COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison IV et de l’histoire (13/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison IV et de l’histoire (13/13)
• Attendez, je file chercher une capote, je te cherchais Gladys et je suis venue sans capote, j’ignorais que tu étais avec Marie et que tu me l’offrirais !
C’est ce que me dit Gaétan alors qu’il s’apprête à faire l’amour avec Marie, jeune fille qui a ce jour a été frustrée principalement par son père.
Ce père, qui semble être du genre, « faite ce que je dis, mais pas ce que je fais ».
Si j’écoute les dire de Gilbert son gendre, son beau-père a pour son compte personnel des instincts homosexuels.
Après lui avoir taillé une pipe, il l’a vu se faire enculer par un jeune homme dans les dunes.
Qu’il soit homo c’est son droit, mais empêcher sa famille avec une main de fer, eux aussi le libertinage, nous trouvons cela intolérable.
Marie cumule tous les handicapent, car elle nous explique que Gilbert son mari est dans l’incapacité de lui faire un enfant.
Ses spermatos ayant des difficultés à foncer vers leur cible.
Avec Clarisse, celle avec qui j’ai franchi ce même parcourt en peu de temps afin de sauver mon couple, m’aide sous couvert d’avoir une solution pour qu’elle ait un enfant sans dévoiler l’impuissance de son mari.
La salope, c’est en perçant aléatoirement des capotes qu’elle donne à chacun de ses partenaires, qu’elle permet au sperme de nos hommes d’en laisser passer une quantité suffisante pour qu’elle devienne mère.
Le couple est invité à la soirée barbecue que Clarisse organise tous les 15 aout.
Ça tombe bien, ce jour est le jour de son anniversaire.
Ce que nous voulons surtout, c’est la libérer de la tutelle de son père.
Mais ce que nus voulons aussi c’est que son mari soit père grâce au subterfuge de Clarisse.
La jeune femme nous avoue avoir découvert sa propre homosexualité lors d’un camp de scouts avec une certaine Christine.
Cette jeune femme est une autre cheffe de groupe toutes les deux étant majeure.
Quand je l’emmène dans notre chambre, c’est elle qui me montre le niveau de connaissance qu’elle a des pratiques lesbiennes, moi qui ai eu une initiation par Clarisse.
C’est la petite chatte de notre amie que nous venons de satisfaire quand mon mari nous retrouve.
• Reste Gaétan, tu peux faire l’amour à Marie, elle est comme moi elle vient d’avoir ses règles et sa période d’ovulation vient de s’achever.
Regarde comme elle a envie et toi tu augmenteras tes sensations qui seront plus fortes qu’avec une capote.
Crois-moi, j’en ai fait l’expérience avec toi, lorsque nous faisons l’amour et avec Gilbert tout à l’heure.
Comme tous les hommes, mon mari est un ignorant des périodes féminines.
Je sais en le faisant enfiler mon amie que je multiplie les risques d’une grossesse.
Mais je suis cohérente avec moi-même, il y a quelques minutes je viens de dire que si Marie nous avait demandé du sperme pour une PMA, j’aurais accepté de lui en fournir.
Lorsque Gaétan décharge au fond de sa chatte, j’ai l’impression que c’est moi qui pratique cette PMA en direct pour le bien de notre couple.
Voilà, dans les jours, qui ont suivi nous avons été avec les différents couples chez les uns ou chez les autres.
Le jour où nous avons été invité chez Marie et Gilbert, Abby gardait les enfants, comme tous les jeunes, quelques billets ont été les bienvenues pour qu’elle accepte de nous rendre service.
C’est dans la piscine que Gaétan se présentant derrière Marie l’a prise alors qu’elle avait les seins reposant dans l’eau du système de débordement.
C’est sur un transat que j’ai fait l’amour sans capote, moi seule sachant que j’avais un risque zéro de me retrouver enceinte.
Les vacances terminées, nous sommes rentrés à Paris afin de préparer la rentrée des classes.
Pour une mère de famille, c’est bien moins excitant que de sucer la verge des différents compagnons que j’ai eu dans la pinède ou les diverses maisons ou nous avons baisé.
Chacun a repris sa vie, mais nous les femmes sont restées en contact chacune ayant pris le numéro de portable des autres.
• Gladys, je veux que tu sois la première à apprendre que je suis enceinte, Gilbert est aux anges, il se voit déjà pousser la poussette.
Merci pour tous et pour m’avoir prêté ton mari.
• Prêté seulement, car depuis que nous sommes revenues, je vis une seconde lune de miel.
À l’été prochain pour que je te serre dans mes bras, mais tient moi au courant de l’évolution des petits pieds qui pousse en toi.
Quelques jours et c’est Clarisse qui m’appelle.
• Gladys, sais-tu ce qui nous arrive avec Alain, je suis enceinte.
Heureusement, qu’à chaque fois que j’ai eu des rapports avec vos hommes, je mettais des capotes.
Marie m’a dit qu’elle t’avait appelé et qu’elle aussi est enceinte.
Ça doit être maladif, Abby rentré en Angleterre vient de m’annoncer qu’elle attend, elle aussi un enfant.
Elle aussi chaque fois avec les hommes se protégeait.
Serait-il possible que les capotes que je vous ai fournies aient été défectueuses, je vais voir si je leur fais un procès ?
• Inutile Clarisse, Gilbert risquerait de connaître ta supercherie et ça je pense qu’il faut éviter de lui dévoiler.
• Qu’entent tu par supercherie !
• J’ai des yeux, même si les trous étaient gros comme une tête d’épingle.
• Tu as raison, j’ai fait l’amour avec Alain bien des fois et il y a de fortes chances que ce soit lui le père.
Quant aux petits trous, c’est donc bien un défaut de fabrication.
Quelque mauvaise foi, surtout que quelques jours plus tard, c’est moi qui annonce à Gaétan qu’il va être papa avant de le dire aux enfants.
À oui, j’oubliais, moi aussi j’ai su faire des trous à travers les étuis des capotes placées dans le saladier.
J’ai gardé une boîte où Clarisse en avait laissé quelqu’une sans les petits trous.
Gaétan peut être certain qu’il est le papa de notre troisième enfant.
C’est quelques jours après que Clarisse m’appelle.
• Gladys, je suis à la villa dans les landes et je range avant l’hiver !
Sais-tu par hasard, qui a pris la boîte de capotes dans le placard de la cuisine ?
Je l’avais rangé là pour éviter que les enfants puissent les trouver.
Ce sont celles qui restaient de celle qui m’ont servi pour que Marie tombe enceinte.
Il devait y en avoir sept ou huit, quelqu’un a dû sans servir, la boîte a disparu !
Pas de bol, moi aussi je sais maintenant que Gwendoline et Gabriel vont peut-être avoir un demi-frère ou une demi-sœur, il est trop top pour le savoir.
Ce qu’il y a de certain, c’est que l’an prochain, les maisons jumelles et mitoyennes résonneront de cris d’enfants tous, peut-être d’ADN identique.
Voilà, après quatre saisons, notre histoire se termine.
Certes, loin d’être d’une morale à toute épreuve, mais qui plairont à notre amie « la Chippie » les hommes dans cette histoire, sortaient couverts !!!
C’est ce que me dit Gaétan alors qu’il s’apprête à faire l’amour avec Marie, jeune fille qui a ce jour a été frustrée principalement par son père.
Ce père, qui semble être du genre, « faite ce que je dis, mais pas ce que je fais ».
Si j’écoute les dire de Gilbert son gendre, son beau-père a pour son compte personnel des instincts homosexuels.
Après lui avoir taillé une pipe, il l’a vu se faire enculer par un jeune homme dans les dunes.
Qu’il soit homo c’est son droit, mais empêcher sa famille avec une main de fer, eux aussi le libertinage, nous trouvons cela intolérable.
Marie cumule tous les handicapent, car elle nous explique que Gilbert son mari est dans l’incapacité de lui faire un enfant.
Ses spermatos ayant des difficultés à foncer vers leur cible.
Avec Clarisse, celle avec qui j’ai franchi ce même parcourt en peu de temps afin de sauver mon couple, m’aide sous couvert d’avoir une solution pour qu’elle ait un enfant sans dévoiler l’impuissance de son mari.
La salope, c’est en perçant aléatoirement des capotes qu’elle donne à chacun de ses partenaires, qu’elle permet au sperme de nos hommes d’en laisser passer une quantité suffisante pour qu’elle devienne mère.
Le couple est invité à la soirée barbecue que Clarisse organise tous les 15 aout.
Ça tombe bien, ce jour est le jour de son anniversaire.
Ce que nous voulons surtout, c’est la libérer de la tutelle de son père.
Mais ce que nus voulons aussi c’est que son mari soit père grâce au subterfuge de Clarisse.
La jeune femme nous avoue avoir découvert sa propre homosexualité lors d’un camp de scouts avec une certaine Christine.
Cette jeune femme est une autre cheffe de groupe toutes les deux étant majeure.
Quand je l’emmène dans notre chambre, c’est elle qui me montre le niveau de connaissance qu’elle a des pratiques lesbiennes, moi qui ai eu une initiation par Clarisse.
C’est la petite chatte de notre amie que nous venons de satisfaire quand mon mari nous retrouve.
• Reste Gaétan, tu peux faire l’amour à Marie, elle est comme moi elle vient d’avoir ses règles et sa période d’ovulation vient de s’achever.
Regarde comme elle a envie et toi tu augmenteras tes sensations qui seront plus fortes qu’avec une capote.
Crois-moi, j’en ai fait l’expérience avec toi, lorsque nous faisons l’amour et avec Gilbert tout à l’heure.
Comme tous les hommes, mon mari est un ignorant des périodes féminines.
Je sais en le faisant enfiler mon amie que je multiplie les risques d’une grossesse.
Mais je suis cohérente avec moi-même, il y a quelques minutes je viens de dire que si Marie nous avait demandé du sperme pour une PMA, j’aurais accepté de lui en fournir.
Lorsque Gaétan décharge au fond de sa chatte, j’ai l’impression que c’est moi qui pratique cette PMA en direct pour le bien de notre couple.
Voilà, dans les jours, qui ont suivi nous avons été avec les différents couples chez les uns ou chez les autres.
Le jour où nous avons été invité chez Marie et Gilbert, Abby gardait les enfants, comme tous les jeunes, quelques billets ont été les bienvenues pour qu’elle accepte de nous rendre service.
C’est dans la piscine que Gaétan se présentant derrière Marie l’a prise alors qu’elle avait les seins reposant dans l’eau du système de débordement.
C’est sur un transat que j’ai fait l’amour sans capote, moi seule sachant que j’avais un risque zéro de me retrouver enceinte.
Les vacances terminées, nous sommes rentrés à Paris afin de préparer la rentrée des classes.
Pour une mère de famille, c’est bien moins excitant que de sucer la verge des différents compagnons que j’ai eu dans la pinède ou les diverses maisons ou nous avons baisé.
Chacun a repris sa vie, mais nous les femmes sont restées en contact chacune ayant pris le numéro de portable des autres.
• Gladys, je veux que tu sois la première à apprendre que je suis enceinte, Gilbert est aux anges, il se voit déjà pousser la poussette.
Merci pour tous et pour m’avoir prêté ton mari.
• Prêté seulement, car depuis que nous sommes revenues, je vis une seconde lune de miel.
À l’été prochain pour que je te serre dans mes bras, mais tient moi au courant de l’évolution des petits pieds qui pousse en toi.
Quelques jours et c’est Clarisse qui m’appelle.
• Gladys, sais-tu ce qui nous arrive avec Alain, je suis enceinte.
Heureusement, qu’à chaque fois que j’ai eu des rapports avec vos hommes, je mettais des capotes.
Marie m’a dit qu’elle t’avait appelé et qu’elle aussi est enceinte.
Ça doit être maladif, Abby rentré en Angleterre vient de m’annoncer qu’elle attend, elle aussi un enfant.
Elle aussi chaque fois avec les hommes se protégeait.
Serait-il possible que les capotes que je vous ai fournies aient été défectueuses, je vais voir si je leur fais un procès ?
• Inutile Clarisse, Gilbert risquerait de connaître ta supercherie et ça je pense qu’il faut éviter de lui dévoiler.
• Qu’entent tu par supercherie !
• J’ai des yeux, même si les trous étaient gros comme une tête d’épingle.
• Tu as raison, j’ai fait l’amour avec Alain bien des fois et il y a de fortes chances que ce soit lui le père.
Quant aux petits trous, c’est donc bien un défaut de fabrication.
Quelque mauvaise foi, surtout que quelques jours plus tard, c’est moi qui annonce à Gaétan qu’il va être papa avant de le dire aux enfants.
À oui, j’oubliais, moi aussi j’ai su faire des trous à travers les étuis des capotes placées dans le saladier.
J’ai gardé une boîte où Clarisse en avait laissé quelqu’une sans les petits trous.
Gaétan peut être certain qu’il est le papa de notre troisième enfant.
C’est quelques jours après que Clarisse m’appelle.
• Gladys, je suis à la villa dans les landes et je range avant l’hiver !
Sais-tu par hasard, qui a pris la boîte de capotes dans le placard de la cuisine ?
Je l’avais rangé là pour éviter que les enfants puissent les trouver.
Ce sont celles qui restaient de celle qui m’ont servi pour que Marie tombe enceinte.
Il devait y en avoir sept ou huit, quelqu’un a dû sans servir, la boîte a disparu !
Pas de bol, moi aussi je sais maintenant que Gwendoline et Gabriel vont peut-être avoir un demi-frère ou une demi-sœur, il est trop top pour le savoir.
Ce qu’il y a de certain, c’est que l’an prochain, les maisons jumelles et mitoyennes résonneront de cris d’enfants tous, peut-être d’ADN identique.
Voilà, après quatre saisons, notre histoire se termine.
Certes, loin d’être d’une morale à toute épreuve, mais qui plairont à notre amie « la Chippie » les hommes dans cette histoire, sortaient couverts !!!
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