête.
Je m’agenouille, Gaétan en fait de même récupérant une position plus confortable.
Sa verge se présente, je sens son gland me toucher, je passe ma main entre nous et je la remonte juste là où il faut au moment où il pousse un grand coup.
La déchirure est intense, mais j’ai agi sans réfléchir, lui aurais-je offert mon anneau inviolé à ce jour même à mon mari.
Par chance, après avoir fait jouir Clarisse et m’avoir dépucelé comme à notre premier jour, mais par la voie interdite, il éjacule me remplissant mon anus de son sperme et me quitte.
Je tombe dans les bras de Clarisse qui nous regardait.
• C’était la première fois que je me laissais m’enculer, si tu savais comme ça fait mal.
• À qui le dis-tu petite sotte, une verge dans le cul, ça se prépare, viens retournons à la plage, dans mon sac, j’ai du lubrifiant ça va te calmer, c’est adoucissant.
Nous retournons tous les trois vers nos serviettes.
Gaétan d’un côté, Clarisse de l’autre, ils font comme s’il me mettait de l'ambre solaire.
Gaétan, ça en est, notre amie, c’est de la pommade qu’elle a mise au bout de son doigt.
Elle le glisse dans mon anus et me la fait pénétrer, rapidement une douce chaleur remplace la douleur.
Est-ce possible de jouir du cul sous l’effet de ce doigt mutin ?
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