COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Fin de la saison III. Fin de l’histoire (9/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Fin de la saison III. Fin de l’histoire (9/9)
• Reine vient nous rejoindre !
C’est l’ordre que je donne à ma maîtresse apeurée de s’être fait surprendre dans son lit avec un homme.
Je tiens l’avantage et veux le garder.
Je relâche mon bras autour des seins d’Éléonore, l’autre l’empêchant de retourner se noyer lui soutenant la tête hors du Jacuzzi ou je l’ai plongé entièrement habillé.
Reine se décide à entrer dans l’eau peureusement.
Éléonore rut une dernière fois faisant peur à Reine qui a un mouvement de recul.
Je lui saisis le visage autour du menton et le tends vers son amie.
• Embrassez-vous, vous allez voir qu’il est possible de s’entendre.
La situation me plait, je suis à deux doigts de bander.
Nue dans un Jacuzzi bouillonnant avec deux femmes et même deux très belles femmes.
La rousse pulpeuse, rousse jusqu’au bout des ongles, je devrais dire de son mont de Vénus orner d’une magnifique toison.
La brune capiteuse avec des seins que je peux admirer dans leur nudité totale, sa robe tenue par une bande élastique ayant glissé les découvrant.
Peureusement je vois Reine avancer sa bouche vers celle de sa maîtresse.
Éléonore tourne sa tête et crache dans l’eau.
Je lui replonge la tête dans le liquide qui entre-temps est monté à bonne température.
Elle bas des pieds, seule partie de son corps non maitrisé.
Son cul vient en contact de ma verge qui malgré l’accumulation d’acte sexuel réagit.
Il va sans le dire que mon but est loin de la noyer.
Je vois qu’elle a avalé de l’eau, des bulles sortant de sa bouche se mélangeant aux autres bulles.
• Tu en as assez, si je dois te faire avaler tout le Jacuzzi pour te calmer, dit le, je suis à ta disposition.
De nouveau elle suffoque.
Là, elle semble se calmer et après une grande respiration, elle tourne, elle aussi sa bouche vers celle de son amie.
Reine encore peureuse des ruades d’Éléonore finit par poser ses lèvres sur les siennes.
Deux bouches féminines s’embrassant à quelques centimètres de votre propre bouche, situation que bien des hommes voudraient connaitre et que je connais.
La buche brune et le feu roux qui la dévore, oublier la pute que je suis.
Surtout quand la brune tournant la tête me regarde encore hésitante.
C’est moi qui raccourcis la distance.
Qui eut dit quand j’ai vu la brune mettre discrètement sa main aux fesses de la rousse que je les aurais à ma merci quelques heures plus tard.
Reine, Éléonore, Reine, moi.
Moi, dans cette situation hors du cadre de mon rôle d’escorte, est-ce Célian ou Bruno qui caresse la poitrine de la première tout en en embrassant une et inversement quand nous décidons d’embrasser l’autre.
Un trio parfait, mais un trio incertain dans l’endroit où nous nous trouvons.
J’aide la brune à se relever en même temps que la longue chevelure rousse l’aide aussi.
La robe d’Éléonore dégouline littéralement.
• Tu as vu dans quel état tu es.
Nous rigolons.
Quand une femme rit, j’ai toujours entendu dire que c’était femme dans ton lit.
Rapidement je la fais glisser vers le bas, grâce au simple élastique la retenant sur ses seins.
Robe noire qu’elle libère en soulevant sa jambe gauche suivie de sa droite.
Petite culotte noire dans son petit cul que je palpe d’une main pendant que l’autre se balade sur les petites taches de rousseur de l’autre.
Comme je suis placé, j’ai la vision de la salle de bain dévasté comme si un tsunami l’avait traversé.
Qui de nous trois sortons le premier, aidant les autres ?
Qui prend la main de l’une tirant l’autre ?
Qui ravage, la salle d’eau et la chambre sans compter le lit quand nous roulons encore tous mouillés dessus.
Il y a des moments dans la vie, ou prendre le temps de se sécher est inutile.
Qui enlève la culotte à Éléonore découvrant son abricot sans le moindre poil.
Impossible de le dire.
Ce que je peux dire, c’est que les deux femmes en experte des plaisirs lesbiens se sucent mutuellement la chatte libérant celle de la furie de tout à l’heure, formidablement à ma verge qui bande impeccablement.
L’étalon est de retour.
Je pointe une nouvelle femme.
Une nouvelle femme, une de plus depuis que je suis entré dans ce bar étant en avance.
Ses hanches m’attirent quand je sens une main m’empoigner et me diriger dans cette grotte accueillante tellement elle est dégoulinante.
Pour une gouine, elle semble apprécier les bites à moins que ce soit seulement la mienne.
Je la sexe du mieux que je peux, du mieux que j’ai appris à le faire, du mieux que je sais faire.
Un râle de plaisir sort de cette bouche que j’ai failli noyer.
Ça aurait été dommage, c’est une pouliche de haut rang comme l’est la chatte rousse que je prends, elle aussi lorsque s’étant dégagé elles se mettent côte à côte les fesses et leur chatte à mon entière disposition.
Quelques coups à l’une, d’autres coups à l’autre, de nouveau retour à l’autre.
Encore l’autre jusqu’à l’embrassement de nos trois corps, les filles ayant de nouveau trouvé comment deux femmes s’embrassent lorsqu’elles sont amoureuses.
Nous sommes allongés, les draps mouillés sous nous.
• Merci, j’avais oublié comment une bonne bite pouvait nous donner du plaisir.
Reine, je m’excuse de t’avoir accaparé.
• Non, Éléonore, je t’aime, mais tu as raison une bonne bite, c’est plutôt sympa.
Je suis au milieu, les deux femmes les bras appuyés sur ma poitrine, l’une caressant le nez de l’autre.
La deuxième ébouriffant ses cheveux couleur de feu.
• Vous êtes sympa les filles, heureux d’avoir pu mettre ma bite à votre disposition, mais le devoir m’appelle.
Elle me laisse me lever et je vais me laver la verge et le reste par la même occasion.
Le Jacuzzi est encore à température, je m’y plonge avec délice, je suis ruiné.
Si ça continue, je vais y laisser ma santé.
Comme hier, je me retrouve chez moi.
Ouf, mon lit.
Non pas maintenant, laissez-moi dormir, je vous en supplie.
Je laisse sonner.
Combien de fois, cela recommence, je l’ignore, j’ai mis ma tête sous mon oreiller.
Je suis réveillé, je décroche.
• Enfin, les clientes attendent pendant que tu te prélasses.
• Lauriane ou est la voix, j’aimais être réveillé par sa douceur.
Elle est partie à la retraite hier au soir.
• À la retraite, elle était si vieille que ça !
• Mariée, une fille, une petite fille, c’est ma grand-mère.
Un blanc, je tombe des nues.
• Pourquoi m’appelles-tu ?
• Quinze heures chez toi.
• Peux-tu me donner des renseignements?
• Non, tu découvriras.
Tenu décontract, je vais chez mon coiffeur.
Avant j’y allais lorsque j’avais le temps.
Depuis que je fais l’escorte, c’est deux fois par semaine.
Il est quinze heures, je suis en mode pute, impeccable comme chaque fois que je suis sollicité par des femelles pour un petit coup souvent rapide, mais tarifé.
• Lauriane que fais-tu là, la cliente a annulé, tu aurais pu simplement me téléphoner.
• La cliente, c’est moi, voilà ton enveloppe.
• Je t’ai déjà refusé une fois, inutile d’insister.
• C’est la pucelle qui t’a fait peur, tu as vu que ce handicap je l’ai gommé avec le monsieur qui était avec moi à la présentation du parfum.
Il veut m’épouser, j’ai décidé d’enterrer ma vie de jeune fille avec une escorte.
C’est toi que j’ai choisi.
Une enveloppe est une enveloppe, il est vrai que j’avais peur de la dépuceler.
Si un autre a ôté son pucelage, pourquoi refuser cette jolie femme.
C’est un peu dur à expliquer, je la prends dans mes bras et j’officie comme sa mère Claude m’a appris à faire.
Mon lit impeccablement refait pendant que j’étais chez le coiffeur.
• Bruno, je t’aime, oui prends mon corps, je suis à toi.
Bruno, Lauriane serait l’une de mes clientes, ce serait au bas mot Célian qu’elle aurait employé.
J’entre entre ses grandes lèvres, poussant comme je le fais avec les autres femmes qui me payent.
Ça résiste, sans penser être piégé, je pousse.
• Ouuuu.
J’entre, ce ouuuu, c’est loin d’être un ouuuu de plaisir, mais d’une pucelle se faisant enlever son hymen.
Ce qu’une femme veut, comment l’en empêcher.
Ce qu’une femme veut, Dieu le veut.
• Lauriane, veux-tu m’épouser ?
• Oui, Bruno mille fois oui ?
Voilà comment on se retrouve avec une femme qui garde vos deux enfants, des jumeaux.
C’est-elle qui me répond pour m’indiquer mes clientes ayant remplacé sa grand-mère ?
Pute et mari pendant quelques années, c’est le deal que j’ai passé avant de lui dire.
• Lauriane, veux-tu m’épouser ?
C’est l’ordre que je donne à ma maîtresse apeurée de s’être fait surprendre dans son lit avec un homme.
Je tiens l’avantage et veux le garder.
Je relâche mon bras autour des seins d’Éléonore, l’autre l’empêchant de retourner se noyer lui soutenant la tête hors du Jacuzzi ou je l’ai plongé entièrement habillé.
Reine se décide à entrer dans l’eau peureusement.
Éléonore rut une dernière fois faisant peur à Reine qui a un mouvement de recul.
Je lui saisis le visage autour du menton et le tends vers son amie.
• Embrassez-vous, vous allez voir qu’il est possible de s’entendre.
La situation me plait, je suis à deux doigts de bander.
Nue dans un Jacuzzi bouillonnant avec deux femmes et même deux très belles femmes.
La rousse pulpeuse, rousse jusqu’au bout des ongles, je devrais dire de son mont de Vénus orner d’une magnifique toison.
La brune capiteuse avec des seins que je peux admirer dans leur nudité totale, sa robe tenue par une bande élastique ayant glissé les découvrant.
Peureusement je vois Reine avancer sa bouche vers celle de sa maîtresse.
Éléonore tourne sa tête et crache dans l’eau.
Je lui replonge la tête dans le liquide qui entre-temps est monté à bonne température.
Elle bas des pieds, seule partie de son corps non maitrisé.
Son cul vient en contact de ma verge qui malgré l’accumulation d’acte sexuel réagit.
Il va sans le dire que mon but est loin de la noyer.
Je vois qu’elle a avalé de l’eau, des bulles sortant de sa bouche se mélangeant aux autres bulles.
• Tu en as assez, si je dois te faire avaler tout le Jacuzzi pour te calmer, dit le, je suis à ta disposition.
De nouveau elle suffoque.
Là, elle semble se calmer et après une grande respiration, elle tourne, elle aussi sa bouche vers celle de son amie.
Reine encore peureuse des ruades d’Éléonore finit par poser ses lèvres sur les siennes.
Deux bouches féminines s’embrassant à quelques centimètres de votre propre bouche, situation que bien des hommes voudraient connaitre et que je connais.
La buche brune et le feu roux qui la dévore, oublier la pute que je suis.
Surtout quand la brune tournant la tête me regarde encore hésitante.
C’est moi qui raccourcis la distance.
Qui eut dit quand j’ai vu la brune mettre discrètement sa main aux fesses de la rousse que je les aurais à ma merci quelques heures plus tard.
Reine, Éléonore, Reine, moi.
Moi, dans cette situation hors du cadre de mon rôle d’escorte, est-ce Célian ou Bruno qui caresse la poitrine de la première tout en en embrassant une et inversement quand nous décidons d’embrasser l’autre.
Un trio parfait, mais un trio incertain dans l’endroit où nous nous trouvons.
J’aide la brune à se relever en même temps que la longue chevelure rousse l’aide aussi.
La robe d’Éléonore dégouline littéralement.
• Tu as vu dans quel état tu es.
Nous rigolons.
Quand une femme rit, j’ai toujours entendu dire que c’était femme dans ton lit.
Rapidement je la fais glisser vers le bas, grâce au simple élastique la retenant sur ses seins.
Robe noire qu’elle libère en soulevant sa jambe gauche suivie de sa droite.
Petite culotte noire dans son petit cul que je palpe d’une main pendant que l’autre se balade sur les petites taches de rousseur de l’autre.
Comme je suis placé, j’ai la vision de la salle de bain dévasté comme si un tsunami l’avait traversé.
Qui de nous trois sortons le premier, aidant les autres ?
Qui prend la main de l’une tirant l’autre ?
Qui ravage, la salle d’eau et la chambre sans compter le lit quand nous roulons encore tous mouillés dessus.
Il y a des moments dans la vie, ou prendre le temps de se sécher est inutile.
Qui enlève la culotte à Éléonore découvrant son abricot sans le moindre poil.
Impossible de le dire.
Ce que je peux dire, c’est que les deux femmes en experte des plaisirs lesbiens se sucent mutuellement la chatte libérant celle de la furie de tout à l’heure, formidablement à ma verge qui bande impeccablement.
L’étalon est de retour.
Je pointe une nouvelle femme.
Une nouvelle femme, une de plus depuis que je suis entré dans ce bar étant en avance.
Ses hanches m’attirent quand je sens une main m’empoigner et me diriger dans cette grotte accueillante tellement elle est dégoulinante.
Pour une gouine, elle semble apprécier les bites à moins que ce soit seulement la mienne.
Je la sexe du mieux que je peux, du mieux que j’ai appris à le faire, du mieux que je sais faire.
Un râle de plaisir sort de cette bouche que j’ai failli noyer.
Ça aurait été dommage, c’est une pouliche de haut rang comme l’est la chatte rousse que je prends, elle aussi lorsque s’étant dégagé elles se mettent côte à côte les fesses et leur chatte à mon entière disposition.
Quelques coups à l’une, d’autres coups à l’autre, de nouveau retour à l’autre.
Encore l’autre jusqu’à l’embrassement de nos trois corps, les filles ayant de nouveau trouvé comment deux femmes s’embrassent lorsqu’elles sont amoureuses.
Nous sommes allongés, les draps mouillés sous nous.
• Merci, j’avais oublié comment une bonne bite pouvait nous donner du plaisir.
Reine, je m’excuse de t’avoir accaparé.
• Non, Éléonore, je t’aime, mais tu as raison une bonne bite, c’est plutôt sympa.
Je suis au milieu, les deux femmes les bras appuyés sur ma poitrine, l’une caressant le nez de l’autre.
La deuxième ébouriffant ses cheveux couleur de feu.
• Vous êtes sympa les filles, heureux d’avoir pu mettre ma bite à votre disposition, mais le devoir m’appelle.
Elle me laisse me lever et je vais me laver la verge et le reste par la même occasion.
Le Jacuzzi est encore à température, je m’y plonge avec délice, je suis ruiné.
Si ça continue, je vais y laisser ma santé.
Comme hier, je me retrouve chez moi.
Ouf, mon lit.
Non pas maintenant, laissez-moi dormir, je vous en supplie.
Je laisse sonner.
Combien de fois, cela recommence, je l’ignore, j’ai mis ma tête sous mon oreiller.
Je suis réveillé, je décroche.
• Enfin, les clientes attendent pendant que tu te prélasses.
• Lauriane ou est la voix, j’aimais être réveillé par sa douceur.
Elle est partie à la retraite hier au soir.
• À la retraite, elle était si vieille que ça !
• Mariée, une fille, une petite fille, c’est ma grand-mère.
Un blanc, je tombe des nues.
• Pourquoi m’appelles-tu ?
• Quinze heures chez toi.
• Peux-tu me donner des renseignements?
• Non, tu découvriras.
Tenu décontract, je vais chez mon coiffeur.
Avant j’y allais lorsque j’avais le temps.
Depuis que je fais l’escorte, c’est deux fois par semaine.
Il est quinze heures, je suis en mode pute, impeccable comme chaque fois que je suis sollicité par des femelles pour un petit coup souvent rapide, mais tarifé.
• Lauriane que fais-tu là, la cliente a annulé, tu aurais pu simplement me téléphoner.
• La cliente, c’est moi, voilà ton enveloppe.
• Je t’ai déjà refusé une fois, inutile d’insister.
• C’est la pucelle qui t’a fait peur, tu as vu que ce handicap je l’ai gommé avec le monsieur qui était avec moi à la présentation du parfum.
Il veut m’épouser, j’ai décidé d’enterrer ma vie de jeune fille avec une escorte.
C’est toi que j’ai choisi.
Une enveloppe est une enveloppe, il est vrai que j’avais peur de la dépuceler.
Si un autre a ôté son pucelage, pourquoi refuser cette jolie femme.
C’est un peu dur à expliquer, je la prends dans mes bras et j’officie comme sa mère Claude m’a appris à faire.
Mon lit impeccablement refait pendant que j’étais chez le coiffeur.
• Bruno, je t’aime, oui prends mon corps, je suis à toi.
Bruno, Lauriane serait l’une de mes clientes, ce serait au bas mot Célian qu’elle aurait employé.
J’entre entre ses grandes lèvres, poussant comme je le fais avec les autres femmes qui me payent.
Ça résiste, sans penser être piégé, je pousse.
• Ouuuu.
J’entre, ce ouuuu, c’est loin d’être un ouuuu de plaisir, mais d’une pucelle se faisant enlever son hymen.
Ce qu’une femme veut, comment l’en empêcher.
Ce qu’une femme veut, Dieu le veut.
• Lauriane, veux-tu m’épouser ?
• Oui, Bruno mille fois oui ?
Voilà comment on se retrouve avec une femme qui garde vos deux enfants, des jumeaux.
C’est-elle qui me répond pour m’indiquer mes clientes ayant remplacé sa grand-mère ?
Pute et mari pendant quelques années, c’est le deal que j’ai passé avant de lui dire.
• Lauriane, veux-tu m’épouser ?
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci sympa
Triste que l’histoire se termine ...juste merci
Quel métier !!!
Et aussi quelle histoire et quelle belle fin.
"Joindre l'utile à l'agréable", c'est vraiment ici que c'est le cas de le dire.
Belle petite sage Chris, bravo.
Ph......
Et aussi quelle histoire et quelle belle fin.
"Joindre l'utile à l'agréable", c'est vraiment ici que c'est le cas de le dire.
Belle petite sage Chris, bravo.
Ph......