COLLECTION ÉCHANGISME. Piégeurs – Piégés (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION ÉCHANGISME. Piégeurs – Piégés (1/1)
Nous sommes allés comme tous les ans, Vanessa et moi au bal du 14 juillet organisé dans notre ville de Chagny.
C’est là que je fais la connaissance de Valentin jeune homme de vingt-deux ans de passage dans notre ville.
Je suis donc avec ma copine qui comme moi vient d’avoir dix-huit ans.
Valentin m’invite à danser, je suis contente de sentir la queue d’un homme pour la première fois de ma vie se coller à mon ventre.
La danse terminée mon cavalier m’entraîne vers une table où un garçon est assis devant un demi.
• Julie, je te présente Luigi, mon copain en vacances avec moi.
• Je vous présente Vanessa, ma copine, nous sommes des voisines dans cette ville.
Le schéma habituel s’offre à nous, entre les pots qu’ils nous payent et les danses ou les slows ont ma préférence, dès que je suis collée à lui Valentin me montre que je suis à son goût, sa verge étant tout de suite flamboyante.
Je suis sûr que c’est le grand soir et qu’au matin, il m’aura débarrassé de ce pucelage qui commence à me peser.
Du côté de Vanessa, les choses vont très vite, elle danse avec Luigi et lui roule carrément des pelles.
Vanessa est dans la même situation que moi du côté de son intimité même s’il nous arrive de nous caresser mieux de nous gougnotter depuis bientôt deux ans.
Les verres de bière nous aidant nous montons dans leur voiture et quelques minutes, après, c’est dans leur chambre du Formule 1 de notre ville, que tenant la main de Vanessa, ils pénètrent nos intimités.
Petit coup rapide pour moi, car Valentin est un garçon très sensible et décharge juste après m’avoir pénétré.
Du côté de Vanessa, Luigi d’origine italienne par son père en bon macho permet à ma copine de jouir, aimant que les choses durent le plus longtemps possible.
• Luigi, la mienne était vierge.
• Mince, la mienne aussi, mesdemoiselles merci de nous avoir offerts votre virginité.
Les traces de sang sur les capotes semblent être chose normale pour eux, mais après l’avoir sucé mon dépuceleur présentent une verge sur laquelle un nouveau bout de plastique trouve sa place sans problème.
Des copines m’avaient prévenu que souvent la première fois pouvait être un échec, mais si le garçon savait y faire, la situation serait rétablie rapidement.
C’est le cas pour moi qui le reçoit de nouveau, mais en levrette, à sa demande, cette position ayant ses faveurs.
Du côté de Vanessa, son étalon la reprend par une belle cuillère, ainsi sans nous en rendre compte nos bouches se trouvent au moment où nos mâles nous apportent un bel orgasme.
• Regarde Luigi, je crois que nous avons trouvé ce que nous cherchions depuis longtemps, deux filles sans aucun tabou entre elles.
Ce baiser avec la langue entre profondément au fond de ma bouche, si nos beaux gosses nous aiment, nous continuerons, j’espère qu’une prochaine fois Valentin me baisera.
Une prochaine fois, quelle idiote, je suis, les garçons sont en vacances et nous sommes certainement des coups d’un soir.
Ce que je regrette, c’est qu’à aucun moment, ils veulent nous échanger l’une l’autre avec Vanessa.
Nous aurions pu tomber sur des partouzeurs, dans la même nuit perdre son pucelage et changer de mec, j’aurais bien aimé.
C’est lové dans ses bras sa main sur ma poitrine au matin lorsqu’ils se réveillent, qu’ils partent vers les douches extérieures à la chambre dans ces hôtels.
• Julie, c’est magnifique, Luigi m’a dit qu’il m’aimait dans l’oreille cette nuit, je crois que l’on a eu le coup de foudre.
• Lorsque nous dansions, Valentin m’a dit qu’ils étaient mâconnais, mais était venu pour le groupe qui jouait ce soir, l’un de leurs copains en faisant partie.
• Écoute, on verra bien, je lui ai donné mon numéro de portable.
Vivement qu’ils reviennent, j’aimerais aller prendre ma douche, il faut être au travail rapidement, le magasin ouvre à dix heures et il faut que nous soyons à nos caisses à l’heure.
Je remets ma petite culotte, je me dirige vers les douches, dans les cabines voisines, j’entends les deux garçons parler.
• Luigi, je suis amoureux, je crois que j’ai trouvé ma moitié, comment je peux lui dire que j’aimerais qu’elle vienne vivre avec moi ?
• Tous doux mon beau, moi aussi, j’ai du sentiment pour Vanessa, je lui ai demandé son 06 et je vais lui demander de venir à Mâcon dimanche prochain.
Je les entends sortir des cabines, je m’essuie avec la serviette pour les mains placées près du lavabo dans la chambre.
De retour près des garçons, ils sont habillés et prêts au départ.
• Julie donne-moi ton numéro de portable, je vais l’enregistrer, je t’appellerais.
En me disant ses mots, il me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement.
Je lui donne mon numéro, m’embrassant une nouvelle fois avant de partir.
• Je t’aime, je t’appelle.
C’est comme ça, après le dimanche que nous allons passer ensemble dans leur appartement, qu’ils louent en co-location, qu’ils prennent la décision que nous quittions nos familles, notre travail pour venir vivre avec eux.
Nos deux amants font le même job, Luigi de nuit et Valentin le jour, dans une société de gardiennage.
Ils ont tous les deux leur samedi dimanche une autre équipe les remplaçants.
Tout baigne pendant un mois, j’appelle ma maman fréquemment et elle est enchantée que sa fille ait trouvé l’homme de sa vie.
En ce qui concerne le sexe, nous baisons par alternance, le jour ou la nuit, Vanessa doit entendre mes cris d’amour lorsque Valentin me prend me faisant jouir, comme je l’entends dans la journée lorsque son italien est de retour.
Un samedi soir, les deux garçons nous invites avec nos mères dans un très grand restaurant de la côte chalonnaise.
Ils sont charmants avec nos mères leur offrant même des roses.
Je fais très attention que ma mère, couguar reste soft avec Valentin ou même Luigi, car tel que je la connais depuis que mon père la larguer, se faire sauter par des jeunes, elle aime.
Nous avons un peu abusé sur le vin, surtout la bouteille de Mercurey 1er cru qui a même sa petite sœur arrivant sur notre table.
De notre côté, Valentin était celui qui évitait de boire, nos mères étaient parties dans la direction opposée, à la sortie de Givry, heureusement qu’il était resté sobre, il a eu un contrôle d’alcoolémie qui était négatif.
Arrivé près de l’appartement Vanessa a eu des envies de danser, les garçons nous disent avoir une autre idée.
Dès que nous avons été dans la salle, Luigi a mis un CD et nous avons dansé en couple au début.
• Les filles, on aimerait vous voir danser ensemble.
Le piège était tendu, l’alcool aidant, je tombe dans les bras de Vanessa, quelques minutes après nos chattes viennent en contact.
Les deux garçons se sont assis sur des chaises et nous regardent nous trémousser lascivement.
• Vanessa embrasse Julie, elle se meurt d’amour pour toi.
C’est naturellement que je tends mes lèvres vers mon amie sans me rendre compte que devant les garçons, je retrouvais les moments ou avec Vanessa, il nous arrivait de nous faire plaisir avant de les connaître.
• Bien les filles continuées à tortiller du cul, on aime, Julie enlève son chemisier à ta copine.
Je suis pompette et sans voir qu’ils sont en train de nous soumettre à leur volonté, j’exécute l’ordre.
Vanessa se laisse faire, elle doit être dans le même état que moi, elle qui est toujours prompte à se rebeller lorsque quelle chose la rebute, elle doit avoir du mal à se rendre compte que nous sommes manœuvrés.
C’est comme cela que deux morceaux plus tard, ils réussissent à ce que nous soyons nues.
• Bien, les filles, vous êtes très belles, on aime beaucoup.
• Vanessa conduit Julie sur le divan et fait nous voir comment deux filles savent s’aimer.
Aucune pudeur nous retenant, c’est sur ce divan qu’elle écarte mes grandes lèvres et suce mon clitoris qui est aux anges.
Je jouis, elle jouit aussi, lorsque c’est moi qui mets ma bouche sur son intimité dans un magnifique 69.
Vanessa me remplit la bouche de cyprine pour la première fois, est-ce l’alcool ou le fait d’être regardé qui déclenche en elle ces petits jets qui me plaisent alors que j’aurais pu être rebuté.
• Luigi regarde le cul de Julie comme il est beau, je te le prête.
Quand je parle de piège, il est complet, sans me défendre, je laisse le copain de mon copain me prendre par les reins et venir se planter dans ma chatte.
Les grands coups de bite qu’il me met me font monter un orgasme inégalable avec Valentin.
Le deuxième homme de ma vie, même si à aucun moment mon amant ait demandé mon avis me fait découvrir des choses sur le sexe tout nouveau pour moi.
Baiser avec amour avec Valentin peut être remplacé par une bonne baise entre copains sans entamer cet amour.
• Tu peux faire de même avec Vanessa, sodomise là, elle adore cela.
Je découvre l’impensable, ma copine a omis de me dire qu’elle s’était fait sodomiser par Luigi, j’en ressens un sentiment de trahison vite réfréné, une nouvelle fois sans mon avis, il ressort sa verge, pointe ma rosette et entre d’une seule poussée.
Que ce soit le copain de ma copine qui m’encule surtout devant-elle devrait me faire crier à l’imposture, mais c’est un sentiment de plénitude suite à la découverte que je viens de faire entre ma copine, femme fontaine qui me donne à boire ses sécrétions et Luigi son amant qui me fait jouir par le cul.
Cette soirée est le début de nos amours à quatre sauf le jour où nous sommes allés voir les services de l’administration pour signer nos PACS chacun avec sa chacune.
Pourquoi aurions-nous après ces signatures doutées de l’amour de nos garçons, mais j’avais envie de leur tendre un piège, lors d’une partie à quatre, je leur propose de jouer à colin-maillard.
J’ai été chercher les loups noirs que j’avais achetés et je leur ai mis, leur faisant croire qu’ils enculeraient celle de nous qu’ils attraperaient étant entendus qu’ils doivent rester dans la salle.
À un moment Valentin guidé par mes soins, attrape Luigi.
• Tu m’as eu, avance ta bite, Vanessa présente-la-moi, oui, tu y es, pousse un grand coup !
Luigi avant de comprendre se fait emmancher, les couilles de Valentin venant taper son fessier, au cri qu’il pousse, je sais que sa verge a bien atteint sa cible, faisant de lui un sodomisé.
Plus costaud que Valentin, il le course, le chope et l’encule, les piégeurs ont été piégés.
C’est là que je fais la connaissance de Valentin jeune homme de vingt-deux ans de passage dans notre ville.
Je suis donc avec ma copine qui comme moi vient d’avoir dix-huit ans.
Valentin m’invite à danser, je suis contente de sentir la queue d’un homme pour la première fois de ma vie se coller à mon ventre.
La danse terminée mon cavalier m’entraîne vers une table où un garçon est assis devant un demi.
• Julie, je te présente Luigi, mon copain en vacances avec moi.
• Je vous présente Vanessa, ma copine, nous sommes des voisines dans cette ville.
Le schéma habituel s’offre à nous, entre les pots qu’ils nous payent et les danses ou les slows ont ma préférence, dès que je suis collée à lui Valentin me montre que je suis à son goût, sa verge étant tout de suite flamboyante.
Je suis sûr que c’est le grand soir et qu’au matin, il m’aura débarrassé de ce pucelage qui commence à me peser.
Du côté de Vanessa, les choses vont très vite, elle danse avec Luigi et lui roule carrément des pelles.
Vanessa est dans la même situation que moi du côté de son intimité même s’il nous arrive de nous caresser mieux de nous gougnotter depuis bientôt deux ans.
Les verres de bière nous aidant nous montons dans leur voiture et quelques minutes, après, c’est dans leur chambre du Formule 1 de notre ville, que tenant la main de Vanessa, ils pénètrent nos intimités.
Petit coup rapide pour moi, car Valentin est un garçon très sensible et décharge juste après m’avoir pénétré.
Du côté de Vanessa, Luigi d’origine italienne par son père en bon macho permet à ma copine de jouir, aimant que les choses durent le plus longtemps possible.
• Luigi, la mienne était vierge.
• Mince, la mienne aussi, mesdemoiselles merci de nous avoir offerts votre virginité.
Les traces de sang sur les capotes semblent être chose normale pour eux, mais après l’avoir sucé mon dépuceleur présentent une verge sur laquelle un nouveau bout de plastique trouve sa place sans problème.
Des copines m’avaient prévenu que souvent la première fois pouvait être un échec, mais si le garçon savait y faire, la situation serait rétablie rapidement.
C’est le cas pour moi qui le reçoit de nouveau, mais en levrette, à sa demande, cette position ayant ses faveurs.
Du côté de Vanessa, son étalon la reprend par une belle cuillère, ainsi sans nous en rendre compte nos bouches se trouvent au moment où nos mâles nous apportent un bel orgasme.
• Regarde Luigi, je crois que nous avons trouvé ce que nous cherchions depuis longtemps, deux filles sans aucun tabou entre elles.
Ce baiser avec la langue entre profondément au fond de ma bouche, si nos beaux gosses nous aiment, nous continuerons, j’espère qu’une prochaine fois Valentin me baisera.
Une prochaine fois, quelle idiote, je suis, les garçons sont en vacances et nous sommes certainement des coups d’un soir.
Ce que je regrette, c’est qu’à aucun moment, ils veulent nous échanger l’une l’autre avec Vanessa.
Nous aurions pu tomber sur des partouzeurs, dans la même nuit perdre son pucelage et changer de mec, j’aurais bien aimé.
C’est lové dans ses bras sa main sur ma poitrine au matin lorsqu’ils se réveillent, qu’ils partent vers les douches extérieures à la chambre dans ces hôtels.
• Julie, c’est magnifique, Luigi m’a dit qu’il m’aimait dans l’oreille cette nuit, je crois que l’on a eu le coup de foudre.
• Lorsque nous dansions, Valentin m’a dit qu’ils étaient mâconnais, mais était venu pour le groupe qui jouait ce soir, l’un de leurs copains en faisant partie.
• Écoute, on verra bien, je lui ai donné mon numéro de portable.
Vivement qu’ils reviennent, j’aimerais aller prendre ma douche, il faut être au travail rapidement, le magasin ouvre à dix heures et il faut que nous soyons à nos caisses à l’heure.
Je remets ma petite culotte, je me dirige vers les douches, dans les cabines voisines, j’entends les deux garçons parler.
• Luigi, je suis amoureux, je crois que j’ai trouvé ma moitié, comment je peux lui dire que j’aimerais qu’elle vienne vivre avec moi ?
• Tous doux mon beau, moi aussi, j’ai du sentiment pour Vanessa, je lui ai demandé son 06 et je vais lui demander de venir à Mâcon dimanche prochain.
Je les entends sortir des cabines, je m’essuie avec la serviette pour les mains placées près du lavabo dans la chambre.
De retour près des garçons, ils sont habillés et prêts au départ.
• Julie donne-moi ton numéro de portable, je vais l’enregistrer, je t’appellerais.
En me disant ses mots, il me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement.
Je lui donne mon numéro, m’embrassant une nouvelle fois avant de partir.
• Je t’aime, je t’appelle.
C’est comme ça, après le dimanche que nous allons passer ensemble dans leur appartement, qu’ils louent en co-location, qu’ils prennent la décision que nous quittions nos familles, notre travail pour venir vivre avec eux.
Nos deux amants font le même job, Luigi de nuit et Valentin le jour, dans une société de gardiennage.
Ils ont tous les deux leur samedi dimanche une autre équipe les remplaçants.
Tout baigne pendant un mois, j’appelle ma maman fréquemment et elle est enchantée que sa fille ait trouvé l’homme de sa vie.
En ce qui concerne le sexe, nous baisons par alternance, le jour ou la nuit, Vanessa doit entendre mes cris d’amour lorsque Valentin me prend me faisant jouir, comme je l’entends dans la journée lorsque son italien est de retour.
Un samedi soir, les deux garçons nous invites avec nos mères dans un très grand restaurant de la côte chalonnaise.
Ils sont charmants avec nos mères leur offrant même des roses.
Je fais très attention que ma mère, couguar reste soft avec Valentin ou même Luigi, car tel que je la connais depuis que mon père la larguer, se faire sauter par des jeunes, elle aime.
Nous avons un peu abusé sur le vin, surtout la bouteille de Mercurey 1er cru qui a même sa petite sœur arrivant sur notre table.
De notre côté, Valentin était celui qui évitait de boire, nos mères étaient parties dans la direction opposée, à la sortie de Givry, heureusement qu’il était resté sobre, il a eu un contrôle d’alcoolémie qui était négatif.
Arrivé près de l’appartement Vanessa a eu des envies de danser, les garçons nous disent avoir une autre idée.
Dès que nous avons été dans la salle, Luigi a mis un CD et nous avons dansé en couple au début.
• Les filles, on aimerait vous voir danser ensemble.
Le piège était tendu, l’alcool aidant, je tombe dans les bras de Vanessa, quelques minutes après nos chattes viennent en contact.
Les deux garçons se sont assis sur des chaises et nous regardent nous trémousser lascivement.
• Vanessa embrasse Julie, elle se meurt d’amour pour toi.
C’est naturellement que je tends mes lèvres vers mon amie sans me rendre compte que devant les garçons, je retrouvais les moments ou avec Vanessa, il nous arrivait de nous faire plaisir avant de les connaître.
• Bien les filles continuées à tortiller du cul, on aime, Julie enlève son chemisier à ta copine.
Je suis pompette et sans voir qu’ils sont en train de nous soumettre à leur volonté, j’exécute l’ordre.
Vanessa se laisse faire, elle doit être dans le même état que moi, elle qui est toujours prompte à se rebeller lorsque quelle chose la rebute, elle doit avoir du mal à se rendre compte que nous sommes manœuvrés.
C’est comme cela que deux morceaux plus tard, ils réussissent à ce que nous soyons nues.
• Bien, les filles, vous êtes très belles, on aime beaucoup.
• Vanessa conduit Julie sur le divan et fait nous voir comment deux filles savent s’aimer.
Aucune pudeur nous retenant, c’est sur ce divan qu’elle écarte mes grandes lèvres et suce mon clitoris qui est aux anges.
Je jouis, elle jouit aussi, lorsque c’est moi qui mets ma bouche sur son intimité dans un magnifique 69.
Vanessa me remplit la bouche de cyprine pour la première fois, est-ce l’alcool ou le fait d’être regardé qui déclenche en elle ces petits jets qui me plaisent alors que j’aurais pu être rebuté.
• Luigi regarde le cul de Julie comme il est beau, je te le prête.
Quand je parle de piège, il est complet, sans me défendre, je laisse le copain de mon copain me prendre par les reins et venir se planter dans ma chatte.
Les grands coups de bite qu’il me met me font monter un orgasme inégalable avec Valentin.
Le deuxième homme de ma vie, même si à aucun moment mon amant ait demandé mon avis me fait découvrir des choses sur le sexe tout nouveau pour moi.
Baiser avec amour avec Valentin peut être remplacé par une bonne baise entre copains sans entamer cet amour.
• Tu peux faire de même avec Vanessa, sodomise là, elle adore cela.
Je découvre l’impensable, ma copine a omis de me dire qu’elle s’était fait sodomiser par Luigi, j’en ressens un sentiment de trahison vite réfréné, une nouvelle fois sans mon avis, il ressort sa verge, pointe ma rosette et entre d’une seule poussée.
Que ce soit le copain de ma copine qui m’encule surtout devant-elle devrait me faire crier à l’imposture, mais c’est un sentiment de plénitude suite à la découverte que je viens de faire entre ma copine, femme fontaine qui me donne à boire ses sécrétions et Luigi son amant qui me fait jouir par le cul.
Cette soirée est le début de nos amours à quatre sauf le jour où nous sommes allés voir les services de l’administration pour signer nos PACS chacun avec sa chacune.
Pourquoi aurions-nous après ces signatures doutées de l’amour de nos garçons, mais j’avais envie de leur tendre un piège, lors d’une partie à quatre, je leur propose de jouer à colin-maillard.
J’ai été chercher les loups noirs que j’avais achetés et je leur ai mis, leur faisant croire qu’ils enculeraient celle de nous qu’ils attraperaient étant entendus qu’ils doivent rester dans la salle.
À un moment Valentin guidé par mes soins, attrape Luigi.
• Tu m’as eu, avance ta bite, Vanessa présente-la-moi, oui, tu y es, pousse un grand coup !
Luigi avant de comprendre se fait emmancher, les couilles de Valentin venant taper son fessier, au cri qu’il pousse, je sais que sa verge a bien atteint sa cible, faisant de lui un sodomisé.
Plus costaud que Valentin, il le course, le chope et l’encule, les piégeurs ont été piégés.
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