COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison IV (11/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison IV (11/13)
Ce qui est sûr, c’est que je suis impatiente de voir comment Clarisse va si prendre pour que nos amis aient un enfant sans que Gilbert le mari de Marie sache qu’il a été aidé.
Je serai très attentive.
Nous en étions là, sur les marches de la piscine de Marie et Gilbert.
Clarisse et moi devons rentrer, car nos maris et nos enfants vont se demander où nous sommes passées.
Sur ces marches, Marie a les larmes aux yeux.
• J’ignore comment Clarisse va si prendre pour que tu aies un enfant sans que Gilbert apprenne qu’il est dans l’impossibilité de te féconder.
Mais je serais toi, j’aurais entièrement confiance en elle.
• Demain si tu décides de venir, je peux comprendre que d’arriver nue devant des inconnues te chagrine toi qui avec tes parents se sont battus contre nous.
As-tu une jolie petite robe d’été ?
Snif, snif, c’est le bruit qu’elle fait avant de répondre.
• Oui, je comprends l’intérêt que vous me portez , pardon nous portez c’est généreux pour vous.
Quand vous verrez Gilbert si vous le voyez, évitez de lui dire que je suis portée vers les femmes.
• Pourtant, il va falloir que tu acceptes de le recevoir de nouveau en toi, si tu veux avoir une grossesse crédible, si mon idée fonctionne.
Un dernier baiser, une dernière caresse sur sa chatte très bien taillée.
Elle plus que moi, malgré ma cheville retrouvée, c’est Clarisse, un peu plus âgée, mais plus féline qui saute hors de la piscine.
Nos chaussures et nos cardio récupérés nous quittons la propriété.
Nous repartons comme nous sommes venues, sur la plage nous croisons Gilbert qui fait son retour.
C’est à ce moment que je prends conscience que nous avons passé deux heures avec Marie, le temps a filé sans qu’il me paraisse long.
• Vous êtes seulement, elle a accepté de vous recevoir, j’avais peur qu’elle vous fiche dehors.
• Tu vas être surpris, les choses avancent en arrivant laisse là prendre les initiatives si elle accepte que nous vous aidions.
Je suis à deux doigts de lui dire qu’elle est lesbienne, mais que nous lui ferons accepter sa bisexualité, car nous avons une stratégie pour qu’ils aient un enfant.
Mais je me reprends, et nous nous séparons avant de retrouver les enfants et Gaétan qui en mari serviable a mis le couvert.
Le soir, nous faisons l’amour, j’ai retrouvé l’envie de sa queue et des amours plus épicés que ce que je lui offrais avant mon changement afin de le garder.
On sait ce que l’on perd, mais nullement ce que l’on risque de trouver après.
Dans la matinée, avec Clarisse, nous allons dans le camping au petit supermarché, chercher la commande pour notre soirée.
Il y a une affiche qui m’interpelle ?
« Il est rappelé que les barbecues sont interdits pendant la saison d’été à cause des risques d’incendies.
Le maire. »
Clarisse voit que je regarde cet arrêté de la mairie alors que sur le papier, il est marqué, merguez, saucisses, grillade de porc.
• Rien à craindre, Alain, va sortir de la remise le barbecue électrique qui va nous permettre de cuire nos viandes sans risque d’incendie.
Lorsque nous sommes de retour, nous préparons les plats de viande, nous coupons quelques kilos de tomates et autres légumes de saison que nous préparons en salades.
• Clarisse, il y a un problème avec les enfants, serons-nous nombreux ?
• Si tu es de la fête avec Gaétan, 2, 4, 6, 8, 10 et 15 si Marie tient parole.
Son portable sonne.
• Oui, Henriette, quoi, les Anglais ont débarqué, ce soir Claude viendra seul !
Tu te proposes pour garder mes enfants et Abby pourra participer avec nous.
Je sais que tu l’apprécies tout particulièrement notre petite anglaise, mais il y a un problème.
Je t’ai parlé de Gladys et de son mari, ils ont deux enfants qu’Abby devait garder aussi, j’allais lui demander qu’ils aillent dormir dans leur moitié de villa.
Tu les prends tous les quatre, ils iront dans la piscine avant de dormir chez vous.
Tu as besoin de matelas gonflable, on peut t’en passer un ou deux.
Inutile, c’est vrai que comme nous tu en as pour nos soirées chez vous.
C’est d’accord, Abby les conduira vers 19 heures, merci pour elle.
Clarisse referme son portable.
• Voilà le problème est réglé, Henriette et Claude habitent non loin de Marie et Gilbert tout près de Lola et Félix.
Dans le jardin, tout est près, je comprends pour les matelas, Alain et Gaétan en ont gonflé trois, bizarre, deux places.
Tout est sorti et installé, ce qu’il faut pour faire la fête.
Même des guirlandes lumineuses pour créer l’ambiance.
Après la plage où je vais avec les enfants.
Pour une telle fête chez les textiles, de retour, je me serais préparée, pomponnée, maquillée !
Ce qui est pratique avec le naturisme, un voile de parfum sur tout mon corps et je me faire les ongles, pieds et mains, je suis prête.
Un baiser à Gwendoline et Gabriel qui partent pour la nuit.
L’heure de la fête arrive, tous sont là, certains je les connais, d’autres comme Lola et Félix, je fais leurs connaissances bien qu’hier nous soyons près de chez eux lorsque nous étions dans la piscine avec Marie.
Un homme seul et inconnu, brun très bronzé, mais ici tous nous sommes très bronzés, ce doit être Claude.
Contrairement aux vacances passées, lorsqu’une partie de l’année je me regarderai dans ma glace, plus de trace de maillot disgracieuse.
J’étais habitué pour mes seins, je bronzais déjà en enlevant le haut, mais sans jamais me relever sans le remettre.
Alain a démarré la petite chaîne où vont se succéder des CD de fêtes, sans être obligés de nous en occuper.
• Une sangria, Gladys, tu es en beauté ce soir.
• Arrête de me charrier Alain, d’accord pour un verre de sangria, que nous avons préparé avec cette chère Clarisse une partie de la journée.
• Je vais m’occuper des grillades, ma chérie.
• C’est bien Gaétan va t’occuper, je sens que je vais te faire plaisir ce soir, je suis chaude bouillante en attendant que nos amis arrivent.
Il m’embrasse et va passer autour de ses reins un tablier où il est marqué.
« C’est moi le chef ! »Il peut toujours courir, maintenant que je sais ce qu’il lui faut pour l’attacher à moi tout en prenant énormément de plaisir.
• Clarisse, j’ai peur que Marie, nous fasse faux bond, il est déjà presque 9 heures.
• À sa place, tu serais venue en courant, je suis sûr qu’ils vont venir !
Encore une fois, elle a raison, ils arrivent.
• Tu as hésité, mais tu es là, je vais vous présenter.
Excusez, de déranger vos conversations, j’ai deux couples à vous présenter.
Gladys et Gaétan magnifique dans son tablier, lorsque vous voudrez manger aller le voir, je suis sûr que c’est un champion de la cuisson comme c’est un champion dans d’autres domaines mesdames.
Le deuxième couple, beaucoup de vous le connaissez !
• Clarisse, ils sont là ceux-là !
C’est en parlant de Lola et Félix ses voisins, que Marie tout doucement nous fait cette réflexion.
• Lola, Félix et toi Marie, il est temps d’enterrer la hache de guerre sortie par tes parents ma chérie.
Tu es très belle dans ta petite robe rouge et tes petits escarpins.
Lola vient embrasser Marie, suivie de Félix, que la fête se poursuivent.
La soirée se dégèle rapidement la sangria y étant pour beaucoup.
Gaétan a fini de cuir sa bidoche et il s’est rapproché de Marie, je sens qu’elle lui plait.
Conformément à ce qu’elle lui a promis, Clarisse participe à la fête.
• Je vais te faire voir, comment on met une capote avec ta bouche sur la bite de Gaétan.
Sur la table, il y a des capotes à la disposition de chacun.
Félix est en train de me prendre en levrette alors que nous sommes sur un matelas.
Se faire baiser sur cette surface mouvante, ça amplifie ma jouissance et je sens qu’il gicle dans sa peau de baudruche.
Clarisse en prend une qu’elle sort de son étui en le découpant avec ses dents.
Gaétan est à la fête et la petite essaye après Clarisse réussissant à le couvrir.
Gaétan, Alain et Claude se succèdent dans la nuit pour sauter Marie qui finit par en redemander.
Chaque fois, c’est Clarisse qui lui passe la capote.
Elle la couve, mais participe aussi montrant à Gilbert que sa femme aime brouter les chattes, sans pour autant lui dire que c’est ce qu’elle préfère.
• Gilbert va baiser ta femme, toi tu peux y aller sans capote, elle est protégée pour les autres, ta verge va lui faire plaisir.
Comme je l’ai fait avec Gaétan pour sauver notre couple, Gilbert prend, sa femme l’entraîne vers une chaise, il s’assoit et elle se met à lui sucer la queue.
Lorsqu’il est bien en forme, elle se redresse et vient se donner à lui, là encore je l’entends jouir.
Clarisse voyant le couple entre eux, les laisse pour aller s’occuper d’Abby avec René, l’un des premiers qui m’a donné du plaisir avec Alice, sa femme hors de mes habitudes familiales.
Une chose m’intrigue, pourquoi Clarisse a tenue à donner ses capotes à Marie, chaque fois que l’un des mâles voulait la baiser.
Je passe vers la table où les étuis déchirés sont là, je les récupère en même temps qu’un plat et je pars vers notre partie de villa.
Ces capotes m’intriguent, vais-je découvrir un secret que Clarisse veut nous cacher...
Je serai très attentive.
Nous en étions là, sur les marches de la piscine de Marie et Gilbert.
Clarisse et moi devons rentrer, car nos maris et nos enfants vont se demander où nous sommes passées.
Sur ces marches, Marie a les larmes aux yeux.
• J’ignore comment Clarisse va si prendre pour que tu aies un enfant sans que Gilbert apprenne qu’il est dans l’impossibilité de te féconder.
Mais je serais toi, j’aurais entièrement confiance en elle.
• Demain si tu décides de venir, je peux comprendre que d’arriver nue devant des inconnues te chagrine toi qui avec tes parents se sont battus contre nous.
As-tu une jolie petite robe d’été ?
Snif, snif, c’est le bruit qu’elle fait avant de répondre.
• Oui, je comprends l’intérêt que vous me portez , pardon nous portez c’est généreux pour vous.
Quand vous verrez Gilbert si vous le voyez, évitez de lui dire que je suis portée vers les femmes.
• Pourtant, il va falloir que tu acceptes de le recevoir de nouveau en toi, si tu veux avoir une grossesse crédible, si mon idée fonctionne.
Un dernier baiser, une dernière caresse sur sa chatte très bien taillée.
Elle plus que moi, malgré ma cheville retrouvée, c’est Clarisse, un peu plus âgée, mais plus féline qui saute hors de la piscine.
Nos chaussures et nos cardio récupérés nous quittons la propriété.
Nous repartons comme nous sommes venues, sur la plage nous croisons Gilbert qui fait son retour.
C’est à ce moment que je prends conscience que nous avons passé deux heures avec Marie, le temps a filé sans qu’il me paraisse long.
• Vous êtes seulement, elle a accepté de vous recevoir, j’avais peur qu’elle vous fiche dehors.
• Tu vas être surpris, les choses avancent en arrivant laisse là prendre les initiatives si elle accepte que nous vous aidions.
Je suis à deux doigts de lui dire qu’elle est lesbienne, mais que nous lui ferons accepter sa bisexualité, car nous avons une stratégie pour qu’ils aient un enfant.
Mais je me reprends, et nous nous séparons avant de retrouver les enfants et Gaétan qui en mari serviable a mis le couvert.
Le soir, nous faisons l’amour, j’ai retrouvé l’envie de sa queue et des amours plus épicés que ce que je lui offrais avant mon changement afin de le garder.
On sait ce que l’on perd, mais nullement ce que l’on risque de trouver après.
Dans la matinée, avec Clarisse, nous allons dans le camping au petit supermarché, chercher la commande pour notre soirée.
Il y a une affiche qui m’interpelle ?
« Il est rappelé que les barbecues sont interdits pendant la saison d’été à cause des risques d’incendies.
Le maire. »
Clarisse voit que je regarde cet arrêté de la mairie alors que sur le papier, il est marqué, merguez, saucisses, grillade de porc.
• Rien à craindre, Alain, va sortir de la remise le barbecue électrique qui va nous permettre de cuire nos viandes sans risque d’incendie.
Lorsque nous sommes de retour, nous préparons les plats de viande, nous coupons quelques kilos de tomates et autres légumes de saison que nous préparons en salades.
• Clarisse, il y a un problème avec les enfants, serons-nous nombreux ?
• Si tu es de la fête avec Gaétan, 2, 4, 6, 8, 10 et 15 si Marie tient parole.
Son portable sonne.
• Oui, Henriette, quoi, les Anglais ont débarqué, ce soir Claude viendra seul !
Tu te proposes pour garder mes enfants et Abby pourra participer avec nous.
Je sais que tu l’apprécies tout particulièrement notre petite anglaise, mais il y a un problème.
Je t’ai parlé de Gladys et de son mari, ils ont deux enfants qu’Abby devait garder aussi, j’allais lui demander qu’ils aillent dormir dans leur moitié de villa.
Tu les prends tous les quatre, ils iront dans la piscine avant de dormir chez vous.
Tu as besoin de matelas gonflable, on peut t’en passer un ou deux.
Inutile, c’est vrai que comme nous tu en as pour nos soirées chez vous.
C’est d’accord, Abby les conduira vers 19 heures, merci pour elle.
Clarisse referme son portable.
• Voilà le problème est réglé, Henriette et Claude habitent non loin de Marie et Gilbert tout près de Lola et Félix.
Dans le jardin, tout est près, je comprends pour les matelas, Alain et Gaétan en ont gonflé trois, bizarre, deux places.
Tout est sorti et installé, ce qu’il faut pour faire la fête.
Même des guirlandes lumineuses pour créer l’ambiance.
Après la plage où je vais avec les enfants.
Pour une telle fête chez les textiles, de retour, je me serais préparée, pomponnée, maquillée !
Ce qui est pratique avec le naturisme, un voile de parfum sur tout mon corps et je me faire les ongles, pieds et mains, je suis prête.
Un baiser à Gwendoline et Gabriel qui partent pour la nuit.
L’heure de la fête arrive, tous sont là, certains je les connais, d’autres comme Lola et Félix, je fais leurs connaissances bien qu’hier nous soyons près de chez eux lorsque nous étions dans la piscine avec Marie.
Un homme seul et inconnu, brun très bronzé, mais ici tous nous sommes très bronzés, ce doit être Claude.
Contrairement aux vacances passées, lorsqu’une partie de l’année je me regarderai dans ma glace, plus de trace de maillot disgracieuse.
J’étais habitué pour mes seins, je bronzais déjà en enlevant le haut, mais sans jamais me relever sans le remettre.
Alain a démarré la petite chaîne où vont se succéder des CD de fêtes, sans être obligés de nous en occuper.
• Une sangria, Gladys, tu es en beauté ce soir.
• Arrête de me charrier Alain, d’accord pour un verre de sangria, que nous avons préparé avec cette chère Clarisse une partie de la journée.
• Je vais m’occuper des grillades, ma chérie.
• C’est bien Gaétan va t’occuper, je sens que je vais te faire plaisir ce soir, je suis chaude bouillante en attendant que nos amis arrivent.
Il m’embrasse et va passer autour de ses reins un tablier où il est marqué.
« C’est moi le chef ! »Il peut toujours courir, maintenant que je sais ce qu’il lui faut pour l’attacher à moi tout en prenant énormément de plaisir.
• Clarisse, j’ai peur que Marie, nous fasse faux bond, il est déjà presque 9 heures.
• À sa place, tu serais venue en courant, je suis sûr qu’ils vont venir !
Encore une fois, elle a raison, ils arrivent.
• Tu as hésité, mais tu es là, je vais vous présenter.
Excusez, de déranger vos conversations, j’ai deux couples à vous présenter.
Gladys et Gaétan magnifique dans son tablier, lorsque vous voudrez manger aller le voir, je suis sûr que c’est un champion de la cuisson comme c’est un champion dans d’autres domaines mesdames.
Le deuxième couple, beaucoup de vous le connaissez !
• Clarisse, ils sont là ceux-là !
C’est en parlant de Lola et Félix ses voisins, que Marie tout doucement nous fait cette réflexion.
• Lola, Félix et toi Marie, il est temps d’enterrer la hache de guerre sortie par tes parents ma chérie.
Tu es très belle dans ta petite robe rouge et tes petits escarpins.
Lola vient embrasser Marie, suivie de Félix, que la fête se poursuivent.
La soirée se dégèle rapidement la sangria y étant pour beaucoup.
Gaétan a fini de cuir sa bidoche et il s’est rapproché de Marie, je sens qu’elle lui plait.
Conformément à ce qu’elle lui a promis, Clarisse participe à la fête.
• Je vais te faire voir, comment on met une capote avec ta bouche sur la bite de Gaétan.
Sur la table, il y a des capotes à la disposition de chacun.
Félix est en train de me prendre en levrette alors que nous sommes sur un matelas.
Se faire baiser sur cette surface mouvante, ça amplifie ma jouissance et je sens qu’il gicle dans sa peau de baudruche.
Clarisse en prend une qu’elle sort de son étui en le découpant avec ses dents.
Gaétan est à la fête et la petite essaye après Clarisse réussissant à le couvrir.
Gaétan, Alain et Claude se succèdent dans la nuit pour sauter Marie qui finit par en redemander.
Chaque fois, c’est Clarisse qui lui passe la capote.
Elle la couve, mais participe aussi montrant à Gilbert que sa femme aime brouter les chattes, sans pour autant lui dire que c’est ce qu’elle préfère.
• Gilbert va baiser ta femme, toi tu peux y aller sans capote, elle est protégée pour les autres, ta verge va lui faire plaisir.
Comme je l’ai fait avec Gaétan pour sauver notre couple, Gilbert prend, sa femme l’entraîne vers une chaise, il s’assoit et elle se met à lui sucer la queue.
Lorsqu’il est bien en forme, elle se redresse et vient se donner à lui, là encore je l’entends jouir.
Clarisse voyant le couple entre eux, les laisse pour aller s’occuper d’Abby avec René, l’un des premiers qui m’a donné du plaisir avec Alice, sa femme hors de mes habitudes familiales.
Une chose m’intrigue, pourquoi Clarisse a tenue à donner ses capotes à Marie, chaque fois que l’un des mâles voulait la baiser.
Je passe vers la table où les étuis déchirés sont là, je les récupère en même temps qu’un plat et je pars vers notre partie de villa.
Ces capotes m’intriguent, vais-je découvrir un secret que Clarisse veut nous cacher...
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