COLLECTION ESCORT BOY. 18 heures, hôtel Mercure chambre 69 (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORT BOY. 18 heures, hôtel Mercure chambre 69 (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORT BOY. 18 heures, hôtel Mercure chambre 69 (1/1)
« 18 heures, hôtel Mercure, chambres 69.
Mercure Tour Effel, tarif habituel. »

C’est le message que je reçois sur mon portable.
Qui peut m’envoyer ce message, je suis intrigué, je commence à écrire.

« Ce doit être une erreur de num... »

J’efface, sans savoir pourquoi, aimant le risque, je réponds.

« Merci, je serais à l’heure, recevez mes salutations les plus chaleureuses. »

Une réponse.

« Je vois que vous êtes un galant homme, je vous attends, je suis impatiente. »

Je m’appelle Christian, Chris pour mes amis.
J’ai vingt ans, je fais des études à la Sorbonne espérant devenir juge.
Christian autant que Chris à vingt ans sont vierges de signe et de sexe.
Dans ce dernier message, une chose rassurante, « impatiente » au féminin, ça me rassure, il me sera plus facile de m’expliquer sur cette erreur avec une femme plutôt qu’un gros camionneur bardé de tatouages.
L’hôtel aussi, le Mercure Tour Effel doit être un hôtel hors de prix.
Qui voudrait me faire un mauvais sort dans un tel hôtel ?

Je relis le message, il est direct et 18 heures, c’est dans quatre heures.
« Au tarif habituel ».
J’étais à deux doigts de posé la question.
« Pourquoi, » mais je m’en tiens là, si je dois être payé pour tuer quelqu’un, je saurais bien trouver une porte de sortie les cuisses propres ?
Je suis intrigué, je suis des heures sur mes livres, préparant mon examen fin juin.
Sortir, vivre une expérience insolite, il sera toujours temps de dévoiler l’erreur de numéro de téléphone.
Un nouveau souci, comment me vêtir, j’ai déjà vu ce genre d’hôtel, il faut être sélecte.
Je fais mes études aidées par mes parents, marchand de chaussures à Limoges dans une rue piétonne.
Il se saigne pour tout me payer afin que je me consacre intégralement à mes études sans avoir besoin de faire de petits boulots.
Maman aime que je sois bien habillé et m’a mis dans ma valise un Tergal beige de premier communiant.
Je l’ai découvert en ouvrant ma valise dans cette petite chambre anciennement pour femme de ménage, sous les toits près de mon lieu d’étude.
Pour les sous-vêtements, bien qu’il soit bizarre que je sois obligé de les montrer,
Boxer neuf et c’est tout.
Pour le haut, chemise blanche, avec mon pantalon beige, pour un jeune, ça semble classe.
À oui, basket blanche, propre elle aussi.

17 heures 55, je suis devant la porte de la chambre 69, j’ai passé la réception sans encombre et je suis anxieux, me demandant quelle connerie je suis en train de faire.
Je frappe, la porte s’ouvre, je devais être attendu.

La femme devant moi est en peignoir.
Quel âge peut-elle avoir.

• Entrez, vous faite plus jeune que sur votre photo, mais peu importe.
Votre argent est sur la commode près de vous.
Déshabillez-vous et rejoignez-moi dans la salle de bain.

Je la vois partir sur le côté de la chambre.
Je vois qu’elle a à la main une canne sur laquelle elle s’appuie.
Sur la commode, des billets de 500 € au moins un, celui du dessus.
Il semble y en avoir d’autre, même si ce billet est seul, j’ignore encore ce que je fais là, bien que je commence à en avoir une petite idée.
Pour mon pucelage, j’avais envisagé de le perdre avec une prostituée du bois de Vincennes à défaut de trouver le temps de draguer au détriment de mes études.
Avec l’argent, j’ai compris, si je reste et que je suive les directives de cette dame, au moment où je la baiserais, je serais devenue une pute masculine.
L’âge de la dame, pour qu’elle se paye ce que l’on appelle une escorte boy, y est pour beaucoup.
Si je l’avais rencontré dans un café voisin, l’aurais-je suivi jusque chez elle, sans l’aide des billets, rien de moins sûr.
Avec ce fric que je me mets dans la poche, elle est nettement plus appétissante.
Le fric rangé, je veux donner bonne impression, j’enlève mes vêtements que je plie correctement sur une chaise à côté du lit.
Une crainte d’un coup me prend, j’ai souvent lu que les puceaux la première fois qu’il tire un coup, déchargent prématurément.
J’aurais dû me taper une pignole, un rassit, une branlette ou toute autre forme de masturbation avant de venir, mais il est trop tard, il va falloir faire avec.
Si j’éjacule prématurément, je trouverai bien une porte de sortie comme j’avais prévu de le faire si j’étais tombée en venant ici sur un camionneur au gros bras.

• Entre, tu vas me frotter le dos, j’ai du mal à le faire moi-même avec mon arthrose d’épaule, aussi bien droite que gauche.
Avant, aide-moi à monter dans la baignoire avec ma patte folle, c’est vilain de vieillir
On m’avait dit que tu étais bien monté, je constate...

Un instant, le froid passe dans mon dos, elle sait combien mesure la verge de celui dont j’ai usurpé la place.
Dois-je lui dire 12 à 13 au repos et 15 à 16 en pleine érection.
Si je le sais, c’est qu’un jour ou nous étions bourrés avec Victor mon copain, il a sorti son double décimètre pour comparer sa longueur et la mienne.
Par respect pour mon copain, je tairais ses dimensions, sans le double centimètre de mes années de collège puis de lycée, je risquerais de le vexer.
Je la tiens, je sens que ses muscles sont flasques, je me souviens de ma grand-mère lorsque j’étais jeune, elle avait soixante-douze ans, ça me permet un comparatif avec cette dame.
Une fois la dame installée, je prends le savon, passant au-dessus d’elle, ma verge est près de sa figure.
D’un coup, c’est surprenant, elle me lèche le gland à deux doigts de me faire décharger, je bande.

• Une amie m’avait dit que les escortes mâles sur ce site Internet étaient très performants, ça fait deux fois que je fais appel à vous.
Tu es bien au-dessus de celui que j’ai fait venir une première fois.

J’ai récupéré le savon, je lui passe dans le dos, une idée me vient, j’ai vu de nombreux pornos, je passe ma main sur le côté et la savonnette lui caresse la chatte au début.
Son souffle se fait cours, mieux encore lorsque malencontreusement elle m’échappe laissant mes doigts seuls en contact avec son clito.
Lorsque je l’ai aidé à monter avant de l’installer, j’ai eu le temps de voir qu’il était hyperdéveloppé.
Les râles qui sortent de sa bouche me font voir que ma masturbation, deux doigts, est parfaitement efficace.
J’insiste, je vois ses yeux se fermer au moment où un orgasme la foudroie.
Je m’écarte de sa main, qui cherche à me saisir, toujours cette peur d’éjaculer prématurément.
La dame, si elle a déjà joui avec mes doigts, en aura déjà eu un peu pour son argent.

• L’eau commence à refroidir, petit fripon, tu m’as fait jouir plus fort que je l’espérais.

Je suis fière, même si la sortir de l’eau, c’est difficile, mais avec de la patience et ma main sous ses seins, les relevant un peu, car l’attraction terrestre au fil des années ayant fait leur œuvre.
Je l’essuie du haut en bas, ma figure se trouve à la hauteur de sa chatte lisse comme celle d’in bébé.

• J’ai eu un ami qui détestait les poils, il m’a fait épiler au laser dans un grand institut depuis lorsque je me vois dans une glace, j’ai l’impression de retrouver mon adolescence.

J’avance ma bouche en faisant attention que la dame soit bien protégée par sa canne, je passe ma langue là où avant que je la rince, c’était la savonnette puis mes doigts qui l’ont caressé.

• Allons dans la chambre, tu vas encore me faire jouir et je risque que mes jambes refusent de me porter, grand fou.

Fripon, grand fou, qui l’eût cru lorsque je suis arrivé, qu’une femme de son âge me fasse de tel compliment, du moins je les prends comme tel.
Elle monte sur son lit où j’ai préalablement ouvert les draps, serviable comme jamais.
Elle se cale dans ses oreillers et impudiquement écarte ses cuisses.
C’est vrai que son épilation lui donne un air de petite file, du moins à la hauteur de sa chatte.
De là à penser que lorsque je vais la baiser, je deviendrais pédophile, il y a un monde que je me refuse à franchir.
Je la lèche méthodiquement jusqu’à ce qu’elle m’appuie sur la tête lorsqu’une nouvelle fois, son plaisir la rattrape.
Je me redresse et ayant enfilé la capote placée sur la table de nuit, même si moi-même j’en avais une dans mon Tergal, je la pénètre en perdant en même temps mon pucelage.
Je la laboure en pensant à ma grand-mère, ça m’aide à rester performant jusqu’au moment où ses cris de plaisir me font comprendre que c’est gagner, je suis devenu un parfait gigolo.
Une dernière idée folle me traverse l’esprit, je sors de sa chatte et enlevant ma capote, je lui présente ma verge au niveau de sa bouche.
C’est avec avidité qu’elle me suce en me masturbant.
Pour la première fois ou je suis un bon étalon, c’est dans la bouche de cette femme que je décharge mon sperme ravissant ma cliente.

L’affaire faite aurait pu en rester là, sauf que Germaine, c’est le nom qu’elle me donne quelques heures plus tard.
Germaine Duval, des fabriques de matelas « Duval et fille » dont l’usine de fabrication est en Roumanie, seuls les bureaux sont à Paris.
Cette première fois où Germaine a été si satisfaite de moi, elle m’a fait une proposition que j’ai acceptée.

• Chéri, je vais te faire une proposition, je suis fille unique sans enfant, tous mes biens iront à l’état à ma mort.
Dans ce tiroir, il y a un autre billet de 500 €, soit tu le prends et nous nous dirons adieu.
Soit tu viens chez moi à Neuilly dans mon hôtel particulier et je ferais le nécessaire pour que tu deviennes mon héritier.

Que pensez-vous que j’ai choisi, je suis en ce moment à l’intérieur de notre voiture conduit par Hubert notre chauffeur vers ma dernière année de fac ?
Je satisfais toujours Germaine autant qu’elle le veut et malgré son âge, elle est gourmande la coquine.
Je vais aussi avec elle dans les bureaux de Paris ou je commence à apprendre à être un capitaine d’industrie.
Presque mille personnes en France et en Roumanie où je vais à la place de Germaine qui préfère Neuilly à ses longs voyages.
J’ai résolu le mystère du SMS et nous en avons bien ri, le numéro dé l’escorte avait un chiffre d’erreur avec le mien et Germaine ayant la vue qui baissait a tapé mon numéro.
Mes parents me direz-vous ?
Nous leur avons fait croire que j’avais aidé Germaine au jardin des plantes et qu’elle m’avait pris sous son aile.
Qui peut savoir ce que nous faisons sur notre matelas à l’abri des regards, surtout des leurs.
Nous avons tout blindé en leur faisant livrer le meilleur matelas de notre gamme, mon père ayant vu son mal de dos disparaitre.
Dans le village lorsque je viens les voir avec Hubert notre chauffeur je fais sensation, les jaloux il y en a partout.

Les avis des lecteurs

Merci Mimi ça fait chaud au coeur

Superbe histoire !!!!



Texte coquin : COLLECTION ESCORT BOY. 18 heures, hôtel Mercure chambre 69 (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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