COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison II (5/6)
Lorsque je suis arrivé en vacances dans cette villa du bord de mer dans les Landes, j’étais à deux doigts de demander le divorce.
Les doigts, ce sont ceux de Gladys, ma femme que j’espérais qu’elle s’émancipe un peu.
Ces doigts, c’est elle qui les fait pénétrer dans la chatte de Clarisse, notre propriétaire de la villa mitoyenne à celle qu’elle nous loue.
Quel regret d’avoir attendu si longtemps de mettre les points sur les I.
Elle vient de m’offrir la chatte de Clarisse avant de se faire enculer.
Dire que c’était un de mes phantasmes et que c’est elle qui a guidé ma verge vers son anus.
De retour sur la plage, elle se fait pommader son petit trou que Clarisse a pénétré à sec.
C’est à ce moment que j’entends les enfants arriver.
Je reçois mon fils dans mes bras et Gladys notre fille.
Celle qui vient s’arrêter à ma hauteur sort les jouets d’un sac sa chatte à la hauteur de mes yeux.
Rousse pour elle, sa toison bien taillée mais entière.
Brune pour ma femme, avec cette petite touffe si gracieuse qu’elle m’a fait voir un jour lorsqu’elle est allée à son institut de beauté.
Comme bien des maris, je trouvais un peu chère cette dépense simplement pour se faire tailler les poils.
Si je connaissais, l’esthéticienne qui a réussi à lui faire accepter cette transformation contre son éducation rigoriste en lui raccourcissant son tablier de sapeur, je l’embrasserais.
Rousse, brune et blonde, Clarisse complétant le trio des femmes, Clarisse que Gladys vient de m’offrir dans cette pinède.
Je sens que je recommence à bander.
Je prends mon fils par la main et je file avec lui vers l’eau.
La fraîcheur de la mer remet tout en place pour affronter la situation de notre famille.
C’est drôle de voir mon mari courir avec son fils vers la mer.
J’ai nettement vu qu’à l’arrivée d’Abby, la jeune baby-sitter anglaise ici pour parfaire son Français en gardant les jumelles de Clarisse, voyant sa touffe rousse il a recommencé à bander.
Savoir qu’il bande pour cette petite, mais majeur me met en joie.
Hier au soir, Clarisse et elle enfilaient autre chose, que des perles, dans la chambre de Clarisse et d’Alain, son mari qui est retenu à Bordeaux par son entreprise.
À l’arrivée des enfants et surtout de ma fille venue naturellement dans mes bras sans se poser plus de questions sur ma nudité.
Voir mon mari bander devant Abby, moi-même j’ai la chatte en feu.
Dire qu’il y a quelques heures, j’étais chaste et pure suivant les préceptes de mon père.
Clarisse, me pommadant l’anus après que je me sois fait enculer par Gaétan, l’enlève précipitamment.
Rapidement les quatre enfants font un château de sable sous la conduite des jumelles qui semblent les avoir adoptés.
Gaétan est revenu et s’est remis sur sa serviette.
Vu sa position, il semble avoir repris le contrôle de sa bite.
Abby sort de son sac des raquettes avec balle en mousse.
• Tu, vous jouez avec moi !
Avec son joli accent, elle invite Gaétan.
• Oui, je veux bien jouer avec vous !
• Abby, je t’ai déjà expliqué qu'avec des amis ont emploi le « tu ».
• C’est difficile Clarisse, chez nous, « tu ou vous, c’est You ».
• Ce sont les subtilités de la langue française ma petite chérie, tu es ici pour l’approfondir.
Hier, pour l’approfondir, elles l’approfondissaient, mais les langues qu’elles se servaient étaient placées à un autre endroit et semblaient très agiles.
Derrière mes lunettes de soleil, je suis des yeux les enfants pendant que Abby joue aux raquettes avec mon homme.
Voir sa queue bringuebaler dans tous les sens ainsi que les seins de la jeune anglaise amplifie mon envie de baiser, mais j’arrive à me dominer.
• Bonjour, je vois que tout le monde s’amuse ou se repose, ça fait du bien d’être en vacances.
Je me retourne, un homme un peu plus vieux que nous, grand, cheveux poivre et sel, se tient derrière nous, lui aussi une serviette sur l’épaule dans le plus simple appareil.
Clarisse, féline, se relève et lui saute au cou.
Sabine et Aline arrivent très vite suivie d’Abby laissant en plan Gaétan.
Très vite, ils sont tous dans les bras les uns les autres.
L’arrivée du mari a créé l’effervescence, mais m’apporte une vraie surprise lorsque Gaétan approche.
• Salut Gaétan, comment va depuis notre première rencontre.
Je tombe des nues, mon mari et Alain semblent se connaître, je dois faire une tête de dix pieds de long.
• Holà, je pense qu’à la tête de Gladys, j’ai fait un imper, vous lui avez caché notre accord.
• Alain, c’est de ma faute, depuis qu’ils sont arrivés, j’ai essayé de trouver un moyen d’expliquer à Gladys comme nous l’avions promis à Gaétan.
J’allais le faire ce soir avant ton retour.
Gladys nous avions rencontré ton mari au mois d’avril, lorsqu’il était venu régler des problèmes d’informatique dans notre société.
Avant qu’elle en dise plus, je me lève et je pars me réfugier dans cette villa du vice et particulièrement dans la chambre de Gwendoline, la première en entrant.
Ça fait mal de penser avoir été trahi, tout ceci était un coup monté pour que je me décoince.
Leur espérance était plus qu’atteinte, je me sentais sale à la limite d’être devenue une salope.
Je pleure à chaudes larmes quand on frappe à la porte.
• Chérie, ouvre, je vais tout t’expliquer.
• Dégage, c’est moi qui vais divorcer, tu m’as humilié.
• Chérie, je t’aime, je voulais sauver notre couple, je t’aime.
• Tu m’aimes au point de faire de ta femme la mère de tes enfants une pute.
• Voilà tu redeviens celle que j’exècre, outrancière à souhait.
Question et réponse atténuées par la porte nous séparant.
• Gladys, si tu en veux à Gaétan, je te comprends, mais c’est moi la fautive, j’aurais dû faire ce qui était prévu et tout te dire dès ton arrivée avant de débuter les rapports entre nous.
• Dégage, sale pute, va te faire baiser par tout ce qui bouge.
Tous semblent partis et j’entends les enfants qui doivent jouer,mais dans la villa de mes suborneurs.
Ça fait bien une demi-heure que je pleure, mais elles se tarissent, lorsque j’entends que l’on gratte à la porte, comme si une petite souris était derrière.
• C’est Abby, Gladys ouvre nous, je veux avoir conversation avec You !
Elle est touchante, je suis à deux doigts de lui faire des corrections de son français, mais je vais à ma porte que j’ouvre et que je referme dès qu’elle est entrée.
• Je suis aussi , un peu fautive, je savais tout et j’avais promis de garder les enfants pendant que toi tu connaissais le sexe.
• Tu es gentille Abby, mais lorsque je me suis disputée à Paris avec Gaétan, j’avais pris conscience des dangers que courait mon couple.
De là à ce que l’on me force la main, il y a un monde qu’ils m’ont obligé à franchir.
En parlant, nous sommes venus vers le lit de ma fille, nous assayant côte à côte.
Elle me prend la main.
• Tu sais, ton mari t’aime, mais je veux que tu me punisses pour avoir voulu aimer toi.
• Comment aimez-toi ?
• J’ai été méchante, de garder pour moi, ce que je savais.
Tu sais, j’ai eu éducation anglaise avec badine, fesses à l’air devant toute la classe, si tu veux me fesser pour que tu me pardonnes !
Elle est émouvante, se sacrifier pour le bien de mon couple, je devrais la repousser, mais sans le vouloir je réagis bien autrement.
Je lui prends la tête dans mes mains, ma bouche vient se poser sur la bouche de cette jolie anglaise rousse aux yeux verts.
Les quelques taches de rousseur sur son joli petit nez me montrent la jeunesse de celle que j’embrasse sans plus me poser de questions.
Sa bouche, son nez, ses yeux, je veux tout embrasser d’elle afin de me prouver que je suis bien devenue une salope.
Je vais faire une confidence, j’aime ça surtout lorsque nous dévastons le lit.
Je suis débutante, je le sais, mais Abby est bien en avance sur moi et je me laisse guider.
C’est moi la vieille, c’est elle la jeune expérimentée me faisant allonger et s’allongeant sur moi, sa bouche rejoint ma chatte.
J’écarte la sienne pour mieux la pénétrer de ma langue.
J’avais entendu parler de l’odeur des rousses, mon nez sur son clito me fait sentir que c’était vrai.
Rapidement nos corps s’embrasent et elle me fait jouir autant, même plus, que je jouis avec en prime de la cyprine qui coule en abondance dans ma bouche.
Abby, viens de finir de faire de moi une parfaite gougnotte, une parfaite femme bisexuelle comme le dit Clarisse qu’a ce moment, j’ai du mal à lui en vouloir.
Nous passons dans la baignoire nous savonnant l’une l’autre.
• Viens rejoignons les autres.
• Je vais être ridicule d’avoir réagi comme ça.
Elle m’embrasse, ça finit de cicatriser ma plaie.
• Merci Abby de nous l’avoir ramenée, j’aurais eu du mal à me pardonner de t’avoir fait souffrir.
• Celle qui va souffrir, c’est toi, Abby m’a touché deux mots de son éducation anglaise, elle voulait que je la fesse pensant qu’elle était un peu responsable.
J’avance jusqu’à Clarisse, je lui prends par son bras et je m’assieds sur une chaise de la terrasse.
Je la couche sur mes genoux et avant qu’elle ait le temps de se poser des questions, je commence à lui claquer les fesses.
Je vais tomber ma main bien à plat.
Rapidement la salope commence à se tortiller.
• Ah ! oui, c’est bon, continue, je vais jouir...
Les doigts, ce sont ceux de Gladys, ma femme que j’espérais qu’elle s’émancipe un peu.
Ces doigts, c’est elle qui les fait pénétrer dans la chatte de Clarisse, notre propriétaire de la villa mitoyenne à celle qu’elle nous loue.
Quel regret d’avoir attendu si longtemps de mettre les points sur les I.
Elle vient de m’offrir la chatte de Clarisse avant de se faire enculer.
Dire que c’était un de mes phantasmes et que c’est elle qui a guidé ma verge vers son anus.
De retour sur la plage, elle se fait pommader son petit trou que Clarisse a pénétré à sec.
C’est à ce moment que j’entends les enfants arriver.
Je reçois mon fils dans mes bras et Gladys notre fille.
Celle qui vient s’arrêter à ma hauteur sort les jouets d’un sac sa chatte à la hauteur de mes yeux.
Rousse pour elle, sa toison bien taillée mais entière.
Brune pour ma femme, avec cette petite touffe si gracieuse qu’elle m’a fait voir un jour lorsqu’elle est allée à son institut de beauté.
Comme bien des maris, je trouvais un peu chère cette dépense simplement pour se faire tailler les poils.
Si je connaissais, l’esthéticienne qui a réussi à lui faire accepter cette transformation contre son éducation rigoriste en lui raccourcissant son tablier de sapeur, je l’embrasserais.
Rousse, brune et blonde, Clarisse complétant le trio des femmes, Clarisse que Gladys vient de m’offrir dans cette pinède.
Je sens que je recommence à bander.
Je prends mon fils par la main et je file avec lui vers l’eau.
La fraîcheur de la mer remet tout en place pour affronter la situation de notre famille.
C’est drôle de voir mon mari courir avec son fils vers la mer.
J’ai nettement vu qu’à l’arrivée d’Abby, la jeune baby-sitter anglaise ici pour parfaire son Français en gardant les jumelles de Clarisse, voyant sa touffe rousse il a recommencé à bander.
Savoir qu’il bande pour cette petite, mais majeur me met en joie.
Hier au soir, Clarisse et elle enfilaient autre chose, que des perles, dans la chambre de Clarisse et d’Alain, son mari qui est retenu à Bordeaux par son entreprise.
À l’arrivée des enfants et surtout de ma fille venue naturellement dans mes bras sans se poser plus de questions sur ma nudité.
Voir mon mari bander devant Abby, moi-même j’ai la chatte en feu.
Dire qu’il y a quelques heures, j’étais chaste et pure suivant les préceptes de mon père.
Clarisse, me pommadant l’anus après que je me sois fait enculer par Gaétan, l’enlève précipitamment.
Rapidement les quatre enfants font un château de sable sous la conduite des jumelles qui semblent les avoir adoptés.
Gaétan est revenu et s’est remis sur sa serviette.
Vu sa position, il semble avoir repris le contrôle de sa bite.
Abby sort de son sac des raquettes avec balle en mousse.
• Tu, vous jouez avec moi !
Avec son joli accent, elle invite Gaétan.
• Oui, je veux bien jouer avec vous !
• Abby, je t’ai déjà expliqué qu'avec des amis ont emploi le « tu ».
• C’est difficile Clarisse, chez nous, « tu ou vous, c’est You ».
• Ce sont les subtilités de la langue française ma petite chérie, tu es ici pour l’approfondir.
Hier, pour l’approfondir, elles l’approfondissaient, mais les langues qu’elles se servaient étaient placées à un autre endroit et semblaient très agiles.
Derrière mes lunettes de soleil, je suis des yeux les enfants pendant que Abby joue aux raquettes avec mon homme.
Voir sa queue bringuebaler dans tous les sens ainsi que les seins de la jeune anglaise amplifie mon envie de baiser, mais j’arrive à me dominer.
• Bonjour, je vois que tout le monde s’amuse ou se repose, ça fait du bien d’être en vacances.
Je me retourne, un homme un peu plus vieux que nous, grand, cheveux poivre et sel, se tient derrière nous, lui aussi une serviette sur l’épaule dans le plus simple appareil.
Clarisse, féline, se relève et lui saute au cou.
Sabine et Aline arrivent très vite suivie d’Abby laissant en plan Gaétan.
Très vite, ils sont tous dans les bras les uns les autres.
L’arrivée du mari a créé l’effervescence, mais m’apporte une vraie surprise lorsque Gaétan approche.
• Salut Gaétan, comment va depuis notre première rencontre.
Je tombe des nues, mon mari et Alain semblent se connaître, je dois faire une tête de dix pieds de long.
• Holà, je pense qu’à la tête de Gladys, j’ai fait un imper, vous lui avez caché notre accord.
• Alain, c’est de ma faute, depuis qu’ils sont arrivés, j’ai essayé de trouver un moyen d’expliquer à Gladys comme nous l’avions promis à Gaétan.
J’allais le faire ce soir avant ton retour.
Gladys nous avions rencontré ton mari au mois d’avril, lorsqu’il était venu régler des problèmes d’informatique dans notre société.
Avant qu’elle en dise plus, je me lève et je pars me réfugier dans cette villa du vice et particulièrement dans la chambre de Gwendoline, la première en entrant.
Ça fait mal de penser avoir été trahi, tout ceci était un coup monté pour que je me décoince.
Leur espérance était plus qu’atteinte, je me sentais sale à la limite d’être devenue une salope.
Je pleure à chaudes larmes quand on frappe à la porte.
• Chérie, ouvre, je vais tout t’expliquer.
• Dégage, c’est moi qui vais divorcer, tu m’as humilié.
• Chérie, je t’aime, je voulais sauver notre couple, je t’aime.
• Tu m’aimes au point de faire de ta femme la mère de tes enfants une pute.
• Voilà tu redeviens celle que j’exècre, outrancière à souhait.
Question et réponse atténuées par la porte nous séparant.
• Gladys, si tu en veux à Gaétan, je te comprends, mais c’est moi la fautive, j’aurais dû faire ce qui était prévu et tout te dire dès ton arrivée avant de débuter les rapports entre nous.
• Dégage, sale pute, va te faire baiser par tout ce qui bouge.
Tous semblent partis et j’entends les enfants qui doivent jouer,mais dans la villa de mes suborneurs.
Ça fait bien une demi-heure que je pleure, mais elles se tarissent, lorsque j’entends que l’on gratte à la porte, comme si une petite souris était derrière.
• C’est Abby, Gladys ouvre nous, je veux avoir conversation avec You !
Elle est touchante, je suis à deux doigts de lui faire des corrections de son français, mais je vais à ma porte que j’ouvre et que je referme dès qu’elle est entrée.
• Je suis aussi , un peu fautive, je savais tout et j’avais promis de garder les enfants pendant que toi tu connaissais le sexe.
• Tu es gentille Abby, mais lorsque je me suis disputée à Paris avec Gaétan, j’avais pris conscience des dangers que courait mon couple.
De là à ce que l’on me force la main, il y a un monde qu’ils m’ont obligé à franchir.
En parlant, nous sommes venus vers le lit de ma fille, nous assayant côte à côte.
Elle me prend la main.
• Tu sais, ton mari t’aime, mais je veux que tu me punisses pour avoir voulu aimer toi.
• Comment aimez-toi ?
• J’ai été méchante, de garder pour moi, ce que je savais.
Tu sais, j’ai eu éducation anglaise avec badine, fesses à l’air devant toute la classe, si tu veux me fesser pour que tu me pardonnes !
Elle est émouvante, se sacrifier pour le bien de mon couple, je devrais la repousser, mais sans le vouloir je réagis bien autrement.
Je lui prends la tête dans mes mains, ma bouche vient se poser sur la bouche de cette jolie anglaise rousse aux yeux verts.
Les quelques taches de rousseur sur son joli petit nez me montrent la jeunesse de celle que j’embrasse sans plus me poser de questions.
Sa bouche, son nez, ses yeux, je veux tout embrasser d’elle afin de me prouver que je suis bien devenue une salope.
Je vais faire une confidence, j’aime ça surtout lorsque nous dévastons le lit.
Je suis débutante, je le sais, mais Abby est bien en avance sur moi et je me laisse guider.
C’est moi la vieille, c’est elle la jeune expérimentée me faisant allonger et s’allongeant sur moi, sa bouche rejoint ma chatte.
J’écarte la sienne pour mieux la pénétrer de ma langue.
J’avais entendu parler de l’odeur des rousses, mon nez sur son clito me fait sentir que c’était vrai.
Rapidement nos corps s’embrasent et elle me fait jouir autant, même plus, que je jouis avec en prime de la cyprine qui coule en abondance dans ma bouche.
Abby, viens de finir de faire de moi une parfaite gougnotte, une parfaite femme bisexuelle comme le dit Clarisse qu’a ce moment, j’ai du mal à lui en vouloir.
Nous passons dans la baignoire nous savonnant l’une l’autre.
• Viens rejoignons les autres.
• Je vais être ridicule d’avoir réagi comme ça.
Elle m’embrasse, ça finit de cicatriser ma plaie.
• Merci Abby de nous l’avoir ramenée, j’aurais eu du mal à me pardonner de t’avoir fait souffrir.
• Celle qui va souffrir, c’est toi, Abby m’a touché deux mots de son éducation anglaise, elle voulait que je la fesse pensant qu’elle était un peu responsable.
J’avance jusqu’à Clarisse, je lui prends par son bras et je m’assieds sur une chaise de la terrasse.
Je la couche sur mes genoux et avant qu’elle ait le temps de se poser des questions, je commence à lui claquer les fesses.
Je vais tomber ma main bien à plat.
Rapidement la salope commence à se tortiller.
• Ah ! oui, c’est bon, continue, je vais jouir...
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