COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (3/4)
Satisfait de moi, je me redresse et présente ma verge à la fente assez humide de celle qui en début de soirée était encore simplement ma patronne, me montrant qu’elle meure d’envie de se faire prendre.
Je suis en train de sauter ma directrice lorsque son portable posé sur la table sonne.
• Attends, je dois voir si ça vient de l’entreprise, les mécaniciens interviennent sur une machine et attendaient mon feu vert si nous avions le contrat.
Tu me faire perdre la tête, mais si tu savais comme j’aime que tu me la fasses perdre depuis le décès de mon mari.
Je l’aide à se redresser et elle récupère son portable dans son petit sac à main qu’elle avait posé sur la table en entrant.
• Mince, c’est Donatien !
• Donatien ?
• Oui, le client que tu m’as aidé à piéger, chut je décroche.
Oui, madame Sylviane à l’appareil, vous avez oublié de me demander quelque chose !
• Pas tout à fait, vous m’avez bien eu avec votre soi-disant amant.
Combien vous a-t-il couté, vous saviez que j’avais des vues sur vous après la signature de notre contrat, mais c’est bien joué, je suis beau joueur et je sais m’incliner.
• Vous souhaitez rompre le contrat !
• Pas le moindre au monde, mais j’ai comme vous de temps en temps besoin d’un mâle dominant comme l’est celui qui a su répondre à chacune de mes sollicitations.
C’est lui qui devrait définir le nombre de pièces supplémentaire s’il me donne satisfaction.
Vous savez comme sont les affaires Sylviane, il faut savoir se servir de tous ces atouts afin de pouvoir l’emporter.
S’il est encore près de vous, pouvez-vous lui communiquer mon numéro.
Je l’appellerais dans quelques jours, j’aurais besoin de lui pour séduire la femme d’un de mes concurrents dont je convoite l’entreprise.
Pendant qu’il s’occupera de cette femme, ça me laissera du temps pour conclure mon affaire derrière son dos.
Et je vois qu’elle raccroche.
Son portable a-t-il été mis volontairement sur haut-parleur pour que j’entende ?
Suis-je devenu un gigolo que les personnes ayant du fric s’échangent ?
• Et si nous en revenions là où nous en étions !
Que dire de la suite, je recommence le travail commencé et après avoir réussi à ce qu’elle demande grâce, nous nous endormons ?
• Es-tu café ou autre boisson, thé ou chocolat au petit déjeuner ?
• Café !
Elle prend son portable, il semble que comme beaucoup de gens cet appareil est devenu son principal outil de travail et de vie.
Quelques minutes après, une jeune femme entre un plateau avec de quoi nous substanter.
Je dévore littéralement.
• C’est beau d’être jeune, mais un problème se pose pour nous !
Je vais être directe, il est impossible que tu reviennes dans mon entreprise comme un simple ouvrier.
En même temps te donner un poste différent pourrait faire jazzer alors que tu m’as montré toutes tes compétences dans divers domaines.
Si je t’ai fait appeler, c’est parce que je me trouvais coincé.
Je devais emmener une escorte boy que je sollicitais pour ce genre d’occasion.
Il m’a fait faux-bond, ayant rencontré une jeune femme et arrêtant ce genre de prestations rétribuées.
Je t’avais croisé à ton poste de travail, tu travaillais dur et tes muscles m’ont fait penser à toi pour le remplacer.
Tu t’es parfaitement acquitté de ta charge, mais...
• Tu vas me foutre à la porte.
• Oui, et non !
• Oui, parce que tu es trop intelligent et rapidement tu prendrais ma place si je te garde.
• Pour le non ?
• Tu as entendu le client que tu m’as aidé à piéger, j’étais sur haut-parleur.
Il souhaite se servir de toi pour piéger un concurrent, tu as énormément de fric à te faire surtout que tu es un très bon amant.
Viens, je te montre quelque chose.
Nous nous levons nus et passons dans le couloir et nous entrons dans la pièce voisine de la sienne.
• Voilà, avec ton numéro de portable que tu vas me donner, tu recevras de temps en temps des appels qui te feront des propositions.
• Pour que je devienne un gigolo.
• Tu peux appeler ça comme cela.
Combien je te paye, environ légèrement plus que le smic, moi ce que je te propose, c’est cette chambre avec vue sur Paris grâce à ma magnifique terrasse.
Officiellement tu habiteras chez ta tante qui t’héberge pendant ton séjour à Paris.
Tu pourras amener certaines femmes qui cherchent un beau gosse pour s’éclater derrière le dos de leur mari souvent les délaissant.
Chaque mois, tu te feras environ minimum 10 000 € la plus grande partie nette d’impôt.
Qu’en penses-tu ?
Maman, m’a toujours dit qu’un jour une chance pour moi se présenterait, il faudrait savoir la saisir.
• Chambre, logé nourri, j’adore ma tante, mais j’ai un petit problème.
• Lequel, tout est négociable !
• Ma queue se remet à bander, je crois qu’elle a envie de sa cliente d’un soir.
• 1 000 € supplémentaires si tu me défonces autant que cette nuit, tu es intraitable, j’aime ça !
Nous sommes sur la terrasse, un lit de jardin nous tend les bras, je l’y emmène et une grande partie de la journée nous profitons de ce moment qui va changer ma vie.
Voilà, j’ai franchi le pas.
J’ai reçu le coup de fil de Donatien, je suis dans des vêtements tout neufs.
Sylviane m’a emmené faire les boutiques dès le lendemain refaisant ma garde-robe et me faisant connaître de ce milieu aisé que maman a toujours espéré me voir le rejoindre, celui où le fric coule à flot.
À oui, de ma salle de sport de quartier je suis passé dans une salle de haut standing à deux pas de ma nouvelle demeure.
Dès ma première séance, les petits culs courant sur les tapis devant moi sont tous vêtus de vêtements venant d’autre boutique que du décathlon de mon quartier.
Mais revenons à Sylviane et à Donatien que j’ai rejoint.
• Cher Albert, je me suis permis d’amener mon neveu que je vois trop peu souvent.
Je vous propose qu’il emmène votre charmante jeune femme visiter la capitale, entendre des chiffres risquent de rapidement les ennuyer.
• Avec Josette, nous sommes mariés depuis peu et j’aime la savoir vers moi.
• Vous avez peur Albert que mon neveu soit inconvenant avec votre femme.
Ma sœur l’a très bien élevé, vous pouvez avoir confiance.
• Qu’en penses-tu ma chérie.
• Nous rentrons chez nous demain à Limoges, à part notre hôtel et les déplacements en taxi, pour une première fois à Paris, j’aurais voulu en voir plus.
Monsieur Léo pourra me monter la tour Eiffel, peut-être pourrions-nous y monter.
• Je suis venu avec ma voiture, elle est à votre disposition madame Josette ainsi que moi-même.
La voiture, une décapotable sport, c’est l’une des trois que Sylviane a dans son garage et qu’elle m’a proposé de me servir chaque fois que nécessaire.
Maman m’a toujours dit, passe ton permis même si tu dois te restreindre en nourriture, un jour, tu en auras besoin.
C’est ce que j’ai fait avec mes premières payes, je l’ai eu du premier coup.
• Amuse-toi bien, ma chérie et soit sage, tu sais comme je t’aime.
Plus de 50 ans, une jeune femme de moins de 30 ans partant avec un gigolo, mais ça il l’ignore.
Je comprends qu’il est des frayeurs à voir partir sa petite femme avec un beau gosse, surtout que je suis imaginatif.
• Là, nous sommes sur les boulevards des Maréchaux, je vais récupérer les quais.
Voici la tour Eiffel de l’autre côté de la seine.
Nous avons un peu de temps, j’habite chez ma tante à quelques centaines de mètres d’ici.
J’aurais besoin d’aller récupérer mon portefeuille que j’ai oublié ce matin en venant vous rencontrer avec Tata.
Je rentre dans le parking grâce au code que Sylviane m’a donné.
Il fait sombre, je me sers de cette situation.
• Monter avec moi, ma tante sera peut-être là, nous avons une terrasse, vous verrez déjà une partie de Paris et la tour Eiffel.
Soyez sans crainte, Josette, je suis un homme bien élevé.
Elle me suit, dans l’ascenseur, je fais attention d’éviter de la toucher, mais je sens son parfum qui m’enivre.
J’ouvre avec les clefs, je sais bien que Sylviane est absente, nous avons déjeuner ensemble après la nuit que je lui ai fait passer.
Je la guide vers la salle et vers la baie vitrée donnant sur la belle terrasse.
C’est rare à Paris surtout que l’on voit la tour et divers bâtiments connus de Paris.
Hier, Sylviane m’en a fait voir quelques-uns.
• Josette, je vais chercher mon portefeuille, j’ai eu de la chance d’éviter un contrôle, admire, je reviens !
J’entre dans ma chambre, je sors mon permis de conduire de ma poche de veste et je le remets dans mon portefeuille.
J’avais prévu d’amener Josette jusqu’ici, sans prendre le risque de prendre un PV en cas de contrôle.
Je rejoins Josette, mon sexe à pile a-t-il fait son effet, je vais vite le savoir...
Je suis en train de sauter ma directrice lorsque son portable posé sur la table sonne.
• Attends, je dois voir si ça vient de l’entreprise, les mécaniciens interviennent sur une machine et attendaient mon feu vert si nous avions le contrat.
Tu me faire perdre la tête, mais si tu savais comme j’aime que tu me la fasses perdre depuis le décès de mon mari.
Je l’aide à se redresser et elle récupère son portable dans son petit sac à main qu’elle avait posé sur la table en entrant.
• Mince, c’est Donatien !
• Donatien ?
• Oui, le client que tu m’as aidé à piéger, chut je décroche.
Oui, madame Sylviane à l’appareil, vous avez oublié de me demander quelque chose !
• Pas tout à fait, vous m’avez bien eu avec votre soi-disant amant.
Combien vous a-t-il couté, vous saviez que j’avais des vues sur vous après la signature de notre contrat, mais c’est bien joué, je suis beau joueur et je sais m’incliner.
• Vous souhaitez rompre le contrat !
• Pas le moindre au monde, mais j’ai comme vous de temps en temps besoin d’un mâle dominant comme l’est celui qui a su répondre à chacune de mes sollicitations.
C’est lui qui devrait définir le nombre de pièces supplémentaire s’il me donne satisfaction.
Vous savez comme sont les affaires Sylviane, il faut savoir se servir de tous ces atouts afin de pouvoir l’emporter.
S’il est encore près de vous, pouvez-vous lui communiquer mon numéro.
Je l’appellerais dans quelques jours, j’aurais besoin de lui pour séduire la femme d’un de mes concurrents dont je convoite l’entreprise.
Pendant qu’il s’occupera de cette femme, ça me laissera du temps pour conclure mon affaire derrière son dos.
Et je vois qu’elle raccroche.
Son portable a-t-il été mis volontairement sur haut-parleur pour que j’entende ?
Suis-je devenu un gigolo que les personnes ayant du fric s’échangent ?
• Et si nous en revenions là où nous en étions !
Que dire de la suite, je recommence le travail commencé et après avoir réussi à ce qu’elle demande grâce, nous nous endormons ?
• Es-tu café ou autre boisson, thé ou chocolat au petit déjeuner ?
• Café !
Elle prend son portable, il semble que comme beaucoup de gens cet appareil est devenu son principal outil de travail et de vie.
Quelques minutes après, une jeune femme entre un plateau avec de quoi nous substanter.
Je dévore littéralement.
• C’est beau d’être jeune, mais un problème se pose pour nous !
Je vais être directe, il est impossible que tu reviennes dans mon entreprise comme un simple ouvrier.
En même temps te donner un poste différent pourrait faire jazzer alors que tu m’as montré toutes tes compétences dans divers domaines.
Si je t’ai fait appeler, c’est parce que je me trouvais coincé.
Je devais emmener une escorte boy que je sollicitais pour ce genre d’occasion.
Il m’a fait faux-bond, ayant rencontré une jeune femme et arrêtant ce genre de prestations rétribuées.
Je t’avais croisé à ton poste de travail, tu travaillais dur et tes muscles m’ont fait penser à toi pour le remplacer.
Tu t’es parfaitement acquitté de ta charge, mais...
• Tu vas me foutre à la porte.
• Oui, et non !
• Oui, parce que tu es trop intelligent et rapidement tu prendrais ma place si je te garde.
• Pour le non ?
• Tu as entendu le client que tu m’as aidé à piéger, j’étais sur haut-parleur.
Il souhaite se servir de toi pour piéger un concurrent, tu as énormément de fric à te faire surtout que tu es un très bon amant.
Viens, je te montre quelque chose.
Nous nous levons nus et passons dans le couloir et nous entrons dans la pièce voisine de la sienne.
• Voilà, avec ton numéro de portable que tu vas me donner, tu recevras de temps en temps des appels qui te feront des propositions.
• Pour que je devienne un gigolo.
• Tu peux appeler ça comme cela.
Combien je te paye, environ légèrement plus que le smic, moi ce que je te propose, c’est cette chambre avec vue sur Paris grâce à ma magnifique terrasse.
Officiellement tu habiteras chez ta tante qui t’héberge pendant ton séjour à Paris.
Tu pourras amener certaines femmes qui cherchent un beau gosse pour s’éclater derrière le dos de leur mari souvent les délaissant.
Chaque mois, tu te feras environ minimum 10 000 € la plus grande partie nette d’impôt.
Qu’en penses-tu ?
Maman, m’a toujours dit qu’un jour une chance pour moi se présenterait, il faudrait savoir la saisir.
• Chambre, logé nourri, j’adore ma tante, mais j’ai un petit problème.
• Lequel, tout est négociable !
• Ma queue se remet à bander, je crois qu’elle a envie de sa cliente d’un soir.
• 1 000 € supplémentaires si tu me défonces autant que cette nuit, tu es intraitable, j’aime ça !
Nous sommes sur la terrasse, un lit de jardin nous tend les bras, je l’y emmène et une grande partie de la journée nous profitons de ce moment qui va changer ma vie.
Voilà, j’ai franchi le pas.
J’ai reçu le coup de fil de Donatien, je suis dans des vêtements tout neufs.
Sylviane m’a emmené faire les boutiques dès le lendemain refaisant ma garde-robe et me faisant connaître de ce milieu aisé que maman a toujours espéré me voir le rejoindre, celui où le fric coule à flot.
À oui, de ma salle de sport de quartier je suis passé dans une salle de haut standing à deux pas de ma nouvelle demeure.
Dès ma première séance, les petits culs courant sur les tapis devant moi sont tous vêtus de vêtements venant d’autre boutique que du décathlon de mon quartier.
Mais revenons à Sylviane et à Donatien que j’ai rejoint.
• Cher Albert, je me suis permis d’amener mon neveu que je vois trop peu souvent.
Je vous propose qu’il emmène votre charmante jeune femme visiter la capitale, entendre des chiffres risquent de rapidement les ennuyer.
• Avec Josette, nous sommes mariés depuis peu et j’aime la savoir vers moi.
• Vous avez peur Albert que mon neveu soit inconvenant avec votre femme.
Ma sœur l’a très bien élevé, vous pouvez avoir confiance.
• Qu’en penses-tu ma chérie.
• Nous rentrons chez nous demain à Limoges, à part notre hôtel et les déplacements en taxi, pour une première fois à Paris, j’aurais voulu en voir plus.
Monsieur Léo pourra me monter la tour Eiffel, peut-être pourrions-nous y monter.
• Je suis venu avec ma voiture, elle est à votre disposition madame Josette ainsi que moi-même.
La voiture, une décapotable sport, c’est l’une des trois que Sylviane a dans son garage et qu’elle m’a proposé de me servir chaque fois que nécessaire.
Maman m’a toujours dit, passe ton permis même si tu dois te restreindre en nourriture, un jour, tu en auras besoin.
C’est ce que j’ai fait avec mes premières payes, je l’ai eu du premier coup.
• Amuse-toi bien, ma chérie et soit sage, tu sais comme je t’aime.
Plus de 50 ans, une jeune femme de moins de 30 ans partant avec un gigolo, mais ça il l’ignore.
Je comprends qu’il est des frayeurs à voir partir sa petite femme avec un beau gosse, surtout que je suis imaginatif.
• Là, nous sommes sur les boulevards des Maréchaux, je vais récupérer les quais.
Voici la tour Eiffel de l’autre côté de la seine.
Nous avons un peu de temps, j’habite chez ma tante à quelques centaines de mètres d’ici.
J’aurais besoin d’aller récupérer mon portefeuille que j’ai oublié ce matin en venant vous rencontrer avec Tata.
Je rentre dans le parking grâce au code que Sylviane m’a donné.
Il fait sombre, je me sers de cette situation.
• Monter avec moi, ma tante sera peut-être là, nous avons une terrasse, vous verrez déjà une partie de Paris et la tour Eiffel.
Soyez sans crainte, Josette, je suis un homme bien élevé.
Elle me suit, dans l’ascenseur, je fais attention d’éviter de la toucher, mais je sens son parfum qui m’enivre.
J’ouvre avec les clefs, je sais bien que Sylviane est absente, nous avons déjeuner ensemble après la nuit que je lui ai fait passer.
Je la guide vers la salle et vers la baie vitrée donnant sur la belle terrasse.
C’est rare à Paris surtout que l’on voit la tour et divers bâtiments connus de Paris.
Hier, Sylviane m’en a fait voir quelques-uns.
• Josette, je vais chercher mon portefeuille, j’ai eu de la chance d’éviter un contrôle, admire, je reviens !
J’entre dans ma chambre, je sors mon permis de conduire de ma poche de veste et je le remets dans mon portefeuille.
J’avais prévu d’amener Josette jusqu’ici, sans prendre le risque de prendre un PV en cas de contrôle.
Je rejoins Josette, mon sexe à pile a-t-il fait son effet, je vais vite le savoir...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille tu es mon meilleur lecteur
Très vite la suite.....
Cyrille
Cyrille