COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (1/4)
Je suis employé comme manutentionnaire depuis deux ans dans une société qui a ses locaux à Montrouge près de la porte d’Orléans.
Je fais consciencieusement mon travail pour éviter de le perdre.
Sans formation professionnelle particulière, j’ai galéré deux ans de petits boulots en petits boulots afin de gagner ma vie avant de trouver ce travail mal payé mais stable.
Le contremaître me croise dans la matinée.

• Léo, Madame te convoque pour un entretien cet après-midi à 17 heures.

Madame, c’est Sylviane, notre patronne qui a repris l’entreprise de monsieur Pierre son mari décédé l’an passé d’un accident de la route
Ce décès a plongé tous les employés dans une période de doute sur notre avenir.
Madame fait le job alors qu’elle était une femme oisive qui profitait de l’argent de son mari.
Madame est une belle femme portant bien sa quarantaine et qui a su nous apporter des contrats pour les trois prochaines années.
En fin d’exercice 2018, pour la première fois nous avons tous reçu une prime de 500 € qui m’ont permis de mettre un peu de beurre dans les épinards.
J’ai acheté des fringues, mais que je porte hors des heures de travail, car en temps normal, je mets des affaires plus classiques.
Jeans et baskets avec des polos de couleurs plutôt conventionnelles.
Vais-je perdre tout cela, car ce soir, Madame va peut-être m’apprendre que je suis licencié et que je vais retourner dans ma vie antérieure faite de petits boulots ?

À dix-sept heures je suis devant la porte de son bureau, je mets quelques minutes à oser frapper, j’exagère un peu, quelques secondes me suffisent.
Je prendre le temps de rajuster ma tenue de ville que je viens de remettre, ma journée étant terminée, je frappe.

• Entrez.
Assieds-toi Léo, je suis à toi dans quelques secondes.

Au oui à moi, surtout quand elle se lève et ce pli en deux pour ranger un document dans un classeur et que son fessier rebondi me donne envie de le mordre.
Je me ressaisis très vite, car c’est du cul de Madame dont je viens de rêver que je le croquais à pleines dents.
Pensée étrange, alors que c’est peut-être mon compte qu’elle va me donner dans moins de cinq minutes.
Elle se rassoit cachant à moitié son corps par son bureau.
Seule sa paire de seins, faisant se pâmer d’envie la plupart du personnel mâle et même femelle me sont visibles.
Là encore ce sont ceux de Sylviane, pardon madame Sylviane dont je rêve de pouvoir les malaxer, les bouffer, les massacrer.

• Dis-moi Léo, quel âge as-tu ?

Ses propos, me réveil de mon délire, j’écoute ce qu’elle a à me dire.

• 25 ans Madame.
• Es-tu célibataire ?
• Oui, Madame.
• Des aventures, je suppose, jeune et beau gosse comme tu es !

J’ai failli lui dire que j’en pécho quelqu’une avec ma belle gueule et mon corps musclé que j’entretiens non loin d’ici dans une salle de gym.
C’est ma seule dépense importante vu les 1 500 € qu’elle me donne chaque mois, j’ai des abdos en béton en forme de tablette de chocolat.

• Aventures, oui toujours j’ai le temps de me caser.
• Je te comprends, moi-même avant d’épouser, Monsieur j’en ai bien profité.

Madame est en train de me confier que dans le temps, c’était une fille qui profitait de la vie.
C’est étrange pour quelqu’un qui va vous foutre à la porte.
Veut-elle me dire qu’elle se faisait facilement baiser alors qu’il me faut toujours de grandes heures de drague pour comme je viens de le dire en pécho quelques-unes ?

• Léo es-tu libre demain soir, toute la soirée.
• Oui, c’est samedi.
• 2 000 € pour être devant chez moi et me servir de chauffeur toute la nuit.
• Ou faudra-t-il vous conduire ?
• Tu verras bien, je te guiderais, mais sache que tu vas me servir de garde du corps, si tu acceptes bien sûr.
• 2 000 € en liquide.
• Bien sûr, net d’impôts.
• Alors, je suis libre pour vous.
• J’espérais que tu accepterais, voici mon adresse, tu sonnes et je t’ouvrirais, il va sans dire que si tu veux progresser au sein de mon entreprise, la plus grande discrétion sera de règle.
Garde mon adresse pour toi !
• Comment dois-je m’habiller, j’aurais une casquette ?

Elle part d’un grand éclat de rire.

• Non, reste habillé avec le même genre de vêtements.
Évitent les tenues trop voyantes ou trop excentriques.
• Bien Madame, avec la prime de fin d’année, je me suis acheté des fringues un peu plus select que mon jean et mes baskets.
Je serai propre sur moi.
• C’est très bien à demain Léo.

Que pensé de ce qu’il m’arrive !
Grâce à Madame, je vais toucher en une soirée un peu plus d’un mois de mon salaire net d’impôt de surcroit.
La nuit est interminable et j’ai bien peur d’avoir les yeux au milieu de la figure le soir prochain.
Mais je dors sur le matin et comme je me réveille à 14 heures, je suis frais et dispos comme un gardon, du moins c’est ce que l’on dit.
Je passe chez le coiffeur, maman m’a toujours dit d’être bien coiffé pour aller rencontrer une dame.
Je quitte mon studio de la porte d’Orléans et je parcours les cinq cents mètres qui me séparent de la mairie de Montrouge quand je sonne au bas de son immeuble.

• C’est Léo Madame.
• Monte, dernier étage.

Au 7e, je pourrais prendre l’ascenseur, mais voulant garder la forme, je grimpe trois par trois les marches par l’escalier.
En haut, une seule porte, même pas essoufflée, je sonne.

• Tu en as mis du temps, l’ascenseur est en panne !
• Non, les marches sont un simple exercice pour garder ma forme, madame.
• Entre, je finis de me préparer, va au bar nous servir un apéro.
• Jamais d’alcool, madame, c’est mauvais pour ma ligne.
• Je devrais en faire autant, mais un petit whisky de temps en temps me donne du tonus.
Sert m’en un, tu as des boissons sans alcool dans le mini-bar.

Elle s'est couverte d’un peignoir et a une serviette nouée en turban dans les cheveux, mais elle est déjà maquillée.

• J’arrive tu m’as servi.
• Oui, Madame.

Elle me parle du bout de son appartement alors que je me tiens debout devant la baie vitrée qui donne sur une terrasse couverte de plantes.

• Viens me voir, j’ai besoin de toi.
• Oui, Madame, j’arrive.

Un peu stressé quand je m’approche vers l’endroit d’où semble venir sa voix, je trouve Madame debout près de son lit, elle vient de passer sa robe.

• Peux-tu remonter ma fermeture s’il te plaît, attention à mes cheveux ?
• Oui, Madame.
• S’il te plaît, je me doute que c’est difficile pour toi, mais je te demande d’arrêter de me donner tout le temps du « Madame. »
Après ce que je vais te demander de faire ce soir pour le bien de l’entreprise, il serait bizarre de continuer à m’appeler comme cela.
Si tu le veux, suivant la façon dont les choses vont tourner ce soir, j’accepte que tu m’appelles par mon prénom quand nous serons seuls.
Le connais-tu ?
• Oui, Madame, pardon, c’est Sylviane.
• Alors dit le.
• Oui, Sylviane.
• Bien, termine de me remonter la fermeture de ma robe.
Sympa, je vois que tu as apporté mon verre de whisky.

Je m’exécute et au moment où mes doigts touchent sa colonne vertébrale, je remarque qu’elle frissonne.

• Retourne au salon, j’arrive.

Cinq minutes et elle entre dans la pièce resplendissement ayant mis un collier très simple autour de son cou.
Je reprends la bouteille de whisky, son verre étant vide et prenant le mien, je manque de trinquer avec elle comme avec un copain.

• Léo, trinquons à la réussite de notre soirée.

Je trinque sans savoir ce qu’elle veut dire par la réussite de notre soirée.
Nous quittons l’appartement et nous prenons l’ascenseur, je vois quel appui sur l’étage « parking ».
Je suis à quelques centimètres derrière elle.
Son parfum m’enivre, si j’étais avec une salope ayant en vue de la baiser, je lui embrasserais le cou, mais bien sûr, je m’en abstiens.
Sylviane reste ma patronne surtout avec l’enveloppe qu’elle a mise dans ma poche de mon costume que je porte sur une chemise blanche ouverte avec à mes pieds mes pompes à l’Italienne.
Elle doit contenir les 2 000 €, je me garde bien de vérifier, évitons les fautes de goût.
Maman dit toujours, arrêtons avec maman, c’est moi qui suis là dans cet ascenseur derrière cette magnifique femme.
Vers quelles aventures, cette jolie femme, m’entraîne-t-elle ?...

Les avis des lecteurs

Merci Cyrille, la suite demain

Histoire Erotique
Alors là tu me donnes terriblement envie de lire la suite 😍😍😍

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (1/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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