COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison III (8/9)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison III (8/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison III (8/9)
Alors, capote ou non capote ?
C’est un peu con de me poser la question alors que j’ai baisé avec Alain à califourchon sur sa verge, quelques heures après l’avoir fait.
J’ai une circonstance atténuante comme on dit dans les tribunaux.
L’appel de ma fille à travers le « babyphone » lorsqu’elle m’a appelé au secours, une grande sorcière étant venue la tirer par les pieds.
À Paris, je me suis battu avec Gaétan qui laissait les enfants devant la télé.
Il m’a toujours dit qu’il les surveillait sauf le jour où il s’est endormi à leurs côtés.
Le dessin animé s’était terminé et le film qui suivait était sur « la nuit de l’horreur » et une sorcière, vraie Carabosse tyrannisait une petite fille.
Elle a cru que c’était elle que la sorcière emmenait dans sa tour maléfique et depuis certaines nuits, elle cauchemarde.
Ce fut l’une de nos dernières disputes avant celle où j’ai compris que le cul dans un couple, c’était le meilleur des moyens pour que cela dure.
Pour cette deuxième dispute, j’ai la certitude que certains voudront me démontrer que je suis dans le faux en ayant cédé à mes bas instincts comme ils le diront.
Qu’ils remballent leurs explications à quatre sous, j’y suis passée et je sais à quel point, j’ai failli perdre mon couple.

Mettre fait prendre comme Gilbert vient de me prendre, simplement en poussant un pin, ça présente un petit problème, ça fatigue, même si j’ai fini par réussir à équilibrer ma respiration.
Je m’écroule au pied de mon pin, jugeant que je l’avais assez poussé.
Gilbert en fait autant s'asseyant à mes côtés sa verge toujours recouverte de sa capote.
Je tire dessus, elle s’allonge quand je tire.
Grande et puissante, je comprends mieux les jets qu’il a lâchés lorsque nous avons joui.
Je tire tellement qu’elle explose nous arrosant de foutre jusque dans ma figure.
Je me penche et je commence à le sucer, ma fellation est efficace et nul besoin de capote, lorsqu’il lâche son sperme.
J’avale tout, léchant sa verge jusqu’aux couilles, la nettoyant pour éviter d’en perdre la moindre goutte.
Je relève ma tête.

• Alors messieurs on matte, venez, ma bouche est assez grande pour vous pomper et avaler votre sperme les deux en même temps.
Il est un peu con que ça soit le sable qui profite du foutre qui remplit vos couilles.

Les deux gars la bite en main, qui se masturbaient, semblent choqués de la salope qu’ils ont devant eux et partent en courant vers le fond de la pinède.

Je lui prends la main, il a une alliance.

• Je vois que tu es marié, ta femme est libertine !

Il éclate de rire, me laissant pantoise.

• Ma femme, que dire de ma femme, c’est une, j’allais dire bigote, non, simplement une coincée.
• Comme je l’étais au début de nos vacances.

Je me rends compte que je m’épanche devant un presque inconnu qui vient de me sauter, pour mon plus grand plaisir.
Alors, je me sens dans l’obligation de lui raconter succinctement ce qui m’est arrivé jusqu’au moment où j’ai décidé de faire du jogging pensant passer par la pinède, d’où la capote.

• Avoir une femme qui est comme toi, j’en rêve !
• Pourtant, tu cours nu sur cette plage, elle a accepté de venir dans ce secteur naturiste des Landes.
• Cette villa non loin de la tienne, c’est celle de mes beaux-parents, ils nous la prêtent pendant le mois d’août.
• Tes beaux-parents sont libertins !
• Non, ils sont arrivés avant que les naturistes s’installent et parmi eux au fil du temps des libertins et des échangistes.
Elle a vu des bites et des chattes toute son adolescence et depuis elle fait un blocage.
Lorsque nous nous sommes mariés, j’espérais qu’elle change, mais c’est de mal en pis, pourtant elle est mignonne.
Blonde aux yeux bleus, cinq ans de mariage, vingt-cinq ans demain, elle finit par se refuser, il y a trois mois que je claque du bec.
• Je comprends pourquoi tu as rempli ta capote, que j’ai fait exploser par manque de pratique de ma part.
Tu cours nu, elle l’accepte, c’est déjà un pas vers sa rédemption !
• C’est la première fois que je suis partie nu courir ce matin.
Elle m’a dit « va rejoindre tes putes et saute les autant que tu peux, moi mes fesses tu peux attendre longtemps ».
• Dit-moi, ça te posera problème si je trouve le moyen de la rencontrer et d'essayer de la faire changer d’avis.
Je suis professeur des écoles et on me dit savoir être persuasive avec les gens que je rencontre.
Dans mon travail, savoir manier des enfants rebelles c’est la plus grande partie de mon travail.
Mais il faudrait que je sois sûre qu’elle est chez vous et que je sois disponible.
As-tu un numéro de portable où je pourrais t’envoyer un message pour que tu t’éclipses et qu’elle soit seule ?
• À part ma bite, avec quoi écrire et sur quoi tes fesses ?
• Donne-moi ton numéro, la psychologie avec les êtres humains, surtout les enfants, la psycho dans mon couple lorsque j’ai pris conscience que Gaétan en voulait plus et les numéros, ce sont mes forces dans la vie courante.
• 06 02 .. .. .., j’attends ton appel, les capotes, dans ton cardio, ils vendent de bon tour de bras dans les magasins spécialisés.
Ils en vendent de très pratique chez Décathlon au centre commercial.
• Une dernière chose, avez-vous des enfants ?
• Non, c’est là aussi une partie du mal, on essayait désespérément jusqu’à ce qu’elle se refuse et il semble que la nature lui refuse d’être enceinte.
• Avez-vous consulté ?
• Elle voulait que moi j’aille consulter, tu as pu constater que de mon côté tout va bien !
• Vous pensez à une procréation artificielle !
• Même pas en rêve, Marie, née le 15 août ayant défilé à Paris cet hiver contre ces pratiques.
• Je vois, c’est loin d’être simple.

Il s’est levé, me faisant un signe et reprenant son jogging partant vers son destin.
Moi je rentre, mince à la pendule il est 9 heures, par chance les enfants dorment encore, Gaétan est debout préparant du café.

• Chéri, je vais prendre une douche, je suis couverte de sperme, je viens de baiser dans la pinède à peu près là où je t’ai offert Clarisse et où tu m’as enculée.

Une fraction de seconde, je crois qu’il va faire une attaque, mais il doit prendre conscience qu’il a voulu une salope et qu’il l’a trouvée.

• Prends un café, nous allons la prendre ensemble, nous fermerons à clef dans la salle de bains.
Abby et Alice m’ont bien vidé hier alors que tu étais rentrée avec Gwendoline, mais il doit me rester quelques forces pour que je commence la journée aussi bien que tu sembles l’avoir fait.

Malgré le sperme sur ma peau, mon amour me prend dans ses bras et me porte jusque dans mon bain comme il l’avait fait lors de notre nuit de noces.
06 02 .. .. .. dans ma tête j’enregistre le numéro de Gilbert, je vais devoir trouver une astuce pour rencontrer Marie, sa femme.
Marie, celle que j’ai promis qu’elle serait à la hauteur de la salope que je suis devenue.

Hélas, les choses vont en être autrement du moins à court terme, comme on dit, il est onze heures quand les Anglais débarquent.
Je savais que je les aurais ce début août, 28 c’est le nombre de jours très précis pour moi ce qui m’a permis de savoir les deux fois quand nos enfants sont venus me rejoindre.
Mais cette fois, c’est comme quelques fois dans l’année, je m’empresse de prendre du Doliprane pour calmer mon mal de crâne.
M’isoler, m’allonger et rester le plus possible dans le noir.
Pour cela, j’ai un bandeau noir récupéré lors de notre voyage l’hiver dernier vers la Martinique où nous avons passé une quinzaine.
Ils en vendaient à l’aéroport ou j’en avais acheté un.
Ça sert les amis, Gaétan s’arrange pour que les enfants soient gardés et puisse aller à la plage me permettant de rester au calme jusqu’à ce que la tempête dans ma tête s’estompe.
C’est dans ces circonstances que l’on compte ses amis, j’entends les amis venir me voir.
Un numéro tourne en boucle dans ma tête, 06 .. est-ce lui qui a déclenché mon mal de tête et mes règles douloureuses.
Tient c’est Abby, je la sens à son odeur poivrée de rousse quand je me réveille, j’ai dû m’endormir un petit moment, car c’est ce que je cherchais à faire.

• Oui, ma chérie, masse-moi les temporales, tes doigts sont divins, vous êtes des amis charmant.

Tout finit par rentrer dans l’ordre, les enfants viennent me faire de gros bisous et c’est Clarisse qui vient me prendre dans ses bras.
L’après-midi, tous sont partis à la plage, grandes personnes, nounou et enfants.
Je suis sur la terrasse dans un transat avec Clarisse qui a tenu à me tenir compagnie.
Même si mon mal de tête a disparu grâce au repos et mon loup noir, je suis encore incapable d’être nue.

• Clarisse, connais-tu Marie, la femme de Gilbert, ils habitent quelles villas plus loin ?
• Marie, la coincée du cul, tous les libertins du quartier la connaissent, lorsque tu rencontreras Félix et Lola ses voisins, tu leur demanderas les vacheries que ses parents leur ont faites.
Ils ont été jusqu’à faire venir les flics les rares fois où ils ont voulu faire des barbecues comme celui que nous organisons ce dimanche 15 août.
Mais toi comment les connais-tu ?
• J’ai baisé avec Gilbert dans la pinède avant de me retrouver dans le noir de cette chambre, il m’a expliqué les problèmes qu’il a avec elle.
J’ai promis de l’aider pour la décoincer, mais après-ce que tu viens de me dire, je crois que je me suis attaquée à l’Annapurna !
• Vous avez prévu un début de stratégie !
• Il m’a donné son portable, je dois l’appeler lorsque j’aurais trouvé un moyen de rencontrer Marie.
• Samedi, seras-tu en état ?
• Oui, dès demain !
• Appelle le samedi matin, ce sera parfait, je crois que j’ai une idée...

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