COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison III (7/9)
À la fin de la saison II, nous avons laissé Gladys passée d’un monde du simple respect de ses engagements devant le maire, mais surtout le curé à une belle salope.
C’est par risque de l’explosion de son couple, qu’elle a tout accepté même si la combine entre Gaétan, son mari, Clarisse qui est la femme d’Alain, était cousue de fil blanc.
Nudité, levrette, fellation, voyeurisme dans une pinède, lesbienne jusqu’à la sodomie, tout y passe.
Elle est à deux doigts de craquer quand elle comprend qu’elle s’est fait manœuvrer, mais grâce à Abby, jeune baby-sitter anglaise, elle sèche ses larmes et rejoint la petite troupe de libertin.
Le mal serait-il profondément ancré en elle ?
Non, pas le mal, mais le plaisir de donner et être donné !
Mais elle reste mère et quand la voix de sa fille de six ans se fait entendre dans le « babyphone » placé dans la chambre des enfants.
C’est en courant qu’elle s’y rend.
Soyons rassurés, un simple cauchemar de la petite vite calmée, Gladys ramenant Gwendoline dans sa chambre et se couchant à ses côtés.
Quelle heure est-il lorsqu’elle se réveille d’un coup.
Impossible de le dire, mais il fait jour.
La petite dort et c’est sans faire de bruit qu’elle s’éclipse.
Gabriel doit dormir toujours dans l’autre villa et Gaétan est couché dans leur chambre en travers du lit.
Lorsque je rentre dans notre chambre, impossible de me recoucher sans le réveiller.
Ce serait une petite vengeance de ma part, mais il travaille tellement toute l’année qu’une autre idée me vient.
J’ouvre mon armoire et j’en sors un collant et mon cardio.
Nous nous étions promis avec Gaétan de reprendre le jogging cette année, les enfants étant assez grands pour rester seuls une petite heure, moins même pour commencer.
Petit problème, mais chaussures de jogging, je sais que nous les avons emportés, mais j’ignore où Gaétan les a rangés.
Ouf, dans un placard près de l’entrée menant vers la terrasse, elles sont là.
Une fois chaussée, je prends le chemin de la plage, on sait qu’elle est très proche.
Je pars vers la droite alors qu’au loin à gauche je vois un homme qui court.
Belle foulée et assez prêt pour que je voie son sexe balloter de droite à gauche.
René m’en a fait sucer une très grosse, mais de taille normale, là elle semble être normale, mais très longue.
En peu de temps, j’aurais vu tous les modèles, du moins une bonne partie.
Il est encore assez loin et je prends mon rythme presque de débutante, même si j’ai beaucoup couru avant d’être maman.
Par chance, c’est marée descendante et je peux courir sur le sable mouillé.
Je crois avancé, mais j’entends les pas du joggeur sur mes talons, il me rattrape et me parle sans être essoufflé.
Moi je commence à ressembler à un soufflet de forge, mais je m’accroche, bien que cet homme, la quarantaine, modère sa vitesse de course.
• C’est la première fois que je vous vois, venez-vous d’arriver !
• Depuis le premier jour du moissss, mais avant ce matin, j’avais autre chose à fairrrrre.
• Arrêtons-nous, je vais vous apprendre à respirer, vous vous asphyxiez.
Soufflet de forge, pire, autobus en perdition dans un embouteillage.
• Il faut respirer avec son diaphragme, tes poumons vont suivre.
Pour me montrer comment faire, il me met sa main sur mon ventre juste au-dessus de mon collant, son autre dernière ma nuque.
• Plis, tu remontes, laisse pendre tes bras en les faisant bouger, ça oxygène le sang et tu gagneras du souffle et du foncier.
Voilà comme ça, tu sens tes poumons se dégager !
Je sens, oui, mais surtout je vois, cette verge vue de loin est bien celle que je pensais, elle me fait envie, mais je serais une salope si je sautais dessus.
Longue et fine, elle me fait envie, mais nous sommes sur une plage naturisme et non pas une plage échangiste, ça, ça semble être réservé dans des lieux clos et protégés des regards des autres.
Je sais, il y a la pinède, mais je pense que les gens qui font ça comme Clarisse me l’a fait faire, on prend des risques de se retrouver avec une poursuite pour exhibitionnisme.
• Viens, veux-tu me suivre, je vais te faire travailler d’autres mouvements.
Marche en écartant tes bras, là encore tu oxygènes tes jolis poumons.
Je prends conscience qu’il s’est mis à me tutoyer comme si nous étions de vieux copains, mais que par ses derniers propos il me drague.
Le suivre, il aurait pu ajouter « en tout bien tout honneur », mais ces quelques mots, il semble les avoir oubliés.
Il me fait rejoindre la pinède en faisant de grands moulinets, c’est vrai que je me sens en meilleure oxygénation, j’ai bien repris ma respiration.
• Fait comme moi, places tes mains sur ce pin, attention bien à plat une écorce pourrait te couper.
C’est bien, recule un peu tes jambes et pousse comme si tu voulais le faire reculer.
Parfait tu es une bonne élève, ainsi tu fais travailler tes muscles de jambes, ça te donnera de la puissance.
Sois sans crainte, je passe derrière toi.
Je pousse, mais je sens qu’il vient se coller à moi.
Je sens son souffle dans mon cou.
Mince que fait-il, il glisse sa main dans mon collant, je pense qu’il veut me caresser la chatte.
Mais, hélas, il l’a ressort, me mettant sous le nez, une petite pochette de plastique que je connais bien.
• J’avais vu juste, lorsque je t’ai vu, je me suis demandé pourquoi cette jolie femme courrait sur une plage naturiste avec un collant.
Généralement celles qui ont leurs règles s’abstiennent de ce genre d’effort.
En te faisant faire tes mouvements, j’ai vu à travers ton collant cet étui avec une capote.
Tu es venue courir de bonne heure espérant trouver chaussure à ton pied et si tu avais la chance de rencontrer une verge comme la mienne de te faire sauter comme la salope que tu es !
Je me trompe !
J’étais essoufflé à courir, mais cet homme dont j’ignore l’identité à tout compris.
Hier, j’ai choisi de me rapprocher de Gaétan alors que j’avais cinq verges inconnues à notre disposition.
Hier, lorsque j’ai pris ma fille dans mes bras et que je la portais ses bras autour de mon cou, je suis passée par la salle à manger de nos amis.
Sur la table, il y avait un saladier avec des capotes, une idée qui pourrait paraître farfelue a traversé mon esprit.
Si je retournais demain matin vers la pinède et si la chance était avec moi me faire sauter avec un autre que mon mari.
Jusqu’à maintenant, j’avais subi la volonté de tous de faire de moi une salope.
En prenant quelques capotes, les autres étant dans mon sac à main, si par chance et pour lui et pour moi, un queutard était là, j’aurais tout ce qu’il fallait pour me faire baiser.
J’ai eu un problème, où placer cette capote ?
À part ma chatte, nulle part ou la cacher, c’est là que j’ai pensé au collant.
Ce que j’ignorais c’est que je réaliserais mon fantasme, mais que c’est un joggeur sur la plage qui m’aiderait à le réaliser.
• Couvre-toi et baise-moi, mon bel inconnu ?
• Gilbert !
• Gladys va y baise-moi.
Gilbert, encore un nouveau G sans pour autant faire partie de la famille avec un grand G, ça c’est réservé à mon mari et mes enfants.
• Veux-tu que je t’aide à bander ?
• Inutile, j’enfile ma capote, garde la tienne, regarde, sur mon bras, dans mon cardio, il y a une poche pour y glisser ma carte bancaire, une capote peut y être placée.
Je suis toujours à pousser mon pin, j’entends le claquement du latex quand il la déplie sur cette verge très longue.
Il cherche deux secondes, je suis trempé, c’est la première fois que je m’offre à un homme sans la présence de Gaétan.
Un mouvement de haut en bas, mon clito le sent passer participant à la fête du slip, même, si je suis sans.
Une poussée, sa verge est en moi elle est longue, longue, longue, allez encore une « longue » et je suis sûr qu’il en reste encore dehors.
C’est moi qui me donne le coup de grâce, je pousse, le pin vers l’avant et mes fesses vers l’arrière.
J’ignorais avoir une chatte si profonde, je sens ses couilles sur mes fesses.
Il me pilonne de nombreuses fois, je commence à émettre des borborygmes et comme si j’avais poursuivi mon jogging sur deux ou trois kilomètres, je cherche désespérément de l’air.
Il sort et rentre, je sens qu’il va se tromper de direction.
● Non, mon anus, c’est réservé à mon mari.
J’avais envie d’ajouter « depuis hier », mais je me tais, car il entre de nouveau au fond de ma chatte.
● Excuse, tu as le droit !
Pour retrouver de l’air faire travailler mon diaphragme, j’ai retenu la leçon et mon corps tout entier s’embrase.
Je sens qu’il éclate en moi, mais je m’aperçois qu’il me manque le contact du sperme dans mon vagin.
C’était la première fois que l’on me baisait avec capote.
Je sais hier au soir Alain, il m’a baisé !
J’étais si enflammée à le faire surtout devant Gaétan que mon cerveau est dans l’incertitude.
Alors, capote ou non capote ?...
C’est par risque de l’explosion de son couple, qu’elle a tout accepté même si la combine entre Gaétan, son mari, Clarisse qui est la femme d’Alain, était cousue de fil blanc.
Nudité, levrette, fellation, voyeurisme dans une pinède, lesbienne jusqu’à la sodomie, tout y passe.
Elle est à deux doigts de craquer quand elle comprend qu’elle s’est fait manœuvrer, mais grâce à Abby, jeune baby-sitter anglaise, elle sèche ses larmes et rejoint la petite troupe de libertin.
Le mal serait-il profondément ancré en elle ?
Non, pas le mal, mais le plaisir de donner et être donné !
Mais elle reste mère et quand la voix de sa fille de six ans se fait entendre dans le « babyphone » placé dans la chambre des enfants.
C’est en courant qu’elle s’y rend.
Soyons rassurés, un simple cauchemar de la petite vite calmée, Gladys ramenant Gwendoline dans sa chambre et se couchant à ses côtés.
Quelle heure est-il lorsqu’elle se réveille d’un coup.
Impossible de le dire, mais il fait jour.
La petite dort et c’est sans faire de bruit qu’elle s’éclipse.
Gabriel doit dormir toujours dans l’autre villa et Gaétan est couché dans leur chambre en travers du lit.
Lorsque je rentre dans notre chambre, impossible de me recoucher sans le réveiller.
Ce serait une petite vengeance de ma part, mais il travaille tellement toute l’année qu’une autre idée me vient.
J’ouvre mon armoire et j’en sors un collant et mon cardio.
Nous nous étions promis avec Gaétan de reprendre le jogging cette année, les enfants étant assez grands pour rester seuls une petite heure, moins même pour commencer.
Petit problème, mais chaussures de jogging, je sais que nous les avons emportés, mais j’ignore où Gaétan les a rangés.
Ouf, dans un placard près de l’entrée menant vers la terrasse, elles sont là.
Une fois chaussée, je prends le chemin de la plage, on sait qu’elle est très proche.
Je pars vers la droite alors qu’au loin à gauche je vois un homme qui court.
Belle foulée et assez prêt pour que je voie son sexe balloter de droite à gauche.
René m’en a fait sucer une très grosse, mais de taille normale, là elle semble être normale, mais très longue.
En peu de temps, j’aurais vu tous les modèles, du moins une bonne partie.
Il est encore assez loin et je prends mon rythme presque de débutante, même si j’ai beaucoup couru avant d’être maman.
Par chance, c’est marée descendante et je peux courir sur le sable mouillé.
Je crois avancé, mais j’entends les pas du joggeur sur mes talons, il me rattrape et me parle sans être essoufflé.
Moi je commence à ressembler à un soufflet de forge, mais je m’accroche, bien que cet homme, la quarantaine, modère sa vitesse de course.
• C’est la première fois que je vous vois, venez-vous d’arriver !
• Depuis le premier jour du moissss, mais avant ce matin, j’avais autre chose à fairrrrre.
• Arrêtons-nous, je vais vous apprendre à respirer, vous vous asphyxiez.
Soufflet de forge, pire, autobus en perdition dans un embouteillage.
• Il faut respirer avec son diaphragme, tes poumons vont suivre.
Pour me montrer comment faire, il me met sa main sur mon ventre juste au-dessus de mon collant, son autre dernière ma nuque.
• Plis, tu remontes, laisse pendre tes bras en les faisant bouger, ça oxygène le sang et tu gagneras du souffle et du foncier.
Voilà comme ça, tu sens tes poumons se dégager !
Je sens, oui, mais surtout je vois, cette verge vue de loin est bien celle que je pensais, elle me fait envie, mais je serais une salope si je sautais dessus.
Longue et fine, elle me fait envie, mais nous sommes sur une plage naturisme et non pas une plage échangiste, ça, ça semble être réservé dans des lieux clos et protégés des regards des autres.
Je sais, il y a la pinède, mais je pense que les gens qui font ça comme Clarisse me l’a fait faire, on prend des risques de se retrouver avec une poursuite pour exhibitionnisme.
• Viens, veux-tu me suivre, je vais te faire travailler d’autres mouvements.
Marche en écartant tes bras, là encore tu oxygènes tes jolis poumons.
Je prends conscience qu’il s’est mis à me tutoyer comme si nous étions de vieux copains, mais que par ses derniers propos il me drague.
Le suivre, il aurait pu ajouter « en tout bien tout honneur », mais ces quelques mots, il semble les avoir oubliés.
Il me fait rejoindre la pinède en faisant de grands moulinets, c’est vrai que je me sens en meilleure oxygénation, j’ai bien repris ma respiration.
• Fait comme moi, places tes mains sur ce pin, attention bien à plat une écorce pourrait te couper.
C’est bien, recule un peu tes jambes et pousse comme si tu voulais le faire reculer.
Parfait tu es une bonne élève, ainsi tu fais travailler tes muscles de jambes, ça te donnera de la puissance.
Sois sans crainte, je passe derrière toi.
Je pousse, mais je sens qu’il vient se coller à moi.
Je sens son souffle dans mon cou.
Mince que fait-il, il glisse sa main dans mon collant, je pense qu’il veut me caresser la chatte.
Mais, hélas, il l’a ressort, me mettant sous le nez, une petite pochette de plastique que je connais bien.
• J’avais vu juste, lorsque je t’ai vu, je me suis demandé pourquoi cette jolie femme courrait sur une plage naturiste avec un collant.
Généralement celles qui ont leurs règles s’abstiennent de ce genre d’effort.
En te faisant faire tes mouvements, j’ai vu à travers ton collant cet étui avec une capote.
Tu es venue courir de bonne heure espérant trouver chaussure à ton pied et si tu avais la chance de rencontrer une verge comme la mienne de te faire sauter comme la salope que tu es !
Je me trompe !
J’étais essoufflé à courir, mais cet homme dont j’ignore l’identité à tout compris.
Hier, j’ai choisi de me rapprocher de Gaétan alors que j’avais cinq verges inconnues à notre disposition.
Hier, lorsque j’ai pris ma fille dans mes bras et que je la portais ses bras autour de mon cou, je suis passée par la salle à manger de nos amis.
Sur la table, il y avait un saladier avec des capotes, une idée qui pourrait paraître farfelue a traversé mon esprit.
Si je retournais demain matin vers la pinède et si la chance était avec moi me faire sauter avec un autre que mon mari.
Jusqu’à maintenant, j’avais subi la volonté de tous de faire de moi une salope.
En prenant quelques capotes, les autres étant dans mon sac à main, si par chance et pour lui et pour moi, un queutard était là, j’aurais tout ce qu’il fallait pour me faire baiser.
J’ai eu un problème, où placer cette capote ?
À part ma chatte, nulle part ou la cacher, c’est là que j’ai pensé au collant.
Ce que j’ignorais c’est que je réaliserais mon fantasme, mais que c’est un joggeur sur la plage qui m’aiderait à le réaliser.
• Couvre-toi et baise-moi, mon bel inconnu ?
• Gilbert !
• Gladys va y baise-moi.
Gilbert, encore un nouveau G sans pour autant faire partie de la famille avec un grand G, ça c’est réservé à mon mari et mes enfants.
• Veux-tu que je t’aide à bander ?
• Inutile, j’enfile ma capote, garde la tienne, regarde, sur mon bras, dans mon cardio, il y a une poche pour y glisser ma carte bancaire, une capote peut y être placée.
Je suis toujours à pousser mon pin, j’entends le claquement du latex quand il la déplie sur cette verge très longue.
Il cherche deux secondes, je suis trempé, c’est la première fois que je m’offre à un homme sans la présence de Gaétan.
Un mouvement de haut en bas, mon clito le sent passer participant à la fête du slip, même, si je suis sans.
Une poussée, sa verge est en moi elle est longue, longue, longue, allez encore une « longue » et je suis sûr qu’il en reste encore dehors.
C’est moi qui me donne le coup de grâce, je pousse, le pin vers l’avant et mes fesses vers l’arrière.
J’ignorais avoir une chatte si profonde, je sens ses couilles sur mes fesses.
Il me pilonne de nombreuses fois, je commence à émettre des borborygmes et comme si j’avais poursuivi mon jogging sur deux ou trois kilomètres, je cherche désespérément de l’air.
Il sort et rentre, je sens qu’il va se tromper de direction.
● Non, mon anus, c’est réservé à mon mari.
J’avais envie d’ajouter « depuis hier », mais je me tais, car il entre de nouveau au fond de ma chatte.
● Excuse, tu as le droit !
Pour retrouver de l’air faire travailler mon diaphragme, j’ai retenu la leçon et mon corps tout entier s’embrase.
Je sens qu’il éclate en moi, mais je m’aperçois qu’il me manque le contact du sperme dans mon vagin.
C’était la première fois que l’on me baisait avec capote.
Je sais hier au soir Alain, il m’a baisé !
J’étais si enflammée à le faire surtout devant Gaétan que mon cerveau est dans l’incertitude.
Alors, capote ou non capote ?...
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