COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Fin de la saison I (3/3)
Jour de chance, je rencontre une femme me faisant croire qu’elle est mariée pour faire de moi un escortboy.
J’accepte et son fric et les clefs d’un appartement où je vais faire la pute pour des femmes de la haute, vu son emplacement et les tarifs que je vais pratiquer.
J’ai déjà reçu une enveloppe avec les 2 000 € prévus pour une prestation et en ce moment j’ai ma queue dans la chatte de ma première cliente.
Cette femme de 35 à 40 est certainement en grande détresse sexuelle pour payer un homme, même un mâle de ma prestance.
Je fais des études, mais je m’entretiens en salle de gymnastique ou pour mon plaisir je soulève des tonnes de fonte, mon corps et ma silhouette s’y retrouvant.
Je suis affûté comme une lame et mes pectoraux sont très bien dessinés.
À mon âge, j’ai une petite expérience avec les femmes, suffisante pour passer l’examen avec succès.
Ma cliente se laisse entraîner dans ma chambre où mon nouveau lit de forme ronde nous reçoit, je la prends en levrette.
Tout en la baisant, je m’empare de la télécommande.
Première impulsion, le lit accélère sa rotation jusqu’à tourner si vite que je suis à la limite d'être éjecté.
J’ai l’impression de jouer à des jeux avec des assiettes dites au beurre.
Le ralentissant, j’appuie sur le deuxième où un symbole montre qu’il devrait faire des mouvements avant arrière.
Je comprends que la femme que j’honore est mal placée.
Le mouvement est inefficace.
Je finis par trouver la bonne position, surtout en levrette.
Le lit me fait prendre un mouvement d’entrée et de sortie de sa chatte.
Je lui lâche les hanches, jusqu’à pouvoir dire comme dans la chanson grivoise que nous chantions au retour de nos matchs de rugby.
« Quand moi, j'avance toi tu recules, comment veux-tu, comment veux-tu que je t’encule ».
Le mouvement me fait avancer et reculer donnant même des coups de boutoir risquant de me désarçonner.
Mais ça a pour conséquence de me fait entrer, sortir et entrer à une vitesse-t-elle que je l’agrippe de nouveau par les hanches me plaquant sur son derrière en goutte d’huile, mais que je sais apprécier.
À ce rythme elle jouit et je jouis en remplissant son vagin.
Ma queue d’escorte vient de me faire gagner mes premiers vrais billets.
Je suis beau joueur, je tiens à lui en donner pour son argent aussi je l’entraîne vers la baignoire transparente où je donne l’ordre verbal qu’elle se remplisse avec un bain bouillonnant.
Je comprends que je peux par la voix commander l’éclairage et la musique, préférant une musique douce à une musique plus soutenue en phase avec les pénétrations que je lui procurais sur le lit.
Je la savonne m’attardant dans sa fourche qu’elle m’offre de manière totalement impudique.
Le miracle s’opère de nouveau, elle a un petit orgasme qui la fait plier sur ses genoux au grand plaisir de ma main qui entre plus profondément en elle.
Elle m’aide à me relever et s’agenouille pour me prendre dans sa bouche.
Quand mon plaisir est au paroxysme, elle avale les longs traits de sperme que j’expulse et qui vient couler au fond de sa gorge, sans qu’elle rate la moindre miette.
Revenue dans la chambre, je fais sauter le bouchon de la bouteille de champagne placé sur une table comprise dans le tarif proposé par l’organisateur.
Je me sers un verre de jus de fruits afin de m’hydrater.
Satisfaite de sa soirée, je l'aide à se rhabiller, après avoir appelé un taxi je la raccompagne jusqu’à l’ascenseur.
Je lui fais un baisemain qu’elle semble apprécier.
Elle ouvre, son sac en sort un billet de 500 €.
• Peut-on se revoir ?
• Allez sur le site, demandez Célian comme vous l’avez fait.
Ils me préviendront ce sont eux qui gèrent mes rendez-vous.
J’aurais énormément de plaisir à vous revoir.
Sur ces mots la porte se referme, je la vois disparaître.
Je suis fière d’avoir satisfait pleinement ma première cliente, le billet que j’ai en main, peut en attester.
J’entre, je vais dans la pièce où se trouve l’ordinateur qui gère l’appartement.
Je lis la notice d’utilisation et dans un même temps, je vais sur le site chercher les escortes girls et boys.
J’ai rapidement devant moi le corps de Claude et sur la page garçon Célian, nos deux visages étant floutés.
Je fais le numéro indiqué.
• Bonsoir, monsieur Célian, votre premier rendez-vous s’est-il bien passé ?
Je suis étonné, mais je comprends que l’ordinateur qui gère le système de l’organisation ayant reconnu celui de mon appartement, m’obligeant à me découvrir.
• Oui, bel enfant, tout s’est bien passé, la cliente est partie satisfaite et j'ai pris beaucoup de plaisir à lui faire l’amour.
Serait-il possible d’avoir un rendez-vous avec Claude pour la remercier de mon nouvel emploi fort plaisant et lucratif ?
• Avant de retrouver Claude qui vous contactera pour faire le point avec vous, après que vous avez reçu quelques clientes et analysé si vous voulez persister dans ce travail, allez-vous coucher.
Je vous rappelle, demain 8 heures, un tailleur sera chez vous pour prendre vos mesures.
Dans un premier temps, il vous confectionnera un smoking qui vous sera porté avant 17 heures.
Il y aura un contrat, pour demain soir, je vous en dirais un peu plus demain matin, j’espère que vous l’accepterez.
• Dès maintenant, j’accepte, j’ai besoin de remplir ma cagnotte.
• Bien, le fric est un moteur pour faire ce que vous avez accepté de faire.
Je vous en dévoile un peu plus, il s’agit d’un couple qui va fêter leur anniversaire de mariage.
La voix me dit comment les choses doivent se passer à la demande du mari et la soirée m’est proposée à 3 000 €.
• Eh, je suis hétéro pas homo.
• Rien à craindre le mari aussi, il nous l’a bien précisé, ils seront à votre appartement à 21 heures.
• Alors, j’accepte, quel est votre prénom, votre voix est très agréable.
Comme la première fois, la communication coupe.
Je sors pour me payer un bon restaurant laissant une bonne partie du billet de 500 que m’a laissé ma première cliente.
Le matin je reçois le tailleur.
Un peu efféminé, à la limite de me faire des avances que je feins de remarquer.
Comme prévu dans l’attente d’un tas de vêtements qui seront placés dans les jours prochains dans mes armoires, il me confectionne un smoking noir et un blanc.
Tout ce que m’a dit la voix sur la préparation de la soirée se produit, après que je sois allée à la salle de sport pendant les deux heures de nettoyage.
C’est obligatoire si je veux garder ma musculature.
Quand je suis de retour, mon frigo à l’américaine est rempli de plat numéroté pour que j’évite de me tromper.
À 21 heures je suis habillé, smoking noir.
Je fais démarrer une musique d’ambiance avec lumière tamisée pour mettre en valeur la table préparée ce matin par l'équipe de service.
Il me reste à allumer les bougies rouges.
• Bonsoir, monsieur madame, veuillez entrer, je suis à votre service pour le reste de la soirée.
La femme à qui je fais le baisemain est magnifique et la soirée semble se présenter sous les meilleurs auspices.
Robe du soir en voile de dentelle qui me permet de voir qu’elle est sans sous-vêtement, ce qui va m’aider dans mon travail une fois que j’aurais récupéré son étole.
Aucun bijou seule une broche sur son épaule semblant être la pièce maîtresse retenant ses voiles sur son corps de déesse pour une femme aussi épanouie.
Le mari est bien conservé, malgré qu’il semble être plus vieux.
Il doit s’agir d’un vieux qui a refait sa vie avec une femme plus jeune dès que son travail lui a apporté l’opulence après de bons contrats bien juteux.
• Madame souhaitez-vous garder votre étole près de vous ou souhaitez-vous que je la range dans le dressing ?
Je fais cette proposition d’une voix suave comme me l'a suggéré celle qui m’a recruté récupérant l’argent que le mari me tend.
Grâce à cela, j’ai le temps de passer rapidement par la chambre où le petit coffre préalablement ouvert me permet de contrôler et de ranger les jolis billets, tous de 500.
C’est la première fois que j’en vois.
Le compte est bon et je bande quand je vois ces billets que cette soirée me rapporte.
• Une coupe de champagne pour l’apéritif !
Vous m’excuserez, je suis au jus de fruits !
Ma veste est ouverte sur ma chemise, je fais fonctionner mes pectoraux.
• C’est magnifique Serge mon amour, ce repas en toute intimité dans cet appartement avec ce serveur plein de tact est une jolie idée.
Je sens que nous allons passer une très bonne soirée, bien sûr, jeune homme que je veux du champagne, quel est votre nom ?
• Célian madame, ce soir vous commandez, je serais entièrement à votre service pour votre plus grand plaisir.
• Il est mignon, Serge fait-il partie du menu !
• Nous verrons cela après le dessert ma douce, j’ai faim.
Le repas servi par l’un des plus grands traiteurs, sinon le plus grand de la place de Paris, les cartons en attestant, se passe très bien jusqu’au dessert.
Pendant le repas musique douce, je commande la musique et fais danser une valse à ma cliente.
La salle est aménagée comme le serait une salle de bal avec la table sur une moquette épaisse et un plancher qui permet de glisser très facilement.
• Célian, vous valsez divinement, Serge prend en de la graine !
Merci maman, de m’avoir appris toutes ces danses lors des repas de famille.
Je sais danser, tango, charlestonne sans oublier le rock acrobatique, j’adore faire passer maman par-dessus mon épaule, elle a une grande souplesse.
Sans oublier la polka ainsi que le madison et le jerk.
• Merci chère madame.
• Allez y Célian, continuez à faire danser Véronica, elle adore ça.
Comme elle vient de le dire, je suis un danseur d’opérette.
J’aurais pu être surpris, mais cela fait partie du plan élaboré par Serge et que la voix m’a transmis.
Véronica se lève quand je lui tends la main.
Rapidement je la fais danser un tango faisant sortir sa longue jambe de cette robe que je rêve de voir tomber.
Son regard s’illumine quand elle voit la qualité de son partenaire.
J’ai oublié de parler des slows continuant cette soirée.
Je la colle à moi, il lui est impossible d’ignorer que je la désire.
• Serge ?
• Oui, mon cœur, il est à toi, c’est ton cadeau d’anniversaire.
Tu avais émis l’idée l’an passé d’avoir une soirée à trois et j’avais eu peur de satisfaire ton désir.
Cette année j’essaye de me rattraper en commençant par ce repas qui a été succulant surtout servi par Célian.
Viens m’embrasser que je te donne à ton magnifique cadeau.
Elle le fait, l’embrasse, ôte l’épingle de nourrice, la robe tombe, nous la montrant dans l’intégralité de sa nudité.
Je l’embrasse fougueusement, je vois Serge se lever pour nous rejoindre.
Peu importe la musique qui est jouée seule le plaisir que nous souhaitons donner à Véronica nous importe.
Elle se met à genoux et sortant nos bites de nos smokings, elle les avale l’une après l’autre en nous masturbant alors que nous sommes tendus au maximum.
La soirée commence très bien, pardon, se poursuit très bien...
Fin de la saison I.
La suite dans quelques jours.
J’accepte et son fric et les clefs d’un appartement où je vais faire la pute pour des femmes de la haute, vu son emplacement et les tarifs que je vais pratiquer.
J’ai déjà reçu une enveloppe avec les 2 000 € prévus pour une prestation et en ce moment j’ai ma queue dans la chatte de ma première cliente.
Cette femme de 35 à 40 est certainement en grande détresse sexuelle pour payer un homme, même un mâle de ma prestance.
Je fais des études, mais je m’entretiens en salle de gymnastique ou pour mon plaisir je soulève des tonnes de fonte, mon corps et ma silhouette s’y retrouvant.
Je suis affûté comme une lame et mes pectoraux sont très bien dessinés.
À mon âge, j’ai une petite expérience avec les femmes, suffisante pour passer l’examen avec succès.
Ma cliente se laisse entraîner dans ma chambre où mon nouveau lit de forme ronde nous reçoit, je la prends en levrette.
Tout en la baisant, je m’empare de la télécommande.
Première impulsion, le lit accélère sa rotation jusqu’à tourner si vite que je suis à la limite d'être éjecté.
J’ai l’impression de jouer à des jeux avec des assiettes dites au beurre.
Le ralentissant, j’appuie sur le deuxième où un symbole montre qu’il devrait faire des mouvements avant arrière.
Je comprends que la femme que j’honore est mal placée.
Le mouvement est inefficace.
Je finis par trouver la bonne position, surtout en levrette.
Le lit me fait prendre un mouvement d’entrée et de sortie de sa chatte.
Je lui lâche les hanches, jusqu’à pouvoir dire comme dans la chanson grivoise que nous chantions au retour de nos matchs de rugby.
« Quand moi, j'avance toi tu recules, comment veux-tu, comment veux-tu que je t’encule ».
Le mouvement me fait avancer et reculer donnant même des coups de boutoir risquant de me désarçonner.
Mais ça a pour conséquence de me fait entrer, sortir et entrer à une vitesse-t-elle que je l’agrippe de nouveau par les hanches me plaquant sur son derrière en goutte d’huile, mais que je sais apprécier.
À ce rythme elle jouit et je jouis en remplissant son vagin.
Ma queue d’escorte vient de me faire gagner mes premiers vrais billets.
Je suis beau joueur, je tiens à lui en donner pour son argent aussi je l’entraîne vers la baignoire transparente où je donne l’ordre verbal qu’elle se remplisse avec un bain bouillonnant.
Je comprends que je peux par la voix commander l’éclairage et la musique, préférant une musique douce à une musique plus soutenue en phase avec les pénétrations que je lui procurais sur le lit.
Je la savonne m’attardant dans sa fourche qu’elle m’offre de manière totalement impudique.
Le miracle s’opère de nouveau, elle a un petit orgasme qui la fait plier sur ses genoux au grand plaisir de ma main qui entre plus profondément en elle.
Elle m’aide à me relever et s’agenouille pour me prendre dans sa bouche.
Quand mon plaisir est au paroxysme, elle avale les longs traits de sperme que j’expulse et qui vient couler au fond de sa gorge, sans qu’elle rate la moindre miette.
Revenue dans la chambre, je fais sauter le bouchon de la bouteille de champagne placé sur une table comprise dans le tarif proposé par l’organisateur.
Je me sers un verre de jus de fruits afin de m’hydrater.
Satisfaite de sa soirée, je l'aide à se rhabiller, après avoir appelé un taxi je la raccompagne jusqu’à l’ascenseur.
Je lui fais un baisemain qu’elle semble apprécier.
Elle ouvre, son sac en sort un billet de 500 €.
• Peut-on se revoir ?
• Allez sur le site, demandez Célian comme vous l’avez fait.
Ils me préviendront ce sont eux qui gèrent mes rendez-vous.
J’aurais énormément de plaisir à vous revoir.
Sur ces mots la porte se referme, je la vois disparaître.
Je suis fière d’avoir satisfait pleinement ma première cliente, le billet que j’ai en main, peut en attester.
J’entre, je vais dans la pièce où se trouve l’ordinateur qui gère l’appartement.
Je lis la notice d’utilisation et dans un même temps, je vais sur le site chercher les escortes girls et boys.
J’ai rapidement devant moi le corps de Claude et sur la page garçon Célian, nos deux visages étant floutés.
Je fais le numéro indiqué.
• Bonsoir, monsieur Célian, votre premier rendez-vous s’est-il bien passé ?
Je suis étonné, mais je comprends que l’ordinateur qui gère le système de l’organisation ayant reconnu celui de mon appartement, m’obligeant à me découvrir.
• Oui, bel enfant, tout s’est bien passé, la cliente est partie satisfaite et j'ai pris beaucoup de plaisir à lui faire l’amour.
Serait-il possible d’avoir un rendez-vous avec Claude pour la remercier de mon nouvel emploi fort plaisant et lucratif ?
• Avant de retrouver Claude qui vous contactera pour faire le point avec vous, après que vous avez reçu quelques clientes et analysé si vous voulez persister dans ce travail, allez-vous coucher.
Je vous rappelle, demain 8 heures, un tailleur sera chez vous pour prendre vos mesures.
Dans un premier temps, il vous confectionnera un smoking qui vous sera porté avant 17 heures.
Il y aura un contrat, pour demain soir, je vous en dirais un peu plus demain matin, j’espère que vous l’accepterez.
• Dès maintenant, j’accepte, j’ai besoin de remplir ma cagnotte.
• Bien, le fric est un moteur pour faire ce que vous avez accepté de faire.
Je vous en dévoile un peu plus, il s’agit d’un couple qui va fêter leur anniversaire de mariage.
La voix me dit comment les choses doivent se passer à la demande du mari et la soirée m’est proposée à 3 000 €.
• Eh, je suis hétéro pas homo.
• Rien à craindre le mari aussi, il nous l’a bien précisé, ils seront à votre appartement à 21 heures.
• Alors, j’accepte, quel est votre prénom, votre voix est très agréable.
Comme la première fois, la communication coupe.
Je sors pour me payer un bon restaurant laissant une bonne partie du billet de 500 que m’a laissé ma première cliente.
Le matin je reçois le tailleur.
Un peu efféminé, à la limite de me faire des avances que je feins de remarquer.
Comme prévu dans l’attente d’un tas de vêtements qui seront placés dans les jours prochains dans mes armoires, il me confectionne un smoking noir et un blanc.
Tout ce que m’a dit la voix sur la préparation de la soirée se produit, après que je sois allée à la salle de sport pendant les deux heures de nettoyage.
C’est obligatoire si je veux garder ma musculature.
Quand je suis de retour, mon frigo à l’américaine est rempli de plat numéroté pour que j’évite de me tromper.
À 21 heures je suis habillé, smoking noir.
Je fais démarrer une musique d’ambiance avec lumière tamisée pour mettre en valeur la table préparée ce matin par l'équipe de service.
Il me reste à allumer les bougies rouges.
• Bonsoir, monsieur madame, veuillez entrer, je suis à votre service pour le reste de la soirée.
La femme à qui je fais le baisemain est magnifique et la soirée semble se présenter sous les meilleurs auspices.
Robe du soir en voile de dentelle qui me permet de voir qu’elle est sans sous-vêtement, ce qui va m’aider dans mon travail une fois que j’aurais récupéré son étole.
Aucun bijou seule une broche sur son épaule semblant être la pièce maîtresse retenant ses voiles sur son corps de déesse pour une femme aussi épanouie.
Le mari est bien conservé, malgré qu’il semble être plus vieux.
Il doit s’agir d’un vieux qui a refait sa vie avec une femme plus jeune dès que son travail lui a apporté l’opulence après de bons contrats bien juteux.
• Madame souhaitez-vous garder votre étole près de vous ou souhaitez-vous que je la range dans le dressing ?
Je fais cette proposition d’une voix suave comme me l'a suggéré celle qui m’a recruté récupérant l’argent que le mari me tend.
Grâce à cela, j’ai le temps de passer rapidement par la chambre où le petit coffre préalablement ouvert me permet de contrôler et de ranger les jolis billets, tous de 500.
C’est la première fois que j’en vois.
Le compte est bon et je bande quand je vois ces billets que cette soirée me rapporte.
• Une coupe de champagne pour l’apéritif !
Vous m’excuserez, je suis au jus de fruits !
Ma veste est ouverte sur ma chemise, je fais fonctionner mes pectoraux.
• C’est magnifique Serge mon amour, ce repas en toute intimité dans cet appartement avec ce serveur plein de tact est une jolie idée.
Je sens que nous allons passer une très bonne soirée, bien sûr, jeune homme que je veux du champagne, quel est votre nom ?
• Célian madame, ce soir vous commandez, je serais entièrement à votre service pour votre plus grand plaisir.
• Il est mignon, Serge fait-il partie du menu !
• Nous verrons cela après le dessert ma douce, j’ai faim.
Le repas servi par l’un des plus grands traiteurs, sinon le plus grand de la place de Paris, les cartons en attestant, se passe très bien jusqu’au dessert.
Pendant le repas musique douce, je commande la musique et fais danser une valse à ma cliente.
La salle est aménagée comme le serait une salle de bal avec la table sur une moquette épaisse et un plancher qui permet de glisser très facilement.
• Célian, vous valsez divinement, Serge prend en de la graine !
Merci maman, de m’avoir appris toutes ces danses lors des repas de famille.
Je sais danser, tango, charlestonne sans oublier le rock acrobatique, j’adore faire passer maman par-dessus mon épaule, elle a une grande souplesse.
Sans oublier la polka ainsi que le madison et le jerk.
• Merci chère madame.
• Allez y Célian, continuez à faire danser Véronica, elle adore ça.
Comme elle vient de le dire, je suis un danseur d’opérette.
J’aurais pu être surpris, mais cela fait partie du plan élaboré par Serge et que la voix m’a transmis.
Véronica se lève quand je lui tends la main.
Rapidement je la fais danser un tango faisant sortir sa longue jambe de cette robe que je rêve de voir tomber.
Son regard s’illumine quand elle voit la qualité de son partenaire.
J’ai oublié de parler des slows continuant cette soirée.
Je la colle à moi, il lui est impossible d’ignorer que je la désire.
• Serge ?
• Oui, mon cœur, il est à toi, c’est ton cadeau d’anniversaire.
Tu avais émis l’idée l’an passé d’avoir une soirée à trois et j’avais eu peur de satisfaire ton désir.
Cette année j’essaye de me rattraper en commençant par ce repas qui a été succulant surtout servi par Célian.
Viens m’embrasser que je te donne à ton magnifique cadeau.
Elle le fait, l’embrasse, ôte l’épingle de nourrice, la robe tombe, nous la montrant dans l’intégralité de sa nudité.
Je l’embrasse fougueusement, je vois Serge se lever pour nous rejoindre.
Peu importe la musique qui est jouée seule le plaisir que nous souhaitons donner à Véronica nous importe.
Elle se met à genoux et sortant nos bites de nos smokings, elle les avale l’une après l’autre en nous masturbant alors que nous sommes tendus au maximum.
La soirée commence très bien, pardon, se poursuit très bien...
Fin de la saison I.
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