COLLECTION ESCORTE BOY. Anne découverte le sexe à 62 ans (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE BOY. Anne découverte le sexe à 62 ans (1/1)
Cet après-midi je suis chez moi, seule, impatiente et un peu inquiète, j'attends un jeune homme !
• Entrez jeune homme, excusez, je ne connais rien de ce que vous faites, c’est mon fils qui m’a offert un ordinateur portable pour Noël, mais je vais trop vite, c’est certainement le stress.
• Ne soyez pas stressée chère madame, au téléphone vous m’avez dit vous appeler Anne.
• C’est exact, vous savez, Anne, Françoise, Christiane, dans les années 60, c’étaient des prénoms communs.
• Joli prénom chère madame, mais nous ne sommes pas là pour parler de nos prénoms.
Vous avez vu le site où des escortes boys proposent leurs services et c’est un honneur pour moi que vous m’ayez choisi.
• Je n’ai eu aucun mal, quand j’ai reçu ce mail j’ai cru que c’était mon petit-fils qui me faisait une plaisanterie.
Je lui ai téléphoné, à la manière dont il a paru étonné, j’ai su que ce n’était pas lui.
J’ai regardé les modèles qui nous étaient présentés sans envie d’en appeler mais votre photo m’a fait craquer.
• Peu importe qui vous a envoyé ce mail, le principal c’est que je sois là, merci d’avoir eu un flash sur moi !
• Vous avez raison, allons dans ma chambre !
• Tout doux Anne, vous m’ouvrez, vous m’emmenez dans votre chambre, je baisse mon pantalon, vous vous couchez les cuisses écartées et je vous pénètre.
Je vous fais jouir et basta à demain ou la semaine prochaine.
• Luce, excusez-moi, quand je vous dis que je suis stressée, c’est que depuis huit ans que je suis veuve, vous êtes le premier garçon à franchir le seuil de la porte de ma maison.
Hors des hommes de ma famille, il va de soi.
• Vous voulez dire que depuis votre veuvage, vous n’avez eu aucun homme dans votre vie, c’est incroyable au 21ème siècle.
• Vous comprenez que j’ai besoin de votre soutien pour que ce moment que nous allons passer ensemble soit le plus parfait possible pour vous et pour moi.
• Pour commencer, nous devons régler la partie la plus difficile de cette soirée, le prix de ma prestation.
• Excusez encore Luce, j’aime votre prénom, ça me rappelle le garçon qui m’a dépucelé lorsque j’avais 20 ans, il s’appelait Lucien, un vieux prénom lui aussi.
C’était deux ans avant que je ne rencontre Alain qui devait devenir mon mari. Venez dans la salle, l’enveloppe est sur la table.
Je l’emmène les jambes flageolantes.
Est-il possible que pour 2 000 €, ce garçon fasse l’amour à une grand-mère comme moi ?
Je viens de prendre ma retraite, j’habite dans l’est de la France, je travaillais dans une entreprise de transports comme secrétaire et je viens de partir pour me reposer. Je suis encore bien conservée, je pense avec ma taille moyenne, mes rondeurs sont acceptables bien que ma poitrine soit assez forte.
Mais hélas j'ai 62 ans !
Mais bien sûr, je suis sotte, ce sont mes collègues qui m’ont fait une blague en m’envoyant ce mail sur un site d’escorte boy.
Elles savaient que je venais de toucher une prime de départ de la société et une cagnotte après la collecte qu’elles ont faite auprès du personnel et des chauffeurs.
• Le compte est bon, le point le plus désagréable est passé, je vois un canapé qui est parfait pour commencer, asseyons-nous !
• Non, j’ai mis une bouteille de champagne au frais, je vais la chercher.
Il m’attrape par la main et me plaque contre lui.
• J’ai horreur que mes clientes se défilent.
Nous nous connaissons encore peu, à ce stade de nos rapports deux possibilités s’ouvrent à moi si nous nous connaissions mieux.
La manière forte, je te prendrais par tes cheveux châtain clair, je te les tirerais en arrière jusqu’à la limite de te faire pleurer, nous aurions une relation sadique, je sais faire.
Mais comme c’est la première fois et que je veux que tu sois satisfaite, je te prends par la taille, je t’approche lentement jusqu’à moi, bien sûr, je te fais sentir ma verge sur ton bas-ventre, te faisant mouiller d’envie !
• C’est formidable Luce, ma chatte était sèche depuis des années, je sens qu’elle coule, je sens ton membre, ça me fait peur, les deux hommes de ma vie n’en avaient que des biens ordinaires, le tien semble long et épais.
Dans le mouvement, malgré mon 1m60, lui au moins 1m80, nos bouches se rejoignent.
Je lis beaucoup, dans un de ces livres, l’auteur expliquait que les prostituées n’embrassaient pas leurs clients.
C’est vrai, c’était au moment des maisons closes.
À notre époque tout change, même le baiser profond qu’il me donne.
Sa main prend le premier bouton de mon corsage qu’il ouvre suivi d’un deuxième, sa main me prend un sein qu'il sort en mon soutien-gorge, il me lâche la bouche.
• Mais dis-moi ma coquine, c’est un balconnet en dentelle qui protège ce sein qui a apprécié que je le flatte, sa pointe bande.
• Oui, il me brûle et pour mes sous-vêtements, j’ignorais comment je devais être habillée, le manque d’expérience, tu l’as compris, j’ai essayé ceux que je mets d’habitude, trop classiques.
J’ai essayé de me mettre nue simplement recouvert d’un peignoir, me regardant dans ma glace j’ai eu l’impression de faire pute.
• Pour toi, suis-je une pute ?
• Non, je m’exprime mal quand je te dis que je suis stressée.
• Aucun problème, je te charrie, c’est de l’humour, bien sûr que je suis une pute mâle certes, puisque je fais payer mes prestations.
Tu aimes ce que nous avons commencé ?
• Je voulais te dire, si j’ai des sous-vêtements affriolants pour la première fois de ma vie, c’est parce que je suis descendue dans la boutique à deux pas et que je les ai achetés pour toi.
• Je vais redoubler de douceur pour te remercier de ce cadeau, rares sont mes clientes qui sont autant attentionnées, sauf parmi elles 25 à 30 % de mes clientes qui sont femmes d’affaire et qui viennent baiser entre midi et deux dans des hôtels avant de repartir dans leurs bureaux gagner du fric.
Elles ont des sous-vêtements de luxe, bien que la plupart sont la chatte à l’air sous leur tailleur, ce sont de vraies vicieuses.
Mon chemisier tombe, mon soutien-gorge me quitte rejoignant le premier vêtement, sa bouche reprend la mienne, ne tergiverse pas Luce va voir ma chatte, elle ruisselle c’est la pensée qui me vient, mais son envie est tout autre !
• Assieds-toi sur ton canapé.
Je suis son ordre, incapable de réagir, ma tête bourdonne et dire que la nuit dernière après avoir pris notre rendez-vous, j’ai pensé que cette étreinte tarifée serait bestiale. Mais cette douceur qu’il met afin de me satisfaire me va droit au cœur.
Prestement, il défait sa chemise, ses pectoraux certainement issus d’un travail dans une salle de sport m’apparaissent, il les fait bouger, ce qui me fait rire et qui me détend surtout que lentement il défait sa ceinture, ouvre sa braguette et reste en boxer.
Son paquet est à vingt centimètres de mes yeux, il prend l’élastique de son sous-vêtement et le fait descendre lentement, jusqu’au moment où elle se libère, il va me tuer, elle bondit vers moi.
Quel sexe, jamais je n’en ai vu de pareil !
• Suce là.
Je lève la tête de stupeur, je n’ai jamais fait de fellation, dans le plus profond de moi-même, mon cerveau n’a jamais eu l’ombre d’une envie de cette pratique sexuelle.
Je me souviens, Alain y a fait allusion une seule fois, nous avons dormi le cul tourné pendant quinze jours !
Je prends conscience que les mœurs ont évolué et qu’il arrive fréquemment maintenant qu'après la vue de films X les garçons imposent cela aux filles.
Je veux éviter d’être la vieille rombière qui rechigne dès que Luce me demande quelque chose, je la prends en main.
• À ton hésitation, je juge que c’est la première fois que tu prends une bite dans ta main pour la mettre dans ta bouche, je parie que tu refusais ce plaisir à ton mari.
• Je le conçois, mais je veux découvrir des pratiques sexuelles de notre époque, tu me diras si je suis une bonne élève.
Ma bouche entoure ce gland une fois et demi plus gros que ceux d’Alain et de Lucien, même si pour ces derniers, je ne les ai jamais vus d’aussi prêt.
C’est gros, mais c’est doux, ça pénètre plus facilement que je ne le pensais. J’ai bien fait de l’appeler quand j’ai vu sa beauté sur ce site d’escorte, j’aurai loupé quelque chose avant la fin de ma vie.
• C’est bien ma belle, continue à placer ta langue comme tu le fais, j’ai l’impression qu’un serpent s’entoure autour d’elle.
À part ma petite que je vois tous les mois et qui n’a que la bouche pour s’exprimer, tu es douée pour les fellations.
Je pourrais poser des questions sur cette petite, mais je suis sûre que c’est dans le feu de l’action et grâce à mon travail qu’il s’est épanché.
Je suis certaine que si j’essaye d’approfondir, il va se refermer comme une huitre.
• Tu vois, on progresse, tu as failli me faire jouir.
Quand je te disais qu’on avait le temps, reconnais que c’est mieux qu’un coup de bite vite fait sur le coin de ta table de cette salle à manger.
Je bande à fond, voyons voir ta chatte, si je comprends, tu es allée acheter cette parure rouge pour te montrer sous ton meilleur jour, j’adore ta petite culotte, tu permets, je la mets dans ma poche.
• Oui, prends-la, es-tu fétichiste ?
• Fétichiste, oui, s’en m’en rendre compte, je vais te faire un aveu, je prends systématiquement celle d’une nouvelle cliente, j’en ai plus de cent dans une armoire, toutes avec leur odeur d’origine.
Oui, je dois être fétichiste, ça date du jour où ma tante m’a dépucelé et que j’ai gardé sa culotte, je me suis branlé pendant plusieurs années en la mâchouillant, cela explique cela.
Il soulève ma jupe et fait glisser ma culotte me montrant chatte à l’air.
Ses doigts viennent effleurer ma toison, ses doigts sont électriques je dois reconnaître que ni mon mari et ni mon amant n’ont su s’occuper de moi comme ce garçon professionnel de l’amour sait le faire.
Sa main et ses doigts attaquent pour la première fois mon antre, mon gouffre, ma grotte, je n’ai pas assez de termes pour définir ce que je ressens.
Si j’ai trouvé, ma chatte, ce puits sans fond qu’il sait investir.
• Le moment est venu de concrétiser ton investissement.
Il s’assoit à mes côtés sur la banquette, la queue bien droite, j’ai compris ce qui me reste à faire.
Je suis encore souple, je l’enjambe, le place au centre de sa cible me laissant descendre le plus lentement possible.
Centimètre par centimètre, profitant du moment pour le graver à vie dans ma mémoire, je le fais entrer.
Quelle idiote d’avoir attendu si longtemps, je prends conscience du retard que j’ai pris dans ma vie.
Je suis assise, sa bite au fond de mon vagin, une lame de fond monte en moi. J’ignore combien d’années, ma santé va me permettre de draguer des petits jeunes qui seront d’aussi bons amants que Luce.
Ce qui est sûr, c’est que dès demain, je me rachète une parure bleue cette fois, celle que j’ai hésité à prendre en choisissant au dernier moment la rouge.
Puis l’ayant mise, je me rendrais dans une boîte où j’ai vu des femmes rentrer seules et ressortir au bras de beaux mecs.
Pardon, je vous quitte, Luce décharge en moi en même temps que je m’envole.
Je me promets une retraite très jouissive pour un simple investissement de 2 000 €.
• Entrez jeune homme, excusez, je ne connais rien de ce que vous faites, c’est mon fils qui m’a offert un ordinateur portable pour Noël, mais je vais trop vite, c’est certainement le stress.
• Ne soyez pas stressée chère madame, au téléphone vous m’avez dit vous appeler Anne.
• C’est exact, vous savez, Anne, Françoise, Christiane, dans les années 60, c’étaient des prénoms communs.
• Joli prénom chère madame, mais nous ne sommes pas là pour parler de nos prénoms.
Vous avez vu le site où des escortes boys proposent leurs services et c’est un honneur pour moi que vous m’ayez choisi.
• Je n’ai eu aucun mal, quand j’ai reçu ce mail j’ai cru que c’était mon petit-fils qui me faisait une plaisanterie.
Je lui ai téléphoné, à la manière dont il a paru étonné, j’ai su que ce n’était pas lui.
J’ai regardé les modèles qui nous étaient présentés sans envie d’en appeler mais votre photo m’a fait craquer.
• Peu importe qui vous a envoyé ce mail, le principal c’est que je sois là, merci d’avoir eu un flash sur moi !
• Vous avez raison, allons dans ma chambre !
• Tout doux Anne, vous m’ouvrez, vous m’emmenez dans votre chambre, je baisse mon pantalon, vous vous couchez les cuisses écartées et je vous pénètre.
Je vous fais jouir et basta à demain ou la semaine prochaine.
• Luce, excusez-moi, quand je vous dis que je suis stressée, c’est que depuis huit ans que je suis veuve, vous êtes le premier garçon à franchir le seuil de la porte de ma maison.
Hors des hommes de ma famille, il va de soi.
• Vous voulez dire que depuis votre veuvage, vous n’avez eu aucun homme dans votre vie, c’est incroyable au 21ème siècle.
• Vous comprenez que j’ai besoin de votre soutien pour que ce moment que nous allons passer ensemble soit le plus parfait possible pour vous et pour moi.
• Pour commencer, nous devons régler la partie la plus difficile de cette soirée, le prix de ma prestation.
• Excusez encore Luce, j’aime votre prénom, ça me rappelle le garçon qui m’a dépucelé lorsque j’avais 20 ans, il s’appelait Lucien, un vieux prénom lui aussi.
C’était deux ans avant que je ne rencontre Alain qui devait devenir mon mari. Venez dans la salle, l’enveloppe est sur la table.
Je l’emmène les jambes flageolantes.
Est-il possible que pour 2 000 €, ce garçon fasse l’amour à une grand-mère comme moi ?
Je viens de prendre ma retraite, j’habite dans l’est de la France, je travaillais dans une entreprise de transports comme secrétaire et je viens de partir pour me reposer. Je suis encore bien conservée, je pense avec ma taille moyenne, mes rondeurs sont acceptables bien que ma poitrine soit assez forte.
Mais hélas j'ai 62 ans !
Mais bien sûr, je suis sotte, ce sont mes collègues qui m’ont fait une blague en m’envoyant ce mail sur un site d’escorte boy.
Elles savaient que je venais de toucher une prime de départ de la société et une cagnotte après la collecte qu’elles ont faite auprès du personnel et des chauffeurs.
• Le compte est bon, le point le plus désagréable est passé, je vois un canapé qui est parfait pour commencer, asseyons-nous !
• Non, j’ai mis une bouteille de champagne au frais, je vais la chercher.
Il m’attrape par la main et me plaque contre lui.
• J’ai horreur que mes clientes se défilent.
Nous nous connaissons encore peu, à ce stade de nos rapports deux possibilités s’ouvrent à moi si nous nous connaissions mieux.
La manière forte, je te prendrais par tes cheveux châtain clair, je te les tirerais en arrière jusqu’à la limite de te faire pleurer, nous aurions une relation sadique, je sais faire.
Mais comme c’est la première fois et que je veux que tu sois satisfaite, je te prends par la taille, je t’approche lentement jusqu’à moi, bien sûr, je te fais sentir ma verge sur ton bas-ventre, te faisant mouiller d’envie !
• C’est formidable Luce, ma chatte était sèche depuis des années, je sens qu’elle coule, je sens ton membre, ça me fait peur, les deux hommes de ma vie n’en avaient que des biens ordinaires, le tien semble long et épais.
Dans le mouvement, malgré mon 1m60, lui au moins 1m80, nos bouches se rejoignent.
Je lis beaucoup, dans un de ces livres, l’auteur expliquait que les prostituées n’embrassaient pas leurs clients.
C’est vrai, c’était au moment des maisons closes.
À notre époque tout change, même le baiser profond qu’il me donne.
Sa main prend le premier bouton de mon corsage qu’il ouvre suivi d’un deuxième, sa main me prend un sein qu'il sort en mon soutien-gorge, il me lâche la bouche.
• Mais dis-moi ma coquine, c’est un balconnet en dentelle qui protège ce sein qui a apprécié que je le flatte, sa pointe bande.
• Oui, il me brûle et pour mes sous-vêtements, j’ignorais comment je devais être habillée, le manque d’expérience, tu l’as compris, j’ai essayé ceux que je mets d’habitude, trop classiques.
J’ai essayé de me mettre nue simplement recouvert d’un peignoir, me regardant dans ma glace j’ai eu l’impression de faire pute.
• Pour toi, suis-je une pute ?
• Non, je m’exprime mal quand je te dis que je suis stressée.
• Aucun problème, je te charrie, c’est de l’humour, bien sûr que je suis une pute mâle certes, puisque je fais payer mes prestations.
Tu aimes ce que nous avons commencé ?
• Je voulais te dire, si j’ai des sous-vêtements affriolants pour la première fois de ma vie, c’est parce que je suis descendue dans la boutique à deux pas et que je les ai achetés pour toi.
• Je vais redoubler de douceur pour te remercier de ce cadeau, rares sont mes clientes qui sont autant attentionnées, sauf parmi elles 25 à 30 % de mes clientes qui sont femmes d’affaire et qui viennent baiser entre midi et deux dans des hôtels avant de repartir dans leurs bureaux gagner du fric.
Elles ont des sous-vêtements de luxe, bien que la plupart sont la chatte à l’air sous leur tailleur, ce sont de vraies vicieuses.
Mon chemisier tombe, mon soutien-gorge me quitte rejoignant le premier vêtement, sa bouche reprend la mienne, ne tergiverse pas Luce va voir ma chatte, elle ruisselle c’est la pensée qui me vient, mais son envie est tout autre !
• Assieds-toi sur ton canapé.
Je suis son ordre, incapable de réagir, ma tête bourdonne et dire que la nuit dernière après avoir pris notre rendez-vous, j’ai pensé que cette étreinte tarifée serait bestiale. Mais cette douceur qu’il met afin de me satisfaire me va droit au cœur.
Prestement, il défait sa chemise, ses pectoraux certainement issus d’un travail dans une salle de sport m’apparaissent, il les fait bouger, ce qui me fait rire et qui me détend surtout que lentement il défait sa ceinture, ouvre sa braguette et reste en boxer.
Son paquet est à vingt centimètres de mes yeux, il prend l’élastique de son sous-vêtement et le fait descendre lentement, jusqu’au moment où elle se libère, il va me tuer, elle bondit vers moi.
Quel sexe, jamais je n’en ai vu de pareil !
• Suce là.
Je lève la tête de stupeur, je n’ai jamais fait de fellation, dans le plus profond de moi-même, mon cerveau n’a jamais eu l’ombre d’une envie de cette pratique sexuelle.
Je me souviens, Alain y a fait allusion une seule fois, nous avons dormi le cul tourné pendant quinze jours !
Je prends conscience que les mœurs ont évolué et qu’il arrive fréquemment maintenant qu'après la vue de films X les garçons imposent cela aux filles.
Je veux éviter d’être la vieille rombière qui rechigne dès que Luce me demande quelque chose, je la prends en main.
• À ton hésitation, je juge que c’est la première fois que tu prends une bite dans ta main pour la mettre dans ta bouche, je parie que tu refusais ce plaisir à ton mari.
• Je le conçois, mais je veux découvrir des pratiques sexuelles de notre époque, tu me diras si je suis une bonne élève.
Ma bouche entoure ce gland une fois et demi plus gros que ceux d’Alain et de Lucien, même si pour ces derniers, je ne les ai jamais vus d’aussi prêt.
C’est gros, mais c’est doux, ça pénètre plus facilement que je ne le pensais. J’ai bien fait de l’appeler quand j’ai vu sa beauté sur ce site d’escorte, j’aurai loupé quelque chose avant la fin de ma vie.
• C’est bien ma belle, continue à placer ta langue comme tu le fais, j’ai l’impression qu’un serpent s’entoure autour d’elle.
À part ma petite que je vois tous les mois et qui n’a que la bouche pour s’exprimer, tu es douée pour les fellations.
Je pourrais poser des questions sur cette petite, mais je suis sûre que c’est dans le feu de l’action et grâce à mon travail qu’il s’est épanché.
Je suis certaine que si j’essaye d’approfondir, il va se refermer comme une huitre.
• Tu vois, on progresse, tu as failli me faire jouir.
Quand je te disais qu’on avait le temps, reconnais que c’est mieux qu’un coup de bite vite fait sur le coin de ta table de cette salle à manger.
Je bande à fond, voyons voir ta chatte, si je comprends, tu es allée acheter cette parure rouge pour te montrer sous ton meilleur jour, j’adore ta petite culotte, tu permets, je la mets dans ma poche.
• Oui, prends-la, es-tu fétichiste ?
• Fétichiste, oui, s’en m’en rendre compte, je vais te faire un aveu, je prends systématiquement celle d’une nouvelle cliente, j’en ai plus de cent dans une armoire, toutes avec leur odeur d’origine.
Oui, je dois être fétichiste, ça date du jour où ma tante m’a dépucelé et que j’ai gardé sa culotte, je me suis branlé pendant plusieurs années en la mâchouillant, cela explique cela.
Il soulève ma jupe et fait glisser ma culotte me montrant chatte à l’air.
Ses doigts viennent effleurer ma toison, ses doigts sont électriques je dois reconnaître que ni mon mari et ni mon amant n’ont su s’occuper de moi comme ce garçon professionnel de l’amour sait le faire.
Sa main et ses doigts attaquent pour la première fois mon antre, mon gouffre, ma grotte, je n’ai pas assez de termes pour définir ce que je ressens.
Si j’ai trouvé, ma chatte, ce puits sans fond qu’il sait investir.
• Le moment est venu de concrétiser ton investissement.
Il s’assoit à mes côtés sur la banquette, la queue bien droite, j’ai compris ce qui me reste à faire.
Je suis encore souple, je l’enjambe, le place au centre de sa cible me laissant descendre le plus lentement possible.
Centimètre par centimètre, profitant du moment pour le graver à vie dans ma mémoire, je le fais entrer.
Quelle idiote d’avoir attendu si longtemps, je prends conscience du retard que j’ai pris dans ma vie.
Je suis assise, sa bite au fond de mon vagin, une lame de fond monte en moi. J’ignore combien d’années, ma santé va me permettre de draguer des petits jeunes qui seront d’aussi bons amants que Luce.
Ce qui est sûr, c’est que dès demain, je me rachète une parure bleue cette fois, celle que j’ai hésité à prendre en choisissant au dernier moment la rouge.
Puis l’ayant mise, je me rendrais dans une boîte où j’ai vu des femmes rentrer seules et ressortir au bras de beaux mecs.
Pardon, je vous quitte, Luce décharge en moi en même temps que je m’envole.
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